#16
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Je suis content que cet épisode amène son lot de révélations, ça veut dire que Milligan a autre chose à proposer que le mystère sur lequel il a débuté son intrigue.
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oui il enclenche la vitesse supérieur et comme il a posé des fondation solides il peut désormais se consacrer au Names proprement dit, le suicide de Walker étant au final l'évènement déclencheur. D'ailleurs on comprend le suicide dans ce numéro comme pour mieux enfoncer le clou et signaler que l'intérêt n'était pas là. Mais il y a de sacré personnage dans ce comics. Bonne soirée lecture au final.
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#18
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Je rajouterai même que cela fait plaisir de voir Milligan à ce niveau car le Bloodshot #25 et le Eternal Warrior #1 ( je laisserai un mot sur ce dernier) sont sympas mais n'ont pas la force de ce numéro de The Names.
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#19
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Names est tout de même du même bois que Terminal Hero, comme quoi le scénariste se sent peut-être plus à l'aise sur ses propres concepts que sur des héros d'univers partagé.
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#20
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Surement et peut être, mais je pense qu'il y affectionne également un type de récit en particulier. Son Eternal Warrior est bien écrit mais je trouve qu'il n'arrive à transcender le personnage, nous offrant quelque chose de classique (par contre Nord est au top). Son Bloodshot possède quelque chose en plus car il explore un peu plus l'âme du soldat et rentre bien dans la zone obscure des souvenirs et notamment de son ex compagne. Ce qui est décevant c'est que le récit (et le numéro anniversaire) n'apporte pas grand chose de plus à l'univers de Bloodshot. Vivement l'an prochain et le relaunch de Jeff Lemire.
Par contre j'ai beaucoup aimé ce qu'il a fait avec Shadowman chez Valiant (#13 à #16 et End times) où je l'ai sentie immédiatement à l'aise. De même avec son très bon All New Doop. Il aime explorer les profondeur de l'âme et du cerveau humain (Terminal Hero qui aurait été parfait si Kowalski avait été à son niveau) |
#21
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The Humans #1 : si le but de ce comics est de déranger et d'interpeler mission accomplie! Tout d'abord cette histoire de motards aux attributs simiesques se présente en apparence comme un truc destroy et irrévérencieux, pas de tromperie sur le marchandise après la lecture du single. Ensuite on n'arrive pas à se décider si ce comics a sa place dans le catalogue d'un éditeur comme Image tant il fleure bon l'amateurisme, mais c'est sans comprendre que cela est peut-être voulu. Enfin le rythme effréné donne ce sentiment que l'on a rien lu alors qu'à y réfléchir à tête reposée il y a trois temps distincts dans le récit plus un cliffhanger qui font que ce premier numéro rempli son office.
Au final une curiosité loin des sentiers battus, un ovni comme l'est Lil' Depressed Boy dont on est bien content que Image leur permet de vivre l’exposition qu'il mérite. Pour faire une autre comparaison sur le côté bête et méchant assumé on peut voir dans ce premier épisode ce que l'on a vu dans le premier de The Goon. Un comics animal pour nous les humains, c'est pas bête il fallait y penser. A voir si ces motards vont tenir la route. Dernière modification par EsseJi ; 12/11/2014 à 13h39. |
#22
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Batman 36 :
Snyder m'a surpris et je trouve qu'il mène très bien sa barque dans la deuxième partie de son récit. Du coup je m'en vais lire le Batman annual 2. J'avais peur de combats interminables avec les membres de la justice league mais ça n'a pas l'air d'être le cas tant mieux. |
#23
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Tooth & Claw #1 : des fois il faut savoir être raisonnable sur ses ambitions. Ce premier épisode voit tout en grand, trop même. Il ne faut pas rechigner sur un épisode double pour le prix d'un simple mais quand le lecteur entame sa lecture en se disant qu'il est parti pour un gros morceau il ne faut pas le gaver.
Tout de suite on sait que nous sommes parti pour quelque chose de grandiose, mais dans cette immensité proposée on peut parfois se perdre. La faute aux planches chargées, aux couleurs ou à l'histoire en elle même assez riche, le lecteur se doit de s'impliquer hautement pour ne pas lâcher prise. C'est dommage ce sentiment, mais même les lecteurs d'AStro City savent que Busiek n'aime pas la facilité, sauf que pour le coup un peu moins de complexité n'aurait pas été de trop. Voilà la complainte du lecteur qui se plaint d'un comics élaboré, c'est peut-être que le fun s'est éclipsé trop vite à la lecture. Avec ce titre on est parti pour quelque chose d'épique, il n'y a pas tromperie sur la marchandise, nous sommes dorénavant prévenus. |
#24
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C'est clair, pour te renvoyer à un de tes propos, que Tooth & Claws ne fait pas parti de ces comics que l'on lit en dessous de 10min.
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Rocket Raccoon #5 : I am Groot.
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#26
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je sais c'est celui du mois dernier mais le dark horse presents 2 contient un épisode de ACTION PHILOSOPHERS que tu le monde doit (ou devrait) lire. ET ce n'est pas de la haute philo mais qu'est ce que c'est bien.
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On débarrasse HERE ! nouveau déstockage avril 2022 ! My dead Blog ! Mes critiques après tout le monde ! 600éme !!! TPB Waiter |
#27
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Gotham Academy #2 : une série avec des ados, des fois on oublie ce que ça implique. Et quand on est à cent lieues des intérêt et des émois de la jeunesse dur d'y trouver son compte. Surtout là avec des scènes quasi inutiles en classe, à la bibliothèque, à la cantine, sur le terrain de sport qui s'accumulent on se dit que toutes les écoles n'ont pas le charme de Jean Grey School de Aaron. De plus le gros soucis de ce numéro #2 est que l'on pas certain d'avoir saisi les enjeux que proposaient le #1, en gros on ouvre un nouveau chapitre en ayant oublié le précédent, un gros handicap dû surement à une narration peu captivante.
Alors oui c'est beau, oui il y a un léger regain d'action et de mystère à la fin de l'épisode mais il en faudrait mieux pour captiver d'avantage. |
#28
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Je te trouve un peu dur avec Gotham Academy (ou bien comme souvent j'ai là encore été trop enthousiaste). J'ai apprécié que les scénaristes prennent leur temps, ne brusque pas le récit. Les scènes de vie scolaire obligatoires contribuent à construire l'environnement de la série et je ne les ai pas trouvé inutile car elle contribue à façonner et à donner une identité à Olive. A la rigueur on peut être déçu par Maps, qui est clairement écarté dans ce deuxième numéro. Tu compares avec l'école Grey mais cette dernière a une véritable histoire, un passé pour elle. Le lecteur n'est donc pas en terrain inconnu alors que pour GA il faut finalement tout inventer.
Oui c'est léger et cela à tendance à se lire un peu rapidement mais laissons le temps à la série de s'installer sans mettre la charrue avent les boeufs mais il est clair qu'à un moment les scénaristes devront sortir du bois et ne pas se réfugier uniquement derrière de beaux dessins (à ce sujet le premier fill in, si il y a, sera révélateur) Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 13/11/2014 à 09h08. |
#29
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Le soucis avec les scènes de la vie de tous les jours est qu'à leur lecture je ressortais de là avec un gros WTF, du genre à quoi sert vraiment ce que je viens de lire pour l'histoire de ce titre? Et quand ce genre de remplissage se répète toutes les deux pages ça m’agace. D'où ma comparaison avec W&tXM où chaque dialogue, chaque scénette dans l'école était là pour faire avancer le tout, et nous donner des émotions en bonus.
Comme tu le dis, le coup du fill-in au dessin nous en dira beaucoup sur cette série. |
#30
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The woods #7
THE WOODS #7 (James TYNION IV / Michael DIALYNAS)
James TYNION IV continue de nous narrer exclusivement les aventures des étudiants embarqués dans les bois. Cette fois ci c’est Ben, le gros costaud au cœur tendre qui est l’objet du flashback (les focus sur chaque personnage sont intéressants et permettent de se familiariser avec eux, ce qui n'a pas pu être fait au début de la série) . Un peu de pathos sur ce coup là ce qui contraste énormément avec ce qui se passe dans le temps présent et une accélération plus que soudaine de l’action en forme de WTF tant on est surpris de la tournure que prennent les évènements. Tant mieux, cela montre que tout n’est pas cousu de fil blanc et que cette série peut encore surprendre. Du coup j’attends avec impatience le prochain numéro pour voir comment cela va être exploité (pétard mouillé où véritable coup de boost). |
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