#16
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[QUOTE=SJ;1514047][B]Quasar #18[/B]
cover date : January 1991 Writer: Mark Gruenwald Penciller: Greg Capullo Inker: Keith Williams [/QUOTE] Il va falloir que je m'y mette un jour à ces Quasar. Il me manque des apparitions du Squadron Supreme de ce fait et puis Capullo à ses débuts dans un style que j'aimais bien. Je n'ai que les épisodes liés à Galactic Storm à la maison. Les débuts de la série avec Paul Ryan au dessin sont ils bon ? |
#17
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Oui mais Ryan s'en va vite, entre lui et Capullo c'est Mike Manley au dessin et c'est très irrégulier, le pauvre a dû dessiner un épisode double à la fin de la saga avec The Stranger et ça se sent qu'il a eu du mal avec les deadlines.
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#18
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Je ne suis pas époustouflé par le travail de Gruenwald sur Quasar vers la fin, notamment sur les épisodes du crossover Starblast, entre les demoiselles bâillonnées à l'aide d'appareils phalliques et une intégration médiocre du New Universe
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#19
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Ah, qu'est ce que ca aurait été bien ALL NEW DOOP si ca avait été réalisé par ALLRED (ou BACHALO, ou FEGREDO ou QUITELY), parce que là, le numéro quatre est vraiment dégueu niveau dessins avec un sous-LAFUENTE vraiment cracra (déjà que LAFUENTE, faut quand même "digérer").
D'ailleurs SJ, ca fait longtemps et je ne me rappelle plus très bien, les GHOST RADIER de MACKIE, ca tient la route encore, ou c'est juste un souvenir d'ado qui est resté dans ma mémoire ? |
#20
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Pour les GR j'en suis à la deuxième année et ça passe très bien, peut-être que les dessins de Saltares et Texeira y sont aussi pour beaucoup et qu'avec d'autres dessinateurs ça n'aurait pas le même intérêt.
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#21
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[B]Justice League International #8[/B]
[IMG]http://buzzpreview.buzzcomics.net/SJ/jli8.jpg[/IMG] Cover date : december 1987 Writers: John Marc 'J.M.' DeMatteis Keith Ian Giffen Pencillers: Keith Ian Giffen Kevin Maguire Inker: Al Gordon La League Bwa-ha-ha, c'est ainsi que l'on connait le run de Keith Giffen et JM DeMatteis sur la Justice League America/International/Europe. Comme toute réputation il y a bien un point de départ, un moment M dans le temps qui fixe la légende. En cherchant bien cette fondation se situerai bien dans les pages de Justice League International #8. Nous sommes au deuxième épisode où la série a ajouté International à son titre, il est temps d'être fidèle à son nom et de délocaliser l'équipe dans différentes ambassades. Et comme dans la vraie vie on a beau planifier un déménagement dans les moindres détails il y a toujours ce grain de sable, le facteur humain, qui va venir compliquer une journée déjà dure à aborder. Cet épisode est à lui seul un condensé de ce qui fera le charme de la série, la League commence enfin à s'émanciper des précédentes sacro-saintes incarnations, l'humour est présent et assumé à outrance, le cast a trouvé ses marques et l'alchimie opère. Et ce cast a un cœur, une tête mais surtout des zygomatiques, personnalisés par la paire Booster Gold/Blue Beetle. Tout le monde connait l'amitié et la complicité qui unie ces deux compères, JLI #8 pose ces bases. L'arrivée de l'agent de liaison parisien Cath Cobert et les imbroglios qu'elle engendre serviront de socle à la fois à l'amitié des deux héros et à l'humour si particulier de la paire de scénariste Giffen et DeMatteis. Evidemment ça n'aurait peut-être pas autant marché si les têtes déconfites et morts de rire de nos héros n'avaient pas été croqué par un expert en la matière, Kevin Maguire, autre artisan du succès de ce titre. La League Bwa-ha-ha a été un énorme pari pour DC à l'époque, oser désacraliser son équipe phare, et encore aujourd'hui on ne peut que remercier l'éditeur pour cette prise de risque. Déménager c'est accepter de laisser une partie de soi derrière et de tourner une page, ici il y en a 22 qui ne demande qu'à vous dérider. Dernière modification par EsseJi ; 14/08/2014 à 11h26. |
#22
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J'adore ce topic!!! Continue comme ça!!!
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#23
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Pareil. Ca permet de revoir des vieilles séries.
:merci: |
#24
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[B]Rocket Raccoon #1[/B]
[IMG]http://buzzpreview.buzzcomics.net/SJ/MashUp/rocketraccoon1.jpg[/IMG] cover date : september 2014 Writer: Skottie Young Penciller: Skottie Young Inker: Skottie Young Il y avait de quoi avoir un peu peur, pour plusieurs raisons même. On se méfie des phénomènes de modes, l'influence du cinéma sur nos illustrés n'est pas toujours bénéfique et Skotty Young ne s'est pas révélé un excellent scénariste les fois où il s'est essayé à l'exercice. Ainsi il est si bon d'avouer que toutes ces peurs étaient infondées tant ce premier épisode a tout d'un grand épisode. Même si les personnages tendent vers leur version grand écran c'est pour affirmer que leur caractère est désormais ainsi. La recette de l'humour, de l'action et du langage qui dérape est reprise avec brio. L'histoire de Rocket Raccoon est à peine esquissée, ceux qui sont en charge de l'écrire seront les fondateurs de la mythologie du personnage, et Young semble savoir la chance qu'il a et s'aventure déjà dans ce sens. Enfin un côté sur lequel il n'y avait aucune peur c'est la partie graphique, blindé depuis ses années 0z le dessinateur s'amuse et régale à la fois. Young s'est trouvé un personnage et une ambiance qui lui conviennent et se sent à l'aise, la réalisation sans tache le prouve. |
#25
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Content que tu es lu et aimer.
J'aime ce topic moi aussi by the way |
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Rocket Raccoon est une mini ?
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Non une ongoing, qu'est ce qui t'as fait croire le contraire?
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[B]Animal Man #5[/B]
[IMG]http://buzzpreview.buzzcomics.net/SJ/MashUp/animalman5.jpg[/IMG] cover date : winter 1988 Writer: Grant Morrison Penciller: Chas Truog Inker: Doug Hazlewood On connait tous le talent de Grant Morrison pour les comics à tiroirs, ceux qui en apparence sont une histoire de super-héros et qui au final se révèlent une analyse du genre. Doom Patrol, Final Crisis, Flex Mentallo et même Multiversity, tous ces comics ont en commun l’utilisation des codes du genre pour les réinventer. Mais historiquement dans sa carrière aux USA quel a été la pierre fondatrice de ce travail? Et bien il s'agit de Animal Man #5. Dans cet épisode camouflé en hommage aux personnages de cartoon, Morrison explore le côté messianique de nos héros, il oppose les visions de liberté et de morale et surtout pour la première fois il brise les frontières des dimensions entre celles de la fiction et de notre réalité. Il faut en avoir de la suite dans les idées pour faire de Wile E. Coyote un messie qui se sacrifie par amour pour les siens, traqué par l'homme qui tue au nom du bien. Cet épisode oscille entre humour bon enfant et réflexion métaphysique, du grand Morrison en somme. L'auteur explique dans la préface du premier volume consacré à son run sur Animal Man que cet épisode est le premier de sa liberté d'auteur. Au début il a été embauché par DC dans le cadre de la vague de recrutement d'auteurs britanniques de la fin des années 80, l'éditeur voulait voir si la recette Alan Moore était un produit spécifique de la perfide Albion. Ainsi en débutant sur Animal Man il pensait faire 4 épisodes pour une mini et qu'ensuite d'autres prendraient le relais suite au nouveau statu quo qu'il a créé sur le personnage. Sans faire trop de vagues Morrison a voulu faire du héros un activiste pour la cause animale, un père de famille, un voisin, en d'autres mots un homme de la fin des années 80 caché sous le costume de super-héros. Oui mais voilà, DC a vite décidé de lui renouveler sa confiance sur le long terme et lui laisser les rênes du titre. Morrison a vu ainsi une occasion de laisser libre court à son talent, Animal Man #5 est arrivé sur les étals et plus jamais l'industrie du comics ne sera comme avant. A partir de là Grant Morrison s'est fait un nom, il s'est taillé une réputation et les comics ont assumé le fait de se regarder le nombril en poussant l'introspection au niveau de l'analyse. Et le reste appartient désormais à l'histoire du médium que l'auteur n'a pas fini de disséquer de nos jours. Dernière modification par EsseJi ; 26/11/2014 à 11h14. |
#29
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Il faudra que je me relise ce run!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#30
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C'est ce que je fais en ce moment, je finis le tome 1 et j'enchaine le 2 direct.
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