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  #1  
Vieux 04/08/2014, 18h34
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SJ's singles mash-up

Bienvenu dans ce nouveau sujet de critiques. Ici je vous proposerai des critiques de singles, aussi bien des nouveautés que des oldies. Tout simplement c'est parce que c'est ainsi que je lis, j'alterne le nouveau avec l'ancien, que ça soit des nouvelles ou des relectures. Et le single parce que c'est le format de base du comics. Mais je ne vais pas vous proposer de séries entières, seulement des épisodes pris ça et là, ceux dont j'aurai envie de vous parler tout simplement.

Ce post servira d'index.

Dernière modification par EsseJi ; 26/11/2014 à 11h09.
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  #2  
Vieux 04/08/2014, 18h35
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Marvel

Spider-Man 2099 vol.1 #1


cover date : September 2014
Writer:
Peter David
Penciller:
Will Sliney
Inker:
Will Sliney

Depuis des années Peter David s'est construit un réputation, un lectorat mais aussi des univers propres à lui à l'intérieur des univers partagés des big two. Ce titre débute ainsi avec un panaché de ce que l'auteur a laissé comme traces à la maison des idées avec notamment le Trans-Abal, Serval Enterprise et les menaces de l'année 2211. Si il travaille autant sur son propre héritage c'est surtout pour remercier son public de l'avoir installé aux commandes de la reprise de son monte en l'air.
Surtout que cette version est un véritable cadeau, car même si c'est Spider-Man 2099 on est pas dans une copie du premier volume. Ce qui faisait le charme du héros est toujours présent sous la plume de son créateur mais c'est de toutes nouvelles aventures dans un nouvel environnement qui est proposé et exécuté avec talent.
Comme souvent dans les comics de PaD il n'y a pas d'idées révolutionnaires mais simplement une bonne utilisation des codes du genre, un mix de ce que les fanboys viennent chercher dans le médium. Ainsi si on pense à Terminator en lisant cet épisode ce n'est pas un hasard ni un manque d'inspiration, c'est juste une maitrise du genre et une acceptation de ce qui fait son charme.
Miguel et Peter se sont retrouvés, le lectorat a répondu présent. Avec un bon fond scénaristique en un épisode il ne manquerai que Rick Leonardi aux dessins, pour cela patientons encore quelques mois.

Dernière modification par EsseJi ; 26/11/2014 à 15h08.
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  #3  
Vieux 04/08/2014, 20h07
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Marvel

Ultimate X-Men #18


cover date : july 2002
Writer:
Mark Millar
Penciller:
Chris Bachalo
Inker:
Chris Bachalo

Colossus en couverture pour un épisode qui lui est consacré à moitié. Mark Millar utilise le russe pour tester la foi des élèves de Xavier envers son rêve, et le scénariste écossais en profite pour rebondir sur un fait macabre qui avait chamboulé le monde entier à l'époque, le naufrage d'un sous-marin russe. C'est une variante du texte d'introduction au personnage de Colossus dans Giant King Size X-Men #1 qui est mis au goût du jour du début du vingt-et-unième siècle, mais au final l'idée garde son socle, l'idée d'un monde où les pouvoirs des mutants briseraient les frontières des nations. D'ailleurs c'est le fond qui donne son nom à l'arc dont fait parti cet épisode : Wolrd Tour.
Cet épisode voyait aussi le retour de Chris Bachalo chez Marvel, après avoir travaillé sur du creator owned et des apparitions chez DC et Vertigo il revient à la maison des idées pour retrouver les X-Men, ou plutôt leur version Ultimate. On lui reprochait beaucoup à l'époque un certain manque de lisibilité dans son découpage, ce numéro est carrément le contre exemple.
Enfin le style est du pur Millar, en racontant l'histoire du couple Xavier/Moira il ne peut s'empêcher de mettre un kilt au professeur et de l'emmener voir un match de la ligue des champions.
Avec cet épisode les Ultimate X-men continuent à exister, dans l'ombre de leur versions 616 soit, mais grace aux auteurs le ton moderne est bien là et pose la différence.

Dernière modification par EsseJi ; 04/08/2014 à 20h59.
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  #4  
Vieux 04/08/2014, 20h15
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le retour de SJ aux manettes de la critique.

donc vivement la VF (ou les TP) pour ce New Spiderman 2099 si je saisis bien.

Millar avec Vaughan est celui qui a le mieux écrit les Ultimate X-Men et cet épisode me rappelle de bons souvenirs. Une époque dorée pour les mutants.
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  #5  
Vieux 04/08/2014, 20h54
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GenSen
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JB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme Spiderman
A court de PV disponibles, je voulais néanmoins te remercier pour ce nouveau sujet de critique
Intéressant et enthousiaste pour ces premiers numéros.
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  #6  
Vieux 05/08/2014, 00h04
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DC

Booster Gold #1 000 000



cover date : september 2008
Writers:
Geoff Johns
Jeff Katz
Penciller:
Dan Jurgens
Inker:
Norm Rapmund

Souvent les scénaristes mainstream font des petits cadeaux aux plus fidèles des lecteurs et cet épisode est un de ces cadeaux. Le lecteur de comics aime ses super-héros, aussi bien pour leur histoire que pour le côté décalé assumé, et ce sont là les mamelles de la fidélité geek. Ainsi quand un scénariste propose du background maitrisé et du fun déclaré on se félicite d'être dans le cœur de cible.
Ici en fait de scénariste ils sont deux mais c'est bien la patte de Johns que l'on retrouve. Amoureux du DC Universe il ne fait pas que l'utiliser avec brio, il y met son empreinte en ajoutant de nouvelles pièces à l'histoire des héros. Avec cet épisode c'est les dernières pierres qui sont ajoutées et tout comme le numéro qui est un clin d'œil à un précédent event le tout est un bonbon sucré pour les DCphiles. En fait c'est juste le point d'orgue d'un run qui nous a fait voyager de Killing Joke à la League Bwa-ha-ha en passant par Zero Hour et l'ouest sauvage de Jonah Hex.
Les aventures de Booster Gold ne s'arrêtent pas là, Johns et Katz laissent la série avec un pan qui se tourne mais surtout un statu quo qui donne du relief au héros. Booster Gold est le plus grand des héros méconnus, passez le mot.

Dernière modification par EsseJi ; 05/08/2014 à 00h22.
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  #7  
Vieux 05/08/2014, 00h22
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oni

The Life After #1



cover date : July 2014
Writer:
Joshua Hale Fialkov
Penciller:
Gabo
Inker:
Gabo

Joshua Hale Fialkov est un des scénaristes qui a le vent en poupe en ce milieu d'année 2014, sa plume est déjà chez Oni Press au service de The Bunker, série elle-même au haut de la vague. Ainsi pas trop de risque à prendre sur ce nouveau titre, la seule inconnue reste ce nouvel univers que l'on découvre.
Et en dépit du fait que l'on sait où on met les pieds ce comics prouve par sa qualité qu'on peut encore et toujours avoir de bonnes surprises.
Avec un début qui pourrait évoquer sur certains aspects The Truman Show le reste bascule vite dans de la science fiction avec une touche de mysticisme qui donne au tout son ton si particulier.
Un autre gage de qualité est que cette histoire pourrait être un one-shot qui se termine sur une fin ouverte, en effet à la fin du single on en a pour son compte avec une histoire entière même si elle a son lot de secret.
Oni et Fialkov, encore une association qui marche, surtout avec un nouveau venu aux crayons, celui qui se surnomme Gabo, c'est tout un univers qui se dévoile sans véritable fausse note. Et pourtant le pari n'était pas gagné d'avance, ce comics nous parle de vies fauchées.
Pas le temps d'avoir du recul sur cette nouveauté, seul le temps confirmera ou pas la force qui est présentée dans ce premier épisode.
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  #8  
Vieux 05/08/2014, 00h40
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Slobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarnéSlobo est Jack Kirby réincarné
Je ne peux être que d'accord pour Booster Gold et plus mitiger sur Spider-man 2099.
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  #9  
Vieux 05/08/2014, 00h50
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Citation:
Posté par SJ
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The Life After #1

...Avec un début qui pourrait évoquer sur certains aspects The Truman Show le reste bascule vite dans de la science fiction avec une touche de mysticisme...
... pourrait être un one-shot qui se termine sur une fin ouverte, en effet à la fin du single on en a pour son compte avec une histoire entière même si elle a son lot de secret.
... Et pourtant le pari n'était pas gagné d'avance, ce comics nous parle de vies fauchées.
... seul le temps confirmera ou pas la force qui est présentée dans ce premier épisode.
D'accord avec ta critique. Je suis curieux de lire le deuxième numéro pour voir où Joshua Hale Fialkov va nous entrainer. En attendant Bunker #5 arrive.
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  #10  
Vieux 05/08/2014, 11h25
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DC

Superman vol3 #33



cover date : september 2014
Writer:
Geoff Johns
Penciller:
John Romita Jr.
Inker:
Klaus Janson

Heureux qui comme Ulysse a fait un long voyage, ça fait du bien de revenir à la maison. Depuis ses débuts new 52 on reconnaissait l'icone qu'est Superman mais on était plus certain de le connaitre. Il ne fallait pas plus qu'une paire d'auteurs mainstream qui connaissent leur métier pour recoller les morceaux.
Rien de révolutionnaire dans cette deuxième partie d'arc mais tout s'assemble avec aisance, l'idée d'un nouveau strange visitor a déjà été exploitée et qu'importe, si tout semble couler de source dans cet épisode c'est peut-être parce que Sup n'a peut-être pas besoin d'autres artifices que ceux qui ont fait son succès depuis trois quarts de siècle.
C'est l'histoire d'un vieux couple qui essaie de recoller les morceaux après une rupture, ce couple c'est le lecteur et big blue, c'est Clark Kent et le Daily Planet. Et comme dans beaucoup de vieux couples il en faut peu pour se retrouver.
La réussite de cet épisode est aussi le résultat d'un Romita Junior inspiré, ne jetant pas ses traits à la va-vite comme on a pu lui reprocher sur Captain America. On sait bien que le beau est relatif mais on va bien réussir à caser le travail fourni par JRJR sur une échelle de beauté, et pas loin du haut. Et bien sur Janson y est aussi pour quelque chose, mais pas tant que ça comme ça a pu être le cas dans le passé, là il travaille sur une base solide.
Au final un épisode qui donne envie pour la suite, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, plus dure sera la chute. Le décors est planté, les acteurs ont pris leurs marques il ne reste plus que la cassure qui viendra ébranler cette osmose et pour cela continuons à faire confiance aux auteurs.

Dernière modification par EsseJi ; 05/08/2014 à 11h30.
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  #11  
Vieux 05/08/2014, 12h05
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Marvel

Ghost Rider Vol2 #7



cover date : november 1990
Writer:
Howard Mackie
Penciller:
Mark Texeira
Inker:
Mark Texeira

Un épisode essentiel et qui pourtant a été jugé dispensable par certains. Ce numéro de Ghost Rider est essentiel pour la série, c'est ici que meurt la sœur du personnage principal, c'est aussi dans cet épisode que l'esprit de la vengeance laisse libre cours à sa violence en tuant le Scarecrow (ou tout du moins en apparence). Et c'est bien là le soucis de cette histoire, son ultra violence et son pessimisme affiché.
C'est peut-être ces raisons qui ont amené les éditeurs qui ont traduit la série en français à sauter cet épisode. Une censure de 22 pages pas moins!
Le comble est que ce numéro est à aussi à retenir car il est le premier de Mark Texeira au dessin en fill-in de Javier Saltares pour qui il assure déjà l'encrage. Celui qui va se faire sa réputation dans l'industrie du comics commence a laisser l'empreinte pour laquelle on l'appréciera.
Même si elle est violente, sombre et quasiment malsaine cette histoire de Ghost Rider n'est que le reflet de son époque, depuis la fin des années 80 le comics assume son côté grim n' gritty et avec un tel personnage nous sommes à l'apogée du genre.
Howard Mackie nous livre ici un deuxième numéro #1, il y a eu l'épisode qui a lancé la série, nous avons avec ce #7 celui qui va donner le ton, le point de non retour. L'alter égo du Spirit of Vengeance qui perd son innocence pour de bon.
Un épisode à lire en dépit de ce qu'ont pensé ceux qui devaient le publier en France.
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  #12  
Vieux 06/08/2014, 00h40
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V-Wars #4



cover date : July 2014
Writer:
Jonathan Maberry
Penciller:
Alan Robinson
Inker:
Alan Robinson

USA, land of freedom. Liberté de penser, liberté de mouvement, liberté de culte, le tout défendu par la constitution. Et justement si tout cela est écrit noir sur blanc par et pour lui le peuple c'est pour se défendre de lui-même. Si ce pays prône autant la tolérance c'est en partie pour essayer de panser les blessures des années des combats pour les droits civiques de chacun.
Dans V-wars ce ne sont plus les afro-américains ou les femmes qui bataillent pour leurs droits mais les vampires. Et en dépit de leurs crocs le combat est aussi rude et le message de tolérance n'a pas pris une ride.
Jonathan Maberry prouve encore une fois son talent pour sortir les vampires de leur carcan, il démontre que le genre a encore à offrir si on change un peu les angles de vue sur le mythe des suceurs de sang. De plus son message n'est pas basique, il explore avec ses personnages les nombreux avis et points de vue qui composent la société.
Pour finir une des preuves de la qualité de cette série est que cet épisode comme les précédents peut être le premier de chacun. C'est du comics qui fait aimer les comics, pas besoin de connaitre le background par cœur, chaque numéro met le lecteur à l'aise dans les moindres détails.
V-Wars confirme comme lors du FCBD qui a lancé la série que l'homme est un loup pour les autres mais aussi pour lui-même, mais l'espoir n'est pas loin, enfin un peu plus loin quand même, juste le temps de laisser courir la série le plus longtemps possible.
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  #13  
Vieux 06/08/2014, 14h45
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Bon je sais quoi lire ce soir. Content de voir que la qualité de faiblit pas.
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  #14  
Vieux 13/08/2014, 19h40
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Quasar #18



cover date : January 1991
Writer:
Mark Gruenwald
Penciller:
Greg Capullo
Inker:
Keith Williams

Un épisode de transition pour la série. Tout d'abord il fait suite au #17, connu des fanboys pour être la première apparition de Barry Allen depuis Crisis on Infinite Earths, et cela chez Marvel! Ensuite il voit les débuts d'un jeune dessinateur aux crayons affutés : Greg Capullo.
Sur le fond Mark Gruenwald s'est fixé deux objectifs pour ce numéro : dépoussiérer Quasar et le rendre accessible aux nouveaux lecteurs et confirmer son empreinte sur le Marvel Universe. Sur ce deuxième point c'est déjà le cas depuis le retour du Squadron Supreme dans les pages de cette série mais le scénariste enfonce le clou en créant le personnage de Origin, la déité qui a ni plus ni moins imaginé tous les héros Marvel. Avec ce personnage et son opposé, Unbeing, Gruenwald donne son opinion sur l'univers Marvel du moment : trop de mutants, ils sont si facile à créer grâce à leurs gènes plus besoin d'origine secrète; d'autres personnages sont anecdotiques, ainsi il n'y a jamais eu de héros du Midwest ce n'est pas pour rien, attaque directement lancée envers Byrne et ses Great Lake Avengers.
Ce n'est pas le seul épisode de slip où le héros rencontre un créateur de l'autre côté du quatrième mur, on se souvient des Animal Man de et avec Morrison ou plus tard Supreme et même les Fantastic Four qui rencontrent un dieu Roi mais ce genre d'épisode a toujours une saveur particulière si bonne à prendre.
Le grand avantage est que si le scénariste veut gommer quelques impuretés sur le personnage il suffit de le faire par le biais du dieu créateur. Ainsi c'est dans cet épisode que Quasar inaugure son nouveau costume, l'honneur est fait au nouveau dessinateur de le créer et Capullo s'en sort avec brio, même si il va encore le faire évoluer dans les mois à venir en tombant le masque.
Quasar a droit à un nouveau départ, tout n'est pas oublié des sub-plots passés et la partie graphique est renouvelée, un jumping point comme on dit dans le jargon.

Dernière modification par EsseJi ; 13/08/2014 à 19h59.
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  #15  
Vieux 13/08/2014, 19h57
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All-New Doop #4



cover date : september 2014
Writer:
Peter Milligan
Pencillers:
David Lafuente
Frederico Santagati
Inkers:
David Lafuente
Frederico Santagati

Pour l'instant cette mini tient ses promesses mais attention aux nouvelles qui sont faites. Exception faite d'une irrégularité au niveau dessin qui voit David Lafuente être aidé par deux dessinateurs sur les deux derniers numéros, Peter Milligan lui de son côté gère sa barque d'une main de maître. Les trois premiers épisodes étaient accès sur le passé, avec un regard différent proposé sur le crossover Battle of the Atom. Ce numéro lui s'ancre dans le passé pour se projeter dans l'avenir avec X-Statix. En effet de clin d'œil en réplique à double sens Milligan nous laisse entendre que nous sommes peut-être à la veille d'un retour de l'équipe originelle de Doop.
Cela nous donne une impression comme celle que l'on avait à la lecture de la mini Madrox qui a vu le retour de X-Factor scénarisé par Peter David.
Alors faux espoirs ou appel du pied aux lecteurs et aux éditeurs? En tout cas de notre côté le message est reçu 5/5.
Mais si retour de X-Statix il y a il faudrait que le dessinateur en charge se renseigne un peu plus que Frederico Santagati qui a dessiné certains membres de l'équipe ensembles alors qu'ils ne se sont jamais côtoyés (U-Go Girl & Venus Dee Milo), mais c'est bien pour trouver quelque chose à redire.
Doop a une voix, une famille, un passé, croisons les doigts pour son futur. Avec ou sans Ingmar Bergman pour qui Milligan semble avoir une fascination.
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