#1
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un nouveau défi?
autant de mot que vous voulez. Racontez un histoire d'amour entre un looser et une super belle nana en plaçant les mots: toutou, chien, chat, et une citation de qui vous voudrez.
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l'ultimatron "Batman n'a pas un physique de jouet Musclor!" Béhès. Voir Bendis sur Mon Petit Poney et puis mourir.Psycho Pirate. |
#2
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la belle et le clochard?
8)
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"l'homme qui a perdu la faculté de s'émerveiller et d'etre frappé de respect est comme s'il avait cessé de vivre" A.Einstein
Excusez mon humour de chiottes mais c'est parce que j'y mets tous les déchets de mes sentiments. |
#3
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Ah la chienne!!!!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#4
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"Love may not make the world go round, but I must admit that it makes the ride worthwhile. "
Ce qu'elle peux etre belle… Okay, pas tant que ca peut etre, je ne suis pas objectif. Elle n'est peut etre pas assez grande pour etre mannequin, ou assez elancée pour poser dans Playboy, mais elle est belle, belle comme seules les vraies femmes réelles non imprimée et agraffées entre elles peuvent l'etre. Elle ressemble un peu au violoncelle de ma sœur, l'autocollant Popples en moins, toute en courbes sensuelles, en formes rondes et douces… Et comme l'instrument, sa voix me perce le cœur, tendre et chaude, coulante vers les aigues avec malice, une voix vivante, joyeuse, sautillante et presque enfantine dans ses amusements, une voix qui ranime le cœur et lui apporte insouciance et sourire… Ses yeux d'un beau brun de terre, malicieux et profonds, frappés d'eclats d'emeraude en bordure de l'iris, de petites rides d'expressions devoilant a peine l'entrée vers l'age du millieu de la vie. Son sourire est un reve qui laisse presager de la douceur de ses levres et du bonheur qu'il doit y avoir a ne plus les quitter, yeux fermés entre ses bras. Ses cheveux sont un appel a les toucher, chatain comme l'automne dans les forets, doux, bouclés, aeriens, a en pleurer de ne pas y perdre ses mains. Sa peau semble douce, chaude et fraiche a la fois, frappée par endroit de rares taches de rousseurs, autant d'invitations a y poser un baiser. Dieu ce qu'elle peux etre belle… Et moi ce que je peux etre naze… La voir traverser le hall, chaque jour, et imaginer qu'un de ses sourires, de ses bonjours, m'est peut etre destiné. Mourir d'envie de me lever de mon siege, de mon bureau, et d'aller me presenter. Mourir d'envie d'entamer la conversation au Self de la Cafeteria, dans la file d'attente, ou a la table lui emprunter le sel… Esperer qu'elle me remarque, alors que je sais tout d'elle… Laura Morez, Service Comptabilité. Responsable des contentieux, 33 ans. Divorcée, sans enfants. Accesoirement la plus belle des femmes que j'ai jamais rencontrée. Elle ne boit pas de café, aime le thé au citron de la machine, mais amene son propre sucre. Elle deteste la peau du poulet, et n'aime pas que les aliments se touchent dans son assiette. Elle ne prend jamais de sauce, parce que ca cache les couleurs de ce qu'elle mange. Elle deteste les courgettes mais adore les brocolis. Elle range son couteau et sa fourchette du meme coté, le gauche, cuillere et serviette a droite. Elle bois a la bouteille, mais verse ses canettes dans un verre…elle aime les series telé, ne possede ni magnetoscope ni lecteur de DVD, mais s'est recemment acheté un lecteur MP3. Elle aime Hair, la comedie musicale, et chantonne les refrains lorsqu'elle s'imagine seule, et que personne ne peux la voir… Elle prend l'ascenseur, mais aime qu'on appuie sur le bouton pour elle. Elle a un chien, qu'elle appelle Toutou. Elle est comme j'aurais du m'en douter allergique aux poils de chats, ce qui est normal vu que j'en ai 3. Des mois a la regarder, et a la decouvrir petit a petit… Et toujours, a chaque nouvelle information, la trouver plus charmante, et tomber un peu plus amoureux… Mon Dieu, ce que j'aimerais lui adresser la parole… Passer si souvent pres d'elle, l'entendre parler, rire, discuter, et rester silencieux. Je m'appelle Alex, j'ai 27 ans, je suis employé au service demarchage a domicile. Je suis puceau. En fait, je suis l'homme que vous detestez, celui avec le questionnaire qui ne prendra que 5 minutes. Celui qui ne prend pas mal le fait que vous raccrochiez, et qui comprend assez bien que vous l'insultiez. Et en 27 ans d'existence, je n'ai meme jamais embrassé une femme… Pas que je n'ai pas essayé, mais a force d'echecs, on se lasse de tout. Et puis la vie me donne souvent raison, l'amour, le sexe, ce n'est pas si genial. Ma sœur, que son mari trompait, a divorcée voilà 6 mois. Mon voisin de palier pleure depuis plusieurs semaines une relation amoureuse dans laquelle lui seul a semblé croire… Finalement, je suis peut etre heureux. Ou tout du moins plus tranquille. J'ai mes horaires, mes loisirs, un salaire satisfaisant et une promotion potentielle dans les mois a venir. Je collectionne les DVDs, j'ai mes poissons et mon aquarium, je vais au cinema 2 fois par semaines… Tout va bien. J'ai mes copains, que je vois le Vendredi, et notre propre forum Internet ou rigoler le reste de la semaine. Certains on leurs copines, d'autres non. On parle peu de ca, je pense qu'ils ignorent tout de ma situation. Ma famille, ma sœur surtout, le soupconne, mais personne ne sais vraiment. Il m'est arrivé de sortir avec des filles… En groupe…De sauver les apparences, pour la plupart des gens pas besoin de plus, ils s'inventeznt eux meme les histoires qui ne vous arrivent pas… Mon Oncle Daniel me crois Gay. Certains de mes collegues aussi. J'avoue ne pas avoir d'arguments pour les detromper ni les contredire… Je crois ne jamais avoir eté amoureux a ce point. J'ai revé d'elle toute ma vie, et elle existe, jusque dans les moindres details. C'est fou. J'aurais voulu la dessiner, je l'aurais fait comme ca. Moins bien, meme, surement, j'aurais oublié des details , des surprises adorables que je decouvre en elle chaque jour. Et comme toujours, je n'ai pas la moindre chance…
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Mon site, et le NOUVEAU Jersey Devil, Forum qui a besoin de votre aide !!! http://sunderisme.blogspot.com/ Here I am I'm the master of your destiny I am the one the only one I am the god of kingdom come |
#5
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bravo Monsieur Snif
sauf pour votre signature : je vous rappelle qu'au temps de Cendrillon les tampax n'existaient pas encore. Merci de vous documenter un peu la prochaine fois. En plus s'ils vécurent longtemps, elle était peut-être bien ménopausée à l'heure de sa mort... non à part ça, sans déc, |
#6
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Beau travail, Sunder, encore pleins des comme ça stp !
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#7
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heu...y'a quelqu'un ?
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bravo sunder! suivant?
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#9
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Avec beaucoup de retard ( mais hier soir j'ai retrouvé ma motiv d'écrire....)
Benjamin était assis sur le banc le plus éloigné du terrain. Assis était un bien grand mot, vu qu’il était plutôt en train de se vomir sur les planches en bois, recouvertes de graffitis d’une poésie toute relative. Ces joues déjà normalement légèrement rosées comme les fesses d’un nouveau né étaient là carrément rougeaudes. Il soufflait comme un phoque, sans aucune retenue. Après tout, il y avait plein d’arbres autour de lui et donc dans ce coin reculé du stade, sûrement personne pour assister au spectacle de son agonie physique. C’était en tous cas ce que pensait Benjamin, qui avait donc plus ou moins rampé le plus loin possible du match de foot en cours, afin de profiter de ce qu’on pourrait appeler le repos du guerrier. Il regrettait amèrement cet élan soudain qu’il avait eu pour le sport, il avait cédé à la pression sociale, comme quoi le sport c’était bon la santé et autre connerie habituelle. « Un esprit sain dans un cors sain ». Il ne s’était justement jamais senti aussi mal depuis longtemps, tout son corps criant au scandale et à la trahison. « Quoi ? C’est quoi cette nouvelle lubie encore d’aller se torturer en courant après un ballon !!! ». Il se promit de ne jamais retenter une telle expérience, ne serait-ce que pour ne pas déroger à ces règles strictes qui régulaient sa vie : celles du moindre effort. Essuyant du revers de la manche un peu de bave qui coulait de sa lèvre, il finit de s’affaler complètement sur le banc, remuant ses orteils avec une petite grimace de douleur. A cote de lui, les chaussettes séchaient tranquillement, répandant outrageusement le parfum de sa défaite. Une odeur de chien mouillé. Avec son bol habituel, il allait en plus rater le dernier bus pour la cité universitaire, et comme il avait à peu près autant de chance de se faire prendre en stop que d’avoir eu la moyenne à son dernier partiel, miroitait devant lui la perspective peu réjouissante d’une marche d’une heure, pieds nus dans une paire de baskets pourries. Soit à peu près une ampoule par kilomètre. Ah non, vraiment, Benjamin n’était pas le mec le plus chanceux du monde. Aussi était-il tout naturel que dans cette posture fort peu avantageuse qui était la sienne, au sortir d’un effort physique insoutenable pour un être à peine vertébré tel que lui, qu’il se mit à rêver de celle qu’il appelait « la fille du TD 102 ». Cette entité presque irréelle avait égayé souventefois la tristesse sans nom de ce TD, par sa présence franchement sympathique à tout égard. Il avait ainsi repéré une fille par TD pour l’aider à surmonter les plus profonds ennuis, mais celle du 102 était vraiment sa préférée. Ce qui avait sans doute contribué à l’échec cuisant de ce dernier partiel précédemment cité. Ce n’était pas pour rien qu’il avait par ailleurs réussi celui de Sémiologie, aucune fille du TD 104 n’ayant réussi à trouver grâce à ses yeux. Elles avaient dès le début de l’année commencer à jacasser sans pudeur, lui taxant toutes les dix secondes son tipex, et lui parlant régulièrement de leurs chats - car elles en avaient toutes- ce dont il se foutait éperdument. Celle du 102 était tout l’opposé. C’est à peine s’il connaissait le son de sa voix, elle restait lointaine et mystérieuse vu qu’elle était toujours assise loin de lui. Il aimait la voir mordiller son stylo en fronçant les sourcils, et repousser ses longs cheveux bruns d’un revers de main. Les buissons derrière lui semblaient s’agiter. Il tressaillit, se demandant bien pourquoi il ne pouvait avoir quelques minutes de répit. Qui osait venir troubler ainsi son repos ? Il tourna la tête vers la source du bruit. De là où il était, il ne pouvait apercevoir qu’une paire de kickers dépasser et entendre un léger sifflement glougloutant. Et oui, l’évidence était là, cruelle, froide, implacable. Le havre que Benjamin avait été si content de trouver pour reposer son corps épuisé, n’était en fait que le coin pipi du parc. Il se demanda si l’odeur pestilentielle de ses chaussettes n’avait pas contribué à son manque de discernement, mais maintenant que ses yeux étaient revenus à peu près en face de ses orbites, il put remarquer ça et là des feuilles de papier toilette dépasser de sous les branchages. Le bruit de cascade finit enfin, suivi d’un claquement léger, celui de l’élastique du string sans doute, se dit Benjamin qui n’en avait jamais vu à plus de trois mètres. La gêne d’assister à un tel spectacle acheva de porter la couleur de ses joues à un cramoisi le plus total. Il voulut tourner la tête et se cacher derrière le dossier du banc, mais la curiosité fut la plus forte. Il avança prudemment sa tête au bout du banc, et quand la malheureuse se releva, il fut glacé d’horreur. La fille du TD 102 !!! Mon cœur saigne, pensa-t-il. Il n’avait jamais été aussi près d’elle et c’était pour l’entendre pisser. Un haut le cœur le prit. Une désolation profonde emplit tout son être et il se recroquevilla sur lui-même, tournant la tête aussi sec. Bien sur, il était clair que la fille du TD102 avait les mêmes besoins corporels que tout le monde, mais vraiment, Benjamin n’avait pas besoin de le savoir. Il avait loupé son année à cause d’elle. Et elle, elle venait tranquillement assouvir ses bas instincts presque sous ses yeux !!! Il était mortifié. Dégoûté. Ecoeuré. Cette conne avait balayé en quelques secondes une année de rêves, claquer la porte de l’Olympe avec fracas. Il attendit quelques secondes, et entendit les pas s’éloigner. Il se redressa alors, resta assis quelques instants et remis ses chaussettes sales rageusement. Leur fumet était presque réconfortant, une odeur de souffre, de déception et de trahison. Il enfila enfin ses tennis et décida de ne jamais remettre les pieds sur un terrain de foot. Les filles de Sémio étaient peut être un peu pénibles mais au moins, elles tenaient leurs promesses d’imperfection !!!
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"Chuck Norris fait pleurer les oignons" |
#10
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Bravo Miss Katina
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merci
ecrire sur des losers, j'aime bien en fait
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"Chuck Norris fait pleurer les oignons" |
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Tant que je ne suis pas dans tes histoire : acun problème eclate toi
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#13
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sympa katchoo, tu rattrapes ton retard en faisant mon dessin aussi? allez stoplait!
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l'ultimatron "Batman n'a pas un physique de jouet Musclor!" Béhès. Voir Bendis sur Mon Petit Poney et puis mourir.Psycho Pirate. |
#14
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oui oui je sais, j'ai pas oublié ton dessin...j'ai acheté des crayons à papier tout à l'heure en plus!!!
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"Chuck Norris fait pleurer les oignons" |
#15
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Ils vécurent heureux tout ça. C'etait l'histoire nulle du jour.
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