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Justice League #16 continue le souffle épique du cross-over Throne Of Atlantis avec l'étalage de l'opposition.
C'est typiquement le genre d'histoires qu'on est en droit d'attendre sur ce titre surtout que cela continue de développer les personnages. Mon seul bémol est que si les personnages sont développés c'est aussi que le casting est réduit (pour des raisons évidentes aussi) et que cela aboutit au cliffhanger (donnant une explication au futur arc The Grid comme quoi tout se tient ^^). Néanmoins, vu la teneur de la menace, j'ai du mal à comprendre pourquoi des héros attendraient d'être appelés à la rescousse plutôt que de décider de leur propre chef d'intervenir immédiatement quand les Etats-Unis sont attaqués : ce n'est pas comme s'il y avait un paquet de héros dans le DC Universe... Une fois, cette facilité scénaristique passée, le titre continue de tenir ses promesses et prouve qu'avec Ivan Reis, un cap a été franchi dans le grand spectacle.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Wolverine & the X-Men 24: Aaron nous fait un retcon pour établir une nouvelle relation romantique.
Before Watchmen 6: Dans lequel on voit que le premier Nite Owl n'est pas blanc-blanc. Je regrette au final d'avoir suivi ça et je ne partage pas l'opinion exprimée par l'auteur dans son dernier dialogue. Deadpool 4: j'ai l'impression que les auteurs sont de plus en plus à l'aise. On entre dans des gros délires et Tony Moore est génial. Uncanny Avengers 3: bof FF 3: Heureusement qu'Allred est là. Avengers 3: Hickman semble s'attaquer à la place de Captain Universe dans la mythologie cosmique de Marvel, ça promet de belles histoire en perspective Jennifer Blood 3, cette série est plus dans le style du personnage créé par Ennis The Spider 8: Liss très à l'aise mais série en danger de mort Prophet 33: toujours la série au-delà de ce monde. Young Avengers 1: Gillen continue avec Loki et Noh-Varr (qu'il avait écrit dans S.W.O.R.D.) et ajoute les Young Avengers pour nous livrer ses métaphores sur la jeunesse. J'attends de voir Prophecy: crossover de Dynamite qui s'éternise Masks 3: les héros pulps contre un régime fasciste à New York. Roberson essaierait-il de nous dire quelque chose? Deadpool Killustrated 1: Bunn a une bonne idée (détruire les ancêtres narratifs des héros Marvel pour mettre fin à l'univers fictif dans lequel il vit) mais dont l'exécution laisse à désirer Todd Ugliest Kid on Earth: pas mal du tout Revival 6: j'ai pas lu les épisodes précédents mais le résumé et l'histoire de celui-ci ne m'a pas encouragé à poursuivre Hellblazer 299: Milligan termine en beauté. Cet épisode est l'enterrement mais la dernière case vous réserve une surprise Threshold: Giffen nous fait une chasse à l'homme dans l'espace Saucer Country 11: Dommage que ça s'arrête bientôt, ici on a des elfes, en métaphore d'abus sexuels The High Ways: Byrne nous fait de la SF classique, sans inspiration Elephantmen 45: de la meilleure SF, c'est que l'univers de Starkings commence à être bien développée. L'auteur célèbre la longévité des ses personnages avec une rétrospective à la fin. Mjöllnir, paru chez Soleil Celtic, Légendes nordiques devrait ravir les fans de Thor. Il met en scène le forgeron nain du marteau éponyme Dernière modification par leocomix ; 26/01/2013 à 21h26. |
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Excellent, ce Young Avengers #1. Voilà un titre qui se place d'emblée dans ... allez, mon Top 5 des séries Marvel Now ! (avec, sans ordre particulier, New Avengers, JIM, Legacy et Thor).
Beaucoup de rythme dans ce premier épisode qui ne se contente pas de passer en revue les principaux protagonistes (Kate Bishop, Noh-Varr, Hulkling, Wiccan and co) mais les confronte d'emblée à des situations pour le moins explosives, tant sur le plan physique que psychologique. On retrouve là le Gillen inspiré de Journey into Mystery, moins "littéraire" sans doute mais laissant peut-être encore davantage libre cours à son imagination débridée. Et quel cliff-hanger, hein. Believe the Hype, True Believer : This one's got it All ! Dernière modification par Gassian ; 28/01/2013 à 14h40. |
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Oooh yeah!
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Ok, entre X-O Manowar et son 1er Demon Knights, Robert Venditti m'a convaincu!
Demon Knights a su se renouveler d'une force!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Je viens de lire aussi EARTH 2 #8 et WORLDS FINEST #8 : très très bon ! |
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Uncanny X-Force #1: oh tiens un numéro qui ne raconte rien! Encore un bel exemple de comics de chez les big two qui se repose uniquement sur les personnages que le lecteur est censé connaitre. Un socle posé sur les cendres de la série de Remender, un ou deux clin d’œils à Aaron pour les cas Storm et Puck que le scénariste a utilisé dans W&TXM et Wolverine, le retour de la brebis galeuse Bishop dans un hommage mal fait à Terminator et pour finir une vieille rancœur (justifiée) de Psylocke envers Spiral et le numéro est bouclé. Ah non oui c'est vrai le nouveau Fantomex est redevenu un voleur qui passe son temps sur les toits parisiens, même la page finale qui joue avec le politiquement incorrect fait rire tant que c'est artificiel. A lire pour ceux qui veulent voir un Ron Garney inégal d'une planche à l'autre, je ne pense pas m’embêter longtemps avec ce titre.
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X-O Manowar #9 (Prelude to Planet Death part 1/2) : On a tellement de mauvaises surprises quand un éditeur nous propose des concepts comme un prologue à un gros arc qu'on se dit qu'on va bouffer de l'épisode d'intro mou, bavard et avec un cliffhanger qui ne fait que paraphraser le nom de l'arc. Heureusement il y a ce genre d'épisode comme celui-ci pour enchanter le lecteur le plus blasé. Nous sommes dans la continuité de tout ce qui a été construit dès le premier épisode et pourtant quand les pièces s'assemblent ce n'est pas pour rester sur un statu quo, non l'évolution est très rapide et presque à chaque temps de l'épisode la série s'étoffe. Ah et oui Trevor Hairsine nous régale, un prélude en 2 parties voilà ce qu'il lui faut pour s'éclater sans trop de contraintes.
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Batman 16: Très bon numéro, capullo toujours au top.Mais bizarrement pas de réel surprise en le lisant, alors que tout les ingrédient sont réunis.Peut être que Snyder ne se diversifie pas assez ?
Enfin ça reste un très bon numéro. Dernière modification par maxpeigne ; 30/01/2013 à 03h53. |
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Superior Spiderman 1: Ou comment faire un numéro avec pas grand chose
Ok Peter Parker est plus spiderman, Ok le nouveau Spiderman est un méchant garçon (ouhlala mais qu'il est vilain on tremble! ). Mais sinon ça raconte quoi ce premier numéro qu'on ne connaît pas depuis 3mois ? Ben rien, c'est vide rempli de facilités et de développements dont on voit le développement à 100km (même si le scénariste peut toujours surprendre, au vu des previews et des sollicitations ça annonce pas non plus quelque chose de très surprenant): sérieusement montrer ce nouveau Spiderman comme supérieur c'est une plaisanterie sans nom certes il est plus brutal mais bon l'autre Spidey quoi qu'il arrive il arrivait toujours à surprendre ses adversaires et à les vaincre par son ingéniosité et ses valeurs morales, donc faudrait revoir le titre de cette série qui fait très "robocop". Ah j'oubliais, Slott nous le présente comme "plus intelligent" que Peter mais c'est un peu "facile" de balancer que ce nouveau spidey trouve des inventions de ouf sans oser les expliquer: ça fait superficiel (ben oui suffit d'un petit moment où le personnage tend une feuille de papier à un autre et faire que ce dernier lâche un "ouaaaaaaaaaaaah mais c'est top ça" ah oui mais quoi?). Le cliffhanger? Je ne vais pas le spoiler mais bon c'était un peu la goutte qui a fait déborder le vase et m'incite à vous conseiller de ne pas prendre la série car elle est sans intérêt et rempli de facilités. Je continuerai la série jusqu'au numéro 6 car j'ai commandé jusque là sinon j'arrêterai surement si ça relève pas le niveau. (à suivre: review de Spiderman 700) |
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Je le dis et je le répète, le Superior de Yost dans Avenging est étonnamment plus intéressant que la version de Slott, à tous ceux qui pensent ne pas aimer ce Spidey essayez le titre compagnon vous serez agréablement surpris.
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Dark Avengers #165 est un n° d'une rare densité, ciselé avec amour par Jeff Parker. Entre les manipulations de Miss June Covington, les appétits du Dr Strange, les objectifs troubles des explorateurs alphanumériques et les codes géopolitiques propres à cet univers alternatif-mais-en-fait-non, on peut facilement passer une petite heure en compagnie de ce n° si tant est que l'on souhaite en faire vraiment le tour.
(A ce sujet, ne le répétez à personne mais je crois bien que la greffe de symbiote a encore frappé ) Bref, on ne peut que regretter que Marvel ait décidé de baisser le rideau sur ce titre, dont le seul défaut est d'exiger de son lecteur un minimum d'effort intellectuel. Et on espèrera que son scénariste pourra continuer à faire valoir sa différence sur la seule série qui lui reste désormais, à savoir la très sous-estimée Red She-Hulk. |
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Wolverine & The X-Men #24: voilà une machine bien huilée, le lecteur n'a qu'à se laisser porter! Avec comme thème "le couple" Aaron prouve une fois de plus qu'il sait utiliser le format single. Alors que de nombreux scénaristes préfèrent étaler un maximum leur plot pour qu'il tienne sur 22 pages avec Aaron on a l'impression qu'il faut presque pousser les murs tant que c'est fourni! Et au bout du compte ce n'est pas 1, 3 ou 7 subplots qu'il traite en même temps mais bien la vie d'une école avec tout ce que ça implique de protagonistes. Un épisode basé sur l'amour entre les individus mais aussi l'amour de l'école qu'a créé Wolverine, en somme l'amour de la famille car c'est ce que sont redevenus ces X-Men. Ne cherchez plus la recette secrète est là. J'en aurai presque envie de faire des bisous à monsieur Aaron...
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