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------The Flash------
Vous voulez une critique des episodes recents du scarlet speedster ? c'est ici
The Flash 217-218 --------------> page 1
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Dernière modification par Dil ; 27/01/2005 à 20h04. |
#2
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The Flash #217 : Post-crisis
The Flash 217 : Post-Crisis
Ecriveur : Geoff Johns Dessineur : Howard Porter Baveur : Livesay Resumé : Critique : La phrase choc :
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#3
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petite question .... pour ceux qui suivent la serie ( ce que je n ai pas fait depuis le milieu du run de Waid )
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merci
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#6
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Ouais ici c'est Hunter Zolomon, l'ancien rogue profiler, qui a fait son nervous breakdown et a repris le legacy de zoom. On le voyait libéré déjà dans le Wonder Woman de décembre. Ben moi j'ai beaucoup aimé l'épisode, comme presque toujours avec les Flash de Johns. Le ton est juste, il se passe plein de choses, on annonce les plots de demain tout en avançant dans ceux d'aujourd'hui, concluant ceux d'hier. Le retour de Linda, à nouveau reporter, tellement importante dans la vie de Wally. Ouais heureux le John, pourvu que ça continue comme ça encore longtemps! Avec la rogue war à l'horizon...
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johnkeats.space-blogs.com |
#7
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Flash #218 "Rogue profile : Heat wave"
THE FLASH #218
Written by Geoff Johns, art by Peter Snejbjerg, cover by Howard Porter and Livesay. A Rogue Profile on the reformed villain Mick Rory, a.k.a. Heat Wave! Find out what drove Heat Wave to a life of fire and crime, and what's drawing him back in. James Jesse has a mission for Heat Wave: take down the killer Murmur and prove he still has what it takes to join the FBI. But little does Heat Wave realize, he's about to become a catalyst for what soon will be known as...Rogue War! 32 pages, $2.25, in stores on Jan. 26. Resumé : Critique :
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il y a quelques vignettes qui sont magnifiques mais c'est vrai que ce n'est pas du bon snejberg...
sinon superbe caractérisation de ce vilain un peu particulier
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#9
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Rogue War – Flash #220 à 225
Johns, Porter, Livesay Je suis la série Flash en VO depuis le #200. Ca tombe bien car les évènements de cette Rogue War sont un peu l’aboutissement d’éléments mis en place depuis ce moment là. Le #200 étant aussi lui-même l’aboutissement du run de Johns en compagnie de Scott Kollins (que l’on devrait pouvoir lire prochainement en VF). Avant toute chose, il faut éclaircir cette notion de Rogue qui semblent être propre à l’univers de Flash. C’est une galerie de super-vilains, pas forcément très méchants, mais avec une forte propension à utiliser leurs « super » habilités pour commettre les crimes les plus divers. Si je devais rapprocher ça de quelque chose de connu, ce serait sûrement la galerie très étendue de criminels que se trimballe Spider-Man. Avec ici une subtilité, Johns (ou ses prédécesseurs) ont très bien codifié tout ça : que ce soit les motivations des Rogues, leurs relations entre eux, leurs relations avec Flash etc. C’est le premier tour de force qui fait de cette histoire (au sens large, j’englobe ici l’ensemble du plot, et pas seulement la guerre à proprement parler) une réussite : transformer ce qui serait en temps normal des losers de troisième division, bon à faire les sparring-partners dans des fill-in peu inspirés, en personnages bien caractérisés, que ce soit par leur passé, leurs motivations, leur capacité à se constituer en groupe… Et ce n’est pas un euphémisme de dire que la partie « Rogue » de la série est bien plus intéressante que la partie « Flash » sur la partie que j’ai lu, grâce à l’approche subtile qu’a mis en place Johns. Je dois dire que je ne suis peu attiré par le personnage de Flash (ou « du » Flash) globalement, et encore moins par celui-ci. Barry Allen passe encore, le personnage plus le concept de la speedforce permettent de mettre en place une série originale. Mais Wally West… depuis que je le connais, j’ai l’impression de n’avoir qu’une photocopie de Barry, sans traits véritablement distinctifs comme en ont eu les Green Lantern successifs, ou les Robin par exemple. C’est le défaut de la méthode DC très intéressante des « remplaçants ». Parfois, la différenciation ne se fait pas. Pour le peu que j’en ai lu, c’est le cas ici. Dans ma situation, cela reste néanmoins dans le domaine du procès d’intention, ça ne freine pas ma lecture étant donné que je ne connais pas en profondeur l’époque Allen. C’était surtout pour poser le cadre. Donc on a Wally West, et sa charmante épouse Linda. Je mettrais ce qui se passe dans le #200 en spoiler si nécessaire pour préserver les lecteurs qui vont reprendre la série en amont en français. Disons qu’un drame assez terrible amène Wally à prendre une décision importante qui va rythmer la série pendant plusieurs mois et surtout faire écho à Identity Crisis. L’événement en lui-même : On en arrive au rapport avec Rogue War. Pour ceux d’entre vous qui ne me croiraient pas sur parole, un petit panorama de l’action débridée que Johns a déroulé en 5 numéros (la conclusion dans le #225 étant à venir le mois prochain) : Côté dessins, Porter a pris haut la main la succession de Kollins. Avant lui, il y a eu deux ou trois dessinateurs dans des styles assez différents, mais rapidement Porter a pris la main. Je garde un très bon souvenir de son Flash de la JLA dans les épisodes publiés en français. Tous les effets visuels symbolisant les déplacements du personnages m’avaient agréablement surpris. C’est selon moi un défi de rendre des scènes d’actions bourrées de déplacement à grande vitesse intéressantes sur le papier et Porter y arrive admirablement. D’ailleurs, mention très bien pour toutes ses planches d’action dans les numéros de Rogue War qui présentent la difficulté supplémentaire de mettre en scène beaucoup de personnages, pus le décor urbain de Keystone, plus les effets des différents pouvoirs. Ses dessins sont plus nerveux et plus stylisés que dans la JLA, ils ont évolué d’une manière qui me plaît bien. Il ne démérite pas non plus sur les personnages même si ça reste assez stéréotypé. D’ailleurs, j’apprécie assez peu sa représentation de Wally West, le personnage a toujours les traits assez durs ce qui le fait passer pour beaucoup plus vieux qu’il n’est. Livesay est très bon à l’encrage mais je tenais surtout à souligner le boulot du coloriste Sinclair. Ce dernier contribue grandement à faire des « effets spéciaux » (vitesses de Flash et pouvoirs des Rogues en général) une réussite, le tout sans rendre les planches trop chargées et/ou psychédéliques. Voilà, je suis allègrement sorti du cadre de Rogue War mais la narration de Johns est tellement emballante… j’aurais pu continuer pendant un moment. Certains numéros précédant le 220 nous montrent d’ailleurs assez peu Flash afin de mieux se concentrer sur un Rogue. De cette façon, Heatwave et Captain Cold sont mis largement en avant. Ce n’est pas révolutionnaire, mais lorsque arrive le final et que tous les personnages sont réunis, personne ne fait de la figuration car les lecteurs ont de l’intérêt pour le sort de tous. D’ailleurs, plus on s’approche de la fin plus on découvre à quel point les aventures allant du #200 à la fin du run de Johns (#225) ne forment qu’une seule boucle (et c’est un euphémisme^^). Les auteurs qui ont du mal à s’investir plus de 6 ou 12 mois sur un projet devraient sérieusement en prendre de la graine. Je reviendrais le mois prochain mettre à jour si la conclusion le nécessite Dernière modification par Rhodey ; 06/08/2005 à 14h20. |
#10
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super critique, comme toujours. j'ai jamais été très fan aussi du Flash, mais j'ai pris ma 1ere VO avec le 216 ou 218 et j'ai de suite accroché, Johns y fait un travail de fou et tous les Rogues gagnent une classe, un style et une dangerosité exceptionnelles que je n'aurais pas cru possibles pour ce genre de persos généralement losers, comme tu le dis.
c'est vrai que c'est très dense et les 4 derniers numéros sont superbes, tout est très bien mit en place et raconté, comme une partition de musique jouée à la perfection, avec des super cliff hangers qui te foutent une surprise que j'ai rarement ressentie ces dernières années. |
#11
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Batman, avant de repprocher à Flash de ne pas tenir ses ennemis en laisse, il ferait mieux de fermer sa gueule et surveiller ce qui se passer du côté de Gotham...
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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