Vu les 2 derniers épisodes de Sherlock qui forme la saison 1. Que dire? Que le second épisode est loin derrière le premier et le troisième. Certainement dû à un rythme étonnamment lent. Sinon le 3ème est du même acabit que le premier avec une intrigue très prenante et qui donne enfin de voir
Sinon j'ai vu les épisodes 2 à 13 de la saison 1 de Sons of Anarchy en 2 jours. Vu le début du pilote, je ne pensais pas aller jusqu'au bout mais cela a marché finalement. Plus les épisodes défilaient et plus je m'attacher à la bande de motards. Par contre, je ne définirais pas la série comme la tuerie que certains décrivaient mais c'est un bon divertissement. |
Je viens de finir Rubicon avec le même sentiment qui m'a poursuivi tout au long de cette unique saison, à savoir d'avoir l'impression de pas tout comprendre mais que mon cerveau traitait les informations en arrière plan et qu'il fallait juste se laisser aller pour apprécier.
Ce que j'ai fait. Bluffé par cette mise en scène. Ému par l'ensemble des scène pré-générique, où l'on voit le poids scénaristique de la position de celui-ci (le parallèle va paraitre étrange mais je fais le rapprochement avec la gestion des génériques/écran noir de Kaamelott, sans chercher évidement le même effet). Le casting est brillant. Tous sans exceptions. La paraonia traverse l'écran. Toute action, parole est tellement pesée (et rare) qu'elles en prennent toutes un sens nouveau. Il y a un nombre incroyable de scène où je me suis dis "chapeau bas, vous avez réussi à faire passer un énorme nombre d'information sans les expliciter" (je pense entre autre au dialogue Kale Ingram/Bloom dans le resto). J'ai été bluffé par tous les niveau de narrations qui fonctionnent, et qui ne nécessitent pas de se concentrer mais juste de faire appel à une veille inconsciente du cerveau. Laisser les connexions se faire tout seul. En réalité mon grand regret, c'est que tout s'accélère trop à la fin. L'avant dernier épisode est bluffant car on rejoint une série "ordinaire" où les événements tels que les personnages de Rubicon rencontrent sont le lot quotidien de Bauer ou autre. Sauf que là on les a suivi et on se mord les doigts car on se dit que c'est vrai. L'évènement de l'avant dernier épisode (pour ne pas le citer) m'a foutu beaucoup plus les jeton que n'importe quel menace nucléaire, ou d'épidémie. Parce qu'on est réellement impuissant et qu'on se sent responsable. Parceque si tout cela nous arrivait on ne sortirait pas son flingue toute les trentes secondes. On le sortirait une fois et ca changerait tout. Reste que maintenant, quand on prend la série à rebrousse poil, il y'a quand même un bon nombre d'incohérence. Ce qui m'amène à la question suivante : Quelqu'un aurait un lien vers un guide de la série :D |
J'ai beaucoup ri devant les 2 premiers épisodes de Raising Hope, par le créateur de My Name Is Earl, Greg Garcia. Je ne sais pas si cela arrivera au même niveau, mais je suis toujours aussi fan de cet humour gras et méchant, et sans rires enregistrés.
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How I Met saison 1 bouclé.
Ca bute juste. Faut juste tuer Robin. |
Apres les avis ditirambiques sur Sherlock, j ai maté les 3 épisodes. Et... mouais, je ne serai pas aussi enthousiaste.
Alors, c est vrai, le premier épisode déchire. D ailleur, il faudrai plutot parler de téléfilms que d'épisodes à 1h30 chaque truc. Le théme, qui ne m emballait pas, transposer Sherlock Holmes au 21e siecle, est une vraie réussite. Ca fonctionne parfaitement, les persos sont tres bien définis, les situations crédibles, la technologie est bien exploitée sans transformer Sherlock en "Les Experts London". Bon, tout ça tres bien. D'autant plus que l'enquete de ce premier épisode est particulierement interessante, avec pas mal de trouvailles visuelles; il y a le petit mystere Mycroft/Moriarty, comme dans la League de Moore; et meme les persos secondaires sont bien traités. Bref, ce premier épisode m'a completement bluffé. Mais alors, la suite... Le second épisode est d'un ennui étonnant par rapport au rythme du premier. Beaucoup des petits plus visuels passent à la trappe, on rajoute des persos moins interessants... Bon, je n'ai pas aimé. Le troisieme est certes bien meilleur. Mais la succession d'enquetes tres rapides est un petit peu lourde sur la fin. Mais surtout, l'apparition du personnage de fin m'a beaucoup déçu: trop caricatural, peu charismatique. Meme le cliffhanger m'a paru tres artificiel. Au final, une semi-déception. Un premier épisode véritablement excellent et prometteur mais une suite de moindre qualité. A suivre pour voir où ça va mais j'espérais mieux |
Pour ce qui est de Moriarty, je suis en partie d'accord. Mais c'est un pari de ne pas en faire le vieil ennemi classique. Son "excentricité" est mise en parallèle avec la singularité de Holmes et ça peut donner une dynamique intéressante par la suite.
En revanche, je suis d'accord sur le cliffhanger qui est décevant par rapport à ce que j'en avais entendu. |
En l'absence de The Wire, en l'absence de The Shield, Southland est sans conteste aucun la meilleure série policière du moment. Et ce quatrième épisode de la S3, l'un des plus terrifiants qu'elle nous ait infligé. La tension monte tranquillement, une journée comme une autre dans les rues agitées de L.A, nous sommes la grenouille plongée dans une casserole d'eau mise à feu doux, inconscient qu'un drame se mijote sous la surface des drames du quotidien. Jusqu'à ces dix dernières minutes, où tout explose.
Southland n'est pas une série qui a la vie facile. Sa première saison a été écourtée. Elle a changé de diffuseur à la fin de la deuxième. On lui a amputé son budget pour cette troisième. Malgré tout, elle parvient encore à nous donner des scènes magnifiquement écrites, jouées et filmées. |
Citation:
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L'épisode de Chuck de cette semaine est parfait! Presque une conclusion mais j'en veux encore!
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Southland saison 3 episode 5. On redescend d'un cran après l'épisode 4, tendu comme un slip élastique.
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Vu la première moitié de la saison 1 de the Vampire Diaries et c'est vraiment sympa. Au départ, je me demandais ce qu'aller donner ce mélange vampire + lycéens mais c'est vraiment bien. Bon on échappe pas quand même à certaines clichés déjà vu ailleurs. Comme Stephen qui me fait beaucoup penser à Angel... La bague, le fait qu'il était un fils de la noblesse et que c'est une femme vampire qui l'a transformé et qu'il a aimé, sa coupe de cheveux, le manoir... Mais à part ça, ça se démarque bien et on a des épisodes très agréables à voir. Donc si les vampires c'est votre truc aussi essayer cette série et ça pourrait vous plaire à vous aussi.
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Un peu moins les deux meufs keufs. Un peu plus les autres.
Et je voulais un épisode pour pleurer, en vrai. |
Les deux m'ont laissé comme une serpillière. Le premier m'a essoré d'un coup. Le second, tout doucement, d'une torsion cruelle, l'épisode durant.
Ah, Friday Night Lights S5E12, avant-dernier épisode de la série. De la SÉRIE. Vous vous rendez compte de ce que ça peut représenter dans la vie d'un fan, hein, nous autres wiristes et autres losties? Ca fait mal. Et là, ce n'est pas vraiment humain ce qu'ils nous font vivre. Mes chances de survie au fatidique n°13 se sont amenuisées d'épisode en épisode. Le 11 était déjà parfait. Le 12 donne envie de se refaire une intégrale. Là, tout de suite. Matt et grand-mère, coach et Tami, Tyra, merde. |
Ben, pareil, j'ai pas encore versé ma larme, même si je sens que ça monte.
En toute logique, tout devrait se terminer plus ou moins mal pour tout le monde. |
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