Critiques VO janvier 2015

[Magda]

Bon demain il y aura quelques critiques et ma liste avec note des comics que j'ai eu l'occasion de lire durant le mois, ne pouvant écrire des critiques pour tout ^^ (et comme ça pour moi je sais à quel numéro j'en suis ^^.)

En attendant: Harley Quinn #14 c'est du bonheur du début à la fin, mais bon c'est Harleen, et Harleen c'est Harleen, vous avez compris c'est Harleen, la femme la plus bazoom de l'univers des comics DC, la femme pour qui on peut accéder n'importe quoi comme elle avec son Puddin et dans ce numéro on voit encore son quotidien, ici une seule journée et quelle journée sérieusement ^^. Déjà intégration du SM avec le meilleur passage et le plus nawak au monde ^^, sincèrement j'étais morte de rire tellement c'est n'importe quoi. Il y a aussi un sauvetage touchant, en tout cas le passage est vraiment sérieux et fonctionne vraiment dans le titre, certes c'est opposé à ce que l'on peut savoir du personnage, mais ça fonctionne. C'est un très bon numéro avec une Harleen qui continue de nous épater, enfin moi en tout cas quand je la vois agir je le suis et j'en suis heureuse. J'aime beaucoup le côté journal de bord de la série ou on voit un autre aspect de ma psychologue fétiche. On peut dire que ses plans sont bien nawaks également et cela ne nous étonne pas une seconde quand on voit le personnage et sa journée, d'ailleurs on a la présence d'un mystère J qui fait toujours plaisir à voir, même quelques secondes et pas dans un numéro entier, moi en tout cas je fus bien contente même si c'est un monstre. La force du numéro et de la série est de montrer que Harleen a une vie comme nous, bon ok jen conviens elle fait nawak, elle se prend des aliens dans la tête, elle fréquente des criminels, des types costumés, une femme parlant aux plantes... une vie normale donc, bes quoi je fréquente des gens costumés, je parle à mes animaux et à mes plantes, je crois que la peluche sur mon lit est vivante... bon ok je n'ai jamais eu d'alien dans la tête ou fréquentait des criminels qui tirent des lasers par les mains, mais c'est la même chose. Le numéro fonctionne bien en tout cas. Harleen est amusante, pro, sexy (la douche) et continue de faire plaisir à ses fans et moi la première. Après tout le monde ne peut pas adhèrer au titre car c'est différents des autres séries sur Harleen, mais ça reste le même personnage, sauf que les blagues sont encore plus nawaks, plus osées et que ça reste vraiment ce qu'il y a de plus amusant chez DC avec Gotham Academy en ce qui me concerne et rien que pour cela vous devez lire cette série.
Les dessins sont très beaux, très épurés, mais avec un choix de couleur très bons, bref encore une fois on nous propose un bon numéro et j'ai hâte de voir le numéro 15 et le numéro des amoureux. C'est très bien en tout cas.

[Fletcher Arrowsmith]

STAR SPANGLED WAR STORIES FEATURING G.I.ZOMBIES #6 (Jimmy PALMIOTTI et Justin GRAY / Scott HAMPTON)



Une série que j'ai appris à apprécier et qui me manquera dans quelques mois. Son principal défaut reste de nous présenter une seule histoire depuis le début mais par contre à chaque numéro les deux scénaristes, Jimmy PALMIOTTI et Justin GRAY, nous en donne assez pour ne pas s'ennuyer.

Notre GI ZOMBIE préféré va lancer l'assaut sur la forteresse de Forrest et cela de manière très chirurgicale, avec froideur. Le ton donné à cette série reste donc identique, pour notre plus grand plaisir. Il y a toujours cette ambiance assez austère qui caractérise si bien le côté militaire du GI et la froideur apparente d'un zombie. Chirurgicale également les pointes d'humour, froides.

Scott HAMPTON continue sa très bonne prestation, parfaitement en phase avec le scénario, et enchante en croquant de fort belle manière la coéquipière du GI Zombie, Carmen dont on a envie de tomber amoureux.

[Man-Thing]

Bien d'accord sur Harley Quinn, Magda, très bon numéro que celui-ci!

Arrow, pourquoi STAR SPANGLED WAR STORIES FEATURING G.I.ZOMBIES te manquera dans quelques mois? C'est annulé pour méventes?

[scarletneedle]

Yep, le titre s'arrête en mars.

[Fletcher Arrowsmith]

THE WOODS #9 (James TYNION IV / Michael DIALYNAS)

Quand James TYNION IV décide d’accélérer il n'y va pas avec le dos de la cuillère. J'ai été obligé de relire la fin du précédent numéro pour être sur que je n'avais pas raté quelque chose.
Le scénariste place son action dans New London et le récit prend une nouvelle dimension. C'est osé car après avoir passé 8 numéros dans une forêt les protagonistes retrouvent enfin un ensemble urbain autre que l'école qui n'est désormais plus présente mais belle et bien évoquée par contre avec la présence du coach. D'ailleurs je ne doute pas un instant que le scénariste nous réserve des épisodes uniquement centrés sur ce que devient l'école.
Avec ce numéro on en apprend désormais plus sur ce monde fantastique et ceux qui la peuple. Le choc des cultures est également au rendez vous et tout le travail en amont sur les personnages paye devant leurs diverses réactions. A signaler la belle wraparound cover de Michael DIALYNAS.

[EsseJi]

Ouf tu me rassures, j'ai eu aussi l'impression d'avoir loupé quelque chose et j'ai été ressortir le précédent pour relire la fin car je l'avais oublié.

[Fletcher Arrowsmith]

SECRET ORIGINS #9



Acheté pour Pat Broderick qui illustre les origines du Green Lantern John Stewart. Il a quand même un peu perdu de sa superbe le Pat (surtout sur les visages). Il lui manque un encreur sur sa prestation qui fait quand même plaisir à voir. Pas sur non plus que le choix de lui adjoindre Marcelo Maiolo (que j'apprécie beaucoup d'ailleurs) à la couleur soit des plus heureux. Scénaristiquement c'est un récit classique que nous narre Van Jensen. Cela fait le job sans grosse prise de risque. Mais c'est également ce que l'on vient chercher.

Largement en dessous on trouve les origines de Power Girl par Paul Levitz et Alisson Borgess qui m'ont ennuyées autant au niveau du récit que sur la partie graphique. C'est décousu, sans que le fil conducteur soit bien perceptible. On a du mal à s'attacher au personnage qui finalement apparait très peu en Power Girl. Problème d'équilibre également entre les différents terres et les personnages secondaires.

Plus intéressant par contre les origines de Swamp Thing par Charles Soule. L'auteur connait la chose car il est également le scénariste de la série régulière. Il arrive a nous captiver et a bien mettre les enjeux au centre de ce court récit. Bien joué également le fait de voir les origines racontées par l'intermédiaire du journal d'un observateur "extérieur", qui plus ait dans un futur proche. Cela donne une perception différente à l'histoire. Graphiquement rien à dire sur la très bonne prestation de Alessandro Vitti, bien dans le ton.

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par SJ
	Ouf tu me rassures, j'ai eu aussi l'impression d'avoir loupé quelque chose et j'ai été ressortir le précédent pour relire la fin car je l'avais oublié.

Ouf on est donc deux. En tout cas j'ai aimé cette prise de risque de la part de Tynion IV et j'ai aimé tout simplement lire ce numéro qui mine de rien relance un peu plus l'histoire et l’intérêt que l'on peut porter à cette série (perso je suis convaincu que l'on va lire une histoire gigantesque vu que Tynion IV annonce 36 épisodes).

[EsseJi]

Tynion a toute ma confiance, jusqu'ici il a prouvé qu'il a des concepts intéressants, qu'il sait les exploiter et donner du plaisir à la lecture, c'est pourquoi je n'ai aucune hésitation pour Ufology, son nouveau titre chez Boom qui débute en avril.

[Fletcher Arrowsmith]

ALEX + ADA #12 (Jonathan LUNA Sarah VAUGHN / Jonathan LUNA)



En voilà une série agréable à lire, qui ne fait pas dans l’esbroufe et qui prend son temps pour aborder différents thèmes qui donne à réfléchir après avoir tourné la dernière page.
Jonathan LUNA et Sarah VAUGHN aborde la mort d'un proche et le devenir d'une AI quand son propriétaire décède. Le harcèlement de Ada et sa réaction sont également un temps fort de ce déjà douzième numéro, car la belle Androide pourrait bien donner raison à ses nombreux détracteurs. L'ambiance à la P.K Dick se fait toujours ressentir dans ALEX + ADA, tout comme le côté feuilleton qui fait que j'attends chaque mois avec impatience de lire les aventures de Alex et d'Ada.

Ce n'est surement pas la meilleure série sur le marché actuellement mais sans faire beaucoup de bruit elle est très solide et apporte beaucoup de plaisir à la lecture. Je ne pourrais pas m'en passer.

[gobius]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	GOTHAM ACADEMY #4 (Becky CLOONAN et Breden FLETCHER / Karl KERSCHL) Zzz ... Zzz ah il y a Bruce Wayne sur 1 case, un gars d'Arkham qui traine sur la fin. Le plus mauvais numéro depuis le début de la série. Rien de passionnant, cela traine en longueur et on a l'impression que les scénaristes ne savent pas trop quoi faire de leurs personnages. Plus inquiétant ils n'arrivent pas à capter l'essence même de l'adolescence ce qui devrait être le moteur de la série. La résolution du mystère du fantôme tourne à la farce (sérieusement c'est moisi comme twist.) Deux coloristes sur ce numéro et ce n'est pas bon du tout. Les cheveux d'Olive sont tout d'abord blonds (ce qui fait que l'on a du mal à la reconnaitre et du coup ne facilite pas la lecture) pour redevenir blanc. Le rendu sur les pages finals est loupé également. Karl KERSCHL reste impeccable pas contre. Bon, j'ai beau avoir défendu cette série, l'accident industriel est en train de de dessiner. La fin, pourtant intrigante, ne m'a finalement pas intéressée.

Je l'ai enfin lu et je te trouve assez dur.
J'ai pas trouvé ce numéro très différent des autres.
C'est vrai que c'est un peu gentillet (le coup du fantome) mais moi la fin a fonctionné. J'ai envie de savoir qui c'est et pourquoi il est là.
Après il ne faut pas perdre de vu que c'est un titre fait pour les jeunes et malgré tout je trouve ça sympathique même si il est vrai que 4 numéros pour en arriver là, c'est trop.

[Fletcher Arrowsmith]

PREDATOR : FIRE AND STONE #4 (Joshua WILLIAMSON / Christopher MOONEYHAM / John LUCAS)



Denier numéro du cross over Fire And Stone avant le Omega qui est sensé conclure, et c'est légèrement décevant. Pourtant la série Predator était arrivé à maintenir un bon niveau sur les 3 premiers numéros mais là on a l'impression que plus personne ne sent réellement concerné. Joshua WILLIAMSON écrit un scénario en roue libre, faisant la part belle à un étripage en règle entre le Predator et un ingénieur. C'est trop classique, vite lu (presque sans texte) et le parallèle avec Achab et la baleine est un peu téléphoné. C'est un peu paradoxale mais j'aurais aimé un peu plus de finesse dans le scénario. En plus Christopher MOONEYHAM ne se foule pas plus et est loin de son niveau de Five Ghosts. Par contre la fin est bien raccord avec la série Prometheus ce qui est très bien pour l'impression d'ensemble. C'est sympa à lire mais au final cela manque d'ambition.