Les films marquants des Buzzukis

[cyberdino]

	Citation:			Posté par HiPs!
	Tu l’as revu récemment? Pas sûr que ça ait bien vieilli. Un autre Crichton que j’avais adoré c’était Looker avec Albert Finney et James Coburn. Runaway avec Tom Selleck était pas mal non plus. A propos de Mondwest, je ne sais pas si t’es au courant mais c’est la prochaine série HBO. et là je woote un peu quand même

il y a eu en 1980 une série intitulée Beyond Westworld et voici ce qu'en disait une des personnes dans un post :

"Beyond Westworld" est une courte série américaine de 5 épisodes seulement, utilisant les histoires de "Mondwest" (Westworld - 1973) et "Les Rescapés du Futur" (Futureworld - 1976). Seuls 3 épisodes furent diffusés du 5 Mai au 19 Mai 1980, sur les 5 déjà tournés avant l'annulation du show.

Evidement, si la série s'est arrêtée aussi aussi vite, c'est qu'elle n'a pas le niveau d'un "age de cristal" ou d'un "planète des singes" . Mais bon, c'est une petite curiosité...

[HiPs!]

	Citation:			Posté par cyberdino
	Wolfen (1982) de Michael Wadleigh avec Albert Finney. Une histoire de loups dans New York et plus précisément dans les décors naturels du Bronx The Warriors (Les Guerriers de la Nuit) (1979) de Walter Hill. Une réunion de gangs des divers quartiers de New York ; lles Warriors, sont accusé du meurtre du chef d'un gang qui avaient les avaient tous convoqués. Seule issue, reparti chez eux en évitant de se faire tuer par tous les gangs se trouvant sur leur route. A sa sortie en France, il fut interdit pendant quelques mois puis interdit aux moins de 18 ans ; évolution des moeurs ???, il est interdit maintenant aux mois de 12 ans. C'était demain (1979) de Nicholas Meyer j'aime beaucoup ce concept où l'on voit Herbert G. Wells se lançant à la poursuite de Jack l'éventreur qui s'est échappé dans le futur au moyen de la machine à remonter le temps construite par H.G. Wells. Avec Malcolm "Orange Mécanique" Mc Dowell et David Warner. La Machine à explorer le temps (1960) de George Pal avec Rod Taylor. Très bonne adaptation de ce classique de la SF ; j'ajouterai que la version 2002 n'est pas si mal non plus avec comme réalisateur Simon Wells, l'arrière-petit-fils de H.G. Wells.

Effectivement, Wolfen, j’avais beaucoup aimé dans cette mini-vague de flims de loups-garous, Hurlements, le loup-garou de Londres et j’en oublie, qui déferla à une époque.
De Walter Hill, j’aurais personnellement choisi 48 heures, qui a du prendre un sacré coup de vieux ceci-dit mais le duo Nolte/Murphy est quand même classe et préfigure un peu le buddy-movie.
Et moi aussi, j’avais beaucoup aimé les deux adaptations de Wells que tu cites. Le George Pal tient plutôt encore bien la route au niveau des effets spéciaux.

(Je ne savais pas pour le remake de Time Machine que je ne suis pas sûr d’avoir vu réalisé par un descendant de Wells)

[wildcard]

	Citation:			Posté par FrancoisG
	Ah ben moi c'est exactement l"inverse, je n'ai pas le temps de me pencher exagérément sur les vieilles pépites, et mathématiquement, plus le temps passe et moins c'est possible, chaque année apportant son lot de nouveaux films et de séries.

Mon intérêt pour les vieilleries est aussi aiguisé parce que j'habite dans une petite ville où il n'y a qu'un seul cinéma (classé "art & essai", financé par la municipalité) avec seulement trois salles, donc forcément le choix n'est pas immense. On a le grand succès populaire du moment dans la salle 1, un film à l'audience intermédiaire dans la salle 2, et un film d'auteur dans la salle 3. Une fois par mois, une séance ciné-club avec une copie en vo (soit une reprise, soit un titre confidentiel), avec débat après la projection (pour les couche-tard et les bavards).
C'est d'ailleurs un bon baromètre pour constater ce qui marche vraiment parce que quand un film ne fait pas un score suffisant, il n'a aucune chance d'arriver jusque chez moi. C'est frustrant parfois, mais quand un long métrage n'est toujours pas programmé un (voire deux) mois après sa sortie officielle, c'est que c'est mort.
Du coup, qu'est-ce qui reste quand on a quand même faim ? La télé, les plateformes de streaming et les dvd. Et là, je vais plutôt vers les vieilleries, parce que c'est un peu comme les cours du soir : ça me permet de réviser.

	Citation:
	Et Eva Green, bordel, elle est déjà oubliée

C'était une liste d'acteurs/trices non exhaustive. Mais Eva Green of course. Et Léa Seydoux. Et... Et plein d'autres !

	Citation:
	Vous m'épatez, vraiment. 200 films qui ont marqué mon parcours de cinéphile ça me dépasse ! Sauf à considérer que chaque film apporte sa pierre à l'édifice...

	Citation:			Posté par Fredeur
	Pareil, mais avec ma modeste culture cinématographique, ce n'est pas étonnant.

Je ne situe pas tant ça au niveau de la culture cinématographique qu'au niveau de la curiosité. Je ne me considère pas, loin s'en faut, comme un expert du 7ème Art, ni même un cinéphile. Quand j'avais la vingtaine, oui, je consommais énormément de films, sur tous les supports (en salles, en vhs - ce dernier point trahit mon grand âge). Mais je me suis beaucoup calmé depuis (même si je dois rester dans une tranche haute par rapport à mon entourage).
En vérité, c'est très simple : quand j'ai du temps et que je ne sais pas quoi faire (or surf sur le net), je lis ou je regarde des films. Mais je triche aussi parce que régulièrement je revois des films que j'aime (combien de fois ai-je revu par exemple Les 7 mercenaires depuis la première fois que je l'ai découvert ? C'est une vraie madeleine de Proust, j'ai dix ans à chaque fois : on ne peut pas se lasser de ça.).

Après qu'importe qu'on ait vu et aimé cent ou mille films. Pour moi, le critère d'un bon film, en fait, c'est quand on a pris plaisir à le voir, qu'on le reverra avec plaisir, qu'il vous reste en mémoire (parce qu'il est beau, drôle, triste, palpitant, flippant, au choix). Je crois qu'après une bonne partie du choix se fait naturellement à partir de ces critères : on aime certains films moins pour leurs grandes qualités que parce qu'on a un lien affectif, sentimental avec eux - c'est, je crois, le plus important.

[bukowski]

[QUOTE=cyberdino;1668959]Wolfen (1982) de Michael Wadleigh avec Albert Finney. Une histoire de loups dans New York et plus précisément dans les décors naturels du Bronx
QUOTE]
J'ai un bon souvenir du film. Un moins bon du roman. Je me souviens que l'auteur était parti loin dans ses délires par la suite...

[bukowski]

	Citation:			Posté par wildcard
	Mon intérêt pour les vieilleries est aussi aiguisé parce que j'habite dans une petite ville où il n'y a qu'un seul cinéma (classé "art & essai", financé par la municipalité) avec seulement trois salles, donc forcément le choix n'est pas immense. On a le grand succès populaire du moment dans la salle 1, un film à l'audience intermédiaire dans la salle 2, et un film d'auteur dans la salle 3. Une fois par mois, une séance ciné-club avec une copie en vo (soit une reprise, soit un titre confidentiel), avec débat après la projection (pour les couche-tard et les bavards). C'est d'ailleurs un bon baromètre pour constater ce qui marche vraiment parce que quand un film ne fait pas un score suffisant, il n'a aucune chance d'arriver jusque chez moi. C'est frustrant parfois, mais quand un long métrage n'est toujours pas programmé un (voire deux) mois après sa sortie officielle, c'est que c'est mort. Du coup, qu'est-ce qui reste quand on a quand même faim ? La télé, les plateformes de streaming et les dvd. Et là, je vais plutôt vers les vieilleries, parce que c'est un peu comme les cours du soir : ça me permet de réviser. C'était une liste d'acteurs/trices non exhaustive. Mais Eva Green of course. Et Léa Seydoux. Et... Et plein d'autres ! Je ne situe pas tant ça au niveau de la culture cinématographique qu'au niveau de la curiosité. Je ne me considère pas, loin s'en faut, comme un expert du 7ème Art, ni même un cinéphile. Quand j'avais la vingtaine, oui, je consommais énormément de films, sur tous les supports (en salles, en vhs - ce dernier point trahit mon grand âge). Mais je me suis beaucoup calmé depuis (même si je dois rester dans une tranche haute par rapport à mon entourage). En vérité, c'est très simple : quand j'ai du temps et que je ne sais pas quoi faire (or surf sur le net), je lis ou je regarde des films. Mais je triche aussi parce que régulièrement je revois des films que j'aime (combien de fois ai-je revu par exemple Les 7 mercenaires depuis la première fois que je l'ai découvert ? C'est une vraie madeleine de Proust, j'ai dix ans à chaque fois : on ne peut pas se lasser de ça.). Après qu'importe qu'on ait vu et aimé cent ou mille films. Pour moi, le critère d'un bon film, en fait, c'est quand on a pris plaisir à le voir, qu'on le reverra avec plaisir, qu'il vous reste en mémoire (parce qu'il est beau, drôle, triste, palpitant, flippant, au choix). Je crois qu'après une bonne partie du choix se fait naturellement à partir de ces critères : on aime certains films moins pour leurs grandes qualités que parce qu'on a un lien affectif, sentimental avec eux - c'est, je crois, le plus important.

Pour ma part, j'ai vraiment commencé à m'intéresser au cinéma vers 14 ans, quand mes parents ont acheté un lecteur vhs. Au moment où j'ai eu une télé couleur en fait ! C'est à la bibliothèque que j'ai commencé à voir des films de Lang (en noir et blanc donc), Wenders et autres... D'où mon attachement au noir et blanc.

[gillesC]

Tiens, bonne idée de se souvenir du moment où l'on est passé de léger cinéphage normal à cinéphile (pour ceux qui... )




Ah oui, bon souvenir de Wolfen, me semble.... mais flouuuuu... ce fut quand même vu il y a plus de 25 ans. °_0

[cyberdino]

The Keep (La Forteresse Noire) (1984) de Michael Mann : Des nazis sont envoyés pour garder une vieille et mystérieuse forteresse roumaine. L'un d'eux, par erreur, laisse s'échapper une force inconnue qui était prisonnière des murs...Avec Scott Glenn, Gabriel Byrne et Ian Mc Kellen.
L'étrange créature du Lac noir (1954) de Jack Arnold. 1er film en relief à voir avec les lunettes en carton aux verres rouges et bleu ; toute une époque. Film qui est passé il y a très longtemps dans l'émission présentée par Eddy Mitchell "La Dernière Séance" ; que de souvenirs. Il existe deux suites ; la 3ème est très rare à récupérer donc à voir !!!!
L'Epée sauvage (1982) d'Albert Pyun . Film d'héroic-fantasy dans la mouvance de Conan. Quand je l'ai vu au ciné, un flim sympa et très bien fait et meilleur que les sous-Conan italiens qui déferlaient dans les années 80 . Comme méchant de service, Richard Lynch et comme héros, Lee Horsley vu dans Matt Houston.
L'Age de cristal (Logan's Run) (1976) de Michael Anderson
Qui ne connait pas ce film ou les humains vivent dans des domes et à l'age de 30 ans doivent mourir quand s'active le cristal qui se trouve dans la paume de leur main et renaitre ensuite ???? une série dérivée de ce flim a vu le jour en 1977-1978 et une série de comics adaptée par Marvel et dessinée par George Perez.
Les Dents de la Mer I (1976) de Steven Spielberg rien à dire sur ce flim et sa musique angoissante et effets spéciaux garantis !!!! Le 1er requin qui a donné naissance aux Sharknado, Sands Sharks et autres Requins à trois têtes !!!

[JB]

Tiens, je pensais justement à évoquer la Forteresse Noire, et son long plan où Gabriel Byrne se trimballe terrifié avec sa sorte de crucifix.

[wildcard]

	Citation:			Posté par gillesC
	Tiens, bonne idée de se souvenir du moment où l'on est passé de léger cinéphage normal à cinéphile (pour ceux qui... )

A dire vrai, je ne sais pas si j'ai été l'un et si je suis devenu l'autre. Je résumerai plutôt ça en disant que j'étais un consommateur de films, sans grand discernement (étudiant, je suis vraiment allé voir tout et n'importe quoi, et j'en garde finalement un souvenir très confus), et que je suis devenu un amateur curieux de films.

Considérer qu'il faut mieux voir les films en salles que chez soi. Tout ça, c'est bien joli quand on habite dans un coin qui offre un large choix de films en salles. Mais sinon, il faut se débrouiller autrement.
La découverte de beaucoup de films s'est passée par la télé (le fameux film du dimanche soir, l'émission "La dernière séance", "Le cinéma de minuit", "Le ciné-club"), ou la vidéo (vhs hier, dvd aujourd'hui). C'est intimement lié. Du coup, ça a désacralisé ma relation aux projections en salles, je n'en fais pas toute une affaire, c'est juste cool quand je peux voir un film en salles la première fois. Si je ne peux pas, j'attends le dvd ou la diffusion télé, c'est aussi une façon de tester l'envie de voir un film quand on doit patienter quelques mois.

Du coup, je n'ai jamais ressenti ce basculement, un âge où je serai devenu un soi-disant spectateur éclairé. Mais je suis curieux d'apprendre quand ça a pu se produire chez d'autres, le film qui a représenté un tournant (comme d'ailleurs on peut l'éprouver avec une BD, un roman, un disque...).

[wildcard]

	Citation:			Posté par bukowski
	Pour ma part, j'ai vraiment commencé à m'intéresser au cinéma vers 14 ans, quand mes parents ont acheté un lecteur vhs. Au moment où j'ai eu une télé couleur en fait ! C'est à la bibliothèque que j'ai commencé à voir des films de Lang (en noir et blanc donc), Wenders et autres... D'où mon attachement au noir et blanc.

C'est épatant, ça, de pouvoir situer l'âge où tu as commencé à t'intéresser au cinéma. J'en serai incapable. J'ai l'impression que ça a toujours été plus ou moins là. Mes parents ont toujours eu la télé et je ne me souviens pas qu'ils nous interdisaient des films à ma soeur et à moi, c'était plus sournois (du genre : "maintenant, au lit")...
Par contre, j'ai des souvenirs lointains de films regardés avec mon père, surtout des westerns. J'ai oublié la majorité des histoires de beaucoup d'entre eux, mais les symboles (surtout visuels donc) du western m'ont profondément marqué, ça remonte à très loin. C'est d'ailleurs lié à la BD western puisque j'étais très tôt un fan de Lucky Luke, puis Blueberry, Comanche...
Quand j'y repense, je baignais vraiment là dedans. C'est devenu un genre presque social pour moi car j'avais l'impression que, mon père étant ouvrier, les films de western étaient les films préférés des ouvriers et de leurs enfants (à leurs fils en tout cas, car ma soeur détestait les westerns).
Heureusement qu'on finit par se calmer en vieillissant sinon j'aurai fini par ressembler à un fan de country, qui marche avec des santiags et qui porte un chapeau, un gilet à franges, etc.

[FrancoisG]

De 40 à 50, sans ordre particulier :

Independence Day de Roland Emmerich (1996)
LE film catastrophe et de destruction à grande échelle. Il a depuis fait mieux avec 2012. En terme d'ordre de grandeur.


Le Cercle des poètes disparus de Peter Weir (1989)
Une joie de vivre qui disparait au fur et à mesure, alors que la poésie suit le chemin inverse.


Les Tontons Flingueurs de Georges Lautner (1963)
On est bien d'accord que le film ne tient que par les dialogues et les acteurs qui en font des caisses (un peu aussi grâce à l'éclairage et aux bruitages^^).
Mais la magie est là, indéniable. Un des rares films que j'ai toujours à disposition.
Impossible de ne pas déposer ici une réplique
"C'est quand même marrant les évolutions. Quand je l'ai connu le mexicain, il recrutait pas chez tonton."
"Vous savez ce que c'est non ? L'âge, l'éloignement... A la fin de sa vie, il s'était penché sur le reclassement des légionnaires."
"Ah ! Si c'est une œuvre, alors là !! Là, c'est autre chose."

Sailor et Lula de David Lynch (1990)
Une belle claque à l'époque, j'ai été captivé dès les flammes du générique.
Tout était excessif dans ce film.
Je me souviens avoir pris un extrait pour le cours d'anglais^^


Robin des bois de Wolfgang Reitherman (1973)
Les Arisssstochats ont déjà été ssscités, et puis je crois que sssc'est ssscelui-sssci que j'ai vu en premier ! Sssssuperbe ssssouvenir.


Le Festin nu de David Cronenberg (1991)
Tous les thèmes chers à Cronenberg sont ici présents. Un visionnage complexe et troublant, quelques scènes bien dégueulasses et au final une impression mitigée tellement c'était hermétique.


L'Au-delà de Lucio Fulci (1981)
Une VHS que j'ai longtemps hésité à louer (je me rappelle encore l'odeur du vidéo club), la jaquette était pleine de promesses ! Mis à part les classiques scènes de gore, je me souviens d'un final glaçant et onirique avec cette vision de l’au-delà...


Jurassic Park de Steven Spielberg (1993)
Des dinosaures hyper bien foutus pour la 1ere fois sur grand écran, le pied !!


Les Rois du désert de David O. Russell (2000)
Un film de guerre rythmé, décalé, avec de l'humour et quelques scènes bien marquantes de part leur réalisme (explication de la blessure par balle, torture...). Bancal sans aucun doute, mais intriguant.

Le Cinquième Élément de Luc Besson (1997)
Deux heures d'actions, d'aventure et de SF, un must pour moi ! Avis loin d'être partagé par le public
Leeloo et son multipass

[HiPs!]

Ah ben tu vois je pensais qu'avec Dirty Dancing, on avait touché le fond, non finalement, on peut toujours faire pire. Et twice en plus. Emmerich, Besson, belle paire de nazes. Bien joué.

"Patricia, mon petit, l'homme de la pampa, souvent rude, reste toujours courtois. Mais la vérité m'oblige à te le dire: ton Antoine commence à me les briser menu!"

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par HiPs!
	Ah ben tu vois je pensais qu'avec Dirty Dancing, on avait touché le fond, non finalement, on peut toujours faire pire. Et twice en plus. Emmerich, Besson, belle paire de nazes. Bien joué.

je ne vois pas ce que tu veux dire.

Bon mes films de 81 à 90 ce soir si tout va bien

[BouZouK]

Beaucoup de flims où je me retrouve. Quelque-uns que je ne connais pas, que je note et testerai à l'occasion.
Ma maigre contribution (sans reprendre des références déjà citées mais en respectant les règles ) :



1966 ou 67, de Claude Berri
Vu une première fois quand j'étais chez ma nounou (ce n'était pas hier, donc).
Un grand moment de 'motion, qui se reproduit à chaque fois que je le revisionne (au moins une fois par an). Certainement parce que ce flim me rappelle mon aieul, que j'ai autant d'affect.






1975 - de J Sharman.
Vu sur le tard, 1993 je crois, mais alors quelle claque ! J'ai du le voir presque une centaine de fois (en cumulant les versions films, théâtre, et en spectacle vivant sur toile).
Curry y est juste magistral. Je ne dirai pas que depuis ce jour j'aime bien porter résilles, jaretelles et corset en soirée, mais presque.
Comme le vieil homme et l'enfant, au moins un visionnage par an.






1998 - Le premier long métrage de G RITCHIE, et pour moi le meilleur avec SNATCH. Tout en gardant une préférence pour celui-ci. J'aime l'histoire, les acteurs, la musique. C'était vraiment frais et original à l'époque.

[Fletcher Arrowsmith]

tu m'as piqué Rocky Horror Picture Show