Buzz Comics, le forum comics du monde d'après.

Buzz Comics, le forum comics du monde d'après. (http://www.buzzcomics.net/index.php)
-   Critiques VO (http://www.buzzcomics.net/forumdisplay.php?f=199)
-   -   Critiques VO 2023 (http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=84246)

Ben Wawe 03/01/2023 16h30

Critiques VO 2023
 
Dark Knights of Steel #9
Ah, quel petit malin ce Tom Taylor... encore une fois !
Même si j'ai "vu" venir une des révélations durant le numéro, une autre intervient en cliffhanger et m'a bien eu. Bien joué !
C'est la guerre, donc. La reine Lara a tué la reine Hippolyta. Cassandra, une Robin, délivre Kal et il vient aider, mais la reine Lara s'enfuie alors que Diana enrage et explose. La guerre est déclarée. Le Green Man (Luthor Jokerisé avec un anneau Green Lantern) tue tous ceux qui passent à proximité, alors que la reine Lara frappe Kal (?) puis va tuer les prisonniers. Oliver (amputé) pousse Dinah à hurler pour s'enfuir, et elle l'aide à s'armer même sans son bras (hé, l'arbalète, l'ami !). Batman arrive sur un dragon (Beast Boy), ce qui calme les gens. Mais la reine Lara revient tuer des gens mais elle est interceptée par... la reine Lara ?! Il est révélé que la tueuse est
alors que, soudain, Alfred avoue qu'il est

C'est bien, oui. Tom Taylor lance une vraie bataille, ça tape dur. La première révélation se fait bien sentir, avec la conduite si énorme de la reine Lara (surtout le coup à Kal), ainsi que l'incompréhension de Kal face à Batman (Kal ne "sait pas" qu'il a voulu tuer Bruce). Pas grave, ça reste bien mené, avec une belle tension, de bons moments avec Oliver et Dinah, et une vraie sensation d'urgence.
C'est bien le cliffhanger qui "prend" car je ne l'ai pas vu venir, et c'est cool. Yasmine Putri continue d'assurer, avec un beau trait et une superbe ambiance.

Ah, j'aime être "pris" comme ça ! Vivement la suite, voire les suites car ça parle déjà de "première saison" ici...

Gotham City : Year One #4
Efficace.
Tom King poursuit son polar noir, très noir ; prévisible mais efficace. Slam Bradley se fait arrêter et tabasser pour, grosso-modo, n'avoir pas donné ses infos au GCPD. La ville pleurant l'héritière Wayne, les flics et le commissaire dur mais honnête passent leurs nerfs sur lui ; salement. Richard Wayne fait libérer Slam... pour le frapper aussi, sûr que Slam a participé à la mort de la petite en accord avec Madame Wayne. Slam s'énerve et s'en va, puis est visité par... Madame Wayne, qui cherche du réconfort physique, puis révèle les troubles de Richard Wayne (qui veut disperser les cendres de l'enfant dans le futur bâtiment de la Fondation Wayne). Slam s'éclipse la nuit pour aller
Enfin, Slam rentre, est visité par la mystérieuse acrobate qui révèle que tout ceci est lié à Richard Wayne.
Bon, c'est bien. Tous les éléments de polar sont quand même très prévisibles, mais c'est bien déroulé et bien efficace. Tom King est surtout bien aidé par un Phil Hester en grande forme, qui s'amuse avec la narration, le graphisme de la représentation des tabassages et tout. C'est beau et fort.
Je suis surpris de la décision de Slam en spoiler, et je trouve que Tom King force un peu ici l'échec du GCPD et la chute morale de la ville ; tout ça qui viendrait de là, c'est gros. Mais bon, ouais, ça a un côté efficace à la lecture.

Bien, mais ô combien prévisible.

Ben Wawe 04/01/2023 16h30

Scarlet Witch #1
Pas mal du tout.
Nouvelle série Scarlet Witch (qui deviendra sûrement une mini-série, sauf succès surprise), avec une Wanda "positive" et constructive. L'idée ici est qu'elle tienne un magasin d'articles de magie, Emporium, avec dedans The Last Door : une porte magique, qui apparaît à tous ceux dans le besoin et les fait arriver chez Wanda, pour qu'elle les aide.
Sympa'.
On voit avant Wanda en action pour stopper une attaque sur un bateau, on la voit échanger avec Darcy (ex-assistante de Dr Strange) qui est sa vendeuse à Emporium, on la voit discuter avec Pietro puis aider une jeune femme dont la ville et l'épouse sont sous l'influence du Corruptor. Wanda gère en assumant ses erreurs passées, mais la fermeture de la boutique est troublée quand arrive

C'est sympa'. L'épisode en lui-même est classique, sans grande surprise ; mais la lecture est agréable, et l'ensemble donne envie d'y revenir. Déjà, parce que Steve Orlando a ici une bonne idée : Wanda qui a un magasin de magie, et "reçoit" ceux dans le besoin, c'est plutôt malin et bien vu, et ça participe à sa rédemption. Cool. Les échanges avec Darcy et Pietro sont aussi agréables, et une Wanda "équilibrée", qui accepte ses erreurs mais avance, ça fait aussi du bien.
D'autant que Sara Pichelli est en forme, s'implique et livre des bonnes planches. Je n'ai jamais été "fan", mais ça fonctionne bien.

Un numéro classique mais surtout un très bon pitch. Steve Orlando livrera-t-il enfin une prestation qui me convaincra ? A suivre !

Ben Wawe 05/01/2023 11h08

X-Men Red #10
C'est une série de poseurs, en fait. De postures et de poseurs.
Perdue entre des crossovers, incapable de tenir une intrigue au long cours. Dommage pour Al Ewing, mais il joue aussi contre lui-même en lançant bien trop d'éléments, sans jamais complètement les finir ou aller au bout.
Bon, l'épisode est bien, hein. Mais il y a trop de choses, pas assez creusées. On a la bagarre entre Vulcan et Storm, qui anéantissent le Palais d'Automne, QG de la Brotherhood d'Arakko. Vulcan est fort, trop fort mais Ororo le bat par sa stratégie, et l'intervention des autres membres de la Brotherhood ; Gabriel est bloqué dans le fameux métal mutant, pouf-pouf. En parallèle, Cable et ses potes s'échappent de la base d'Orchis après avoir récupéré des éléments, et gêné l'ennemi. Surtout, Abigail Brand prend conscience d'être suivie et piégée, notamment par Mentalo. Xandra, Sunspot et les autres viennent la confronter ; Brand s'enfuit, la queue entre les jambes, mais elle est confrontée par
A la fin, Arakko en ressort solidifié, Storm aussi, mais... on file déjà vers le crossover Sins of Sinister, car le "chef" d'Orchis est révélé être

C'est bien, hein. Ca se lit, c'est intense, c'est bien fichu, mais... pff. C'est une série de poseurs, et de postures. De postures, d'abord, car on ne cesse de passer de statu-quo en statu-quo, avec de nouvelles orientations, de nouvelles directions pour la série et les personnages. Mais c'est aussi une série de poseurs, car les personnages ne cessent de se la raconter, de vanter leurs exploits en les faisant. Sérieusement, on dirait une bande de Vegetas ou de Cells, de DBZ.
Al Ewing me lasse vraiment, même si Stefano Caselli assure aux dessins et livre de belles prestations dynamiques.

Je ne suis pas sûr de rester après Sins of Sinister.

Fantastic Four #3
Sympa'.
Ryan North continue son lancement avec un numéro sur chaque "partie" des Fantastiques : Ben & Alicia, puis Sue & Reed, et là Johnny en solo. Un épisode plus fun, avec un Johnny un peu délirant qui a une nouvelle identité secrète (pas du tout secrète) et qui est un employé à tout faire d'un magasin lambda. Il vit le quotidien difficile des salariés abandonnés, tente d'améliorer la situation mais est bien maltraité par le propriétaire, un ancien criminel qu'il a martyrisé et qui le provoque car il sait que Johnny ne lui fera jamais vraiment mal. Johnny comprend qu'il n'est vraiment bon qu'en équipe, et mobilise ses collègues pour piéger et battre le propriétaire. Tout est bien qui finit bien, mais Sue & Reed l'appelle car

C'est bien, oui. Léger, fun, avec un Johnny délirant mais pas débile ou con-con. C'est bien. Rien de notable ou d'énorme, mais un épisode réussi et sympathique, avec un Iabn Coello qui assure même si le Johnny enflammé a parfois un visage difficile à cerner.
C'est bien, hein ; mais tellement anodin, tellement... passe-partout. Même si je ne veux pas un feu d'artifices au début de chaque nouvelle série, on a ici un numéro oubliable et bien loin de pouvoir retenir. L'attention ou le lecteur.

Bien mais anodin.

Captain Marvel #45
Divertissant.
Kelly Thompson continue sa bonne p'tite saga sur les Broods, où une partie des X-Men est alliée avec la Team Carol (Carol, Spider-Woman, Hazmat) pour retrouver Binary et Rogue. Ils parviennent à sortir de l'illusion imposée par les Broods durant leur emprisonnement grâce à Kwannon et Gambit. Le groupe est séparé pour retrouver chaque cible, alors que les Broods préparent un piège.
C'est bien, oui. Kelly Thompson ne fait pas énormément avancer sa saga, mais livre plein de bons petits dialogues et bons moments de caractérisation. Je le dis à chaque fois, ce sont ses dialogues et ses caractérisations, donc la lecture ici me fut fort agréable et distrayante.
Surtout avec un Sergio Davila au trait coloré, rond et dynamique lui aussi très sympathique à suivre.

Un bon p'tit plaisir régulier.

Captain America: Sentinel of Liberty #8
Très cool.
Jackson Lanzing & Collin Kelly enclenchent leur deuxième saga, avec ici Cap' qui se réveille après cinq jours d'absence et découvre que New York est sous un dôme de l'AIM. Ses voisins tentent d'y survivre, alors que Cap' bat le rappel de ses proches espions et du réseau des Captains America (cool d'y repenser, tiens). Ils sollicitent Emma Frost (qui doit une faveur à Steve depuis le Hellfire Gala, belle utilisation de continuité) pour comprendre qu'un MODOC (pour Control plutôt que Kill) a torturé leurs esprits pour récupérer des données ; à la dure. Ils sont tous bien fâchés, et Cap' enclenche la suite : non pas une intervention de super-héros, car la situation n'en demande pas. Pour stopper l'AIM et sauver New York sous dôme, il faut... des Invaders.
Purée, c'est cool ça, quand même. Les deux scénaristes livrent un épisode essentiellement didactique, visant grosso-modo à acter ce qu'il s'est passé en off et à préparer la bagarre ; et ça marche bien. Emma surprend à son arrivée, mais elle fonctionne bien en opposition à Peggy ou Steve, et c'est top. Le MODOC est à confirmer, mais l'ensemble est prenant et la réplique badass de la fin est vraiment cool.
Notamment parce que Carmen Carnero assure encore aux dessins, et me plaît énormément dans son ambiance et son trait.

Vivement la suite, je suis à fond.

Secret Invasion #3
Je suis partagé.
D'un côté, l'épisode a beaucoup de défauts : de la lourdeur dans les révélations, de la maladresse dans la gestion, et le fait que Ryan North semble partir du principe que les gens connaissent les éléments de sa série Squirrel-Girl ; et pas forcément, hein.
Mais, en même temps... sa Maria Hill est très bien écrite, et le cliffhanger est bien trouvé.
Je suis partagé, oui. On voit ici Maria qui vient discuter avec Tony Stark qui veut lui parler, et révèle qu'il y a... plusieurs Tonys ! Car Tony explique faire confiance depuis quelques mois à une jeune Skrull gentille recueillie dans Squirrel-Girl, qu'il laisse même prendre sa place dans l'armure pour quelques interventions (WTF), afin de s'occuper ailleurs. Il a étendu ça à d'autres Skrulls gentils (WTF), et a préparé pour eux du faux-sang pour les tests Skrulls (WTF). Maria comprend, s'emporte mais comprend... mais quand même, elle

WTF quand même, hein. J'espère, un peu, que Ryan North prépare une révélation, pour dire que ce n'est pas le vrai Tony... mais, là, ça n'a aucun sens. La caractérisation de Tony est complètement WTF, le truc des gentils Skrulls passerait pour une, mais là on a une dizaine de Skrulls anonymes "gentils"... comme ça.
Non, ça n'a aucun sens et ça casse une mini-série correcte jusque-là. Peut-être que North veut se jouer du lecteur, mais là c'est tellement premier degré que ça me sort du truc. Dommage, car Francesco Mobili continue d'avoir une belle démarche graphique, avec elle une belle ambiance.

Un WTF énervant, finalement.

Shang-Chi : Master of the Ten Rings #1
Quelle frustration.
C'est dans le one-shot achevant son run, et sûrement la mise en avant actuelle de Shang-Chi, que Gene Luen Yang retrouve les ingrédients qui m'ont tant plu sur sa mini-série initiale et la première série qui a suivi. Il ramène la nouvelle fratrie de Shang, remontre que Zheng Zu avait une humanité avant de mal tourner (Shang va dans le passé voir son père jeune, car un ancien fidèle veut ramener un jeune Zu pour reprendre la Five Weapons Society), et l'ensemble se finit sur une approche positive. Avec un Shang équilibré, qui maîtrise les Ten Rings sans se perdre dans leur mythologie merdique, et renoue même avec sa petite-amie oubliée.
C'est bien, oui ! Car tellement éloigné de la saga sur les Ten Rings, qui parasitait tout et n'apportait rien. Je reste persuadé que Marvel a poussé le scénariste à se concentrer sur les Ten Rings, une erreur regrettable tant cela a fait perdre du temps et provoqué mon aigreur.
Michael YG livre une prestation correcte et efficace, pour un one-shot très agréable... mais qui provoque les regrets de ne pas avoir eu ces ingrédients aussi longtemps qu'il le fallait.

En définitive, le run de Gene Luen Yang est quand même plutôt bon, mais quelle déception qu'il semble avoir été forcé de se concentrer sur des trucs nazes. Pff.

Avengers #64
LA BAGARRE !
Jason Aaron enchaîne son ultime saga avec une grosse baston entre les Avengers & les Prehistoric Avengers contre les Maîtres du Mal Multiversels. Et, si ça ne sauvera ni la saga, ni le run, il faut noter que Jason Aaron sait bien écrire la bagarre. C'est cool, ici.
Le Killmonger dans l'armure du Destructeur se fait défoncer par Iron Man, Thor, Odin, Captain Marvel et se fait "finir" par Iron Fist. La Dark Phoenix morfle contre Echo/Phoenix et Jane Foster, et s'enfuie ; on découvre qu'elle est
En parallèle, Tony affronte un Howard Stark sbire de Mephisto, dans un beau combat physique et psychologique. Tony bat Howard, refuse de le tuer mais brise ses mains ; pour l'empêcher d'agir, et le forcer à voir pour quel futur ils se battent. Un futur sans Howard et son égocentrisme. Enfin, ailleurs, le Doom ultime est parti pour lancer sa propre attaque via sa
Beaucoup de douceur à venir, donc.
C'est cool, ouais. Complètement bourrin, mais assumé, et c'est cool. Ca se lit bien, il y a de bonnes bagarres, et surtout une belle gestion de Tony ici. Il est narrateur de l'ensemble, et ses réflexions face à Howard sont aussi bonnes que touchantes. Seul bémol : l'évocation d'un lien de sang entre eux ; moui, Jason Aaron, faut vérifier ta continuité, là.
Après, c'est aussi fun de voir qui est la Dark Phoenix, et j'accepte plus le plan de Doom que celui de Mephisto. Je suis un peu curieux de la suite, avec un Javier Garron qui s'amuse aussi dans la bagarre.

Bourrin mais fun. Enfin, même s'il est déjà trop tard.

Slobo 06/01/2023 10h28

Citation:

Envoyé par Ben Wawe (Message 1920841)
Tales of Earth-6 : A Celebratio of Stan Lee #1
Il est quand même étrange que seul DC "fête" le 100e anniversaire de la naissance de Stan Lee, figure incontournable de Marvel. Ce bon Stan n'a réalisé que la série des Just Imagine chez DC, la réimagination des grands personnages sous sa vision.
Et pourtant, c'est bien DC qui "fête" l'événement, avec un très gros one-shot où plusieurs auteurs reprennent ces personnages, pour de courtes aventures.
Surprenant, donc, mais la plongée dans cet ensemble est agréable, même si l'exercice a une ambition limitée... et des segments bien faibles.

En conclusion, un gros one-shot, avec des segments hétérogènes, rarement loupés, parfois bons voire très bons.
Une bonne lecture entre les fêtes, pour ce retour un peu surprenant sur cette Terre-6 oubliée.

Cela prouve surtout que quoi qu'on en dise, il n'y avait qu'un seul Stan Lee et que faire du Stan Lee n'est pas évident. Après perso je ne garde pas un grand souvenirs de ses Just Imagine.

Citation:

Envoyé par Ben Wawe (Message 1921013)
Scarlet Witch #1

Pour le spoil

Ben Wawe 06/01/2023 10h34

Non, c'était faible.

bukowski 07/01/2023 19h11

Joe Fixit 1:
Superbe rigolade ! Un rêve de fanboy ! Je me demande ce que le Kingpin va pouvoir inventer pour tuer Fixit ! Vivement la suite !

SPIDER-MAN 3 & 4: Chaque page est un régal ! Bagley se surpasse et le récit est haletant ! J'adore cette histoire !

X-Men Legends 5 : Autant les 3 et 4 consacrés à Longshot avec pourtant Nocenti au scénario m'indiffèrent, autant ce n°5 me comble ! Je retrouve enfin du bon Portacio et du bon Bishop ! Le récit étant à la première personne, je ne m'attends pas cette fois à un mauvais twist où tout le monde oublie tout.
Portacio et Haberlin seraient-ils sur le point de pondre un élément majeur pour vraiment comprendre Bishop ? Je l'espère !

Totalement dans un autre genre, je continue de lire FAMILY TIME. Le 2 me donne envie de lire la suite, avec ces parents qui croient toujours être dans un jeu touristique et les gamins qui pensent voyager dans le temps. Le style graphique est faussement simpliste. Les personnages sont attachants. J'attends de voir la suite !

Sinon, je n'ai pas suivi Shang-Shi en comics depuis longtemps mais j'ai adoré SHANG-SHI : MASTER OF THE TEN RINGS 1 !
Je vais suivre les recommandations de Ben Wave et me concentrer sur l'avant-dernière série consacrée à ce personnage. ;)

Ben Wawe 10/01/2023 16h49

Lazarus Planet: Alpha #1
Purée, c'est bien.
La mini-série Batman Vs. Robin n'est pas terminée, mais Lazarus Planet commence ! L'affrontement entre Batman, d'un côté, et Devil Nezha & Mother Soul de l'autre a mené à la libération de Damian, possédé jusqu'alors et ayant permis aux deux super-vilains de manipuler Black Alice pour transférer toutes les puissances magiques dans le Heaume de Fate. La bagarre mène à l'explosion de Lazarus Island, finalement un volcan qui régurgite le liquide de Lazare dans l'atmosphère.
Cet épisode Alpha vise à lancer les tie-ins, et poser les enjeux. Et ça le fait très, très bien.
Mark Waid enchaîne, en mettant en retrait un Batman tué, ressuscité par Lazare mais très affaibli. Il fuit dans un avion piloté par Damian, avec Talia et une Black Alice traumatisée. Ils s'écrasent au Hall de Justice, où Supergirl & Power Girl gèrent la crise en l'absence de la JL. Damian distribue les rôles, créé deux équipes : une pour libérer les forces magiques dans la Tour de Fate ; une pour retrouver Devil Nezha, sûrement dans un sanctuaire de Ra's pour récupérer de l'énergie Lazare. Chaque équipe croise un sbire de King Fire Bull, le "fils" de Nezha et nouveau gros méchant ; bagarre, moments épiques et badass. Certes, les forces magiques sont libérées mais Nezha

C'est très bien. Mark Waid écrit très bien ses personnages, que ça soit un Batman faillible mais agréable, un Damian très intense et plaisant à suivre, mais aussi une Supergirl méga badass et compétente. C'est simple, efficace et très prenant. Ca lance en outre très bien les tie-ins, car la tempête de Lazare perturbe la Magie et la technologie, et chaque tie-in va gérer une crise ; malin et intéressant.
Surtout, c'est magnifique car Riccardo Federici livre des planches magnifiques. Il a eu le temps de bien travailler, les dessins sont superbes, très intenses aussi, avec une ambiance superbe.
Une back-up sur Monkey Prince ne m'a pas du tout intéressé.

Un très bon one-shot de lancement, dans une bonne saga.

The Flash #790
Début efficace.
Jeremy Adams lance sa 60 Seconds War sobrement, sans forcer mais avec efficacité. On voit un peu chaque Speedster, dans son environnement. Wally tient un barbecue amical avec des amis et la famille. Jesse Quick patrouille avec son mari Hourman. Jay Garrick semble ruminer seul. Max Mercury envisage de repartir dans le Temps. Kid Flash et Impulse se chamaillent.
Mais, en parallèle, des envahisseurs extraterrestres attaquent, et attaquent durement... au point de causer des victimes. Dont

C'est efficace, oui. Jeremy Adams prend son temps, ça avance peu, mais il peut ainsi un peu évoquer chaque Speedster. Au-delà du plaisir de tous les retrouver, notamment Jesse ou Max, le scénariste les écrit bien et "saisit" bien leurs personnalités. La menace a l'air basique, mais ça fait le job et le cliffhanger, si on sent que ça ne tiendra pas, surprend et "prend". Notamment car ça va toucher autant Barry que Wally.
Jeremy Adams assure, donc, et Roger Cruz livre une proposition correcte. C'est moins joli et prenant que dans le Robin de Joshua Williamson, mais ça fait le job même si c'est un peu précipité.

Efficace et prenant. Cool !

Ben Wawe 10/01/2023 16h49

Lazarus Planet: Alpha #1
Purée, c'est bien.
La mini-série Batman Vs. Robin n'est pas terminée, mais Lazarus Planet commence ! L'affrontement entre Batman, d'un côté, et Devil Nezha & Mother Soul de l'autre a mené à la libération de Damian, possédé jusqu'alors et ayant permis aux deux super-vilains de manipuler Black Alice pour transférer toutes les puissances magiques dans le Heaume de Fate. La bagarre mène à l'explosion de Lazarus Island, finalement un volcan qui régurgite le liquide de Lazare dans l'atmosphère.
Cet épisode Alpha vise à lancer les tie-ins, et poser les enjeux. Et ça le fait très, très bien.
Mark Waid enchaîne, en mettant en retrait un Batman tué, ressuscité par Lazare mais très affaibli. Il fuit dans un avion piloté par Damian, avec Talia et une Black Alice traumatisée. Ils s'écrasent au Hall de Justice, où Supergirl & Power Girl gèrent la crise en l'absence de la JL. Damian distribue les rôles, créé deux équipes : une pour libérer les forces magiques dans la Tour de Fate ; une pour retrouver Devil Nezha, sûrement dans un sanctuaire de Ra's pour récupérer de l'énergie Lazare. Chaque équipe croise un sbire de King Fire Bull, le "fils" de Nezha et nouveau gros méchant ; bagarre, moments épiques et badass. Certes, les forces magiques sont libérées mais Nezha

C'est très bien. Mark Waid écrit très bien ses personnages, que ça soit un Batman faillible mais agréable, un Damian très intense et plaisant à suivre, mais aussi une Supergirl méga badass et compétente. C'est simple, efficace et très prenant. Ca lance en outre très bien les tie-ins, car la tempête de Lazare perturbe la Magie et la technologie, et chaque tie-in va gérer une crise ; malin et intéressant.
Surtout, c'est magnifique car Riccardo Federici livre des planches magnifiques. Il a eu le temps de bien travailler, les dessins sont superbes, très intenses aussi, avec une ambiance superbe.
Une back-up sur Monkey Prince ne m'a pas du tout intéressé.

Un très bon one-shot de lancement, dans une bonne saga.

The Flash #790
Début efficace.
Jeremy Adams lance sa 60 Seconds War sobrement, sans forcer mais avec efficacité. On voit un peu chaque Speedster, dans son environnement. Wally tient un barbecue amical avec des amis et la famille. Jesse Quick patrouille avec son mari Hourman. Jay Garrick semble ruminer seul. Max Mercury envisage de repartir dans le Temps. Kid Flash et Impulse se chamaillent.
Mais, en parallèle, des envahisseurs extraterrestres attaquent, et attaquent durement... au point de causer des victimes. Dont

C'est efficace, oui. Jeremy Adams prend son temps, ça avance peu, mais il peut ainsi un peu évoquer chaque Speedster. Au-delà du plaisir de tous les retrouver, notamment Jesse ou Max, le scénariste les écrit bien et "saisit" bien leurs personnalités. La menace a l'air basique, mais ça fait le job et le cliffhanger, si on sent que ça ne tiendra pas, surprend et "prend". Notamment car ça va toucher autant Barry que Wally.
Jeremy Adams assure, donc, et Roger Cruz livre une proposition correcte. C'est moins joli et prenant que dans le Robin de Joshua Williamson, mais ça fait le job même si c'est un peu précipité.

Efficace et prenant. Cool !

watchblue 10/01/2023 19h40

Attends Ben.. il remeurt dans la mini de waid Batman ?
Ça lui fait trois morts ou présume morts en un an quand même

Niveau continuité pour placer les histoires c est fort

watchblue 10/01/2023 19h40

Attends Ben.. il remeurt dans la mini de waid Batman ?
Ça lui fait trois morts ou présume morts en un an quand même

Niveau continuité pour placer les histoires c est fort de café

watchblue 10/01/2023 20h14

Attends Ben.. il remeurt dans la mini de waid Batman ?
Ça lui fait trois morts ou présume morts en un an quand même

Niveau continuité pour placer les histoires c est fort de café

Ben Wawe 11/01/2023 09h21

Oui, mais la résurrection est immédiate. :)

Ben Wawe 11/01/2023 09h55

Wonder Woman #795
Guère original mais réussi.
Becky Cloonan & Michael W. Conrad avancent tranquillement leur saga sur Hera, en lançant des révélations via des grosses bagarres. Diana et Yara Flor affrontent Eros, qui semble avoir été en couple avec Wonder Girl dans ses aventures mais ça s'est très mal fini. Les retrouvailles sont rudes, alors que le Titan Hyperion arrive en ville. Steve Trevor et Siegfried tentent de l'occuper, alors que ça bagarre de tous les côtés. Finalement, Eros révèle que le plan d'Hera est de raviver l'amour et la foi des Humains en l'Olympe par une manipulation, le lait n'était qu'un test. Là, Eros enclenche la suite et tire une flèche qui

C'est bien, oui. Ni le plan d'Hera, ni la forme du récit ne sont originaux, mais les deux scénaristes gèrent bien leur saga et leur épisode. L'intrigue est efficace, le numéro est bien rythmé, avec des bons dialogues prenants entre Yara et Eros, clairement montré comme un ex toxique et manipulateur. C'est fluide, la Team Wonder est cool à suivre aussi, et l'ensemble est prenant.
Graphiquement, Amancay Nahuelpan assure avec un style proche des précédents dessinateurs. C'est joli et dynamique, agréable à l'oeil.

La série continue de bien me plaire, même si elle ne révolutionne rien.

WildC.A.T.S #3
C'est mieux, et c'est même bien.
J'ignore si le numéro est impacté par d'éventuels retours de lecteurs, mais j'ai l'impression que ce que je voyais comme défauts dans le #1 sont gommés ici. Grifter est moins débile, moins Deadpool-esque et a, en plus, une meilleure coupe de cheveux. Cool.
Mais au-delà de ça, c'est bien. On voit la présentation des Seven Soldiers of Victory de Halo, le groupe public pour "couvrir" les actes de la branche secrète. On a Threshold (super-vilain WildStorm à la base), Majestic (a priori un autre enfant métahumain qui peut déclencher une forme adulte, comme Fairchild), Andromache (identifiée comme traîtresse Coda ici par Zealot, alors que c'était l'inverse dans WS), Maul (bien identifié comme le Dr Jeremy Stone), Mother One (des Wetworks jadis), l'agent Wax et Pike. Grifter vit mal ce cirque, se bat avec Pike et se fait mettre à pied par Marlowe. L'équipe secrète est envoyée récupérer un gamin enlevé qui pourrait déclencher une crise mondiale, alors que Grifter enquête sur la Cour des Hiboux. Void l'envoie aider les autres qui galèrent, et tout se finit sur une chute après un crash d'hélicoptère.
C'est bien, oui. C'est classique, mais efficace. Les Seven Soldiers sont artificiels, mais ça permet de nourrir un peu le concept Halo. Grifter est moins insupportable, je ne comprends pas pourquoi il enquête sur la Cour des Hiboux mais l'ensemble se lit bien. Cole est montré enfin compétent et efficace, c'est top. Je suis un peu gêné par ce qu'ils veulent faire de Majestic ou Maul, mais l'ensemble est prenant et agréable.
Graphiquement, Stephen Segovia assure, avec même des dessins plus aboutis que précédemment. C'est joli et dynamique.

Ca se reprend, et ça me prend plus. Cool.

ArnaudXIII 11/01/2023 12h11

Ah bien content de lire ça, sur Wildcats. Parce que pour le moment, l'idée est d'arrêter au 6 tellement c'est nul. Agent Wax, il vient de quelle série Wildstorm?

Ben Wawe 11/01/2023 12h40

On l'a surtout vu dans Wildcats 3.0, il me semble.

ArnaudXIII 11/01/2023 14h49

Ah ben mince, je l'ai lu, pourtant. Merci!

Ben Wawe 12/01/2023 08h43

Merci, EsseJi, pour le changement de sujet !

Ben Wawe 12/01/2023 09h12

Moon Knight #19
Efficace, mais décompressé.
Jed McKay continue à me plaire ici, mais il utilise cet épisode pour poser doucement les choses, sans se presser. D'un côté, un psy connu par Moon Knight interroge longuement Zodiac, qui évoque sa vision du monde (blabla super-vilain au top de la pyramide alimentaire) mais lui prouve qu'il a tort (car Soldier "vit" encore). De l'autre, Moon Knight et Hunter's Moon vont aider des Moloïdes maltraités et asservis dans les profondeurs, par une vieille connaissance.
Voilà. C'est bien, c'est sympa' mais ça avance peu. Jed McKay ramène doucement Zodiac, créé une discussion perte entre Mark et son allié sur les résurrections par Khonshu (et l'absence de leurs prédécesseurs malgré cela). Ca fonctionne, ça a du sens, c'est pertinent ; mais bien décompressé, quand même.
Federico Sabbatini livre des planches efficaces, dans cette même ambiance générale agréable même si ce n'est pas aussi fin qu'avec d'autres.

Agréable, mais ça reste sur un rythme tranquille.

X-Men #18
Très bien.
Gerry Duggan est loin de me convaincre pleinement sur le titre, mais ce numéro est très bon. Il enchaîne sur le retour de la X-23 disparue dans la Voûte (avec les souvenirs d'une vie de plus de 100 ans en couple là-bas avec Synch), alors qu'elle a été ramenée avec sa version antérieure en parallèle (ce qui a crispé un Synch qui lui se souvenait de tout). Là, Gerry Duggan gère tout simplement le cas des deux Lauras, en les confrontant : la "vieille" X-23 (avec une mèche blanche) vient voir la "jeune", avec les X-Terminators. La "vieille" reste avec les X-Men, la "jeune" s'amuse et toutes deux conviennent de ne plus se voir, alors que la "vieille" reste avec Synch. En parallèle, Corsaire laisse un message à ses enfants car

C'est très bien. Gerry Duggan gère la continuité, et la gère bien. La confrontation des Lauras n'est pas ouf, mais c'est bien fait et c'est pertinent. Ca se lit bien, c'est fluide, et j'apprécie tout simplement que le sujet soit abordé, et bien abordé. Le final laisse envisager de gérer
Là aussi, bonne gestion de la continuité.
Graphiquement, Villa livre des planches correctes ; sans être formidables, mais sans être ratées. Ca fait le job, sans plus.

Un bon moment de continuité et de gestion de personnages.

Legion of X #9
Bon, c'est quand même une catastrophe.
J'ai aimé ce qu'a fait Simon Spurrier sur Black Knight (bonne histoire et bons ajouts, même si son Dane est encore un peu trop délirant [bien qu'il y a eu bien pire]), mais ses productions X-Men ne m'ont pas convaincu. La même ici.
Jacqs, fille de Dane, est dans le décor, et elle est écrite sympathiquement. Mais le reste... les passages avec Kurt et sa mère adoptive sont lourdingues, ceux avec Xavier et Légion le sont encore plus.
C'est en outre assez laid, avec un Netho Diaz qui propose des planches super faibles.

Je survole, et c'est déjà douloureux.

Captain America: Symbol of Truth #8
Bagarre !
SamCap et Nomad gèrent l'attaque de White Wolf contre le Mohannda, où le gouvernement contrôlé par Hunter s'en prend aux civils pour assurer la mainmise. Sam et Nomad vont protéger les civils et un hôpital, notamment face à des créatures de la Dimension Z. Ils gèrent, mais White Wolf lance un nouvel atout :

Efficace, mais un peu simple. Tochi Onyebuchi livre un épisode de bagarre, efficace en soi mais sans surprise et sans grand entrain. Je reste un peu "gêné" par ce Sam va-t-en-guerre et suiveur d'ordres, mais ça fonctionne dans la lecture. Les créatures de la Dimension Z sont un bon rappel, mais le cliffhanger est assez prévisible, et donc tape à côté.
Dommage, car les quelques moments sur Hunter qui veut "bien faire" pour son pays d'origine sont plutôt bien écrits, dans une approche politique biaisée. Graphiquement, RB Silva assure et livre des pages superbes, malgré des couleurs un peu passées.

Fluide mais un peu simple.

Monica Rambeau: Photon #2
Bon... ce n'est pas pour moi, ça.
Je m'ennuie.
Eve L. Ewing emmène Monica dans un voyage cosmique, avec une sorte de Beyonder et des versions de "son" équipe d'Avengers. Et... bon, c'est chiant, en fait.
Au-delà de la "crispation" d'une erreur sur Black Knight (qui a ici le casque avec ailes de Marvel UK, qu'il n'avait pas dans les Avengers d'alors), je trouve que c'est juste pas intéressant, et en outre faiblement dessiné par Maresca et Fiorelli.

Je m'arrête là, sans regret.

Savage Avengers #9
Il faut le reconnaître : elle est bien, cette série.
Pas ouf, pas extraordinaire - mais bien racontée, bien menée. Et pas uniquement car, finalement, David Pepose livre ici le "meilleur" portrait de Dane depuis des années. Certes, il y est au coeur d'une équipe donc moins mis en avant, mais l'approche en fait un personnage compétent, intelligent, capable, avec des doutes et troubles, mais une gestion "sérieuse". Qui tranche avec les délires médiévaux ou neuneu récents.
Mais... même. Au-delà de cela, la série est agréable à suivre car David Pepose la gère bien. Les Savage Avengers sont morts, transformés en cyborgs par Ultron. Deathlok/Miles et Punisher 2099 tentent de gérer, s'enfuient, sont aidés par Doom 2099. On voit comment Punisher 2099 a vu sa famille périr, Deathlok/Miles plonge dans le cyberspace pour retrouver les "âmes" des Savage Avengers, et les toucher pour les ramener. On voit ainsi les troubles de chacun, puis ils se remettent, reprennent le contrôle alors qu'ils tabassaient Doom. Punisher 2099 se sacrifie, Ultron va tuer Deathlok/Miles mais les Savage Avengers se soignent avec les nanites qui les ont transformés, et viennent aider.
C'est bien, ouais. Clairement facile sur les soins à l'équipe, mais... ça passe. Parce que le reste de l'épisode est bon ! Le focus sur Punisher 2099 est touchant, la gestion des "âmes" est assez réussie. L'ensemble est fluide, dynamique ; prenant.
C'est en outre bien dessiné par Carlos Magno, assez impliqué sur ce numéro.

Une bonne série. Qui, en outre, traite très bien Black Knight, qui est d'ailleurs particulièrement mis en avant en ce moment. Pourvu que ça dure !

Star Wars: The High Republic #4
Pas mal, mais ça me plaît moins que le précédent volume.
Cavan Scott se donne du mal pour m'intéresser à Jedha dans le passé, les troubles entre divers utilisateurs et penseurs de la Force. C'est assez intéressant de voir les divergences avec les Jedi, surtout avec Vildar Mac qui est assez "brut" dans l'approche. Mais... pff.
Ca n'est pas emballant, en fait. Ca se lit, ça se laisse lire, mais ça manque de fougue, d'impulsion, d'élan. Le fond est intéressant, mais ce n'est pas dynamique. Ca peut venir d'un graphisme moins fort, moins bon, avec ici Andrea Broccardo qui propose des planches solides mais pas emballantes.

Oui, cet autre volume sur une autre période est juste moins bon. Dommage, car les thèmes sont intéressants.

cyclopebox 12/01/2023 09h14

C'est quoi le délire Barry Allen / Iris West ?
Ils ne sont plus mariés depuis quand ?

Avec tous les "crisis" à foison qu'il y a eu des derniers temps, je pensais que l'ancienne continuité "pré New 52" était rétablie.

Ben Wawe 12/01/2023 09h16

Pas pour tous les personnages.

watchblue 12/01/2023 11h43

Donc ça y est dans les xmen on a des personnes ressuscités alors que la version originale était encore vivante ....

Je suppose que ça les fait réfléchir à ce concept de résurrection bien sûr ?

Ben Wawe 12/01/2023 13h19

On voit plus la réaction des X-23, qui ne sont pas franchement versées dans le débat scientifico-moral.
Après, il est indiqué que, si l'une meurt avant l'autre, elle ne sera pas ramenée. Il ne faut en ramener qu'une.
(tu notes que je ne parle plus de "ressusciter" mais de "ramener" ;) )

mrcitrouille 12/01/2023 13h40

Vivement le retour de Chuck Austen

cyclopebox 12/01/2023 15h47

Nostagique de Sammy le poisson et Annie l'infirmière ? :gni:

ollieno 12/01/2023 19h09

Bien que sortis en fin 2022 . je ne les ai reçus et lu que cette semaine (d'où leur place içi) .

J'ai été surpris de ne voir personne en parler.

Frank Miller Presents - Ashcan Editoin
un comics promotionnel proposé pour le courant octobre ou novembre, et qui est arrivé dans mon panier que mi décembre.

Dans ce petit comics, on va retrouver 2 preview,

Les 10 premières pages nous présentent RONIN Book II
Ecrit et mis en page par Miller
Dessins de Phillip Tan et encrage de Daniel Henriques

Un résumé du récit original du point de vue de Casey, la femme du Ronin.

Rien dedans ne m'a titillé ... le dessin de Tan et Henriques nous fait du bon Jim Lee.

J'avais mis la mini en abonnement à un moment, et supprimée, vu le prix (9.90 de mémoire par tome) et vu le ressenti à la lecture de cette preview.. je ne regrette pas.

Ensuite nous avons 17 Pages de Ancient Ennemies, créé et écrit par Dan Didio et dessiné par Danilo Beyruth (Total inconnu pour moi - mais un fan de Immonen).

2 mondes en guerre, une solution pour mettre fin à la guerre, 1 héro choisi de chaque coté pour s'affronter, et le perdant verra son monde détruit.
Les 2 champions se rebellent contre cette clause qui leur était inconnues, leurs supérieurs avaient prévus et les forcent à s'affronter... Fast Forward , on est sur terre, une Super héroïne interpelle un cambrioleur, quand les 2 vaisseaux précédemment vus arrivent sur terre.

je n'ai pas plus été interpellé par l'histoire, il manque un truc pour la rendre palpitante, le dessin de Beyruth n'est pas mauvais, mais ca ne me suffit pas .

Au dela de ces 2 previews, on trouve un publicité pour Pandora, la série de Miller, Chris Silvestri et Emma Kubert.

et surtout le seul futur bouquin qui éveille mon intérêt .. Sin City par Miller et Manara ...

Et en parallèle Miller sortira un Sin City 1858.

Donc pour ma part, ca sera de l'économie sur les bouquins (je sûrement le miller / Manara si les previews sont bonnes.... )

passons au suivant

Bob Phantom chez Archie Comics, par James Ill, Richard Ortiz et Juan Bobillo.

Hummm, disons le de suite.... c'est mauvais, en tout cas moi, j'ai trouvé mauvais, et vide.

On a une relecture et mise à jour des origines d'un personnage de MLJ de 1939 .. mais il ne se passe rien.
Richard Ortiz est vide, et pas bon, les planche de Bobillo sont meilleurs mais on voit qu'il n'a pas eu bcp de temps, les décors sont quasi inexistants.

Bob Phantom est un journaliste qui va avoir se surnom après avoir voulu s'interposer entre un fan assassin et sa victime, et s'être fait botter le cul, ensuite il va rêver être un héro ...

passons vite .... à autre chose ...

ollieno 12/01/2023 19h09

Bien que sortis en fin 2022 . je ne les ai reçus et lu que cette semaine (d'où leur place içi) .

J'ai été surpris de ne voir personne en parler.

Frank Miller Presents - Ashcan Editoin
un comics promotionnel proposé pour le courant octobre ou novembre, et qui est arrivé dans mon panier que mi décembre.

Dans ce petit comics, on va retrouver 2 preview,

Les 10 premières pages nous présentent RONIN Book II
Ecrit et mis en page par Miller
Dessins de Phillip Tan et encrage de Daniel Henriques

Un résumé du récit original du point de vue de Casey, la femme du Ronin.

Rien dedans ne m'a titillé ... le dessin de Tan et Henriques nous fait du bon Jim Lee.

J'avais mis la mini en abonnement à un moment, et supprimée, vu le prix (9.90 de mémoire par tome) et vu le ressenti à la lecture de cette preview.. je ne regrette pas.

Ensuite nous avons 17 Pages de Ancient Ennemies, créé et écrit par Dan Didio et dessiné par Danilo Beyruth (Total inconnu pour moi - mais un fan de Immonen).

2 mondes en guerre, une solution pour mettre fin à la guerre, 1 héro choisi de chaque coté pour s'affronter, et le perdant verra son monde détruit.
Les 2 champions se rebellent contre cette clause qui leur était inconnues, leurs supérieurs avaient prévus et les forcent à s'affronter... Fast Forward , on est sur terre, une Super héroïne interpelle un cambrioleur, quand les 2 vaisseaux précédemment vus arrivent sur terre.

je n'ai pas plus été interpellé par l'histoire, il manque un truc pour la rendre palpitante, le dessin de Beyruth n'est pas mauvais, mais ca ne me suffit pas .

Au dela de ces 2 previews, on trouve un publicité pour Pandora, la série de Miller, Chris Silvestri et Emma Kubert.

et surtout le seul futur bouquin qui éveille mon intérêt .. Sin City par Miller et Manara ...

Et en parallèle Miller sortira un Sin City 1858.

Donc pour ma part, ca sera de l'économie sur les bouquins (je sûrement le miller / Manara si les previews sont bonnes.... )

passons au suivant

Bob Phantom chez Archie Comics, par James Ill, Richard Ortiz et Juan Bobillo.

Hummm, disons le de suite.... c'est mauvais, en tout cas moi, j'ai trouvé mauvais, et vide.

On a une relecture et mise à jour des origines d'un personnage de MLJ de 1939 .. mais il ne se passe rien.
Richard Ortiz est vide, et pas bon, les planche de Bobillo sont meilleurs mais on voit qu'il n'a pas eu bcp de temps, les décors sont quasi inexistants.

Bob Phantom est un journaliste qui va avoir se surnom après avoir voulu s'interposer entre un fan assassin et sa victime, et s'être fait botter le cul, ensuite il va rêver être un héro ...

passons vite .... à autre chose ...

watchblue 12/01/2023 19h51

Donc les gars officialisent que le concept est erroné depuis le début et que donc les persos sont bien des gros débiles comme dit il y a 4 ans je pense.....

Ouahh tellement content d avoir arrêter les xmen

Citation:

Envoyé par Ben Wawe (Message 1921599)
On voit plus la réaction des X-23, qui ne sont pas franchement versées dans le débat scientifico-moral.
Après, il est indiqué que, si l'une meurt avant l'autre, elle ne sera pas ramenée. Il ne faut en ramener qu'une.
(tu notes que je ne parle plus de "ressusciter" mais de "ramener" ;) )


mrcitrouille 12/01/2023 20h19

Citation:

Envoyé par cyclopebox (Message 1921612)
Nostagique de Sammy le poisson et Annie l'infirmière ? :gni:

Oui :) Et puis Austen c était tellement mauvais que ça en devenait bon. La franchise en ce moment c est juste mediocre

Et pour le Aschan, j ai bcp aimé : ça m à permis d éviter de dépenser de l argent ds ces titres

Ben Wawe 17/01/2023 16h27

Batman: Fortress #8
Et bé, quel final.
Gary Whitta s'est perdu sur les derniers numéros dans des passages trop prévisibles, mais son final surprend grandement. Superman se réveille, ainsi, et révèle s'être endormi de lui-même pour que le cocon le rende indétectable aux extraterrestres. Il confirme que les Kryptoniens et la Maison El ont causé des génocides dans l'espace, et sa croisade de justice vient aussi de son envie de laver tout ça. Il s'est caché ainsi en espérant que les envahisseurs partiraient, sans le trouver.
Lesdits extraterrestres sont là, veulent Superman. Batman refuse, Lex Luthor veut agir pour envoyer Superman dans l'espace et s'en débarrasser ; mais sa Kryptonite a été remplacée par Batman, donc n'a aucun effet. Les envahisseurs ne supportent pas les traîtres à leur race (car ils en ont souffert face aux Kryptoniens), et tuent Lex. Bagarre, ensuite, jusqu'à ce que Superman cède et se rende. Il propose de... se priver de ses pouvoirs grâce au cocon (comme dans Superman II), puis de se livrer. Batman obtient sa libération devant le tribunal cosmique, tous enterrent ensuite Cyborg et on apprend que les pouvoirs ont en fait

Quel étrange final, oui. Fondamentalement, la mini-série demeure loin de son titre, car la Forteresse arrive tardivement et n'est qu'un décor. L'ensemble reste correct et agréable, avec un gros ventre mou mais de bonnes caractérisations et un final vraiment surprenant.
La lecture se révèle prenante, plutôt bien menée sur les surprises et les événements. Surtout, Darick Robertson assure sur le graphisme, et s'amuse beaucoup.

Ca ne restera pas dans les annales, mais c'est un bon p'tit Elseworld.

Batman / Superman : World's Finest #11
Suite et fin de la saga sur le sidekick de Superman, le fameux Boy Thunder révélé venir d'une autre Terre, et qui deviendra plus tard Magog.
Ici, on voit que, peu avant le cliffhanger précédent, The Key a obtenu de l'inconscient de David le chemin jusqu'à la Forteresse de Solitude, et le vaisseau du jeune homme pour parcourir le Multivers. Superman ne supporte pas de voir que David a failli tuer le Joker, et l'emmène dans la Forteresse pour lui retirer ses pouvoirs. Batman poursuit The Key, Robin vient avec Clark pour soutenir David - mais Superman s'arrête, car il veut être meilleur. Hélas, The Key libère la ménagerie extraterrestre, et il faut gérer ça, notamment les super-vilains de troisième classe amenés par l'ennemi. Superman perd un temps ses pouvoirs, David s'en prend violemment aux sbires et à The Key, mais se contrôle sur conseils de Clark. Hélas, The Key active par erreur le vaisseau, et David part sur une autre Terre - mais en décidant d'être meilleur. Robin est sûr de le revoir un jour alors que, ailleurs, David est accueilli sur un autre monde... par Gog !
C'est bien. Mark Waid gère bien l'ensemble, livrant un épisode dynamique, intense et réussi. Ca bouge, ça bagarre, mais ça n'oublie pas l'émotion avec un Superman qui tâtonne comme mentor, et un Batman sobre, discret mais efficace. David est bien écrit, The Key prend du galon comme super-vilain, et le final offre "un peu" l'impression que Waid accepte les apports de Johns & Ross dans la série Justice Society of America, sur Gog.
C'est bien, et très agréable. Dan Mora demeure très bon, encore, avec surtout beaucoup de dynamisme et des couleurs très jolies.

Une réussite, encore !

Lazarus Planet: Assault on Krypton #1
DC continue l'événement Lazarus Planet avec ici un one-shot spécialisé sur l'impact du volcan Lazarus et de la tempête qui suit sur l'univers Superman. Le résumé évoque le fait que, jadis, Krypton a subi un événement similaire ; hélas, les segments ne reprennent guère ce passif pourtant sympathique.
On commence par Gone Dark par Nicole Maines et Skylar Patridge montre comment Dreamer (la version issue de la série TV Supergirl, ici scénarisée par l'actrice qui la jouait) réagit aux événements de Lazarus Planet. Le futur devient noir à cause de la crise, et elle vient voir Damian et Supergirl (qui suivent le rétablissement de Batman). Dreamer est envoyée retrouver Khalid Nassour, pour récupérer le Heaume de Fate afin de sauver le futur. Un segment assez réussi, avec une voix-off maîtrisée, de bonnes interactions avec Nabu (sûrement) et de jolis dessins. Rien de révolutionnaire, mais efficace.
On enchaîne avec Electric par C.S. Pacat et Scott Golewski. Jon Kent veut arrêter un voleur de vêtements quand la pluie Lazarus les touche, et gêne Jon. Le voleur récupère des pouvoirs volcaniques (ce qui crispe Jon, qui a passé des années enfermé dans un volcan sur Terre-3) mais aide Jon à calmer la ville. Le voleur, Ash, dit avoir perdu ses pouvoirs et se laisse enfermer, en flirtant avec Jon ; qui découvre ensuite que Ash s'est enfui, avec ses pouvoirs, et a volé sa cape pour la revendre. Un chapitre plutôt sympathique, bien dessiné avec une ambiance de flirt pas lourde ; sympathique.
On continue avec Breakthrough par Frank Barbiere et Sami Basri. Un récit efficace où Mercy Graves est touchée par un éclair de la tempête Lazarus et découvre, en défendant les banques de données LexCorp de monstres modifiés par les événements, que son corps a changé pour lui permettre de créer en elle-même des armes. Un passage agréable, bien mené, avec surtout de jolis dessins.
On conclue avec Deux Ex Magicka par Leah Williams et Marguerite Sauvage. On retrouve Power Girl après qu'elle ait tenté de libérer la Tour de Fate, et elle plonge dans un univers psychique délirant. Elle se remet malgré les attaques mentales, et retrouve Omen tout en découvrant que Karen semble aussi avoir des pouvoirs psychiques. Un petit moment sympathique, qui peut construire PG mais est surtout magnifiquement dessiné par une approche onirique superbe.

En conclusion, un one-shot qui annonce des événements à venir, reprendre bien le contexte Lazarus et, surtout, propose des segments qui ne révolutionnent rien, mais sont très agréables à lire. Cool !

Ben Wawe 18/01/2023 08h48

The New Champion of Shazam! #4
Petit final sympathique, d'une mini-série également sympathique bien qu'un peu anodine.
Josie Campbell achève de faire de Mary la nouvelle Shazam (dieu que je déteste cette idée que le nom de super-héros soit le mot magique), en l'opposant à
Tout est bien qui finit bien avec les proches, et Mary gagne l'estime de tous.
Bon, le scénario est basique, limité mais fonctionnel. Il permet surtout à Doc Shaner de livrer de superbes planches, avec cette veine "ancienne", rétro si agréable mais aussi des images épiques.

C'est très beau et entraînant, mais plus pour l'ambiance que l'objet de l'histoire.

Nightwing #100
C'est bien, mais... petite déception.
Tom Taylor livre un très gros épisode, qui finalement... n'est qu'un très gros épisode de Nightwing. On a certes quelques éléments neufs, mais cela s'intègre pleinement dans ses intrigues et son approche. On a "juste" plus de pages, avec un passage un peu facile pour les gonfler.
On a, donc, Heartless qui s'en prend à la prison de Blüdhaven, corrompue et remplie de gens maltraités qui n'ont rien à y faire. Il libère les criminels et super-vilains, et c'est rude. Nightwing vient aider évidemment (avec une demi-douzaine d'illustrations pour acter les changements de costume dans sa carrière durant la voltige), convainc quelques prisonniers de s'amender et est aidé par les Titans. Ils parviennent à vaincre, mais Heartless s'enfuit après avoir pris contact avec Zuco. Finalement, Nightwing est rejoint par Superman et Wonder Woman, qui lui demandent d'être le "leader" des super-héros le temps que la Justice League se réadapte. Cela enclenche un dialogue émouvant Dick / Bruce, puis Nightwing qui décide de racheter la prison pour en faire un nouveau symbole (car c'est le premier bâtiment vu en arrivant en ville) :

C'est cool, c'est sympa', c'est bien fait ; mais sans surprise. Que ça soit la gestion des événements ou le fond, rien n'est vraiment original ou nouveau, et c'est quand même dommage pour un #100, mais aussi après plusieurs épisodes d'attente jusque-là.
Certes, c'est sympa' de voir Heartless se lancer, et Tom Taylor multiplie les bons moments, les bons mots, les bons dialogues et les bonnes caractérisations ; mais comme d'habitude, en fait. Rien de neuf, et même le final ne fait que confirmer les apports très soulignés dans Dark Crisis.
On n'a rien non plus sur
et c'est quand même fort dommage. Déception, donc, même si la lecture est agréable, notamment via les dessins impliqués et appliqués de Bruno Redondo, Scott McDaniel, Rick Leonardi, Eddy Barrows, Javier Fernandez et Mikel Janin. C'est joli, dynamique et réussi.

Un bon gros épisode. Qui, hélas, n'est rien d'autre qu'un bon gros épisode.

The Flash #791
Ca avance doucement mais sûrement.
Jeremy Adams continue son petit événement, avec une attaque massive d'extraterrestres qui figent le monde, sauf les Speedsters. On voit plus les envahisseurs, venus récupérer des ressources naturelles mais aussi intéressés par les Speedsters, comme "cadeaux de mariage" de leur impératrice. Lesdits Speedsters se réunissent, avec de bonnes dynamiques : Kid Flash & Impulse s'engueulent, Jay Garrick est badass, Jesse Quick est cool, Wally et Barry sont ravagés par le destin d'Iris. Les ennemis libèrent une ennemie bien méchante, mais il est dommage que le cliffhanger soit... annoncé par la couverture, en fait.
C'est cool. Rien de révolutionnaire, mais agréable avec surtout de bonnes caractérisations. Roger Cruz propose des planches correctes, moins appliquées que dans la série Robin mais ça fait le job.

Efficace et surtout bien appliqué sur les personnages.

Stargirl: The Lost Children #3
Très bien, encore.
Geoff Johns continue sa bonne p'tite saga, en faisant avancer les événements. D'un côté, Stargirl rencontre les Enfants Perdus, cette troupe de sidekicks oubliés et disparus. Certains commencent à comprendre qu'elle ne vient pas de leur époque, alors que les échanges sont agréables et sympathiques. En parallèle, Emiko est emprisonnée par The Childminer, une créature féminine à l'allure terrifiante qui "garde" les enfants pour leur futur beau-père. Emiko perd la mémoire sur action de l'ennemie, mais elle a une alliée sur qui ça ne prend pas : Judy Garrick, la fille oubliée de Jay !
C'est cool. C'est très frais, très doux, très mignon mais aussi très prenant. Geoff Johns livre un récit classique mais dynamique, avec un vrai plaisir de découvrir tous ces sidekicks "oubliés". Il y a un parfum rétro assumé, mais avec une approche contemporaine, qui est très agréable.
Surtout, Todd Nauck est en feu. J'ai toujours eu du mal avec son style, mais il est ici très inspiré et très, très bon. C'est beau et dynamique.

Un bon p'tit plaisir rétro assumé, très agréable et surtout intriguant.

cyclopebox 18/01/2023 13h19

Pour quelle raison DC a arrêté d'appeler Captain Marvel ainsi ?
C'est par peur de faire de la pub' à leur concurrent ?

Ben Wawe 18/01/2023 13h29

Je ne sais pas.

Fred le mallrat 18/01/2023 13h38

car ils peuvent pas appeler la revue Captain Marvel.. ils ont préféré que le nom de la revue et du perso soit raccord

EsseJi 18/01/2023 13h43

Citation:

Envoyé par cyclopebox (Message 1922097)
Pour quelle raison DC a arrêté d'appeler Captain Marvel ainsi ?
C'est par peur de faire de la pub' à leur concurrent ?

Car au moment de renouveler les droits sur le nom, DC n'a pas été assez rapide et Marvel a pris possession du trademark. Depuis Marvel est obligé de sortir un titre avec ce nom à intervalles régulier pour le garder, ne serait-ce qu'un one-shot, d'où celui sur Monica dans les 80's ou la série sur le Skrull.

ollieno 18/01/2023 15h21

la version un peu plus longue (vu qu'ils parlent de la partie pré DC) que ce que Esseji a bien expliqué au dessus

https://www.businessinsider.com/laws...19-4?r=US&IR=T

une histoire de fric ^^

watchblue 18/01/2023 16h02

Désolé c est hors sujet mais petite question que je me posais hier.

Sam et Twitch ils font toujours parti du casting de Spawn ??

Fred le mallrat 18/01/2023 17h43

Citation:

Envoyé par EsseJi (Message 1922100)
Car au moment de renouveler les droits sur le nom, DC n'a pas été assez rapide et Marvel a pris possession du trademark. Depuis Marvel est obligé de sortir un titre avec ce nom à intervalles régulier pour le garder, ne serait-ce qu'un one-shot, d'où celui sur Monica dans les 80's ou la série sur le Skrull.

Yep
Si tu ne sors pas un titre régulierement tu perds le trademark.
d ailleurs Mar-Vell a été cree un peu pour ca.. J avais lu quelque part que goodman voulait un extraterrestre por surfer sur le succes de Star Trek

ollieno 18/01/2023 18h23

Citation:

Envoyé par watchblue (Message 1922104)
Désolé c est hors sujet mais petite question que je me posais hier.

Sam et Twitch ils font toujours parti du casting de Spawn ??

je lis de loin en loin Spawn

(et je ne me souviens pas les avoir vus dans les 298-302)

en regardant rapidement sur les sites dédiés à Spawn, après l'arc Endgame (juste avant le 200) ils sont moins présents (-voir pas présents).

Ben Wawe 19/01/2023 09h53

Avengers Forever #13
C'est bien.
Jason Aaron gère bien ce segment de son crossover final entre ses deux titres, car il se concentre sur la bagarre - et la bagarre, il sait gérer. Surtout, il retrouve ici les Déesses du Tonnerre du futur, les petites-filles de King Thor. Elles viennent aider avec le Phénix Wolverine, jadis tué et éclaté dans l'Univers par Mystique, qui s'empare alors du Phénix ; mais la Phénix-Mystique des Maîtres du Mal Multiversels est morte, et les Déeesses ont récupéré les bouts du vieux Logan. Le voilà revenu pour repousser les Mephistos, avec les Déesses qui "larguent" aussi des milliers de Mjolnirs ; ceux des Thors tués par les MMM. C'est super, mais le Doom Supreme avec son armée de Dooms. La Avengers Tower prend un coup, mais l'Avenger Prime arrive et se révèle : un

C'est bien, oui. Jason Aaron m'a un peu perdu sur la chronologie sur le Phénix (ce n'est pas clair à la lecture), mais il écrit si bien les Déesses du Tonnerre que cela passe. Il est agréable de les revoir, avec une voix-off bien menée. L'ensemble est autant réussi que fun, avec un Steve rachitique qui a un marteau ; cool. Le final amène une bonne révélation, qui a du sens car
mais un petit coquin m'avait évoqué cette idée avant, donc la surprise tombe à plat pour moi.
Pas grave, ça reste bien fichu et bien mené, avec un Aaron Kuder impliqué qui livre de bons moments de bagarre.

Une bonne bagarre, ouais !

Immortal X-Men #10
C'est bien, aussi.
Kieron Gillen place ici en voix-off Charles Xavier lui-même, après le massacre du Conseil Silencieux par Mr Sinistre dans le précédent épisode. Un massacre "difficile", car Essex a dû utiliser plusieurs clones de Moira-X pour réussir en revenant dans le passé. Là, on voit comment les Mutants vivent mal la mort de Hope, "messie mutant" mais aussi seule membre des Five quasi impossible à remplacer. Mimic n'ose pas tenter de dupliquer ses pouvoirs, Synch si et réussit ! Hope est ramenée, puis le Conseil Silencieux. La chasse à Essex est lancée, l'ennemi est trouvé, tabassé et enfermé dans le Puits de Krakoa. Tout va bien, Xavier annonce même qu'il veut une Krakoa plus "douce" maintenant, mais... Destinée invite Mystique à partir, et pour cause. On découvre que

C'est bien, oui. Kieron Gillen gère bien la voix-off de ce Xavier, devenu "rude" mais qui évoque clairement le poids de sa télépathie, et ce qu'un autre que lui aurait pu faire au monde. La gestion de la mort de Hope est bonne, avec une approche messianique qui n'est pas trop lourde mais juste. La solution est un peu facile, mais ça permet d'enchaîner sur la chasse et surtout ce final bien vu.
Je ne sais pas jusqu'où Gillen va ou peut aller, mais ça pourrait quand même "corriger" bien des éléments troublants sur Xavier et Krakoa. A voir, le cliffhanger est bon, et Lucas Werneck continue d'assurer clairement, avec de belles images et de bons moments.

Un bon épisode, qui prépare bien l'événement sur Sinistre.

Invincible Iron Man #2
Pas mal, sans plus.
Gerry Duggan continue de surfer sur des éléments "connus" pour ce Tony Stark dépressif et usé. Cette approche ne me plaît pas, mais le rendu est correct.
Ici, Tony empoisonné est récupéré par Riri, qui a depuis le précédent volume les anneaux du Mandarin (ah bon ?). Le Laser Vivant attaque Stark Industries puis le Manoir des Avengers pour se venger de Stark, qui l'aurait torturé. Les Irons vont le stopper, Tony se fait taper, Riri le stoppe avec les anneaux et tous découvrent qu'un Tony Stark a bien enlevé et torturé le Laser, pour le pousser à attaquer ensuite. Stark sent que quelqu'un s'en prend à lui, mais se rassure en se disant que son entreprise "ira" tant qu'un actionnaire et membre du conseil d'administration va bien. Sauf que ce proche "secret" est révélé être mort...
C'est pas mal, oui ; mais juste pas mal. Gerry Duggan déploie une intrigue assez classique, mais avec une méthode professionnelle, correcte. Ca se lit, ça se lit même bien, car Duggan sait écrire et développe intelligemment l'ensemble.
Mais... pff. Je ne suis pas intéressé de voir encore, si vite après le run de Christopher Cantwell, un Tony usé, brisé, à la dérive, qui essaye de gérer mais échoue. C'est redondant, c'est chiant, et l'ensemble est si classique que ça devient prévisible.
Dommage, car Juan Frigeri se donne bien pour dessiner l'ensemble, bien que lui aussi demeure dans la veine du CAFU du précédent volume.

C'est comme si Marvel souhaitait une copie-suite de la série précédente. Ouais, okay mais dommage : c'était quand même déjà bien chiant et lourd.

Punisher #9
C'est bien.
Jason Aaron m'a fait peur en cours de numéro, car j'ai craint un retcon déplacé... mais non. Le scénariste est habile et efficace, ici. Cool.
On a donc trois segments, dans ce numéro. D'une part, les super-héros qui s'organisent et décident de "gérer" le cas Castle : Daredevil, Wolverine, Black Widow, Captain America, Moon Knight et Dr Strange veulent s'en occuper. Ensuite, on a en flashback la Main qui "voit" Frank Castle s'assagir, devenir difficilement mais réellement un père de famille. Les ninjas proposent à l'Archiprêtresse de supprimer sa famille pour le pousser à redevenir un tueur, mais... elle refuse, et ne veut pas interférer ; ouf, le retcon est évité, et c'est mieux. Enfin, on voit la fin de la bagarre entre Frank & la Main contre Arès & ses Apôtres de la Guerre. Un Frank possédé par la Bête anéantit littéralement Arès et est "vu" comme le nouveau Dieu de la Guerre, mais

C'est bien, oui. Jason Aaron m'a bien eu en me faisant craindre un sale retcon, mais il l'évite volontairement ; bien joué. La bagarre est bonne, la réunion héroïque légitime mais je retiens surtout la très bonne voix-off sur Maria, qui met bien en avant le fait que Frank l'ait choisie elle, en revenant de la guerre.
C'est bien, c'est bien fait, c'est prenant et c'est surtout imprévisible, car je ne sais pas du tout où veut aller Aaron et comment ça va finir. Paul Azaceta assure dans le passé, mais c'est Jesus Saiz qui livre encore une prestation de dingue, avec des planches superbes et des plans épiques sur le Frank avec le pouvoir de la Bête.

Intense et imprévisible. Très bien.

Strange #10
C'est sympa'.
Jed McKay achève son intrigue et sa série sur ce final, où la Sorcière Suprême Clea et Stephen en Harvestman affrontent le Revenant Prime du Blasphemy Cartel : un Sentry zombie, possédé par des milliers d'âmes. Aucun des deux ne tient face à lui, ils tombent, ils perdent et, en désespoir, ils s'embrassent alors qu'ils ne devaient pas se toucher (elle est la Vie, lui la Mort). Mais Clea a préparé ça et, en fait, déclenche
qui leur permet de stopper et renvoyer Sentry, mais aussi d'exiler tous les agents du Blasphemy Cartel ailleurs, avec des souvenirs changés. Hormis le chef, qu'ils châtient brutalement. Le Blasphemy Cartel est vaincu, la menace des revenants aussi et la Mort

C'est sympa' car très mignon, en fait. Au fond, l'épisode est très classique, hormis le twist pour vaincre Sentry. Jed McKay continue de bien gérer les dialogues, avec une Clea piquante et guère versée dans le pardon ; c'est fun, mais l'ensemble reste prévisible. C'est cependant agréable, car ça a un côté très mignon, très romantique, très chou et très assumé.
Ca fait plaisir, d'autant que Marcelo Ferreira propose des planches dynamiques et inspirées. Ca fait bien le job.

Une p'tite fin sympa', qui assume le côté mignon de la relation Clea / Stephen. Ca fait aussi du bien de ne pas finir dans le drame.

Wasp #1
Un bon début.
Après la bonne et belle mini-série Ant-Man via un focus sur quatre personnages ayant porté ce nom, avec un sympathique voyage temporel, Al Ewing enchaîne sur Wasp, avec ici Janet et Nadia (Hank apparaîtra-t-il ?).
Pas de voyage temporel, ici, mais le passé qui revient hanter. On suit essentiellement Janet, qui se souvient comment et quand elle est devenue super-héroïne (en voulant "venger" son père tuer par un monstre "convoqué" par la science paternelle, et en s'alliant à Hank Pym pour stopper la créature). On découvre qu'elle ouvre un bar VIP pour super-héros, on suit un échange agréable avec Jarvis, on la voit rejoindre Nadia dont elle est si fière. Une Nadia hantée par la mort de sa mère, et le fait qu'elle n'ait jamais été vengée ; ni son grand-père maternel, décédé le même jour, c'est lié. Whirlwind attaque cependant, mais il est "missionné" car terrorisé et poussé à agir ainsi. Son front est marqué d'un "FIND ME" alors que, plus loin, on apprend qui est derrière ça :

C'est bien, oui. Moins intense et, en apparence, moins ambitieux que la mini-série Ant-Man, mais bien. Al Ewing se signale ici par une excellente caractérisation de Janet, avec sa gentillesse mais aussi la colère froide qui peut l'emporter pour venger autrui. Le lien avec Nadia est très bien écrit, et l'ensemble a une veine sympathique, joyeuse malgré les événements.
Le cliffhanger est bien fait, mais j'espère que ça ne se réduira pas à ça car ça reste "simple" ; mais efficace, pour l'instant. Kasia Nie livre de très belles planches, Jan et Nadia sont belles et l'ensemble est coloré et dynamique.

Un bon début, oui, surtout pour des personnages très bien écrits.

Norrin 19/01/2023 17h01

Citation:

Envoyé par watchblue (Message 1922104)
Désolé c est hors sujet mais petite question que je me posais hier.

Sam et Twitch ils font toujours parti du casting de Spawn ??

Sam fait une courte apparition dans le 319. Depuis rien.


Fuseau horaire GMT +2. Il est actuellement 13h49.

Powered by vBulletin® Version 3.8.3
Copyright ©2000 - 2024, Jelsoft Enterprises Ltd.
Version française #20 par l'association vBulletin francophone
Buzz Comics : le forum comics n°1 en France !