Critiques VO 2023

[Ben Wawe]

Strange Academy: The Amazing Spider-Man #1
Très sympathique.
Carlos Hernandez achève efficacement et "gentiment" sa petite saga, très agréable. Ici, les élèves de la Strange Academy luttent contre Equation, qui tente de pénétrer dans le Sanctum Sanctorum pour anéantir la Magie, lui qui a été rejeté par les Fées et subit désormais leur malédiction. On a quelques échanges sur les principes mathématiques et philosophiques, Spider-Man vient aider en sauvant des étudiants, puis stopper Equation avec son esprit scientifique. Equation s'évapore de lui-même, les élèves sont libérés, Doyle est ramené et les étudiants empêchent Zelma de démissionner. Dr Strange vient aussi aider au passage, confirmant sa résurrection.
C'est cool, oui. Un bon p'tit épisode, assez sympathique et réjouissant, mais aussi très solide mathématiquement. C'est agréable de ne pas être pris pour un imbécile dans la lecture, avec des personnages bien caractérisés, et un Equation bien écrit en antihéros plutôt que pur super-vilain. Un bon moment, vraiment.
Graphiquement, Vasco Georgiev propose des planches solides, classiques mais jolies et fluides. Solide.

Un bon moment, qui rappelle avec plaisir ces bons personnages.

G.O.D.S. #1
Tout ça pour ça ? Et béh.
Jonathan Hickman ne me passionne pas avec ce #1, longtemps mis en avant. Attention, ça se lit, c'est sympathique, mais... long. Et convenu. Et déjà-vu, aussi. Beaucoup.
On découvre ainsi, via une narration basée sur les dialogues et un léger jeu temporel, que le fameux Wyn a, dix ans plus tôt que maintenant, découvert que son épouse Aiko devient une Centivar, une agente des mystérieux The-Natural-Order-of-Things, entité sur-divine tournée vers la science. Or, Wyn est l'Avatar unique des The-Powers-That-Be, entité sur-divine centrée sur la magie. Ils doivent divorcer, Wyn refuse après six ans de mariage dont cinq très bons ; Aiko prend acte, et lui tire dessus en le blessant à l'oeil. L'on avait vu avant Wyn intervenir avec Dimitri the Science Boy, un émissaire en formation des The-Natural-Order-of-Things, pour stopper un démon abusif. Dix ans plus tard, Wyn et Dimitri rejoignent une assemblée de héros et entités, à cause d'un "Babylon Event" : un magicien fou veut réécrire la Réalité. Ca se bagarre, mais Wyn et Dimitri vont chercher et échanger divers artefacts, pour finalement rejoindre Dr Strange et arriver à la dernière minute. Wyn sauve l'Univers en stoppant l'ennemi, qui avait blessé Aiko, ce qui l'énerve. Wyn est lassé de cette guéguerre entre eux, Aiko l'embrasse et... tout risque de changer, maintenant.
Bon, bon, bon... ça se lit, hein, mais ce n'est pas passionnant. En fait, c'est trop long pour ce que ça raconte, et je ne vois pas la plus-value de tout ceci. Je ne vois pas l'intérêt de créer des entités supérieures aux Vishanti, par exemple, et surtout, je ne vois pas de grande différence entre Wyn et... Dr Strange. Je trouve vraiment que Wyn est une sorte de copie du Stephen un peu blasé et flegmatique qu'on a déjà eu, notamment à une période Warren Ellis, de mémoire.
Déception, donc, car Jonathan Hickman ne m'intéresse pas des masses ici : c'est convenu, un peu long, un peu facile (ça se voit de loin, le twist) et la mythologie n'est pas passionnante, là. Heureusement que Valerio Schiti livre de belles planches et de belles images.

Déception, et pourtant j'en attendais peu.

[mrcitrouille]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	G.O.D.S. #1 Tout ça pour ça ? Et béh. Jonathan Hickman ne me passionne pas avec ce #1, longtemps mis en avant. Attention, ça se lit, c'est sympathique, mais... long. Et convenu. Et déjà-vu, aussi. Beaucoup. On découvre ainsi, via une narration basée sur les dialogues et un léger jeu temporel, que le fameux Wyn a, dix ans plus tôt que maintenant, découvert que son épouse Aiko devient une Centivar, une agente des mystérieux The-Natural-Order-of-Things, entité sur-divine tournée vers la science. Or, Wyn est l'Avatar unique des The-Powers-That-Be, entité sur-divine centrée sur la magie. Ils doivent divorcer, Wyn refuse après six ans de mariage dont cinq très bons ; Aiko prend acte, et lui tire dessus en le blessant à l'oeil. L'on avait vu avant Wyn intervenir avec Dimitri the Science Boy, un émissaire en formation des The-Natural-Order-of-Things, pour stopper un démon abusif. Dix ans plus tard, Wyn et Dimitri rejoignent une assemblée de héros et entités, à cause d'un "Babylon Event" : un magicien fou veut réécrire la Réalité. Ca se bagarre, mais Wyn et Dimitri vont chercher et échanger divers artefacts, pour finalement rejoindre Dr Strange et arriver à la dernière minute. Wyn sauve l'Univers en stoppant l'ennemi, qui avait blessé Aiko, ce qui l'énerve. Wyn est lassé de cette guéguerre entre eux, Aiko l'embrasse et... tout risque de changer, maintenant. Bon, bon, bon... ça se lit, hein, mais ce n'est pas passionnant. En fait, c'est trop long pour ce que ça raconte, et je ne vois pas la plus-value de tout ceci. Je ne vois pas l'intérêt de créer des entités supérieures aux Vishanti, par exemple, et surtout, je ne vois pas de grande différence entre Wyn et... Dr Strange. Je trouve vraiment que Wyn est une sorte de copie du Stephen un peu blasé et flegmatique qu'on a déjà eu, notamment à une période Warren Ellis, de mémoire. Déception, donc, car Jonathan Hickman ne m'intéresse pas des masses ici : c'est convenu, un peu long, un peu facile (ça se voit de loin, le twist) et la mythologie n'est pas passionnante, là. Heureusement que Valerio Schiti livre de belles planches et de belles images. Déception, et pourtant j'en attendais peu.

Disons que lorsque tu en attends peu et qu'on te livre rien il y a des raisons d'être déçu

[bukowski]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	G.O.D.S. #1 Tout ça pour ça ? Et béh. Jonathan Hickman ne me passionne pas avec ce #1, longtemps mis en avant. Attention, ça se lit, c'est sympathique, mais... long. Et convenu. Et déjà-vu, aussi. Beaucoup. On découvre ainsi, via une narration basée sur les dialogues et un léger jeu temporel, que le fameux Wyn a, dix ans plus tôt que maintenant, découvert que son épouse Aiko devient une Centivar, une agente des mystérieux The-Natural-Order-of-Things, entité sur-divine tournée vers la science. Or, Wyn est l'Avatar unique des The-Powers-That-Be, entité sur-divine centrée sur la magie. Ils doivent divorcer, Wyn refuse après six ans de mariage dont cinq très bons ; Aiko prend acte, et lui tire dessus en le blessant à l'oeil. L'on avait vu avant Wyn intervenir avec Dimitri the Science Boy, un émissaire en formation des The-Natural-Order-of-Things, pour stopper un démon abusif. Dix ans plus tard, Wyn et Dimitri rejoignent une assemblée de héros et entités, à cause d'un "Babylon Event" : un magicien fou veut réécrire la Réalité. Ca se bagarre, mais Wyn et Dimitri vont chercher et échanger divers artefacts, pour finalement rejoindre Dr Strange et arriver à la dernière minute. Wyn sauve l'Univers en stoppant l'ennemi, qui avait blessé Aiko, ce qui l'énerve. Wyn est lassé de cette guéguerre entre eux, Aiko l'embrasse et... tout risque de changer, maintenant. Bon, bon, bon... ça se lit, hein, mais ce n'est pas passionnant. En fait, c'est trop long pour ce que ça raconte, et je ne vois pas la plus-value de tout ceci. Je ne vois pas l'intérêt de créer des entités supérieures aux Vishanti, par exemple, et surtout, je ne vois pas de grande différence entre Wyn et... Dr Strange. Je trouve vraiment que Wyn est une sorte de copie du Stephen un peu blasé et flegmatique qu'on a déjà eu, notamment à une période Warren Ellis, de mémoire. Déception, donc, car Jonathan Hickman ne m'intéresse pas des masses ici : c'est convenu, un peu long, un peu facile (ça se voit de loin, le twist) et la mythologie n'est pas passionnante, là. Heureusement que Valerio Schiti livre de belles planches et de belles images. Déception, et pourtant j'en attendais peu.

La lecture m'a paru interminable pour pas grand chose aussi. Heureusement, les dessins sont plaisants.

[bukowski]

TRANSFORMERS 1 de Daniel Warren Johnson : que dire d'autre que c'est absolument magnifique ! DWJ modernise à sa manière le premier épisode mythique du dessin animé avec respect et le résultat est incontournable.
Cet auteur complet me laisse sur le cul à chaque nouveau projet !

[mrcitrouille]

	Citation:			Posté par bukowski
	TRANSFORMERS 1 de Daniel Warren Johnson : que dire d'autre que c'est absolument magnifique ! DWJ modernise à sa manière le premier épisode mythique du dessin animé avec respect et le résultat est incontournable. Cet auteur complet me laisse sur le cul à chaque nouveau projet !

Des Transformers je ne connais que les jouets et le DA de mon enfance avec un concept qui ne devrait pas marcher auprès d adultes (des robots extraterr6qui ont le pouvoir de se transformer... en véhicules terrestres). Et là ça marche du tonnerre, c est beau, bien écrit et rythmé. Je n avais pas envie que ça se termine alors que la veille j espérais que GODS démarre.

Sinon Void Rivals 4 commence à faire le lien avec les Transformers et je trouve cette série de plus en plus passionnante

[bukowski]

	Citation:			Posté par mrcitrouille
	Des Transformers je ne connais que les jouets et le DA de mon enfance avec un concept qui ne devrait pas marcher auprès d adultes (des robots extraterr6qui ont le pouvoir de se transformer... en véhicules terrestres). Et là ça marche du tonnerre, c est beau, bien écrit et rythmé. Je n avais pas envie que ça se termine alors que la veille j espérais que GODS démarre. Sinon Void Rivals 4 commence à faire le lien avec les Transformers et je trouve cette série de plus en plus passionnante

Tu as tout dit !
Les amoureux de DWJ se sont déjà rués sur ce 1er numéro je pense.
Ceux qui ne le connaissent pas encore, tentez l'expérience, vous ne serez pas déçus !

[ollieno]

	Citation:			Posté par bukowski
	Ceux qui ne le connaissent pas encore, tentez l'expérience, vous ne serez pas déçus !

J'ai pris le 1 (que j'attends) je verrais ensuite.

[scarletneedle]

Ultimate Invasion, Jonathan Hickman ne savait pas quoi raconter alors il a raconté n’importe quoi...
Grosse perte de temps et d'argent (le prix WTF des numéros...) malgré Bryan Hitch.

[badmarru]

PEACEMAKER TRIES HARD:



j'ai essayé vu les excellentes critiques et ce n'est pas pour moi. En gros, c'est une comédie un peu coconne et granguignolesque sous-poudrée de WTF (très orienté public geek des séries TV à la the Boys fut mon sentiment). Mon point d'entrée, outre les excellentes reviews, était le dessin de Steve Pugh qui clairement s'amuse beaucoup à dessiner ce genre de comédie et de mecs au physique hypertrophié. Et il dessine bien même si son travail me semble moins léché que sur son GN Harley Quinn (que j’ai regardé mais pas lu). Pas désagréable à lire mais (tellement) pas essentiel.

[mrcitrouille]

	Citation:			Posté par scarletneedle
	Ultimate Invasion, Jonathan Hickman ne savait pas quoi raconter alors il a raconté n’importe quoi... Grosse perte de temps et d'argent (le prix WTF des numéros...) malgré Bryan Hitch.

Gods est tellement pire... il doit passer trop de temps sur son 3W3M, je vous pas d autre explication.

[scarletneedle]

Si je m'ennuie à la lecture du #1, j'arrête direct le titre en vo.

[watchblue]

GODS après le premier ultimate invasion j ai même pas tenté.

C est fou que personne chez Marvel ose dire à Hickman mec on peut pas sortir une intro d intro à 8 dollars..

[Ben Wawe]

Green Lantern #4
Sympathique, mais ça ne décolle pas beaucoup, quand même. Un comble !
Jeremy Adams amène ainsi une discussion tendue entre Sinestro et Hal, le premier voulant récupérer l'anneau du second pour quitter la Terre. Sinestro est à la rue, exsangue et veut fuir les Planètes Unies. Il piège Coast City, mais Hal appelle Barry à l'aide et ils sauvent la ville. Sinestro fuit, les deux héros affrontent Major Disaster qui a un équipement extraterrestre ; bizarre, bizarre. Tous deux discutent, Barry confronte Hal sur les fiançailles de Carol, ils vont ensuite analyser les locaux de Ferris. Le mystère s'épaissit.
Sympathique, oui. Jeremy Adams écrit bien Hal & Barry, c'est cool et dans la lignée de la fin de Dark Crisis, où ils apparaissent en "parrains" de la génération qui a désormais pris le pouvoir. C'est agréable, bien fait, mais... bon, ça n'avance pas, hein. C'est très lent, trop même. Dommage, car ça a des qualités.
Graphiquement, Xermanico propose de belles planches, assez élégantes, malgré une couleur un peu... fade, un peu délavée. Dommage.
La back-up de Peter J. Tomasi et David Lafuente propose une aventure bondissante et nerveuse d'un jeune garçon qui semble être... le fils de Sinestro. Carrément, oui. Sympathique, mais un rien trop nerveux.

Bof-bof. Beaucoup de qualités, mais ça n'avance pas assez.

Batman and Robin #2
Sympathique, un peu lent et... graphiquement, je ne peux pas.
Joshua Williamson évacue assez vite l'attaque de la mystérieuse commanditaire des super-vilains "animalisés", qui s'avère être... Shush (She-Hush ? yeah). Bruce a sur lui une bombe avec la décoction de sa mère contre les chauve-souris, mais doit rester sous surveillance car ce qui lui a été injecté demeure. Bruce veut envoyer Damian en cours, il y va mais... les relations avec les autres élèves sont difficiles ; ça se défie, se bagarre, se provoque. Damian fuit, va suivre White Rabbit, Bruce est là aussi. Ils s'engueulent, mais Shush apparaît et provoque le chaos.
C'est sympa', ouais. J'aime bien la relation Bruce/Damian ici, avec presque Damian "dominant" dans le contrôle et la confiance en lui. On voit un Bruce plus humain, "gentil" et sympathique avec son fils. C'est assez cool, Damian est bien écrit à l'école même si c'est très convenu. Bon, la saga principale n'est pas originale ou prenante... mais ça se lit.
Graphiquement, par contre, je n'y arrive pas. Simone Di Meo a un style qui me sort par les yeux, très dur à lire, avec aussi une narration mal fichue. Au secours.

Sympa' mais limité, et avec un graphisme que je rejette.

Wesley Dodds: The Sandman #1
Très agréable.
Robert Venditti fixe son récit en 1940, récupère des éléments de Sandman: Mystery Theatre pour acter la chronologie, et place cela avant la création de la JSA. Cool. On y voit un Wesley Dodds qui est Sandman depuis des années, est avec Dian qui "sait", mais veut sortir de l'ombre de son père (créateur d'armes) en proposant à l'armée non pas ses essais de gaz mortel, mais son gaz endormant. Refus brutal du colonel, mais Wesley va quand même en soirée guindée. Il en sort pour stopper un vol violent en pleine rue, puis rejoint des pompiers qui interviennent, car... sa maison est en feu ! Quelqu'un s'y est introduit, et le foyer de son père et de sa famille s'évapore...
C'est bien, oui. Robert Venditti gère bien Wesley Dodds, qu'il caractérise un peu comme un Bruce Wayne (le majordome, les rondes nocturnes, la cave...) fusionné avec Tony Stark (l'inventeur qui veut échapper à la lignée familiale), et c'est cool. Wesley demeure quelqu'un de "gentil", c'est agréable et le voir avec Dian et des éléments bien installés, c'est top. Il n'en demeure pas moins que ça ne raconte pas beaucoup de choses, mais c'est un bon début.
Graphiquement, Riley Rossmo est appliqué et adapté, ici. Son style étrange convient bien aux interventions du Sandman, et ça donne un aspect éthéré, irréel à cette vision du passé. Bien.

Un bon début, oui.

World's Finest: Teen Titans #4
Agréable et pertinent.
Mark Waid continue sa plongée dans le passé, revisitant un petit élément de continuité, creusant en parallèle les liens entre trois membres et leurs caractérisations. Ici, on voit Karen qui envoie à Mal Duncan le bouclier de Guardian, car il lui avait dit qu'il aimait beaucoup ce super-héros passé. Mal ne veut pas devenir super-héros, mais est forcé à agir quand Bumblebee est attaquée ; par un super-vilain qui "candidate" pour intégrer la super-équipe de méchants mystérieux. En parallèle, Wally invite chez ses parents en week-end Garth (qui se remet difficilement de la "pause" imposée par une Donna qui adore découvrir la Surface) et Roy (qui joue des mécaniques). Il y a une gêne des parents, moins vis-à-vis de Garth (malgré ses "spécificités") qu'envers Roy, trop grande gueule. Mais Garth évoque l'insécurité de Roy, que ce dernier entend et il se crispe.
C'est bien, oui. Mark Waid est bon avec Karen et Mal, et fin avec les trois garçons, parfois en retrait derrière Robin, par exemple. J'aime bien voir leur amitié entre eux, mais aussi la galère des parents qui ignorent tout de Kid Flash. Mark Waid est fin non pas dans la description de Roy, mais dans la vision de Roy par Garth, qui gagne en épaisseur ici. Cool.
Graphiquement, Emanuela Lupacchino assure. C'est beau, joli, dynamique et agréable. Top.

Un bon épisode, intéressant et fin.

[Ben Wawe]

The Avengers #6
Ultra prévisible, mais j'ai apprécié. Sans pouvoir l'expliquer, mais le ressenti est agréable.
Jed McKay achève sa saga sans surprise : la combativité des Avengers leur permet de mettre une raclée aux méchants, qui sont troublés et vaincus. Super. The Impossible City est libérée de ses chaînes, et demande puis obtient de devenir... un Avenger. Voici donc leur nouveau QG, alors qu'on apprend que la ville volante était d'abord geôlière des méchants avant qu'ils se libèrent, et elle ne se souvient de rien d'avant (je soupçonne une boucle temporelle pour ça).
J'aime bien. C'est ultra prévisible et convenu, mais j'aime bien. Les personnages écrits ainsi me plaisent, The Impossible City est cool, et l'ensemble est très sympathique. Pas foufou, mais juste ce que je souhaite.
Graphiquement, Ivan Fiorelli livre une copie classique, correcte ; mais sans plus. Ca fait le job, c'est pas mal.
En annexe, une petite back-up anodine mais sympathique sur Firebird, qu'il est agréable de retrouver.

J'aime, en ayant bien conscience des failles ; mais qu'importe.

Guardians of the Galaxy #7
Intense et réussi.
Colin Kelly & Jackson Lanzing s'emparent de Hulkling et Wiccan qui, marqués par la disparition des Gardiens, font l'école buissonnière et viennent enquêter. Ils croisent finalement les Gardiens "grootisés", ou plutôt mi-chair, mi-plante. Ils repoussent le couple impérial, alors que Wiccan "voit" ce qu'il se passe : Groot se déploie comme la flore le fait, et veut "embrasser" l'Univers. Les Gardiens le cantonnent ici, mais mieux vaut éviter d'autres voyageurs. Hulkling propose ainsi un embargo sur le système au conseil galactique, mais une voix forte refuse, qui était crainte par Peter : sa soeur refuse, oui, et veut "nettoyer" le système avec Spartax.
C'est bien, oui. Les deux scénaristes écrivent bien Hulkling et Wiccan, ça fait plaisir, et je suis surpris des Gardiens "grootisés". C'est intriguant et prenant, bien caractérisé et fluide. Fort agréable.
Graphiquement, Kev Walker assure et livre de très belles planches, très saisissantes.

Une bonne nouvelle pierre dans une construction intrigante et prenante.

Blade #4
Pas mal, bien que le rythme soit lent et que le graphisme peine un peu.
Bryan Hill enchaîne ainsi, avec un Dr Strange un rien énervé que Blade ait "permis" à The Adana d'être libérée. Stephen briefe Blade et ses acolytes sur le fameux train où dérober l'épée de Lucifer, et les y envoie. Ca massacre du vampire (le maître des lieux en est), Blade s'empare de l'épée mais galère à supporter sa puissance et l'arrogance qu'elle lui impose (celle de Lucifer). Le maître des lieux "parle" à The Adana et se tue pour elle, alors que Stephen envoie Blade et ses alliées vers The Adana. Il suit ça de loin mais veille.
Pas mal, oui ; mais sans plus. C'est toujours très cool, la bagarre dans le train est agréable, mais... mais. Mais bon, ça avance peu, ça reste un peu "facile", et je trouve que le plan de Stephen n'est pas très clair. Ca se lit bien, mais ça passionne moins.
Notamment parce qu'Elena Casagrande ne fait... quasi rien. Valentina Pini propose des planches correctes, solides, mais qui ne brillent pas.

Pas mal, sans plus.

Moon Knight: City of the Undead #4
Convenu mais sympathique.
David Pepose propose un récit très convenu et balisé, mais qui fonctionne bien. Moon Knight est avalé par Ammutt qui le plonge dans ses souvenirs, pour le briser. En parallèle, Layla protège Khalid et lutte contre tous les super-vilains morts, menés par le frère de MK. Spector s'en sort cependant, en faisant la paix avec le Dr Alraune, qui lui pardonne ce qu'il s'est passé. MK émerge alors d'Ammutt, pour la bagarre finale.
Sympathique, oui. Tout est ultra prévisible, mais c'est un fil agréable à suivre. Ca fonctionne, ça se lit bien, c'est efficace et bien fait.
Graphiquement, Marcelo Ferreira assure, dans son style efficace, un peu nerveux. Solide.

Convenu mais sympathique.

Captain Marvel: Assault on Eden #1
Belle surprise.
Anthony Oliveira propose un bon one-shot, où Carol participe au Jour de l'Unité de l'Alliance Kree/Skrull. Cependant, l'Intelligence Suprême tente une attaque avec de vieilles Sentinelles Kree, pour enlever les bébés hybrides des deux races, afin de leur imposer un carcan pleinement Kree. Hulkling est enlevé, Carol va le sauver en calmant Wiccan, puis Billy sauve les enfants, et Danvers détruit l'ennemi. Et hop, c'est réglé.
C'est bien, oui. J'aime cette plongée de Carol dans son héritage Kree, même si l'Intelligence Suprême qui veut lui faire croire qu'elle peut diriger l'Alliance, ça sort de nulle part. C'est agréable, prenant, bien que Hulkling soit particulièrement mal écrit, car trop incompétent ou facile à vaincre (dommage). Un bon moment, pas foufou mais efficace.
Graphiquement, Eleonora Carlini propose des planches solides. Pas brillantes, mais correctes et solides.
On a également deux petites back-up sur Photon, qui se lisent bien même si ça reste limité dans l'ambition.

Une belle surprise, oui.

X-Men: Red #16
Une belle fresque, puissante, mais quand même gênée par le manque de lien avec l'essentiel des personnages.
Al Ewing propose en effet un épisode essentiellement centré sur les doutes du camp de Storm, qui prend cher avec l'arrivée des Four Horsemen originaux, à savoir les quatre enfants de Genesis et Apocalypse. Ca tourne au massacre, Port Prometheus tombe. Une des "gentilles" Mutantes récupère la Commande Uranos, donnée par les Eternels pour que les Arakkii puissent "convoquer" Uranos pendant une heure. Des civils sont évacués (par des personnages secondaires du run d'Ewing sur les Gardiens ; le Lapin et le Prince du Pouvoir), mais ça tourne mal. Storm affronte les Horsemen, bat (mais ne tue pas) Famine et War. Death continue de flirter avec elle, Pestilence tire lâchement mais Nova intercepte l'attaque (et prend cher). Death ne supporte pas cette honte, tue sa soeur, et Storm hésite à solliciter Uranos. Tandis que, pas loin, Apocalypse arrive...
C'est bien, oui. Al Ewing gère très bien l'ambiance d'apocalypse (héhé), et la défaite à venir du camp de Storm. La Commande Uranos est une bonne idée, le doute est bien mené, le débat avec Horsemen est bien, c'est prenant, mais... mais je n'arrive pas à m'impliquer avec les Arakkii, là. Tous ces personnages en second ou arrière-plan, que j'ai trop peu vus, trop peu souvent. C'est dommage, ça casse le truc.
Graphiquement, Yildiray Cinar a un style classique et rond que j'aime bien. C'est joli, même si ça reste sage.

Bon et intense, mais un peu frustrant.

[Slobo]

Toujours bloqué sur avengers et lonesome hunter wolf child par 1 numéros manquant (le 4 et le 1).
Sinon lu :
Superio Spider-Man return 1.
Et pas aimé. Déjà c’est un gros mensonge. On a pas de retour de Spock, juste une aventure retcon.
De plus le Spock qu’on suit et vraiment pas terrible. Il est encore plus hautain et sur de lui que dans le premier volume. Je préférais son fonctionnement lors du second volume en clone de Parker.

Ici otto a tout oubliez sur ses aventure en Spock et pourquoi il a choisi de redevenir lui même (ce qui colle pas avec la fin de l’arc contre le norman/spidey). On revient sur Spock avant qu’il ait ses hommes de mains et ici on voit comment il pousse une jeune femme à le détesté et faire les mauvais choix. Otto en spidey où lui même est décevant d’auto satisfaction et de pas voir la realité.
Du coup le otto actuelle qui veut utiliser l’artefact (conçu pour "aider" le monde, que là il veut utiliser pour détruire) mais va libérer la jeune femme qui en veut à spidey (car elle ignore que spidey était alors otto).

Très déçu !
Par contre contant même en souvenir de revoir Anna Maria.


Hunger & dusk 3
Toujours très bonne fantasy.

Au nord les rocs sortent d’u. Combat qui leur a coûter cher, au sud les last man piste in espions ennemi pour l’empecher de révéler leur position. Ce dernier parle un language que seul l’orc arrive à un peu comprendre (un ancien dialect) et leur apprend que les siens utilise les ruines des nains (qui sont tous morts dans cet univers) pour s’infiltrer. Les last man envoie u. Dès leur prévenir les or s au nord alors que leur chef se repproche d’une orcs. Au sud le chef des last man rassure la jeune orcs qui s’en veut de n?avoir pu sauver l’amie des last men, et ils dorment (sagement) ensemble. Il décide de relâcher leur captif pour qu’un des leur le suivent en espérant qu’il les amène au siens (et que leur espions revienne en vie).

C’est bien mais ça avance trop peu, trop lentement.

Birds of prey 2.
Episode de transition.

On a zealots qui d’abord refuse d’aller tuer dés amazone. Dinah expliqué que c’est pas ça le plan. Harley s’inquiète de l’intervention de Wonder Woman. (Marrant aucune ne cite ni donna, ni Cassandra). Dinah va avec Constantine dans un bar mystique et se font attaquer par des golems. Harley qui avait suivit zealots arrive au même endroit. Deus ex machina (l’arme que cherche zealots était là aussi, mais on la voie pas la récupérer). Et barda et cass arrive aussi après qu’il aurait rencontrer hors panel dr fate (si j’ai bien tout compris Ave l’allusion au nom Nelson). Bref grosse castagne puis départ pour le port. C’est harley qui aurait la solution pour entrée discret sur thermes ara et ça implique king shark (je le croyais mort depuis le run de suicide squad de Taylor)

J’ai commencer à suspecter meridian (et si ce qu’elle racontait était faut et que c’etait pour amener sin a l’entite. Que cet entité ne serait pas sur thermes ara et que sin y est belle et bien en securité. Mais on la voit sans masque et elle a l’air gentille. Marrant on ne l’aurais vu que masqué j’aurais pas changer d’avis.
L’explication à pourquoi ne pas impliqué diana et logique. Par contre on n’a toujours aucune explication pour pourquoi ne rien dire à Barbara Gordon ?
Apprécier même si ça bouge pas trop. Vivement la suite.