#121
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Birds of Prey #18
Un bon épisode, réussi sur la caractérisation et des intrigues classiques mais efficaces. Dinah et Sin s'entraînent, la seconde testant son lien avec Megaera et les super-pouvoirs associés. Barda et Cassandra se confrontent aux jeux-vidéos, mais Oracle a intercepté des communications sur des criminels qui veulent récupérer Megaera et Sin. Il est acté qu'un piège va leur être posé, avec Dinah et Sin qui partent pour un week-end entre soeurs. Barda se vexe et part avec Cassandra, mais Oracle doit les envoyer finalement aider John Constantine, qui a un souci avec l'étrange dimension magique The Seam vue dans le #2. Elles y vont, voient un John possédé, et ça se bagarre avec des monstres, ce qui fait plaisir à Barda. En parallèle, Sin et Dinah captent une attaque à venir et font semblant de ne rien voir, dans un chalet, mais se préparent à la bagarre. C'est efficace. Kelly Thompson gère bien ses personnages, maîtrise bien les liens et j'apprécie autant les échanges que les caractérisations. Les intrigues sont basiques mais fonctionnent bien, notamment grâce aux personnages bien croqués, et j'apprécie de revoir The Seam mais aussi la menace sur Sin/Megaera. Ca ne révolutionne rien mais ça fonctionne, et Juann Cabal livre de belles planches, bien dynamiques et jolies. Sans brillance mais de belles et bonnes choses. |
#122
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JSA #4
Solide et efficace. Jeff Lemire fait une micro-pause dans le récit vu par les super-héros actifs de la JSA, pour se concentrer sur d'autres en difficulté. D'abord la Dr Mid-Nite, enlevée par le faux Obsidian et gardée par un Grundy qu'elle parvient à vaincre. Elle assiste à la réunion de l'Injustice Society, et apprend qu'ils cherchent le Heaume de Fate mais aussi la Lance de la Destinée, avec Scandal Savage très impliquée dans la hiérarchie. Hawkman est poursuivi en Enfer par Gentleman Ghost et Grundy, alors que Mid-Nite tente de fuir encore. On voit Obsidian perdu dans un hôpital étrange, drogué pour tout oublier, mais un contact avec des ombres lui rappelle tout, et il se reprend. Il croise Jakeem, tous deux n'arrivent pas à fuir... et Mid-Nite le voit branché à une machine : il rêve tout ceci, sous une installation basée sur la science de Ted Knight. Mais Scandal Savage la retrouve, l'attaque et lui annonce que le Temps de la Justice est terminé... C'est solide, oui. Jeff Lemire prend du temps sur la Dr Mid-Nite, dont je ne sais pas grand-chose mais qui est ici sympathique et compétente, et Obsidian, remplacé jusque-là. Il ne révolutionne rien mais manie bien les personnages, et surtout donne un rythme agréable et prenant. L'Injustice Society est aussi bien animée, et l'ensemble donne envie d'en savoir plus. Joey Vazquez propose des planches correctes, un peu nerveuses et qui fonctionnent bien. Une bonne parenthèse liée à l'intrigue globale, solide et prenante. |
#123
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Power Man: Timeless #1
Oh wow, le machin pourri. Je n'avais déjà pas été convaincu par le one-shot sur un futur sombre, où Khonshu avait corrompu Danny Rand pour en faire son Immortal Moon Knight, avec un vieux Luke Cage qui les affrontait avec ses pouvoirs, l'irradiation ayant fait de lui un Hulk, la puissance de Sentry et le Poing d'Acier d'Iron Fist. Là, on retrouve ce vieux Luke arrivé dans le présent, qui voit l'enterrement de Danny Rand et tente de trouver une voie pour lui dans l'Espace, tombant face à un doux-dingue Aegon The Knife (un Space Knight messianique, apparemment), qui veut et peut tout détruire et couper, et une jeune entité qui vive dans un Coeur Céleste. Tous deux cherchent un Champion pour la Galaxie, Luke refuse mais Aegon détruit le Coeur, et Luke commence à s'énerver même si Aegon l'a vaincu avant. Wow, c'est pas bon, ça. J'ai généralement aimé tout ce que j'ai lu de Collin Kelly & Jackson Lanzing jusque-là, mais le duo de scénaristes me perd ici. Je n'aime rien de ce que je vois. Ni ce Luke Cage tellement bardé de pouvoirs que ça en devient ridicule même pour un lecteur de super-héros acharné et encore enthousiaste après 27 ans comme moi. Ni cette intrigue spatiale naze, avec ces personnages bidons. Bernard Chang propose des planches correctes, mais plusieurs passages sont moyens graphiquement également. Concept pourri, personnages pourris, épisode naze. Je n'y reviendrais pas, sauf par curiosité morbide. |
#124
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Absolute Superman #4
Ça avance, l'univers est nourri, c'est solide... mais ça ne m'emballe toujours pas. Jason Aaron revient sur Terre avec Lois Lane qui interroge plusieurs personnes sauvées et aidées par The Superman, qui parlent peu mais espèrent qu'il libérera sa juste fureur sur Lazarus. Elle veut aider et comprendre, on apprend qu'elle est agente de Lazarus depuis trois ans, et son père le Général est à la retraite depuis que les Omega Men lui ont coupé les jambes. Il appelle sa fille pour la pousser à se protéger dans ses avancées, elle se fait interpeller par Alpha des Omega Men, qui pense pouvoir lui montrer que Lazarus est maléfique. Le Peacemaker Christopher Smith est traumatisé par sa rencontre avec The Superman, mais Brainiac (définitivement un être vivant à la peau verte derrière le logiciel) le remet en service. Une Omega Prime interrompt Alpha, qui est Jimmy Olsen, et cette Primus interpelle Lois. The Superman arrive, repousse les Omega Men, exige que Lois arrête son enquête et fige dans la glace des Peacemakers qui arrivaient. Jimmy le prend en photo en partant et quitte les Omega Men en ayant une bonne vision de Lois, alors que Christopher Smith a massacré des innocents en se libérant de la glace... C'est solide mais ça m'emballe peu. Jason Aaron nourrit le contexte Lazarus, présente les Omega Men et amène Jimmy. C'est correct, ça fonctionne et l'intervention de The Superman est efficace. Le subplot sur Smith est correct, le discours des témoins est fort... mais bon, ça ne m'excite pas et ça m'intéresse peu. Rafa Sandoval continue de livrer de belles et bonnes planches, ce qui reste un atout. Des choses bien amenées mais je ne suis pas dedans. |
#125
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Batman #157
Allez, on remballe les jouets dans un double épisode final qui range ce qu'il faut et livre de bons moments. Chip Zdarsky montre ainsi Batman se projeter sur l'avion qui doit amener Leonid Kull en Russie avec les codes de la défense américaine. Ça se bagarre, Kull confirme que la Russie s'est alliée à la Cour des Hiboux car Gotham était leur croque-mitaine et l'incarnation de l'Amérique à détruire pour eux. Bruce détourne ses tirs, mais Leonid est tué. L'avion va s'écraser, Batman anéantit les ailes (avec des armes à feu et ça le crispe) pour le poser au sol en obtenant de Bullock l'évacuation des rues malgré le contre-ordre du commissaire Savage. Tetch stoppe les bombes russes, Gordon sauve Nygma d'une chute mortelle et Batman confronte Commander Star, alias KGBeast que la Russie allair sacrifier quoiqu'il arrive. Ça se bagarre, Batman le tabasse mais se retient devant la foule. C'est une victoire à la Pyrrhus, et il faut reconstruire. Bruce va rencontrer Wil, l'homme qu'on disait être le bâtard de son père, mais leur échange révèle un soignant qui n'aime pas ce que Bruce renvoie et confirme que le test ADN est négatif, et que Thomas a eu un moment d'errance passager. Bruce part, discute avec Leslie et va voir Gordon, qu'il pardonne pour les actes même le meurtre du Maire sous influence. James veut retourner au GCPD même dans la rue, et Batman veut aller de l'avant en acceptant tous leurs faiblesses. Et il part répondre à une alerte ! C'est bien et bien fait, pour un final cadré et sans vague. Chip Zdarsky retombe bien sur ses pattes, gère bien l'ensemble et propose des moments funs. Le coup de l'avion me rappelle le début du volume avec le lancement par Tom King, ça ferait en soi une belle boucle si ce volume s'arrêtait sur ça, et j'avoue que ça me fait marrer. Le reste est solide et efficace, le travail sur Gordon est plutôt bon, et j'aime cette humanité sur Batman, les projets de Bruce (et son initiative qui le rapprochait des oeuvres de ses parents) et la gestion globale. La vérité sur Wil est bien fichue, la conclusion est inspirante et les dessins de Jorge Jimenez et Tony S. Daniel sont complémentaires et fort jolis. Avec l'ambition limitée de tout ranger dans une ultime pirouette, l'épisode est bon, prenant et fun. C'était cool. |
#126
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Namor #7
Intense. Jason Aaron livre un avant-dernier ultra puissant, sur la caractérisation et le principe même de Namor. Celui-ci se présente ainsi devant les sept autres Rois-candidats et leurs troupes, avec le Trident de Neptune... et il les défie tous, car il refuse de les laisser être Rois. Ça se lance donc, et Namor tient, repousse les vagues d'ennemis mais n'en tue aucun, revitalisé par le Trident. Les heures passent, les ennemis se reposent et Namor... chante. Le même cheminement se reproduit, avec combats, résistance et chant. Les troupes se crispent, les déterminations cèdent et il y a des défections pour chanter avec lui, même s'il refuse qu'ils se battent avec lui. Kailani le confronte mais il la bat moralement, en disant que personne n'est digne d'être Roi et d'avoir ce poids. Finalement, tous cèdent devant sa détermination et sa force... car en flashback, on voit que son passage onirique, celui que chaque Roi doit faire et qu'il n'avait pas voulu faire, l'a amené voir Neptune dans le passé. C'est Neptune qui a englouti Atlantis et a nourri d'autres légendes, car il était jaloux que d'autres dieux soient priés et valorisés par les Humains. Il attire à lui les Atlantes, formidables alors, pour avoir les meilleurs des meilleurs. Cela enrage Namor, qui le frappe dans le passé et ça nourrit sa force au présent. Ses ennemis lui rendent son trône mais il le détruit... car Atlantis est morte, et longue vie à Atlantis ! C'est fort. Je suis emballé et emporté par cette proposition, la force de ce Namor et de sa posture. J'ai trouvé l'épisode ultra épique et prenant, je suis client de la révélation sur Atlantis et de ce que ça déclenche sur Namor. J'aime aussi sa façon de soumettre ses ennemis, et je suis super curieux de savoir où ça peut finir. Paul Davidson et Alex Lins livrent toujours des planches puissantes et dynamiques, très adaptées aux récits et ambiances. Un gros choc, je suis fan et emballé. |
#127
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Scarlet Witch #9
Steve Orlando est en train de me perdre sur ce volume, le troisième de son run sur Wanda, et j'en suis le premier attristé car j'aime beaucoup ce qu'il en fait. Hélas, le rajout de l'élève mystérieuse Amaranth gêne tout, car celle-ci est une tête à claques qu'on a encore envie de baffer ici, alors que Black Cat vient faire un casse dans la réserve magique de Wanda. Celle-ci a l'accord des divers Mages Marvel pour conserver des reliques ultra dangereuses, et Felicia a charmé un vieux copain cornu de Dr Strange pour venir ici. Amaranth s'emporte, libère le côté malfaisant de Felicia qui commence à causer bien des dommages, alors qu'Amaranth ouvre une porte surprotégée et se laisse posséder par un sceptre maudit. Objectivement, c'est sympathique pour les échanges entre Wanda et Felicia, mais Amaranth m'ennuie et pire encore m'énerve. Steve Orlando l'écrit comme une ado' insupportable et égoïste, égocentrique, et je n'ai rien qui m'attache à elle. Dommage qu'elle prenne ainsi tant de temps et de place, alors que Jacopo Camagni livre des planches dynamiques et bien nerveuses. De bonnes choses gâchées par un perso' bien trop présent et mal caractérisé. |
#128
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The Ultimates #9
Bonne petite parenthèse ici, où Deniz Camp présente une nouvelle version d'un personnage connu dans ce nouvel univers Ultimate. Ici, c'est Luke Cage, fort maltraité dans l'Ultimate initial, qui est ici emprisonné sans raison en 2004 pour une peine allant entre un an... et toute la vie, "et c'est comme ça". Il passe vingt ans à s'entraîner en prison dans un complexe du consortium Midas, il lit, il se muscle, mais il est souvent tabassé et ses tentatives de rébellion échouent. En 2024, Iron Lad lui laisse son message et ses super-pouvoirs, et Luke Cage mène la révolte et s'empare d'une prison - mais refuse de suivre Iron Lad dans ses Ultimates. Il se fait emprisonner encore, pour relancer une rébellion dans une prison, et les faire tomber les unes après les autres... alors que, chez les Ultimates, She-Hulk demande à Iron Lad de tenir car il l'a touchée, et Tony ouvre un oeil dans son tube de stase. C'est solide. Je ne suis pas fan de Luke Cage, mais Deniz Camp trouve une bonne idée en super-révolutionnaire de prison ici. C'est cohérent avec l'histoire de base, et ça fonctionne bien dans ce nouvel univers Ultimate. Bon, l'épisode est un peu facile quand même, il ne se passe pas énormément de choses, mais l'ambiance est bonne et le final avec She-Hulk et Tony est mignon. Juan Frigeri illustre efficacement et correctement, mais il a déjà fait mieux. Une bonne parenthèse, une bonne réinvention, malgré mon peu d'attrait pour le perso'. |
#129
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Shazam! #20
Alors que la série est dans une grosse saga avec Mr Mind, Sina Grace vient scénariser un épisode fill-in, déconnecté de l'intrigue mais toujours avec les dessins de Dan McDaid. Ici, comme la couverture le dit fort bien en détournant le logo de la super série animée My Adventures with Superman, on a Jon Kent qui est frappé d'un coup du sort lors d'une maladresse de la ShazamFamily dans le Rocher d'Eternité. Il est touché par un sortilège qui le fait redevenir ado', puis rencontre The Captain et Mary Marvel. The Captain et Billy apprennent l'origine de Jon, ses souffrances et son adolescence volée, et ils proposent que Jon profite de sa jeunesse retrouvée pour vivre une vie d'ado'. Ca s'amuse donc, ça profite, et ça va voir Damian, qui cependant refuse de rejouer comme avant, car ils ne sont plus des enfants. Jon fuit les appels de son petit-ami Jai, puis finalement acte à The Captain qu'être ado' lui manquait et qu'il est venu à Philadelphie pour souffler d'une vie d'adulte qui va trop vite. Jai vient finalement, et trouve par hasard la façon de le rendre normal : dire le mot SHAZAM, pardi ! Jon grandit, ils repartent, Jon salue Billy, et Jon & Jai passent un moment à deux sous un château de coussins, pour ne pas perdre leurs âmes d'enfant. C'est mignon et pertinent sur Jon. Sina Grace livre une bonne parenthèse à la série, avec The Captain, Billy et Mary bien écrits, et de bons éléments sur le dinosaure et Tawny. C'est rigolo, mignon, un peu naïf mais chou, et surtout très juste sur Jon. Il est agréable de le revoir jeune, malgré ses souvenirs d'adulte, et le propos est plutôt réussi et intéressant. Dan McDaid livre de bonnes planches, toujours carrées mais un peu rushées, sans que rien ne gêne cependant. Une bonne parenthèse, oui, et un propos pertinent sur Jon. |
#130
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#131
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Two-Face #3
Très réussi. Christian Ward continue d'être une belle surprise à l'écriture d'une saga sèche et intense, classique mais très bien amenée. Ainsi, dans la prison mentale d'Harvey Dent, Two-Face pousse les illusions et personnalités à provoquer le chaos, pour occuper les gardiens mentaux. Ca use Harvey dans la réalité, qui est confronté par ses camarades de la White Church, qui ont découvert une nouvelle piste pour la Shadow Hand. Celle-ci semble liée au vol de la poupée Scarface du Ventriloque, et Harvey enquête avec sa sbire en tapant dur et fort dans un bar de criminels. Ils identifient la voleuse, Baby-Doll, et ils la confrontent, avec un Harvey fort violent et cruel face aux troubles mentaux de Baby-Doll. Sa sbire doit le stopper, alors que Matchmaker se révèle et semble capable d'influencer autrui, en ayant ainsi poussé Baby-Doll à voler Scarface. Harvey se crispe, et obtient de Matchmaker qu'il confirme l'objet de la Shadow Hand : le chaos en ville, la perturbation des gangs pour Son grand retour... et l'on parle ici de Two-Face ! C'est son autre personnalité qui manipule dans le peu de moments de conscience que Harvey laisse inconsciemment, et Harvey comprend que ses réussites mentales n'étaient qu'un leurre... C'est fort et réussi. Christian Ward gère très bien les troubles d'Harvey Dent, qu'il écrit bien dans sa fébrilité mais aussi son arrogance, sa suffisance. C'est cohérent avec le perso', et bien amené avec une confrontation terrible contre Baby-Doll. La prison mentale est bien faite aussi, et le cliffhanger est déchirant et fort réussi. Avec en outre des dessins réussis et de belles ambiances de Fabio Veras. Une bonne, belle et intense surprise qui continue. |
#132
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The Spectacular Spider-Men #12
Bon, c'est sympathique mais bien lent quand même. Après une double demande des époux Connors (lui humain, elle lézarde) à un inconnu pour sauver leur fils, on voit la nouvelle surhumaine Elementary s'entraîne et discute avec plusieurs super-héros, dont la Chose qui souligne sa très grande puissance. Elementary semble avoir du mal à envisager la lutte contre le crime quotidien, et les Spider-Men la confrontent à des alliés qui mettent en avant l'action directe, en parallèle de passages sur les fameux cafés de leur spot. Ils sont interrompus par les Electros qui attaquent et s'en prennent au crush de Elementary, mais le Lézard les attaque car c'est lui que les Connors ont appelé à l'aide... C'est sympathique mais ça avance peu. J'ai l'impression que Greg Weisman met un temps infini à avancer ses subplots sur les Electros et les Connors, alors qu'il est meilleur et plus fin sur Elementary et les Spider-Men qui se crispent devant ses attitudes. L'ensemble demeure agréable et fluide, avec un Emilio Laiso plutôt solide sur ses planches. Un peu lent, sans folie mais une bonne ambiance. |
#133
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Shoot Shoot don't talk |
#134
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Oui, elle est restée sur Themyscira avec un subplot d'une "vieille affaire" entre elle et les Amazones.
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#135
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Justice League: The Atom Project #2
Un bon épisode, autant sur l'intrigue que la gestion des personnages, malgré un bémol sur Ray Palmer tout léger et petit (évidemment ![]() C'est bien, sur plusieurs aspects. L'intrigue en elle-même est plutôt bonne et bien menée. On avance sur le fond de la crise des super-pouvoirs mal redistribués, c'est plutôt fluide, avec des témoignages bienvenus sur les troubles que cela provoque. L'ingérence du Général Eiling est intéressante, bien que très classique, et je suis intéressé du réel projet de Captain Atom sur les super-pouvoirs. C'est solide et pertinent, avec en outre un graphisme nerveux et lourd mais adapté à l'ambiance assez dure par un Mike Perkins bien en forme, avec de beaux et bons passages. Concernant les Atoms, rien de grave à signaler : Ryan est bien dans sa posture de "gentil", qu'on a connu jusque-là, et lui confier le rôle de l'aspect humain est bien pensé. Ray est bien dans le rôle du scientifique sûr de lui et froid, sans être abusivement méchant, et c'est aussi cohérent comme j'en parlais dans mon avis sur le #1. Attention néanmoins à ne pas trop en faire un homme dur et fermé ; après tout, durant Blackest Night, il a été considéré digne de représenter la Compassion de l'Indigo Tribe, même si ça reste un Corps spécifique. Un bon épisode, une saga correcte, et des Atoms bien écrits, notamment mon chouchou Ray qui est bien traité, et ça me fait bien plaisir. |
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