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#31
23/07/2006, 21h05
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Quel médisance, c'est désespérant.
En plus c'est bien d'oublier l'autre point, la création d'une seconde terre, c'est peut être de la redite mais ça a des grandes proportions style JLA... Enfin bon... 
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#33
23/07/2006, 21h38
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elle a été effacée avec Crisis ?
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It's no small thing to bring Darth Vader to his knee. On some worlds, it might be the stuff of legend... But it's not enough ! Adventures beyond the greatest space-fantasy film of all !
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#35
23/07/2006, 23h57
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donc tu sais pas
la médisance à priori, c'est désespérant d'accord, mais le fait d'entériner comme ça, les yeux fermés, des choses qui prêtent à discussion, c'est pas désespérant aussi ?
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It's no small thing to bring Darth Vader to his knee. On some worlds, it might be the stuff of legend... But it's not enough ! Adventures beyond the greatest space-fantasy film of all !
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#36
24/07/2006, 23h05
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Maintenant je sais (lu), apparemment, même si c'est très flou, il n'y a plus qu'une seule terre et la deuxième qui apparait est une terre deux façon pré-crisis, donc c'est le renouveau des terres multiples.
De plus, je trouvais "désespérant" de parler du mariage (un des deux éléments cités) comme étant le seul truc qui allait apparaître dans la JLA de Metzer. Je trouvais donc désespérant de juger sur un de mes posts à un moment où je n'avais pas lu, et en plus de le tronquer alors forcément... Et je vois pas en quoi j'enterrine quoi que ce soit vu que je critique un point de vue non justifié, je pourrais difficilement avoir un point de vue subjectif en étant au même point que lui niveau connaissance... Je dis qu'il faut attendre et que ça s'annonce pas forcément mal au vu du 0. Bref, je comprends même pas que tu sois en train de chercher la petit bête sur ça... En plus que je sache pas répondre à ta question qui n'a quasi aucun rapport avec ce que je disais... bref N'en parlons plus, sinon ça va dégénérer.
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#37
24/07/2006, 23h08
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. Dernière modification par mr nix ; 24/07/2006 à 23h16.
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#39
25/07/2006, 00h42
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- qu'il n'y a plus qu'une seule terre - qu'il y en a 2 - qu'il y a DEs terres multiples. au secours! 
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Oserez-vous ouvrir le.....CHEST of CHESTS?
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#41
25/07/2006, 00h58
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A vrai dire je comprends pas trop moi même alors forcément...
 et puis comme il parait que pour mieux comprendre, il faut expliquer aux autres. Apparemment là ça a pas marché hein 8)
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#43
25/07/2006, 22h56
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johnkeats.space-blogs.com
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#44
30/07/2006, 01h14
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Les vacances au soleil, quelques comics dans ma besace, l’ordinateur du frangin à disposition et me voilà parti pour quelques reviews.
Vivement que je mette la main sur mes comics des 2 semaines qui viennent de s’écouler (bon le portefeuille va le sentir passer mais je suis en manque). En attendant, let’s go !!!! Firestorm 27  Writer : Stuart Moore Penciller : Jamal Igle Inker : Keith Champagne Depuis le temps que je n’ai pas fait la critique d’un petit Firestorm (Ben le fait très bien) avec tous ces 52 et autres séries plus vendeuses (Superman) ou géniales (Manhunter), il me fallait du temps libre et quoi de mieux que les vacances au Soleil pour recharger les accus de ma Matrice ?  Et donc voilà un bon petit numéro des aventures de Jason dans la lignée des derniers épisodes OYL : ici, c’est la fin justement du run OYL finissant sur un clifhanger annonçant « The epic we’ve been building to for more than a year ! » comme ils le disent chez DC. Rien que ça !!! Si ce n’est pas motiver le fan de Firestorm que je suis pour le mois d’août, je ne comprends pas…  Mais là c’est le 27 qui nous intéresse et le destin du Professeur Stein qui était en sale posture entre les mains du Pupil : pas encore aussi naze que Father Time pour le nom (ou les intentions) mais c’est la même catégorie… Bon comme l’indique la phrase, tout ce qui a été amené depuis un an va connaître son dénouement dans le prochain run, en gros depuis le prologue de la Crise : Gehenna, la Matrice, la fusion Stein-Jason, la famille de Jason, les comploteurs contre Firestorm, etc… J’ai le sentiment que ce run risque d’être le dernier vues les dernières ventes… D‘ailleurs ce genre d’annonce peut très bien avoir été fait à la convention de San Diego. Encore une fois, je peux me tromper. Dans le pire des cas, on aura une conclusion digne, dans le meilleur, la série pourra explorer d’autres situations.  Pour moi, il serait dommage que cela s’arrête tant Moore, sans atteindre la valeur de son homonyme, raconte parfaitement les (més)aventures de Jason. Il est toujours bon pour le fan-boy que je suis de retrouver ce genre d’histoires quand on a découvert les comics dans Strange et les galères de Peter Parker. Ici, c’est un autre style mais c’est tout aussi reposant et fun.  Un bon Firestorm et le sourire peut revenir. La qualité est constante (avantages et inconvénients) quand d’autres séries connaissent des hauts et des (très) bas. Avec cette série, on sait où on va et moi j’apprécie. De plus Igle est fidèle au poste. Si cela fait un peu statique (je n’aime pas ce genre d’expression pour un bouquin pourtant), les personnages sont vite reconnaissables (ils ne sont pas 36 aussi). Voilà un dessinateur constant d’un mois à l’autre. Sans être l’un de mes favoris, il est agréable à la lecture. Sans être indispensable mais bien meilleur que certaines séries, Firestorm remplit parfaitement sa fonction : distraire le lecteur. Bilan :  Detective Comics 821  Writer : Paul Dini Penciller : J.H Williams III Plus qu’une agréable surprise, c’est une vache de bonne lecture que je viens d’effectuer avec cette aventure.  C’est aussi la confirmation de 2 talents au service du plus grand détective, qui plus est, en un seul épisode, chose assez rare chez DC pour les Icônes où on a assez souvent des runs assez longs (le dernier en date faisait 8 numéros). Eh oui, avec cette série et les stand-alone qui vont nous être offerts, c’est le côté détective de Batman qui est mis en avant et il faut dire que c’est bien fait. Pas d’OMAC, de Brother’s Eye, de lavage de crâne, non la série justifie son titre !!!!  De quoi ça parle ? Les nantis de Gotham sont détroussés et il faut un Bruce Wayne pour mener l’enquête mais il ne faut pas en dire plus pour savourer la lecture car Dini a tout compris dans l’utilisation du Caped Crusader. Déjà avec le dessin animé, Dini nous claquait un Batman fantastique et là il nous sert la même ambiance avec un soupçon de bas-fond et de violence impossible à la télévision. Les dialogues font mouche et l’intrigue réglée comme du papier à musique. C’est incontournable et indispensable pour les fans.  Pour les autres, il y a Williams III dont j’avais entendu le plus grand bien sur ses autres séries et, effectivement, c’est un grand que je découvre sur une série mainstream. Son trait colle parfaitement à l’ambiance, j’ai rarement vu un Bruce Wayne en civil ainsi, pas de côté playboy mais bien un mec paumé dans un milieu qu’il n’aime pas : pour finir, un Batman, vrai de vrai en action. Alors oui, c’est du bon, du très bon même. Après un OYL posant les bases du nouveau Batman, là on passe la vitesse supérieure dans la qualité et c’est très fort. Je dis bravo DC. Si le Batman de Morrison est au moins aussi bon, je peux déjà non pas donner le gagnant des 3 Icônes mais le perdant enfin la perdante avec Wonder Woman : bien que Wonder Woman avec Heinberg et Dodson est très sympathique (enfin je n’ai lu que le 1 à l’heure actuelle) et en comparaison avec le Superman 654 et ce Detective Comic, il n’y a pas photo pour moi. En effet, ici, c’est un régal car, en 22 pages, tout y est. Prologue – Développement – Baston – Conclusion. Scénario et dessin au top. Je ne peux que vous le conseiller. Au moins vous pourrez avoir cette merveille en VF dans un an si vous l’avez loupé et là si vous le ratez, je vous dis : « Bouhhhh !!! ». Addition : Green Arrow 64  Writer : Judd Winick Penciller : Scott McDaniel Inker : Andy Owens Vraiment difficile d’être indulgent avec cette série où les auteurs pris individuellement sont parmi mes favoris, autant là l’équation ne donne pas le résultat escompté. En plus le principe de départ du OYL est très peu développé.  Pour ceux qui débarqueraient sur la série, il faut rappeler que le pitch vendeur de la série était la nouvelle orientation de Oliver Queen a.k.a Green Arrow en tant que Maire de Star City.  Quelle déception !!!!! On en est déjà à 5 mois et force est de constater que dans sa propre série, le Maire est très peu présent dans ses bureaux pire que le Maire de New-York dans Spin City !!!!! Ce qui est encore plus énervant est que sa fonction est plus explicite dans des séries comme Green Lantern ou Birds Of Prey et je n’oublie pas 52 qui nous fait des piqûres de rappel sur la candidature d’Oliver… Après 52 une série sans les Icônes, Green Arrow une série sans Maire ?  Au moins, on ne sans Maire de  pas trop au niveau des aventures en costume même si l’intrigue livrée est tirée par les cheveux surtout après le combat très ninja face à Deathstroke…  Et oui, cela ne fait pas lourd et cela fait 5 mois que cela dure… Il est quand même regrettable que la sensation de vide est aussi ressentie. Qu’a apporté la Crise à Green Arrow ? Des capacités de ninja ? Je suis content pour lui mais bof. Un boulot de Maire ? Sympa mais ce qui aurait dû être LE truc essentiel est complètement mis de côté au profit d’intrigues plus passe-partout qu’intéressantes : Deathstroke pourrait très bien jouer les guest-stars dans Teen Titans vu le destin de sa fille. Non, je suis déçu par Winick pour avoir agité une carotte qui aurait donné une orientation à une série qui ronronnait avant la Crise et qui changeait de dessinateur tous les 3-4 numéros ce qui ne permettait de fixer.  Oliver Queen pourrait être camionneur, boucher ou laveur de vitres que cela ne changerait rien, il passe plus de temps en costume de super-héros. C’est vraiment un coup d’épée dans l’eau. Je ne trouve pas cela aussi nul que Hawkgirl mais je m’ennuie. Au dessin, McDaniel fait du McDaniel : moi j’aime même si, sur certaines pages, ce n’est pas ça dont la dernière où je n’aurai pas su dire que c’était lui. Il devrait affiner son trait et retrouver celui d’il y a quelques années où, sur Nightwing, il avait fait de moi un fan. Il peut mieux faire mais je ne suis pas sûr que Green Arrow soit son style de héros à dessiner (sur sa demande le côté ninja ?).  Seulement comme dit plus haut la combinaison Winick – McDaniel n’additionne pas les talents et dessert la série : entre un scénariste qui m’a l’air de naviguer à vue (un comble vu qu’il est là depuis un moment) et un dessinateur plus à l’aise sur les héros du Bat-Universe pour moi, la série Green Arrow n’est pas l’un de mes OYL préférés, il est même plutôt en fin de liste. A moins que le côté gauchiste à la Mairie ne soit plus mis en avant, la série s’adresse plus aux fans de McDaniel et donc la série est dispensable dans l’absolu : sinon, le retour probable du personnage en clifhanger augure peut-être de quelque chose de meilleur. Conclusion : Superman 654  Writer : Kurt Busiek Penciller : Carlos pacheco Inker : Jesus MerinoColorist : Dave Stewart Yes!!! Je suis gâté en quantité et en qualité en Superman depuis quelques temps entre un OYL qui remet le Big Blue sur les bons rails et un film qui a plus que fait vibrer la corde sensible pour ne pas dire qui m’a enthousiasmé : maintenant, c’est le post-OYL qui nous est servi et DC a vraiment mis les petits plats dans les grands. Après avoir fait équipe avec Johns, Busiek est seul aux commandes et j’ai enfin ma réponse : c’est ce dernier qui faisait parler Clark dans Up, Up, Up, And Away vues les phylactères de pensées. Sans minimiser le boulot de Johns, cela garantit des histoires dans la lignée de ce bon run et quelques uns de mes regrets liés à celui-ci ne trouvent pas d’écho mais plutôt une agréable surprise. En effet, j’avais exprimé ma déception quant au rôle succinct de certains protagonistes importants comme Loïs Lane qui faisait un peu potiche : là, elle est bien plus intéressante en un numéro qu’en 8 épisodes (en plus elle est… Gulp !!!!!).  Pour ce Superman, nous avons droit à un épisode introductif, presque un stand-alone dans sa présentation mais avec beaucoup de choses qui font de ce numéro incontournable une véritable occasion pour se mettre au Big Blue car des choses s’annoncent.  A l’image du Detective Comics, c’est un comic très dense auquel nous avons droit et la quantité ne s’est pas faite au détriment de la qualité. Busiek a tout compris à Superman et il raconte tant de choses intéressantes (mise à part l’orientation d’un personnage féminin pour moi) qu’il est difficile de ne pas lâcher un râle de plaisir surtout après avoir pris du bonheur plein la figure avec le film. Je suis aux anges. Si, si !!!! (impératrice si vous voulez…) Si Action Comics fait aussi bien, j’espère que les ventes suivront car l’Homme d’Acier à 2 ans de fêter ses 70 printemps revient en pleine forme après la Crise. Donc pour moi l’objectif est atteint. Pour finir de vous faire succomber, il faut parler du dessin. Pacheco avait déjà fait équipe avec Busiek sur Avengers Forever : l’alchimie a encore opéré. Je dois dire que la preview m’avait surpris devant le style de Pacheco : j’avais eu du mal à reconnaître complètement. Non pas que cela soit mauvais : au contraire, c’est encore meilleur que sur ses derniers Superman/Batman ou Green Lantern. Je suis émerveillé. Il dessine les femmes d’une façon qui me titille la joie intérieure (au niveau du bas-ventre…). Pensez donc, c’est très beau à chaque page et les détails font honneur à Metropolis. Superman a bien de la chance d’avoir en même temps Pacheco et Woods pour le dessiner. Lisez Superman !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je vous le conseille fortement. Conclusion : Green Lantern 12  Writer : Geoff Johns Penciller : Ivan Reis Inker : O’Clair Albert La qualité continue pour cette série et depuis le OYL c’est à suivre. De plus, Geoff Johns continue sa réhabilitation de Hal Jordan en effaçant tous les effets néfastes de son pétage de plomb grâce à des pirouettes scénaristiques qui durent depuis Green Lantern Rebirth. On est fan ou on ne l’est pas. Moi je le suis car cela complète le boulot de Marz sans que je puisse crier au scandale : cela ouvre des possibilités de scénario fort intéressantes quant au développement des intrigues liées au Corps. En plus, d’autres choses se trament ce qui donne un univers fort étoffé. Il en a des choses à raconter Johns : il aurait pu commencer avant le OYL car là on frise l’engorgement de sub-plots et avec le rythme de parution assez lent de la série, nous ne sommes pas prêts d’avoir toutes les réponses avant un bon bout de temps.  Au moins chaque lecture se savoure. A côté de cela, que Johns dans sa volonté de s’approprier le personnage décide de zapper tout ce qui a pu en faire un salaud (mise à part son caractère trop sûr) pour aboutir à un mec quasi-parfait peut faire sourire voire faire tiquer certains fans des sagas de Marz ou de Final Night. Il faut rappeler que Johns avait commencé dès 1999 avec Jugdment Day où il avait débuté la rédemption de Hal en lui filant le costume du Spectre. Du moment que c’est cohérent, je suis preneur.  Puis il y a Ivan Reis : je le savais génial mais que de progrès il a fait. J’ai lu le Monster de Captain Marvel un peu avant et déjà c’était bien. Comme Pacheco pour Superman, Reis doit être une raison pour s’intéresser à cette série (si vous avez du mal avec Johns). Par contre, est-il une des causes des retards de la série ? Bilan : P.S : Troublant que selon la série liée à l’univers du Corps, le héros récurrent de sa dite série soit pris en chasse par un Green Lantern d’une autre série pour de bonnes ou mauvaises raisons. Dans Ion, Kyle va se confronter à Hal. Dans Green Lantern Corps, Guy va se confronter à d’autres membres du Corps. Dans Green Lantern, c’est Hal qui risque de devoir affronter Guy vu le clifhanger. Je trouverais dommage que ce gimmick se répète aussi souvent sur un aussi court laps de temps. Ils ne sont pas obligés de se foutre tout le temps sur la tête pour que la fan lambda, par l’odeur alléchée, se pointe : le Corps vaut mieux que cela. Blood Of The Demon 17  Plotter & Penciller : John Byrne Scripter : Will Pfeiffer Inker : Dan Green Dernier épisode de la série et il faut bien dire que c’est vite expédié tant la fin sent le précipité (voire bâclé) : quasiment toutes les intrigues sont résolues. Vu le cheminement de l’épisode, j’ai l’impression que l’annulation de la série a coïncidé avec la réalisation de celui-ci et qu’il a fallu le réécrire pour intégrer les scènes donnant une pseudo fin. La série nécessitait une conclusion et Pfeiffer et Byrne en donnent une plausible à défaut d’être complètement satisfaisante. Alors c’est la fin de la série et de Blood Of The Demon et peut-on dire si Blood Or The Demon ont beaucoup évolué avec le ressort scénaristique final pour terminer la série. Je n’en suis pas sûr. Qu’est-ce que cela leur a apporté ?  Commencée dans l’ombre du DC Universe, la série a subi une tentative d’intégration avec les 3 Icônes en guest-star puis la venue de la Crise et l’intervention du Spectre. Malheureusement la greffe n’a pas pris car la série s’arrête après 5 mois de OYL ce qui prouve que s’il y avait un public et de bonnes critiques (ce qui m’avait décidé pour la faire), elle n’a pas convaincu les foules. A la limite, la série est une vraie victime de la Crise et de la volonté du OYL car le run avec Michaël fut comme balancé pour synchroniser la série avec Infinite Crisis et le OYL. S’en suit un run prometteur sur le fond mais la forme décevante. Sans vouloir baver sur John Byrne, cela fait quelques séries où il participe qui ne semblent pas faire avancer les choses. Je connais pas sa Doom Patrol récente mais vu son destin, cela s’apparente à Blood Of the Demon : bons échos mais une fin expédiée. Je pensais que la présence de Pfeiffer, tant vanté sur Catwoman (que je ne lis pas), permettrait à la série de continuer un petit peu mais non et c’est dommage. Pendant 17 numéros, elle a été plus convenable mais ne restera pas dans les annales. Au moins, j’aurai passé un bon moment et j’ai eu plaisir à avoir un Byrne satisfaisant au dessin. Maintenant on peut passer à autre chose. Fermez le banc. Conclusion définitive : sur l’ensemble de la série (sinon 2 pour l’épisode final)Teen Titans 37  Writer : Geoff Johns Penciller : Tony S.Daniel Inker : Kevin Conrad & Norm Rapmund Fin du run OYL des Teen Titans et force est de constater que la qualité est bien de retour. Comme sur Green Lantern, Johns en a sous la semelle pour les intrigues et beaucoup à raconter : il y en a peut-être trop même car une intrigue va même avoir droit à une mini-série pour Raven par Wolfman. D’ailleurs, j’espère que cela vaudra le coup et que ce n’est pas fait que pour nous soutirer des espèces sonnantes et trébuchantes de façon éhontée. Pour revenir à Teen Titans, nous assistons à la conclusion de l’intrigue avec la Doom Patrol et la Brotherhood of Evil. Quand on lit Outsiders, c’est troublant de lire quasiment 2 fois l’intrigue sur le Brain : Johns et Winick auraient pu (dû ?) se consulter quoiqu'elles semblent se complèter. Sinon ici [spoiler]les Teen Titans et la Doom patrol battent le Brain et sa clique à Paris et se rendent compte que le Chief n’est pas très net dans sa gestion de son équipe surtout quand il essaie de recruter Kid Devil…  Pour celui-ci, ses relations avec Blue Devil se sont pas sau beau fixe mais Ravager risque delui remonter le moral très bientôt… Pour le reste de l’équipe, Cyborg prend les informations sur le turn-over des membres pendant l’année écoulée ce qui va lancer le prochain run où l’équipe va partir sur les traces de certains membres qui ont nous la jouer « Where in the world is Carmen sandiago ? ». Après Robin rate encore son clonage de Conner mais Donc fin du run de présentation de la nouvelle équipe et il y a eu changement par rapport au 1er numéro entre les morts, les héros qui ont migré vers d’autres séries ou d’autres équipes et les nouveaux arrivants (sujet du prochain run). Si une série a bien morflé avec la Crise, c’est celle-là (enfin la JLA n’est pas mal).  D’ailleurs, si elle n’explore pas la conséquence de la mort de Connor (enfin avec ce que fait robin…), 52 le fait plus ou moins lentement. L’épisode 37 nous lâche au coin d’une phrase sa probable conclusion et force est de constater que cette intrigue de 52 risque de finir en queue de poisson. Enfin on verra bien… Après Johns a tenté la Doom Patrol et il n’a pas rendu l’équipe sympathique à mes yeux mais plutôt pathétique vu le traitement du Chief. Est-ce que c’était la même chose sous Byrne ? Quid de vos lectures? Pour le reste, Johns rend les choses énigmatiques mais garde des personnages charismatiques pour intéresser le lecture et Ravager (en plus d’être une bombe en bikini) est certainement une bombe à retardement. A moins qu’un certain Bart revienne (cf. run Titans Of Tomorrow)?  Enfin si la Crise a salement fait touché l’équipe, la qualité est là et bien là : cela a été l’occasion d’une complète reprise en main de la série qui, depuis le départ de McKone, avait un peu de mal à garantir un réel intérêt tant Johns était pris ailleurs. Maintenant Johns redevient une valeur sûre sur ce titre. J’espère qu’il va continuer à me surprendre. Et Daniel ? Plus cela va et plus son nouveau ( ?) style colle à l’ambiance : ses Titans apparaissent matures marqués qu’ils sont par leurs mésaventures. En plus, son Paris n’est pas trop caricatural et il continue à dessiner les filles assez joliment (Image un jour, Image toujours)… Conclusion : Bon vite mes news, vivement Lundi (sur un air connu)
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
Dernière modification par scarletneedle ; 30/07/2006 à 01h46.
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#45
30/07/2006, 09h39
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 Infinite Crisis Aftermath : The Spectre #3 Par Will Pfeifer et Cliff Chiang. Conclusion de la mini-série consacrée au retour du Spectre et à son nouvel hôte, Crispus Allen. Les deux premiers épisodes étaient très réussis, fonctionnant sur l'opposition constante entre les deux personnages, d'un côté le très pragmatique ex-flic de Gotham, de l'autre le mystique exécutant d'une justice immanente. Ce dernier épisode marque la victoire du Spectre et la défaite de Crispus Allen. Et de la plus tragique manière qui soit :
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