Il y a 20 ans : Octobre 1986 (DC & Indés )

[scarletneedle]

d'ailleurs quelqu'un peut faire la rétro de ce swamp thing car avoir la conséquence sur Dayton dans NTT alors que dans l'épisode précédent, on nous dit qu'il va voir constantine sur 2 jambes?

En plus c'est un numéro 50...
Moi j'aime bien ces numéros anniversaires

[Niglo]

C'est faisable, mais il faudrait faire les #47-50, puisque c'est une histoire en 4 parties.

Faut que je vois si j'arrive à caser ça dans mon planning...

A moins que ça tente quelqu'un d'autre.

[cytrash]

je peux avoir le 49 & le 50 .
A confirmer

[scarletneedle]

Ce serait cool!

[Socca Boy Prime]

	Citation:			Posté par scarletneedle
	d'ailleurs quelqu'un peut faire la rétro de ce swamp thing car avoir la conséquence sur Dayton dans NTT alors que dans l'épisode précédent, on nous dit qu'il va voir constantine sur 2 jambes? En plus c'est un numéro 50... Moi j'aime bien ces numéros anniversaires

Damn...j'ai pas de scanner...et j'aurai adoré faire ca!!!! Ce numéro ("The End")est fantastique, mais mériterai plutot qu'on fasse la rétro du story arc entier("American Gothic") dont il est la conclusion...Et si Dayton en sort traumatisé, Sargon et Zatarra (le père de Zatanna) y laissent la vie...Je devrais pouvoir trouver un scanner dans la semaine et te faire ca...

[Socca Boy Prime]

lol, le temps de taper mon message en bouffant une pizza et on est déja trois sur le coup...

[Niglo]

	Citation:			Posté par Socca Boy Prime
	lol, le temps de taper mon message en bouffant une pizza et on est déja trois sur le coup...

Ah mais je te cède la place volontiers

Par contre si jamais tu ne trouves pas de scan je peux m'en occuper (tu me dis par exemple quelles planches/cases tu veux pour illustrer ton propos et je m'exécute).

[Socca Boy Prime]

	Citation:			Posté par Niglo
	Ah mais je te cède la place volontiers Par contre si jamais tu ne trouves pas de scan je peux m'en occuper (tu me dis par exemple quelles planches/cases tu veux pour illustrer ton propos et je m'exécute).

Je vois ca dès demain et je te tiens au jus...en tout cas merci mille fois pour la proposition...

[XXL]

AMETHYST
Princess of Gemworld LTD n°11 (sur 12)
Publié par DC en Mars 1984.
Scénario: Gary Cohn et Dan Mishkin
Dessin: Ernie Colon
Cover: Georges Perez encré par Ernie Colon


Ghââ, les décors travaillés et baroques de Colon!

Résumé:
Si vous avez raté l'épisode précédent...
Alors qu'Amethyst et ses alliés se rendent dans le domaine de Dark Opal, Carnelian, qui a bien envie de laisser mariner Dark Opal, courre après l'Amethyst qu'il a dérobé et qui s'échappe par magie de ses mains pour....rejoindre Dark Opal! C'est la dernière piere précieuses qu'il lui manque pour construire son armure! Il la fait forger, alors qu'il entend au loin les bruits de la bataille livrée par Amethyst et ses alliés! Ceux-ci, outre des soldats, doivent combattre une sorte de colosse mais dont il trouvent le point faible en l'empéchant d'être en contact avec le sol!

Colon est particulièrement doué pour l'horreur.

C'est ce moment que choisissent les émissaires de Varn pour revenir, n'étant plus sous le joug de la magie de Dark Opal, ils exigent leur paiement et Dark Opal s'exécute: ils emmenènent Sardonyx!!! Dark Opal, qui a pris connaissance de machinations passées de Carnelian, le punit en lui transmettant la malédiction lumineuse que Citrina avait placé sur sa main! Dark Opal, de plus en plus implacable et inhumain, se fait greffer à chaud son armure!

Le prix de la force ultime est... le pain? Vive la farine de blé!

C'est à ce moment qu'Amethyst et ses alliés pénètrent dans le chateau, rejoints par Lord Topaz, qui a convaincu sa soeur et Lady Sapphirre de le libérer, et par les princesses Emerald, qui disposent désormais de toute la magie léguée par leur mère, qui vient d'être empoissonnée par ses sujets à cause de son inaction envers Opal.

Commentaire:
La série va donc vers une confrontation finale entre Amethyst et ses alliés et Dark Opal, seul avec son armure de pierres. on aurait aimé quelque chose de plus original ou subtil, mais force est de constater que nos scénaristes mènent suffisamment bien leur barque pour que la pillule passe. La série a un énorme potentiel en tant qu'ongoing, tellement il reste de chose sà découvrir sur les différentes maisons (un peu comme voulait le faire Giffen avec son Reign of Zodiac).

Une séquence inoubliable!

Niveau dessin, c'est une agréable surprise au niveau de la composition et du soin apporté à certains élements de décors. On sent que le trait est toujours rapide et nerveux mais que la composition est plus pensée. D'ailleurs, quelques scénes surprennent et restent gravées: Sardonyx emmenés et "dépecé" par les émissaires de varn (ci-dessus), ou Dark Opal revétant son armure.
Amethyst apparait en fait très peu, ce qui est normal vu le nombre de personnages secondaires qui s'agitent autour d'elle. Curieusement, ses expressions faciales sont d'une démence joyeuse dans des moments qi semblent pourtant ne pas prêter à la légèreté.

On notera des efforts de cadrage, mise en page et de décors, contrairement au numéro précédent.


Un numéro qui annonce la fin imminente de la série. Mais celle-ci arrive encore à étonner grâce au dessin et à la composition de Colon!

Visitez le topic consacré à AMETHYST!

[cytrash]

C'est une maxi de 12 épisodes (le mec qui débarque ) ???
pourtant il me semblait avoir vu un 13 eme épisode de Amethyst faisant parti de Crisis

[XXL]

Ah, mais tu dois parler de l'ongoing Amethyst, qui est allé jusqu'au n°16!
elle va suivre cette maxi-série, et je vais la chroniquer!

[XXL]

Cytrash: je sais que la cover est de Perez +Colon mais les décors de fonds, c'est plus du Colon que du Pérez!

[cytrash]

Ok ,je comprends mieux .

[Niglo]

Man of Steel #1
(Octobre 1986)

From out the Green Dawn… (32 pages).

Scénario & dessin : John Byrne.
Encrage : Dick Giordano.
Couverture : John Byrne.

Traduction : in Superman : Man of Steel, Sémic, juillet 2001. Rééd. In Superman : L’Homme d’Acier, Panini France, février 2006.


Résumé :

Krypton est une planète pacifique et prospère, dont la population a appris à maîtriser tous les phénomènes naturels et créé une civilisation technologique ultra-développée. Pourtant, dans quelques heures, quelques jours tout au plus, Krypton sera détruite. Une réaction en chaîne au cœur de la planète a libéré à la surface des émanations radioactives causant des ravages parmi la population. Bientôt, à l’intérieur de la planète, la pression sera telle qu’elle va littéralement exploser.

C’est à cette conclusion qu’est arrivé Jor-El, habitant de cette planète. Son dernier espoir est dans la survie de son enfant à naître. Il fait sortir la matrice enfermant le fœtus de la chambre de gestation où elle se trouvait, et y fait attacher un propulseur hyper-spatial. Krypton étant condamnée, il compte envoyer son fils dans l’espace, vers une planète dont les conditions de vie sont proches de celles que connaissait Krypton il y a des millénaires : la Terre. De plus, cette planète orbitant autour d’un soleil jaune, les cellules de l’enfant agiront comme des accumulateurs d’énergie, faisant de lui un être tout-puissant.

D’abord effrayée par ce projet, Lara, l’épouse de Jor-El, doit se rendre à l’évidence lorsque les premières éruptions se déclenchent à la surface de Krypton. Jor-El fait décoller le vaisseau emportant son enfant, quelques minutes seulement avant que la planète n’explose. Dans son sillage, le vaisseau emporte quelques fragments de roche projetés dans l’espace par l’explosion.



A Smalville, Clark Kent est la vedette de l’équipe de football américain. Mais alors que le jeune homme se laisse porter par les vivats de la foule, son père, Jonathan, se montre moins enthousiaste. Il décide qu’il est temps pour son fils de découvrir la vérité sur ses origines et le conduit dans un champ où, caché sous terre, se trouve le vaisseau spatial qui a conduit Clark sur Terre.

Dix-huit ans plus tôt, Jonathan et Martha Kent ont vu un objet stellaire s’écraser près de chez eux. En se rendant sur place, ils ont découvert le vaisseau spatial qui, à leur approche, s’est ouvert pour révéler sa cargaison, un nouveau-né. Les Kent vont immédiatement décider d’adopter cet enfant, sans révéler à personne ses origines.

Dans un premier temps, le petit Clark Kent ne s’est pas différencié des autres enfants de son âge. Mais à partir de huit ans, les Kent ont été les témoins de phénomènes étranges, comme lorsque Clark, piétiné par un taureau, s’en sortit indemne, où lorsqu’il souleva le pick-up de son père pour récupérer sa balle. Enfin, à dix-sept ans, Clark découvrit qu’il pouvait voler. Ses parents lui conseillèrent de ne parler à personne de tout cela, ni d’utiliser ses pouvoirs pour se rendre supérieur aux autres.

Lorsque Clark s’approche du vaisseau spatial, il est soudain pris d’un malaise et son père doit l’aider à regagner leur voiture. De retour chez eux, Clark annonce à ses parents qu’il est temps pour lui de quitter Smalville, et d’utiliser ses pouvoirs pour venir en aide à autrui.



Clark Kent va passer sept ans loin de Smalville, à intervenir incognito lorsqu’un désastre se prépare. Sa mère collectionne les articles faisant état de catastrophes évitées miraculeusement, sans qu’on ne puisse en expliquer la cause. Jusqu’au jour où, en évitant le crash d’un avion expérimental, Clark est repéré. Il revient aussitôt chez ses parents leur faire le récit de ces évènements.

A Métropolis, pour les 250 ans de la fondation de la ville, de grandes festivités ont été organisées, notamment la venue à l’aéroport d’un avion spatial expérimental. Mais aux abords de la ville, l’appareil est entré en collision avec un petit avion d’affaires. Clark a du intervenir pour éviter la tragédie et faire se poser l’avion expérimental. A bord de celui-ci, une journaliste, Lois Lane, a aperçu cet homme volant. A sa descente d’avion, elle va interpeller son sauveur avant qu’il ne s’enfuit. Puis la foule va se ruer vers eux, et Clark va s’enfuir, effrayé par les réactions qu’il a suscité.

Devant le désarroi de leur fils, Jonathan et Martha Kent ont une solution : ils vont l’aider à confectionner un costume qui symbolisera tout ce que les gens peuvent espérer d’un héros. Ainsi, il pourra mener une vie normale et paisible en tant que Clark Kent, et pour venir en aide à autrui, il se présentera désormais sous l’identité de Superman.



Commentaires :

Après Crisis on Infinite Earths, John Byrne se voit confier la tâche de réinventer les origines de Superman, et se voit offrir une grande liberté. La première partie nous donne une vision nettement plus moderne de Krypton. Le scénariste y décrit une société ultra-sophistiquée et aseptisée, où les enfants naissent dans des matrices artificielles et où toute émotion semble absente.

Les changements sont par la suite plus radicaux encore, puisque dans la continuité post-Crisis, Superboy n’existe pas. Clark Kent a vingt-cinq ans lorsqu’il enfile pour la première fois son fameux costume. Quant à ses parents adoptifs, ils sont toujours vivants lorsqu’il part s’installer à Metropolis.

Ce premier épisode a pour lui de poser clairement les bases de la re-création de Superman. La seule partie assez maladroite concerne l’enfance de Clark, et la découverte progressive de ses dons, qui bizarrement ne l’a semble-t-il jamais amené à s’interroger sur ses origines avant que son père ne lui fasse voir le vaisseau d’où il est issu. C’est un peu gros.

[scarletneedle]

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