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Ah juste pour signaler que les éditions Taschen font leurs ventes privées depuis ce matin. Allez sur leur site, y a des affaires sympas. Perso, je me suis pris un bouquin sur les Stones et leur somme sur les 75 ans de Marvel.
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j'ai moyennement apprécié L'Amie prodigieuse de l’attraction Elena Ferrante (bien que sont identités soit désormais connue). Je comprends bien l'engouement pour cette auteure, au style fluide, racontant une histoire d'amitié dans le Naples des années 60. Mais à part des thèmes assez éculés mais qui touchent (car l'écriture est fluide) rien de nouveau sous le soleil et surtout quelle déception dans ce qui aurait dû être le gros plus du livre (et donc de la sage car sur 4 tomes) : l'environnement à savoir la vie à Naples dans ces années après guerre. Au bout de 150pages Ferrante évoque enfin Naples et là je me suis dit qu'elle aurait pu mettre le nom de n'importe quelle autre ville cela aurait quand même fonctionné. Quand on voit ce que Jaume Cabré est capable de faire sur l'espagnol à une période similaire ...
C'est donc bof. Pas sur de lire la suite (même si forcément on a envie de savoir ce que devienne les personnages tombés dans la caricature) malgré de jolis passages. |
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plus intéressant voire passionnant même frustrant car on en veut plus dès la dernière page tournée :
J'ai réellement bien apprécié le film de James Gray (La Cité perdue de Z) qui s'est essentiellement inspiré du livre de David Grann. Déjà il y une différence entre les deux, James Gray se focalisant sur Percy Fawcett et son entourage alors que le livre nous abreuve sur l'histoire des explorateurs d'hier et d'aujourd'hui et sur les civilisations amazoniennes du passé et du présent. Ce livre est une mine d'information, très bien documenté ou l'auteur alterne les chapitre présentant également sa quête personnelle en tant que journaliste en parallèle de celles de Fawcett. Quel dommage que ce livre ne fasse que 320 pages car on a envie de continuer à jouer les explorateurs (Fawcett est un mythe et a inspiré nombre de fiction comme Tintin ou Indiana Jones ou encore Bob Morane) et surtout tous les passages sur les tribus, la faune et la flore amazonienne sont passionnants. Des cours (certes un peu accélérés et parfois vulgarisés mais pas trop non plus) de géographie, d'ethnologie, d'histoire (la conquête du nouveau monde) et de biologie réunis en 320 pages. A ne pas opposer au film car les deux sont parfaitement complémentaires. |
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Grand souvenir d'enfance :
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Cet exemple précis est repris dans le livre David Grann J'ai oublié Conan Doyle (le monde perdu) parmi les inspirations les plus célèbres.
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Attention : très grand livre !!!
William Finnegan est journaliste pour le New Yorker depuis 30 ans. Reporter de guerre notamment, il a couvert certains des conflits les plus meurtriers et dangereux de ces dernières décennies. Dans Jours barbares, il raconte sa vie. Mais pas sa vie de reporter. Non, il raconte sa vie au travers du prisme de sa passion dévorante pour le surf. Alors, précisons-le tout de suite, je n'éprouve personnellement pas le moindre intérêt pour le surf. Je déteste les plages, je déteste me baigner, je déteste nager. Et cet inintérêt complet pour ce qui fait le sujet du livre ne se révèle au fil des pages absolument pas comme un frein à la lecture. Finnegan est parvenu à me captiver, à me happer dans son monde en ne causant au long de plus de 500 pages bien tassées que d'un sujet dont je n'avais a priori rien à foutre. C'est juste miraculeux. C'est la magie de l'écriture. Il se livre sans fioritures, sans esbroufe. Il nous fait pénétrer dans un monde fascinant, très éloigné des clichés habituels. Un monde de frappadingues toujours à la recherche de nouvelles vagues (qu'il décrit admirablement en long et en large - jamais plus je ne regarderai la mer comme avant) aux quatre coins du monde, des gens qui sacrifient tout au surf, qui vivent leur passion comme une drogue dure. Ce livre, c'est aussi une formidable leçon de vie. Et au bout du voyage, ce titre, Jours barbares qui me semblait si bizarre avant de débuter la lecture, trouve vraiment son sens. C'est le genre de livre qu'on voudrait ne jamais voir finir, ... comme un super ride dans le tube d'une grosse vague. Génial.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Cool ton retour. Ma bibliothèque municipale l'a. J'ai failli le prendre. Désormais plus d'hésitation.
je termine City on Fire et je viens vous dire ce que j'ai pensé de ce pavé de près de 1000 pages. |
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Très intéressé aussi. Ton enthousiasme est communicatif.
J'aime le surf et j'aime lire. Rarement en même temps. |
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Si tu aimes le surf, tu devrais à mon avis d'autant plus y trouver ton compte.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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J'aime à le croire
Tu as déjà lu du Kem Nunn ? Je ne pense pas qu'on puisse comparer ses livres à celui de Finnegan. Mais ceux que j'ai lu ont en commun le surf. J'ai bien compris que ce n'était pas une passion à la base chez toi, hein ! J'avais bien aimé Le sabot du diable et dans une moindre mesure Surf City. Mais, au vu de ce que tu aimes, j'ai l'outrecuidance de penser que ce ne serait pas forcément ta tasse de thé. |
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Mais c'est sûr que la lecture de Jours barbares m'a sacrément donné envie d'enfin les lire.
Je ne lis plus beaucoup de romans noirs ces dernières années mais il fût un temps où je ne lisais pratiquement que ça. Kem Nunn, ça rentrerait parfaitement dans une espèce de revival polar qui pourrait me prendre un de ces jours. J'aurais plutôt envie de commencer par Tijuana straits.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Je ne l'ai pas lu alors qu'il traine sur une de mes bib' depuis... quelques années ! (Shame on me)
Mais si l'on en croit les critiques, ce serait son meilleur livre à jour. Bon... par quoi je commence ? |
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Acheté. Et aussi “Hollywood ne répond plus“ de Olivier Rachjman sur les difficultés de la 20thFox au début des années 60, Elizabeth Taylor et Marilyn en catalyseurs. Pour ma chérie, qui découvre Irving, “Hôtel New Hampshire“ et “L’épopée du buveur d’eau“ ainsi que “Les revenants“, l’enquête sur ces français de retour du jihad, que je lirai aussi.
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Dans le genre divertissement, je vous conseille de jeter un oeil à la trilogie Red Rising de Pierce Brown. Une histoire de lutte des classes dans un univers de science fiction qui est surtout prétexte à de la bonne grosse action. Des livres pop corn excellents.
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