Still need to read this one ...

Taylor may have a go (after his Nightwing run) but, Darrick seems to have a lot of fun over at the humanos .. Don't think he will be back on some company's propertie for a long run any time soon

Maybe saturday for me (if only my order is sent tomorrow...)

Je suis très loin de partager ton enthousiasme.
Pour moi, ça tient le coup et c'est intrigant pendant un bon demi numéro avant qu'on se rende compte que ça reste beaucoup trop à la surface des choses, en tout cas par rapport à ce que j'attend d'un comic Hellblazer.
Le deuxième numéro est long et chiant comme une journée sans pain et l'histoire se conclut ensuite dans le dernier de manière gentillette et inoffensive.
Après, oui, ça se laisse lire (c'est la moindre des choses) mais c'est une addition au titre que j'ai trouvée purement anecdotique.
A une époque, ce Rise and fall aurait été perçu comme un arc faiblard...
En fait, je trouve ça encore pire que le Constantine rattaché au DC Universe qu'on a subi ces dernières années. Au-moins, là, on sait que c'est nul et que ça ressemble à rien mais ça prétend pas être autre chose qu'un truc nul et qui ressemble à rien. Ici, ça se la joue true Hellblazer et c'est à peine du simili. Et ça, c'est inexcusable.
Alors, non merci pour une ongoing de la même eau.

alors presque d accord avec zen sauf sur le constantine rattaché au DCU (bien que je pense préférer la version JLD Tynion/Ram V) des dernieres années (puisque Constantine était au départ rattaché au DCU jusqu'en 1993 et la creation officielle de vertigo)

Si vous n'avez pas pris Nightwing #78, vous ratez, comme prévu, une excellente lecture!
C'est certes introductif mais c'est tellement juste.

Punaise, le Amazing Spider-Man #61 pour justifier le gimmick honteux du changement de costume, c'est capillotracté mais d'une force...
Et dingue de voir que l'histoire n'avance pas...

Lu hier soir :

Avengers #43 : très bof. Ça n'avance pas, les dessins sont pas supers. Me suis ennuyé.

Non-Stop Spider-Man #1 : alors effectivement, c'est de l'action non-stop. Un peu déçu par Bachalo, on a l'habitude que ses scènes d'action soient très chargées et perdent un peu en lisibilité mais là, le gros problème, c'est qu'il dessine mal Spider-Man, je trouve.

Non mais c est le grand huit émotionnel entre la fin du 60 et le 61.

Je te l ai dit Scarlet on aura un retour au 75 et la conclusion au 100.

C est horrible car je suis trop hype

Avoir attendu 2 mois pour avoir S.W.O.R.D #2 (et c'est un 2nd printing...) pour finalement avoir une lecture insipide complètement polluée par King In Black.
L'impression que le titre n'a toujours pas démarré après un #1 d'exposition (pour savoir qui est qui) et là ça embraie sur un event (et vu les couvertures des #3 et 4 que j'ai à côté ça risque d'être du même tonneau) bloquant toute ambition pour le titre.
Alors oui, c'est très joli (je trouve même Schiti plus à son aise que sur Empyre) mais ça meuble sans permettre à Al Ewing d'être aussi performant que sur d'autres titres.
Après, ça ressemble à pas mal de titres X en ce moment où une routine s'installe méchamment sans que l'univers ne se développe plus que cela (un comble vu la profusion de séries/mini-séries).

J'ai la gaule... :oups:

Sinon, plus prosaïquement, j'ai lu coup sur coup Thor #12 (Frog Thor :headbang:) et #13, l'arc devient pas mal du tout même si le cliffhanger est prévisible (combien de fois ce gimmick a-t-il déjà été fait?).

Black Knight : Curse of the Ebony Blade #1
Je l'ai lu, après un week-end de déménagement. Une bonne petite récompense, après des efforts... mais aussi parce que je craignais un peu ce #1, après le bon one-shot King in Black du même scénariste.
Je n'ai heureusement pas été déçu, même si Si Spurrier sait jouer avec mes attentes - et mes nerfs !
Car oui, le scénariste reprend un peu "à la base", en intégrant les avancées du one-shot King in Black mais en rappelant aussi ce qu'il y amène. On retrouve donc un Dane Whitman perturbé, qui ici passe beaucoup de temps à parler à une application en ligne de psychiatrie, pour essayer de se comprendre... de se contrôler. L'idée est bonne, et permet de "poser" le débat, les thèmes. La séquence avec les Avengers permet de mettre un peu d'action, mais aussi d'illustrer la "gêne" des Avengers face au discours pompeux de Dane, au phrasé médiéval qu'il s'impose pour ne pas céder à la noirceur.
Si Spurrier revient en effet à l'idée d'un Black Knight "rongé" par les ténèbres, qu'il tente d'assumer. Le one-shot King in Black fait ainsi révéler à Dane que sa lignée n'est pas celle de chevaliers "dignes" et valeureux, mais d'êtres "mauvais", avec des coeurs sombres, qui leur permettent d'utiliser l'Epée d'Ebène.
Bon, Si Spurrier s'amuse aussi, en donnant à Dane un mais aussi une nouvelle alliée, une historienne spécialisée dans Camelot dont elle remet en question l'existence. Sympa', mais l'auteur aurait pu reprendre l'historienne vue dans la mini-série de Frank Tieri, bien que "Jacks" soit plus agréable à lire, aussi.
Surtout, Si Spurrier tape dur en Oui, carrément. Mon sang s'est figé alors, mais la suite est agréable car Si Spurrier évoque Camelot par un flashback dans lequel Jacks est envoyé. Mais enfin,
Tout cela est troublant, et bien prenant. Si Spurrier me crispe toujours avec le phrasé pompeux de Dane, mais ça a du sens, c'est expliqué, et je pense qu'on va s'en détacher après ces événements. Ca permet aussi d'acter les errances des années 2010 sur le perso', où on l'a ravalé à ça. Je suis un peu gêné aussi par la réaction de Thor, trop arrogant vis-à-vis de Dane alors qu'ils étaient proches dans les années 80, surtout face à Seth ; mais bon, je comprends l'idée d'opposer le guerrier "digne" (de Mjolnir) et l'autre "indigne" (qui doit l'être pour avoir l'Epée d'Ebène).
Je suis très intéressé par le projet de Si Spurrier sur Camelot, et j'avoue que je suis bien tombé dans son piège en milieu de récit, avec un final... qui m'a soulagé. Sergio Davila propose des planches superbes, avec beaucoup de dynamisme et de clarté, et de très belles images.

Je suis comblé comme fan du personnage, dont je retrouve plusieurs éléments qui me plaisent, même si le voir tellement "fracassé" psychologiquement me gêne toujours. Mais j'ai bon espoir que Si Spurrier le "soigne", le corrige ici.
Surtout, je trouve que l'épisode est bon en lui-même, avec un bon rythme, un bon récit et des idées intriguantes.

Vivement la suite... et vive Dane Whitman, toujours !

Ah toi aussi, ça t'a choqué la réaction de Thor vis-à-vis de Dane.
Sans lui, cela n'aurait pas été la même limonade à l'époque.

Oui, c'est un raté de continuité qui m'a gêné... mais j'ai aussi compris le propos de Si Spurrier, qui voulait opposer deux porteurs d'armes mystiques.
Dommage, quoi.

Idem, même si c'est rapidement résolu, je suis tombé dans le panneau...

Mais oui ! :woot:
J'ai aussi pensé au changement. Heureusement, on y a échappé.