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Mais, rassure-nous, il y a des yeux éclatés du visage par simple pression des doigts ou du viol crapuleux, dans ce comic-book?
Si la réponse s'avère négative, c'est à perdre la foi en DC... |
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Garde la foi, Black Adam et Mort ont pensé à toi
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ouaip on est sur la même longueur d'onde pour la deuxième semaine concécutive mon bon scarletneedle. j'ai eu la chance d'avoir mes comics ce mercredi, du coup 52 en prime. numéro dans la lignée du précédent, ça fait plaisir.
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johnkeats.space-blogs.com |
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Ah il depote grave, c'est clair ce numero. Les publicites pour Countdown dans ce numero, avec les cadrages en decoupe fonctionnent tres bien aussi.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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j'ai beaucoup aimé la toute première, Seduction of the Innocent avec Mary Marvel en illustration du titre du fameux bouquin de Fredric Wertham.
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johnkeats.space-blogs.com |
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celle avec les deux vilains menottes est rigolote, surtout quand tu observes bien la position des mains des prisonniers ...
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52 Week 46
Mad Science Writers : Geoff Johns, Grant Morrison, Greg Rucka, Mark Waid Breakdowns : Keith Giffen Penciller : Pat Olliffe Inkers : Drew Geraci, Rodney Ramos & Pat Olliffe Colorist : David Baron Again and again! Worse and worse! Il faut que cela continue! Enfin cela devrait continuer si on se réfère à la semaine dernière : Black Adam doit faire avaler son extrait de naissance à tout le monde. Cependant, World War III étant dans 4 semaines, il ne fallait pas croire que tout allait se goupiller parfaitement pour le Vulcain de DC (oui après Namor DC, j’innove)… Gagné !! L’épisode de cette semaine va remettre certaines pendules à l’heure de façon assez surprenante mais qui risque de déboucher sur de grands moments ! A côté de ceci, 52 retrouve quelques fondamentaux en lâchant diverses intrigues notamment sur Luthor qui voit se profiler les ennuis (avec des vrais morceaux de Clark Kent…) et du Suicide Squad (ou pas). En plus, la back-up revient ! Bon, c’est Batman… C’est vrai, fêter ce retour avec un héros dont les origines sont parmi les plus connues, ça valait le coup d’attendre. Pendant ce temps, le Joker rit mais rit à un point (et les fans de Bolland pleurent). Je me répète mais tout devient incontournable : chaque semaine fait grimper la température et les coups de théâtre sont bien amenés, celui concernant Black Adam étant inattendu. Par contre comme la semaine dernière, je regrette le manque d’exposition de Skeets et compagnie et ce n’est pas la semaine prochaine qui va me faire dire le contraire… Par contre, il semble que le prophétie et la Crime bible soient enfin au centre de la chose : cela veut dire de Batwoman (oui vous savez l’héroïne vendue en promotion de 52) est de retour !!! Les autres histoires livrées sentent bon le teaser de séries DC, l’une existant déjà, l’autre ayant été citée à la convention Wizard de Los Angeles : en plus cela fait avancer le schmilblick donc encore une bonne pioche ! Pour mettre joliment cela en images, c’est Pat Olliffe qui s’y colle (déjà combien d’épisodes de sa part ???) et plus ça va, plus son style colle parfaitement à l’ambiance. J’adore son traitement des savants fous qui sont à la fois pathétiques et hilarants et son Green Lantern a la stature nécessaire pour dire qui est le boss ! Un petit mot sur la couverture de Jones : parfaite. Savoir qu’il ne sera pas là pour Countdown me remplit d’une certaine tristesse… Back-up ? Vous avez dit back-up ? Elle est de retour mais vu le personnage , puis-je dire que cela valait le coup d’attendre ? Même si j’aime Batman et Kubert, DC aurait pu s’en faire l’économie alors que tant de personnages mériteraient la leur… En plus, Mark Waid oublie la mise à jour post-Infinite Crisis sur l’identité du meurtrier des Wayne : Joe Chill est de nouveau connu. Je ne parle même pas du côté paranoïaque mis de côté… Pour un retour, je ne peux dire que je suis heureux… Enfin elle ne m’a pas empêché de prendre mon pied sur le numéro. Bin oui, c’est du bon et cela dure !!! Bilan :
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Quand je lis ton entrefilet sur la back-up de ce numéro, je me dis que, oui, elle manque définitivement de Batman, hurlant bestialement à la pleine lune, et se baignant dans un lac rubis formé par le sang de ses ennemis démembrés, décapités, violés, lobotomisés, scalpés, énuclés, écartelés, émasculés, lapidés, immolés, déchirés, dévorés, saignés jusqu'aux os.
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et encore il fait cela sans poivre et sel
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Justice Society Of America 4
The Next Age – Chapter 4 Writer : Geoff Johns Penciller : Dave Eaglesham Inker : Ruy Jose Colorist : Jeromy Cox Dingue c’est déjà la fin de ce 1er arc qui n’aura pas souffert des quelques désagréments de celui de la Justice League Of America : retard et longueurs ! Au contraire, en 4 numéros, Johns a décidé de vite (et en bien) planter les graines de son équipe pour lancer la série dans la quête de la meilleure série de groupe actuelle chez DC : c’est réussi !!!!!!!!!!! Je miserai même une pièce par rapport aux 2 équipes de Vengeurs concoctées par Bendis (enfin surtout celle des collabos Mighty Avengers). The Next Age est en route et la nouvelle génération dans ce Brave New World post-52 et World War III est entre de bonnes mains : c’est le pied intégral entre valeurs sûres (Green Lantern, Hawkman, Flash et Wildcat), nouvelles pousses (Cyclone, Steel) et membres intermédiaires (Hourman, Power Girl, Stargirl). Johns a poussé la notion d’héritage à un haut niveau et le terme famille colle parfaitement à cette série (comme les X-Men à une certaine époque) : c’est bien simple, j’adore et Eaglesham se pose mois après mois comme un très grand. C’est avec un réel plaisir que l’histoire se dévoile devant nos yeux et les événements font la jonction avec le prochain arc qui est le cross-over tant attendu ! Derrière le classicisme de la (re)formation d’un groupe, Johns rend un vibrant hommage aux héros DC en puisant dans les valeurs et les symboles qu’ils représentent : quand je constate que Marvel de son côté a lynché le sien en le traînant dans la boue (putain Myspace et Paris Hilton, ça me reste en travers de la gorge), ça me fait encore plus plaisir et reverser une petite larme pour Captain America. Après avoir expliqué dans Infinite Crisis que les héros avaient des squelettes dans le placard et qu’ils étaient faillibles, ils ont mis 1 an pour digérer cela et pour se reconstruire après 52 : Johns montre qui sont les garants et les défenseurs des notions ou vertus. Les gardiens du temple sont les vieux de la vieille qui ont retenu les erreurs du passé à travers les atrocités de la 2ème guerre mondiale : sans verser dans la psychologie de comptoir, Johns déteste le nazisme. Si l’équipe de la Trinité est celle de la force de frappe, celle de Johns est celle de l’héritage : le cocktail de la rencontre s’annonce appétissant et je piaffe d’impatience. Quant à ce relaunch… Autant JSA période OYL a eu peu de bons moments, autant l’histoire contée ici se dévore. 4 épisodes ça peut sembler court de nos jours dans les comics mais Johns est allé droit à l’essentiel tout en assurant une exposition aux nouveaux membres : Starman, Steel, Wildcat (il y a eu 4 Flash, il peut y avoir un 3ème Wildcat !), Cyclone (un peu moins ce mois-ci excepté le passage en voix off savoureux), Damage. Après Cyclone qui a eu un rôle étoffé la dernière fois, c’est Wildcat qui est à l’affiche de numéro. Bientôt le tour de Starman et Steel ? Johns a caractérisé ces personnages en n’oubliant pas la mise à jour des glorieux anciens (Hawkman est de retour) et le passage de relais au poste de leader de l’équipe est joli : c’est encore un hommage. Les moments entre Liberty Belle et Hourman sont la petite touche sentimentale (en attendant d’autres ?) et la présence d’Obsidian fera peut-être intervenir la grande absente du casting Kate Spencer. La série commence sur des bases tellement élevées que Johns se met dans l’obligation de se maintenir à ce niveau : une des causes de son départ de Teen Titans ? Au dessin, Eaglesham continue la mise en orbite de la série : il s’améliore à chaque fois, les pages sont chargées de détails dans que cela ne devienne incompréhensible. Il devient aussi intéressant que Reis sur Green Lantern : voir son évolution sur une courte durée est impressionnant en considérant que Villains United ne date que d’un peu plus d’un an et encore Villains United Special avait commencé à montrer que DC avait un futur grand sous la main. Les scènes d’action et la double-page montrant l’équipe au complet sont fabuleuses ! De sa découverte sur Impulse (comme Van Sciver) il y a un paquet de temps à aujourd’hui, je deviens fan : DC gâte ses séries importantes et, quand le scénario suit, la mayonnaise prend encore plus facilement. Dommage que cela cause une fois du retard mais on ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre. Pour la couverture mensuelle d’Alex Ross, elle ne dépareille pas face à la réussite globale du titre. En résumé, du comic à papa bourré de très bonnes choses avec d’énormes possibilités scénaristiques, des personnages attachants et un futur cross-over à vous clouer sur place, le tout servi par un dessinateur qui arrive à maturité. Pas loin du comic mainstream DC du moment. Indispensable! Bilan :
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Tout a fait d'accord meme si la resolution/bagarre avec les clowns nazis m'a laisse un peu sur ma faim ca reste tres lisible et fun, et effectivement Eaglesham tue tout la dessus. Les dialogues sont tres bons aussi. On retrouve le niveau et le ton des JSA de Robinson du debut.
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Je viens de le finir ,c'est la premiere chose que j'ai lu de mes news ,je voulais en faire une critique mais l'ami Scarlet a été plus rapide que moi et de tout façon vous gagnez au change
Oui, JSA n'est pas loin du comics mainstream DC du moment ! Edit :
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comment ça ?
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