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Lire enfin Web 1 en VF est inespéré car je me souviens encore combien ce maillon dans l'histoire de Venom me manquait quand j'étais gamin..... mais c'est vrai que Lug s'était dit que cet épisode pré-Venom n'était pas publiable....et Semic, pas mieux avec les épisodes de Mac Farlane où Venom apparait. Concernant le reste de ce n°3, c'est très bien de la part de Panini d'avoir publié les épisodes de Amazing de Stern et Frenz, tant ceux-ci sont absolument magiques mais je trouve quand même qu'ils auraient du parfois sélectionner à la place de certains des épisodes de Spectacular SM de Milgrom car il me semble quand même que c'est dans cette série que les particularités de ce nouveau costume noir était exploités,non? Après je suppose que Panini a utilisé du matos de TPB US récents et j'en ignore le contenu, n'ayant qu'une ancienne édition (avec couv inédite de Frenz) C. |
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je dois pas lire les bons topics
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Je pense donc je signe. |
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Spider-man classic 10 : Inferno
SPIDER-MAN CLASSIC 10 : INFERNO trimestriel, 5,90 EUR, 128 pages Découvrez cinq histoires de Spider-Man inédites en France ! Datant de la fin des années 80, ces récits sont liés au crossover mutant Inferno. Gerry Conway et Sal Buscema nous montrent le Tisseur défendant New York contre l'invasion des démons venus des Limbes. (Contient les épisodes US Spectacular Spider-Man (1976) 146-148 ; Web of Spider-Man (1985) 47-48 ; Extrait de Amazing Spider-Man (1963) 365) De l'inédit, rien que de l'inédit et encore de l'inédit (sauf le court récit tiré de ASP #365 magnifiquement dessiné par John ROMITA) Mais comment Semic a t il pu passer sous silence ces 5 épisodes à l'époque ? Bon il est vrai que les Amazing Spiderman de Michelinie et McFarlane ont également été publiés bien plus tard mais quand même. Pour le lecteur de Nova ou Special Strange cela faisait comme un manque à l'époque. Surtout qu'il y a ici des éléments essentiels à la mythologie du tisseur de toile. C'est dans ces histoires que l'on trouve les origines de la transformation du Hobgoblin en Demogoblin. La dépression et la démence de Harry Osborn qui amèneront à la conclusion tragique de Spectacular Spiderman #200 sont également abordés. Quel joie de revoir Mary Jane et sa nièce anorexique, Kristy qui en pince pour Peter. La première rencontre entre Gloria Grant et Eduardo Lobo c'est également ici. Gerry CONWAY fait partie des grands scénariste qui ont oeuvré sur Spider-Man et ces épisodes montrent bien qu'il est capable d'écrire un excellent récit malgré les contraintes de l'event INFERNO. Les transformations de la ville ainsi que la présence des démons s'insèrent parfaitement (l'usine en folie, l'attaque du Daily Bugle, la menace permanente de l'ennemie de Spider-Man qui se rapproche le plus d'un démon, le Hobgoblin). Le casting de l'époque est également époustouflant (c'est d'ailleurs bien triste de voir que dans nombre de série actuelle les scénaristes ont du mal à faire vivre plus de 2 ou 3 personnages). Outre Peter vous croiserez MJ, Kristy, Tante May et toute sa joyeuse pension (dont Nathan et le couple Victor et Rose qui s'engueule à longueur de journée), le Daily Bugle au grand complet (formidable JJJ vs les Démons, mais aussi Ben Ulrich qui se remémore Elektra, Gloria Grant, Kate Kushing, Joy Mercado, Robbie et sa femme), les amis de Peter (la famille Osborn, Flash, Betty Grant) et bien évidemment ses ennemis (Hobgoblin, Le Caid et l'arrangeur son homme de main, Eduardo Lobo, les démons d'Inferno). Et tout cela vie, cohabite, à sa propre existence en peu d'apparition ou peu de mot. Au niveau structure Spectacular Spiderman #146-#147 et Web Of Spiderman #47-#48 forment un tout et Inferno est le fil conducteur le déclencheur des évènements. Cela va à toute vitesse mais Conway n'oublie pas de continuer à construire ses trames en cours (Kristy, Hobgoblin, Harry et une future guerre des gangs entre le Lobo et La Caid). On se balade de gratte ciel démoniaque vers l'usine Osborn en passant par le bugle, la pension de May ou encore les égouts de New York. Spiderman se balade au bout de sa toile et nous avec. Ce n'est pas statique. Spectacular Spiderman #148 se focalise sur la relation Flash-Betty et plus particulièrement les démons intérieurs de cette dernière depuis la mort de son mari, Ned Leeds. Plus d'introspection dans ce numéro mais c'est très agréable à lire et les personnages sont très bien exploités. En général c'est ce type de récit que l'on retrouve dans Spectacular Spiderman avec des scénaristes comme Peter David ou bien Jean Marc DeMatteis. Graphiquement c'est du solide old school comme j'aime : le grand Sal BUSCEMA sur Spectacular Spiderman et Alex SAVIUK (encré par Keith Williams) sur Web Of Spiderman. C'est classique et c'est très bien ainsi. Il y a une continuité graphique qui se dégage entre les récits. Jolie numéro de la part de PANINI. Les covers sont présentes et séparent les épisodes entre eux (comme quoi c'est possible). Il y a un vrai sommaire et la présence du court récit par John ROMITA (pour ceux qui ne l'aurait pas encore lu est un véritable bonus appréciable). Par contre le tout perd un peu sur papier glacé. Pour le prix cela serait dommage de passer à côté de ces épisodes. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 22/05/2014 à 13h53. |
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Quel plaisir que de lire ces épisodes. C'est punchy, c'est dynamique, avec un cast secondaire extremement etoffé (MJ quand elle servait encore à quelque chose, Krystie et sa boulimie, Robbie et sa culpabilité, Harry...) et graphiquement ,c'est magnifiquement classique : Buscema et Saviuk, je suis client.
Je n'achete que rarement les Spidey Classiques, mais je suis bien content que d'avoir pris celui là. 4/5. |
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c est clair qu au niveau du cast.... c est impressionnant...
on a plus l habitude alors que c etait la norme... c est clair qu aujourd hui donner des pouvoirs a tous le supporting cast.. c est assez ennuyeux... |
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excellents episodes !
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Une belle surprise que ce Marvel Classic. Je pensais avoir tout lu dans la période rétro du tisseur, heureux de voir que je me suis trompé !
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Je n'ai pas l'habitude de m'acheter des Spidey classic mais vu les avis et étant très fan d'Inferno je pense que je vais craquer.
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Oh oui, fonce, c'est très bon !
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Suite aux commentaires et aux conseils éclairés de certains buzzukis j'ai acheté ce Spidey classic et je ne le regrette pas, merci du conseil les gars.
Tout ce qui a été dit est juste c'est vraiment très bon, cet été je me lance dans la relecture des vieux Nova de l'époque (et des Inferno tiens!). J'ai quand même un petit reproche à faire à Panini car visiblement il manque un épisode au cœur de l'histoire (l'affrontement entre Spidey/Osborn/Hobgoblin).Si je me souviens bien d'ailleurs il avait été publié dans une VI Spidey à l'époque, je n'avais pas réalisé à ce moment là qu'il s’intercalait dans une histoire. Alors certes il n'est pas réellement indispensable pour la compréhension de l'ensemble mais quand même. |
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En VF dans VI SPIDERMAN n°5 (SEMIC) mais aussi dans l'omnibus Spiderman Mc Farlane (PANINI) et Spider-Man Classic n° 1 (PANINI) |
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Voilà c'est bien ça merci, s'il était dans le Spidey classic 1 cela explique pourquoi on ne l'a pas revu dans celui-ci.
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C'était excellent, le caméo des Lobo et du Caid, me rappellent à quel point j'avais aimé la période de la guerre Caid/Lobo, avec l'Arrangeur, Alex Saviuk (qu'est il devenu?) Sal Buscema. Le top du top.
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Ce Marvel Classic se focalisait sur les inédits, mais c'est vrai qu'avec Amazing on aurait pu avoir un volume "Spider-Man Inferno" nickel.
Mais c'est quand même du bon boulot et une très bonne lecture. |
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Spider-man classic 10 : La vengeance de venom
SPIDER-MAN CLASSIC 10 : LA VENGEANCE DE VENOM trimestriel, 5,90 EUR, 128 pages Découvrez de nouvelles aventures inédites du Tisseur ! Dans quatre épisodes d’Amazing Spider-Man, il est opposé au Punisher et à Venom. Puis, deux autres récits mettant en scène le célèbre symbiote extraterrestre. Le tout est signé Michelinie, Larsen, Lopresti et Lim. (Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 330-333, Annual 25(IV), 26(II) ; Spectacular Spider-Man Annual 12(II) ; Web of Spider-Man Annual 8 (II)) Peut être un peu moins bon que le numéro précédent mais ce dernier Spider-Man Classic nous donne une nouvelle fois l’occasion de lire de l’inédit VF (ASM #330-331, AS Annual 26/SSM annual 12/WOSM 8 et ASM 388) et de passer un bon moment de lecture. Au scénario David MICHELINIE qui connait bien le tisseur pour avoir œuvré sur le destin du personnage pendant plus de 7 ans (1987 à 1994). Sur les récits qui nous intéressent le plus on est donc à la moitié de son run (1990). Voulu par Aurelien Vives ce numéro nous propose de passer un moment en compagnie de Venon tout d’abord lors d’un affrontement avec Spider-Man puis à l’occasion de ses aventures en solo raconté à la manière d’un Year One. Le style Michelinie c’est beaucoup d’action mais aussi un fort développement de la vie de Peter Parker et surtout des personnages dit secondaires. Donc ici on a droit à la crise de jalousie de Felicia Hardy qui s’amourache de Flash Thompson. Ce dernier a bien évolué au regard de son mentor, Spider-Man (quel ironie) et du contact des enfants qu’il entraine à la boxe (tiens une affiche Mac Farlane-Larsen en fond). La réaction de Peter devant ce nouveau couple naissant est savoureuse. Mais c’est aussi la vie de couple de Peter et MJ devant les problèmes d’argent et les retombées de la célébrité naissante de madame Parker. MJ est désormais une actrice célèbre tournant dans un soap que la clinique de la foret noire n’aurait pas renié. Pris entre les tarés de toutes sortes (Jonathan Caesar, les fans hystériques et dérangés ou encore le policier Goldman) Michelinie met l’humain au centre des débats dans les péripéties de son Spider-Man. Et cela fonctionne très bien. Aunt May et Nathan Lubinski sont également présents (ce dernier aura son importance plus tard dans le run de Michelinie). Il y a un côté vrai vie dans le Spider-Man de Michelinie. Il en joue car cela tranche forcément avec les menaces et les vilains qu’affrontent Peter. Que de nouveaux personnages en plus : Venom et Styx and Stone. Forcément Venom se taille la part du lion et comme lors de sa création deux ans plus tôt on voit très vite le potentiel du personnage (les pouvoirs du costume quand Brock s’échappe de la prison, cette fausse noblesse envers les innocents, le côté double maléfique, l’histoire commune entre le symbiote-Peter-Eddie). Les 2 histoires inédites mettent en valeur le Punisher. C’est peut être pour la violence gratuite que Semic n’a pas publié les épisodes à l’époque (pourtant le Punisher était publié). En tout cas l’histoire en deux parties se suffit à elle-même et est agréable à lire (comme la suivante avec Venom). Attention pas de menace bigger than life ici juste de bonnes histoires qui permettent d’accompagner la vie privé de Peter et ses amis. Graphiquement c’est Erik LARSEN qui s’y colle. Annoncé comme une copie de Mac Farlane auquel il succède il faut aimer. On retrouve déjà son style dynamique et légèrement excentrique voire caricaturale qui fera son succès sur Savage Dragon. Perso j’ai toujours apprécié (même si je trouve que son Punisher n’est pas tip top). Mais quelle énergie sur son Spider-Man. C’est toujours plus aérien avec des postures impossibles. On a l’impression que les personnages vont sortir des planches. C’est fun tout simplement. En plus l’artiste glisse plein de références cachées : un tee shirt avec Batman barré (on est alors en pleine Batmania suite au premier film de Tim Burton), Archie et Jughead, Jay Leno, Jimmy Olsen…. A signaler que Erik Larsen utilisera à nouveau le Punisher lors de son mini run sur la série Spiderman (à la suite de Mc Farlane cela ne s'invente pas) et sa saga des sinisters six (mémorable) juste avant de rejoindre Image. Les deux récits qui suivent sont une sorte de Venom Year One mais on peut également les voir comme servant d’introduction aux nombreuses productions de l’époque qui donnait la vedette à Venom. Ce n’est pas inintéressant mais pas transcendant non plus. On lit quand même avec plaisir car c’est de l’inédit. Lopresti débute et a fait largement mieux depuis. Par contre la curiosité c’est Ron LIM (qui dessinera souvent Venom) encré par Tom Palmer. Le résultat est déconcertant. Je vous conseille de lire ce numéro qui donne du plaisir avec des scénarios intelligent et très humain (beaucoup plus qu’actuellement). C’est le début des années 90. Le run de Michelinie aboutira à la saga du clone. |
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panini, spider-man, spider-man classic |
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