#31
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All-New Venom #2
Bon, je m'arrête là. Al Ewing propose une série sympathique, mais je ne suis pas assez intéressé par les symbiotes et par l'énigme du nouveau Venom pour poursuivre. Ici, ce nouveau Venom s'en prend à un groupe de super-vilains qui fait une journée de recrutement, puis est confronté par l'agence S.C.A.R. avec de nouveaux Guardsmen, dont une liée à la continuité de la série et qui en veut au symbiote. Le nouveau Venom file à une "réunion", en fait celle où Luke Cage, Rick Jones et Robbie Robertson se regardent dans le blanc des yeux pour savoir qui est Venom, où si Mme Masque l'est quand même. De son côté, Dylan Brock joue au petit c*n avec MJ et Paul, puis file "chasser" Mme Masque en espérant trouver le nouveau Venom. Bingo, il le voit attaquer l'A.I.M. et Tombstone, avec un tir dans la tête où l'on voit qu'il n'y a que du symbiote là... donc le nouveau Venom n'est pas grand naturellement, donc ce n'est pas Luke Cage. C'est poussif, pour moi. C'est en soi sympathique et bien fait, avec des recrues possibles de super-vilains assez surprenantes, des confrontations pertinentes entre les suspects et un Dylan idéal en petit c*n ado', mais... pff, c'est poussif et ça ne m'emballe pas. Surtout avec un Carlos Gomez qui livre des planches correctes mais sans forcer, rien ne m'emporte ici. Je m'arrête, et je me spoilerais en ligne l'identité secrète. |
#32
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The Amazing Spider-Man #65
Joe Kelly reprend le scénario pour un épisode prenant émotionnellement et réussi, malgré un aspect déjà-vu de base. Cyra, jumelle du précédent Descendant affronté qui est vaincu mais résiste au sol encore, confronte Spider-Man mais est lassée de tout ça, et aimerait être loin de cet Engagement entre les Descendants et le Champion. Elle impose à Peter de tenir une sphère comme seule épreuve, où il voit alors la mort de ses proches et de ceux qu'il connaît, tous emmenés par Phil "La Mort" Coulson, même quand Parker tente de l'empêcher. Surtout, il voit que leurs morts ne veulent rien dire : tous sont un jour oubliés, leur héritage disparaît, leur présence sur Terre n'a eu aucun vrai impact sur le long terme. Peter est marqué face à cette vérité crue, et il est sur le point de perdre en lâchant la sphère quand le Descendant jumeau l'attaque et le tue. Peter ressuscite alors, Dr Strange vient le voir en forme astrale mais Parker n'en peut plus... et lâche l'affaire, en abandonnant l'Engagement ! C'est bien et fort. Le début laisse penser à un énième chapitre sur Peter qui fait face aux risques de perdre les siens, mais Joe Kelly est habile et montre le flegme d'un Parker "habitué" au malheur, aux pertes et à de telles projections. J'apprécie l'idée, et la confrontation à la terrible vérité de l'existence est brutale mais juste. Je suis circonspect sur le cliffhanger, mais j'apprécie que Joe Kelly aille au bout du choc et d'un Peter tellement usé, moralement et par ses morts régulières. CAFU assure aux dessins dans un style carré et adapté. Un épisode qui remue et touche juste. |
#33
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Magik #1
Plutôt solide, surprenant et bien mené. Ashley Allen continue sur Magik après le one-shot sur elle durant Blood Hunt, avec une saga intrigante qui joue sur plusieurs aspects du personnage. Illyana subit trois fois le même cauchemar depuis une semaine, où une vie idyllique est pervertie par The Darkchild, qui veut reprendre le contrôle. La période Krakoa lui a permis d'écarter l'influence de Belasco, mais elle revient. De mauvais poil, elle apprécie peu la fête d'anniversaire improvisée des X-Men, et profite de l'annonce de la disparition d'une Mutante à Juneau pour y filer rapidement. Là-bas, des Anti-Mutants gênent les funérailles d'une famille crispée, alors qu'une autre Mutante se sent menacée. Illyana confronte la manifestation hostile, alors que des démons apparaissent. Elle les gère, aide la Mutante sacrifiée par la foule aux démons (sympa') et découvre qu'un agent mystérieux enlève des Mutants pour les sacrifier afin de briser l'un des cinq sceaux qui emprisonnent l'entité Liminal. Un jeune garçon, vu aux funérailles, arrive avec sa grand-mère, qui se révèle Sorcière et ils sont d'une lignée chargée de stopper deux prophéties : le retour de Liminal et une autre concernant The Darkchild. Illyana subit le combat, The Darkchild prend le contrôle mais elle le retrouve. Un sceau est brisé, l'entité commence à agir dans la Réalité, la grand-mère est tuée. Illyana prend sous son aile le jeune homme, Cal, alors que Liminal s'intéresse à The Darkchild... J'aime bien. J'aime bien, parce qu'Ashley Allen gère bien et prend bien Illyana, dans plusieurs aspects intéressants. J'aime qu'on indique que l'influence des Limbes s'est évaporée durant Krakoa mais revient (pourquoi pas), c'est bien de ramener ça. J'aime bien de plonger Illyana dans une ambiance qui touche moins les Mutants que la Sorcellerie, j'aime bien ces idées de prophéties et cette ambiance de petite ville viciée par un secret. Ca ne révolutionne rien, mais ça fonctionne sur moi, surtout que German Peralta illustre très joliment et très efficacement l'ensemble, avec une sacrée ambiance. Un bon début, qui me plaît bien. |
#34
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Ultimate Black Panther #12
Intéressant encore, mais tellement, tellement lent, toujours. Bryan Hill continue de creuser moins la guerre Black Panther VS Khonshu que le mystère du Vibranium, avec ici un T'Challa qui a une vision de lui tuant Khonshu durant le défi direct qu'ils se sont lancés. En échangeant avec la cheffe mystique du Wakanda, celle-ci indique que le Vibranium lui parle, ce qui n'est pas arrivé à ses prédécesseurs, et il doit suivre son destin. T'Challa doute, craint ce fameux destin mais va au défi, bat Khonshu et semble se projeter pour le tuer sous l'influence du Vibranium... mais il est stoppé par la Sorcière Suprême Inan, arrivée avec Ororo & Killmonger et qui considère qu'il a un "Vibranium problem". C'est intéressant mais abusivement décompressé. Bryan Hill prend bien trop son temps pour faire avancer lentement son intrigue. J'apprécie cependant le décentrage de l'ensemble vers le Vibranium et l'apparente étroitesse de la menace de Khonshu, j'apprécie aussi que T'Challa hésite et soit faillible, et je suis content de l'arrivée d'Inan à la fin. Mais dieu que c'est décompressé et lourd, alors que Stefano Caselli propose de belles planches dynamiques, malgré un design de casque de Black Panther fort laid. Des avancées trop lentes, même si je continue d'être curieux. |
#35
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Namor #6
Intense et puissant. Jason Aaron hausse le niveau en approchant doucement de la fin de sa saga, et ça envoie du lourd. En flashback, on voit un Namor fraîchement couronné qui rejette le protocole et les invitations nobles pour imposer à tous les grands noms de venir le voir. Il fait partir les gardes et laissent aux nobles des dagues pour qu'ils tentent dès le début mais publiquement de le tuer. Il en ressort vivant mais blessé, car tous ont tenté et échoué. Au présent, Namor est prisonnier des orphelins et fantômes de Orphan King mais le sorcier Abbot Uriah, jadis conseiller ayant exigé en vain qu'il respecte la tradition royale d'aller se confronter dans The Grotto of Ancients, arrive avec ses sbires. Ça se bagarre et Abbot Uriah téléporte Namor dans The Grotto, où des gens viennent mourir dans une saumure mortelle. Il voit une femme désespérée y jeter son bébé, il le sauve mais est happé puis attaqué par un double de lui-même, incarnant le Roi conquérant. Celui-ci le bat et annonce que Namor n'est pas assez fort et digne... pour se tuer lui-même, ce qu'il valide et ça décuple sa rage. Il tue ce double révélé être lui enfant. Il comprend alors que c'est l'épreuve royale avec ses ancêtres qui lui parlent et évoquent un secret, qu'on ne voit pas mais qui provoque sa rage. Il part à la Surface alors que les sept Rois autoproclamés se confrontent : Abbot Uriah, Orphan King, Beast King, Valko et ses Science Lords, Kailani des Secret Seas, Father Set et Attuma décident de lancer la guerre des 7 Rois... mais Namor en rajoute un 8e en revenant avec le Trident de Neptune ! C'est prenant et fort. Jason Aaron a très bien fait monter la pression et commence à la libérer, avec ce Namor en pleine haine de lui-même au point de se détruire tel qu'en sa grandeur passée puis apprenant un secret qui le fait reprendre la lutte pour le trône. L'ensemble est parcouru par une rage intense et terrible, je suis très client et pris par le récit, avec aussi ce flashback froid et brutal très réussi. Alex Lins et Paul Davidson livrent des dessins très réussis pour de belles ambiances. C'est plein de rage et de fureur, ça fonctionne à fond, vivement la suite. |
#36
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NYX #7
Un peu trop démonstratif dans ce qu'il veut dire, mais c'est un épisode correct de la série. Après les événements récents, les Mutants de New York se sont organisés avec un repaire pour eux nommé NYX. Après un tour dans la ville qu'il a habitée comme X-Man, Synch arrive et confronte Ms. Marvel sur son masque et son identité secrète, puis Prodigy qui fait office de meneur de NYX. Il le défie comme sur Arakko pour le titre, car il considère que Prodigy mène les Mutants au danger en les exhibant ainsi. Tous deux s'affrontent et débattent un peu lourdement, puis Synch se fait convaincre que cette publicisation de NYX permet aux Mutants de briller et de grandir malgré les Humains. En parallèle, Ms. Marvel affronte son cousin qui a rejoint les Anti-Mutants et a été armé par eux, venu pour l'analyser afin de révéler son identité. Elle le bat et file mais pleure sur les toits après... C'est correct mais sans plus. Jackson Lanzing et Collin Kelly livrent un épisode sympathique mais un peu lourd sur le propos, avec ce combat et débat qui lasse vite sur son côté pompeux. Je comprends l'idée mais ça rend moyennement, comme l'aspect Ms. Marvel qui est un peu facile. Enid Balam propose des planches correctes et dynamiques. Ça se lit mais c'est un peu lourd. |
#37
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Sentinels #4
Un épisode fort plaisant pour moi, certes classique et prévisible mais qui joue très bien sur la continuité, ce que j'apprécie. La Dr Ellis vient récupérer le leader des Sentinels après qu'il ait massacré les sales types de la Maggia qui menaçaient son ex femme et son fils, mais les nanomachines le dévorent et elle lui propose une issue. En parallèle, une des Sentinels libère celui qui a succombé aux nanomachines mais dit bien le vivre, alors que la dernière fuit ses traitements car ses visions de Onslaught sont trop fortes. Elle découvre qu'elles sont issues de Charles Xavier qui veut lui parler. Trask veut fuir mais le mystérieux Phillip l'intercepte, l'attaque mentalement et le force à révéler ses secrets. Les nanomachines des Sentinels viennent de Juston Seyfert, le jeune homme qui a réparé et est devenu ami d'une Sentinelle puis a été dans Avengers Academy avant de mourir dans Avengers Arena. La Sentinelle a néanmoins suivi la consigne de ne jamais l'abandonner et lui a inoculé des nanomachines pour faire survivre son corps, que Trask a repris pour les Sentinels. Les deux en fuite sont poursuivis par les chiens infectés, le full nanomachines se sacrifie et l'autre découvre Juston... alors que la Dr Ellis a infecté le leader avec ses nanomachines pour le contrôler pleinement. En soi, c'est classique mais j'adore ces références de continuité. Alex Paknadel livre un scénario efficace qui prépare un final sombre, il pose des bases basiques mais efficaces avec des résolutions de destin attendues. L'essentiel de mon plaisir vient de la révélation sur l'origine des Sentinels, c'est fort bien vu et pensé avec de belles et bonnes références. Justin Mason illustre tout ça correctement avec de belles ambiances intenses. Classique mais une très bonne gestion de la continuité. |
#38
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Uncanny X-Men #8
Un épisode correct en soi, avec de bonnes caractérisations, mais un peu "facile" et qui caractérise surtout un crossover pas mauvais mais accessoire. Gail Simone est ainsi chargée de finir Raid on Graymalkin, la première rencontre des X-Men de Rogue (les siens) et ceux de Cyclope (par Jed MacKay), qui se sont pris le chou sur comment libérer certains des leurs emprisonnés dans la prison Graymalkin, ex-Institut Xavier. Ils sont tous poussés à la colère par Phillip, le mystérieux Scurvy (pour scorbut en VF) dont l'origine est rapidement révélée Bon, c'est divertissant mais sans grande réussite. Gail Simone achève le crossover accessoire, qui n'avance pas grand-chose mais a le mérite de mieux présenter la prison Graymalkin et de révéler des éléments dessus. J'apprécie qu'on en sache plus sur Scurvy, je suis plus mitigé sur les "Avians" même si le subplot peut fonctionner. En dehors de ça, les équipes X-Men sont dans le même état qu'avant le crossover, et Charles Xavier ne s'est pas encore enfui. Ce n'est pas mauvais, mais au final un peu vain, et heureusement que Gail Simone écrit fort bien Rogue ET l'opposition Rogue & Cyclope. Javier Garron assure aux dessins avec dynamisme, même si je ne suis pas ultra fan moi-même. Un final maîtrisé d'un crossover sans grand impact, malgré des révélations bienvenues et de bonnes caractérisations. |
#39
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Pauvre Theresa, si elle s'appelait Jean, je parie que ni Scott, ni Rogue ne l'auraient laissée. Et Cain a abandonné si facilement la cousine de son meilleur pote? |
#40
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Absolute Batman #4
En arrivant sur l'épisode, je pestais que, dès le #4, Nick Dragotta soit absent avec un artiste déjà invité, même si c'est le grand Gabriel Walta. Après lecture, je ne peste plus, car Scott Snyder a utilisé cette respiration pour le dessinateur régulier afin de faire une parenthèse bienvenue et fort réussie. On coupe ainsi la saga sur la rencontre Batman / Alfred et la lutte contre Black Mask, pour divers flashbacks évoquant la construction de ce Batman pour ce Bruce Wayne. On voit ainsi plusieurs scénettes sur plusieurs périodes, avec donc Bruce qui explique son projet scientifique basé sur une chauve-souris (pour qui il nourrit une passion pour son statut de seul mammifère volant et de super-adapté à ses environnements) à son père, celui-ci indiquant qu'il a failli devenir docteur mais s'est tourné vers le professorat à la grossesse de Martha et pour éveiller les jeunes esprits (car il a vu son père mourir devant lui, et voulait former les jeunes à vivre avec ça). Puis Bruce qui témoigne au procès de Joe Chill, à qui il annonce sa haine car il a brisé ce sommet au zoo avec sa classe et son père, summum de sa joie d'enfance. Puis Bruce qui débute son activité de Batman dans son quartier, avec d'abord un costume classique (bien qu'abusif, avec un dentier pour faire "vraie chauve-souris") qu'il juge insuffisant face à ses défis, puis une incapacité à stopper le transport criminel par de "simples" attaques de bombes. On le voit ainsi se muscler, prendre du poids et de la masse, créer les supports de son costume, et apprendre la patience en écoutant ses ennemis criminels et dans l'élite, pour aller au-delà de sa rage directe et faire vraiment la différence. Enfin, on le voit ado' voir Joe Chill au parloir et, après hésitation, accepter d'entendre enfin ce qu'il veut lui dire. C'est bien, et bien fait. Scott Snyder profite ainsi de l'absence de Nick Dragotta pour une plongée pertinente et réussie sur l'origine de ce Batman, que je trouve fort bien faite. J'apprécie qu'il ait tenté un costume "classique" mais, sans l'argent des Wayne et les gadgets, ce n'est pas suffisant, et donc ce Bruce trouve d'autres façons d'agir. Le scénariste gère vraiment bien la construction et la caractérisation de son perso', que je trouve fort cohérent et fort respectueux du canon de base. C'est bien fait, touchant et bien réussi dans l'émotion autour de Bruce, du père et de Joe Chill avec, bien sûr, de formidables dessins d'un Gabriel Walta, qui livre de terribles ambiances. Beau, oui, mais surtout bon, intelligent et bien construit. |
#41
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Batman and Robin #17
Très bon. Phillip Kennedy Johnson continue de me convaincre en réussissant pleinement après un lancement foiré, et en maîtrisant bien son intrigue et ses personnages. Ici, on voit en flashback Bruce et la jeune Lautrec épier un endroit abandonné car il pense que Memento s'y trouve, et elle l'interroge pour comprendre la raison de son apprentissage auprès du vieux ex-flic ; plus loin dans le numéro, on les voit gêner le vieux détective qui confronte Memento, et hurler que Bruce n'aurait pas dû être ici. Au présent, Batman confronte Memento et des monstres à la Tour Arkham, la policière Lautrec emmène Crane qui indique que les monstres ne sont pas des illusions. Damian est à l'hôpital à faire du bénévolat, hésitant à aller voir la jeune fille blessée et source de sa culpabilité, puis discutant avec le Dr Bashir. Il est appelé par Oracle quand Batman souffre, Bruce est jeté dans le vide par Memento et sauvé par Damian qui veille ensuite sur lui pendant 24h. A son réveil, Damian le confronte sur la normalité de la ville de Thomas Wayne et de Gotham dans son journal, évoquant même l'influence de Batman dans la super-criminalité. Bruce le rejette, juge son absence à la Tour Arkham, et Damian part répondre seul à un Batsignal de Gordon et Lautrec (qui semble faire un lien entre le jeune Bruce se faisant passer pour Jack et Robin). Batman veut agir dans la guerre entre Tiger Shark et le Pingouin mais, affaibli, il force Oracle à lui trouver un partenaire du soir : Red Hood ! J'aime bien, oui. J'aime bien ce que fait Phillip Kennedy Johnson avec cette intrigue Memento, qui ne révolutionne rien mais fonctionne bien comme croque-mitaine en lien avec le passé de Bruce. Je suis curieux de voir les dessous de tout ceci, les flashbacks sont courts et fonctionnent bien. Surtout, j'apprécie la caractérisation de Bruce et Damian : le premier est plus présent que dans les numéros de Joshua Williamson et est stoïquement classique, le deuxième a des émotions et des remises en question qui surprennent mais fonctionnent bien dans le récit. Avec un Javier Fernandez qui livre de bons dessins et de belles ambiances, c'est prenant. Intéressant et bien fait. |
#42
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Shadowman: Soul Eaters #4
Clap de fin pour cette bonne mini-série tie-in officiel de Resurgence, bien que les liens avec l'intrigue principale soient limités mais présents. Après un long entraînement dans le Soulside avec Sandria Draque et une évasion pour rejoindre la Terre et stopper Master Darque, Shadowman arrive alors que sa compagne Alyssa possédée par The Magpie pénètre The Deadside pour y faire des dégâts et menacer Jaunty, le singe qui y tient la baraque. Un point est fait avec The Abettors, les mystiques formés par Alyssa (dont on souligne le goût d'aider autrui en flashback), et Sandria s'amuse du sacrifice de Zaya, jeune fille ayant lu le Book of Shadow pour permettre d'aller la chercher dans le Soulside. Sandria indique que The Magpie fonctionne grâce à un ancrage émotionnel : il bloquait Jack car il culpabilisait de la mort de son père, il bloque Alyssa car elle aime tellement Jack. Il fait soit la tuer, soit tuer son amour par un sortilège. Tous passent dans le Deadside, ça se bagarre, Persephone revient car elle incarne le Deadside même si The Magpie a tué son incarnation mortelle. Shadowman confronte The Magpie, Zaya se donne en sacrifice au Book of Shadow pour devenir son incarnation mais Jack refuse de tuer son amour. The Magpie le frappe mais le Loa Shadow refuse de retourner au Panthéon et bloque la malédiction The Magpie, libérant Alyssa. Celle-ci se réveille plus tard, pleine de culpabilité mais voulant combattre avec Jack avec l'attirail de Magpie, pour le Bien. Il la demande en mariage alors que, dans un autre épilogue, Shadowman part seul avec Sandria gérer Resurgence. C'est bien. Pas parfait car la libération d'Alyssa de The Magpie est facile et précipitée, mais l'ensemble est prenant et AJ Ampadu gère très bien son casting et son rythme. C'est dynamique et réjouissant, avec un bel aspect émotionnel qui me touche et des dessins réussis avec de belles ambiances de Sergio Monjes. Pas parfait non mais prenant et réjouissant. La même équipe va s'occuper de la relance Valiant Beyond, je suis curieux et enthousiaste ! |
#43
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#44
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Deuxième épisode de Batman Dark Patterns cette semaine et c'est toujours aussi bien.
Déjà, visuellement c'est très beau. Ensuite, l'histoire qui veut revenir sur le côté "détective" du personnage fonctionne parfaitement. On suit ce jeune Batman, pas encore sûr de toutes ces actions, en prise avec un méchant, ce fameux "wounded man" dont on commence à apprendre d'où il vient. La relation de Batman avec Gordon, un médecin, un journaliste amène de très bons dialogues pour une mini-série "polar" qui fait plaisir. En prime, on a Batman qui va se balader dans la banlieue de Gotham, chose assez rare pour être soulignée ! ![]() Il me semble que neuf numéros sont prévus, divisés en trois histoires de trois épisodes. |
#45
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