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  #331  
Vieux 22/05/2015, 23h25
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Au début oui, mais très vite j'ai compris qu'on été sur battleword.
Lorsque le stark Ultimate et le stark 616 parle de l'incident et la crainte que Doom ne soit pas contant. Après sur les Stark j'ai trouver ça aussi brouillon que toi pour savoir qui était qui avant la fin. Je croyais vraiment que l'alcoolique serait le 616, surtout que Spidey le soutient à un moment.
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  #332  
Vieux 28/05/2015, 23h05
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DC/VERTIGO

The Sandman Overture 5

Avant-dernier numéro de ce préquel de la série culte, à la parution érratique. Ce numéro 5 nous présente la mère des infinis, à la fois surpuissante et très étrange.
On aperçoit également Destiny et on évoque les querelles de famille.
Pendant ce temps, le Sandman chat met à l’abris de nombreuses personnes en prévision du grand final.

Un numéro qui raccroche Dream à sa famille, les évoquant à plusieurs reprises. Première apparition de leur mère et évocation de leur père. Un numéro graphiquement somptueux et aux dialogues très réussis mais qui fait un peu « numéro de transition ».
Il faudra que je relise les 6 numéros à la suite quand tout ça sera fini.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 17/20




MARVEL


Secret wars 2099 n°1

Le mot clé de ce numéro est “faux semblant”. Dans le domaine de 2099, les vengeurs sont des employés de la firme Alchemax, dont le dirigeant est le baron du domaine, appliquant les lois du dieu de Battle world.
Nous découvrons tout au long de ce volume les pouvoirs et surtout la nature de ces champions, l’identité de leur employeur puis celle de la menace à venir.

Voilà pour moi la plus grande réussite de la semaine. Nonobstant les dessins assez laids de Sliner (c’est pire que ses numéros de Spider-man 2099, je trouve), David parvient à étonner et intriguer le lecteur à chaque page, parvenant même à utiliser avec une grande réussite le personnage d’Hercules, qui est ici très humain.
Pour l’instant, une très bonne mini-série dont le seul défaut est que chaque page est un mini spoiler, ce qui m’empêche d’en parler sereinement.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 11/20
Note finale : 16/20



M.O.D.O.K assassin 1

Quelle surprise ! Je pensais faire l’impasse, Yost n’étant pas ma tasse de thé et les dessins n’étant pas spécialement enthousiasmants mais j’ai été rendu curieux par la qualité globale des tie ins Secret wars.

Killville est le domaine régi par le baron Mordo et sa femme Cléa. Les gens normaux y vivent dans la terreur des assassins de la guilde et les super-héros n’existent pas. Modok y est le chef de l’AIM et une des principales forces politiques en présence, le baron ne pouvant se passer de l’aide qu’il apporte, sauvegardant les frontières de ce domaine qui côtoie celui de 2099 et est tout ce qui sépare celui de la maison de M, paradis mutant, de celui des sentinelles qui voudraient les exterminer…

Nous suivons le ridicule super ennemi de Captain America dans sa vie de tous les jours faite de meurtres et de…meurtres jusqu’à ce qu’il croise le chemin d’un Thor écrasé dans « son » domaine.
Yost réussit avec ce numéro à rendre son lustre à un méchant ridiculisé depuis des années comme un grosse blague. Il rappelle la signification de son acronyme (« Mental organism designed only for killing ») en montrant son côté surarmé, relativement indestructible, comme l’apprend très vite le plus populaire que lui Bullseye. Modok est même carrément flippant, avec ses illusions de grandeur et sa facilité à ôter la vie pour un rien. Il m’a fait penser à Chucky la poupée de sang : un truc qui semble inoffensif mais qui est carrément flippant par son attitude d’enfant terrible sanguinaire.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



Old man Logan 1

C’est beau! Je suis pas fan de Sorrentino d’habitude mais son style pourtant réaliste et faisant pas mal penser à du Jae Lee est ici curieusement dynamique. C’est un vrai bonheur à voir, notamment les planches muettes.

Nous suivons le vieux Logan dans ce qui semble être le domaine dont il est le baron bien que nous ne soyons pas sûrs à 100% que ce soit le cas. De la même manière, ce numéro semble suivre la fin du très bon arc de Mark Millar du même nom mais ma mémoire peut me jouer des tours.
Ce domaine quasi désertique est le résultat de la guerre finale qu’a gagné une coalition de super criminels menée par le Red skull contre les super héros. Ils se sont ensuite partagés les USA, Logan étant devenu pacifique suite à un évènement traumatique impliquant la mort de nombre de ses amis. Il est ici associé à des rejetons de Bruce Banner, qu’il a lui-même tué et vole au secours d’une Emma Frost vieillissante dont la ville a été attaquée par le gang des punishers.

Bendis livre ici une très bonne copie, parvenant à conserver l’essence du run de Millar et intriguant suffisamment le lecteur pour lui donner envie de lire la suite mais son gros point fort, c’est les dessins.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Where monsters dwell 1

La mini-série de Garth Ennis est un très bel hommage aux titres pulps de l’entre-deux-guerres ! Nous y suivons le phantom Eagle, pilote de la Première guerre Mondiale d’ascendance germano américaine qu’il avait déjà mis en scène avec bonheur dans un contexte très réaliste, au sein de la ligne Max comics.
Rien de tout cela ici : le phantom eagle est un pilote reconverti dans le civil, libidineux et coureur de jupons invétéré, toujours dans les dettes jusqu’au cou. Après avoir engrossé la mauvaise fille de chef de tribu, il est contraint de décoller de façon précipitée avec celle qui se présente comme la femme d’un riche bourgeois perdue fortuitement et qui souhaite être convoyée auprès de lui. Le truc, c’est qu’elle cache bien des secrets. A cause d’une tempête spectaculaire, ils sont tous deux détournés sur une île peuplée de dinosaures…

Un très bon premier numéro, enlevé et bouffon. Les provocations d’Ennis (outrances et gore) sont ici inexistants, ce qui ne gâche rien, bien au contraire. Vivement la suite !

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Inferno 1

Dans ce domaine de Battleworlds, les démons se sont installés en plein Manhattan, sous la férule du démon N’astirh et du Darkschylde, l’avatar démoniaque de la belle Ilyana.
Les mutants résistent vaille que vaille avec l’aide de la magie de docteur Strange et son équipe de mages et des machines de Forge et du Fauve.
Colossus est membre de la police de Cyclope. Avec sa partenaire et compagne Domino, il a obtenu de son chef l’autorisation de mener, une fois par an, une expédition au cœur du domaine des démons pour sauver sa sœur Ilyana. La dernière s’étant déroulée de façon catastrophique, Colossus doit faire avec les moyens du bord, en infériorité numérique et physique totale… C’est à ce moment qu’interviennent deux vieilles connaissances.

Ce premier numéro ravive la nostalgie de l’un des meilleurs crossovers mutants (dont les répercussions avaient été génialement bien exploitées par Ann Nocenti dans son Daredevil !)
Mes pires craintes se sont confirmées : il n’y a pas que la couverture qui a été censurée : les tenues de la reine démon et de son prince sont devenues tout aussi passe-partout.
Il me semble que ces costumes n’ont pas été modifiés dans le numéro de Secret wars (le deuxième) dans lequel ils apparaissent. Je n’y comprends plus rien.
Bref, le dessinateur rend une copie honnête mais pas transcendante. En revanche, Hopeless a axé sa narration sur Colossus, un de mes X men favoris donc je vais pas m’en plaindre.

Une série intrigante dont j’espère le meilleur.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



Inhumans Attilan rising 1

Soule reprend ses personnages habituels et nous raconte leurs mésaventures dans le monde de Battleworlds.
La reine Medusa a été placée comme femme de confiance à la tête du royaume d’Attilan, au cœur de Manhattan (elle côtoie notamment le domaine d’Ultmate end) par le dieu de ce monde lui-même, qui l’estime d’un intérêt primordial pour l’équilibre du monde.

Nous faisons la connaissance de notre groupe de jeunes héros habituels, à la personnalité changée, en pleine mission à la frontière du domaine de Planet Hulk pour une raison secrète. Accompagnés d’un Ghost rider qui semble un ancien exécuteur des gangs du Chicago des années 20, ils rencontrent très vite plus forte partie en la présence de hulks sauvages et sans cervelle mais aussi des chasseurs de la reine.
Celle-ci obtient une piste sur leurs motivations, le nom d’un club mal famé que semblent fréquenter les barons de plusieurs domaines…

Ce premier numéro est du bon Soule, intriguant comme il faut. Il profite du passage à un autre monde pour se faire plaisir en bouleversant nos idées préconçues.
Le cliffhanger, notamment, est bien frappant ! Le dessinateur, beaucoup moins dans le style de ce que j’aime en revanche.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



Secret wars journal 1

Ce premier numéro est compose de deux récits indépendants : le premier raconte les aventures d’Hawkeye 2 dans le monde de 1602 (un monde marvel bloqué à la renaissance) : elle y’est une Robin des bois en lutte contre un sheriff impitoyable surnommé le Punisher.
Ce petit récit bien dessiné et agréable est une sorte de prologue à la série Siege à venir.

Le deuxième suit un royaume égyptien dédié à la déesse (oui) Khonshu que souhaitent destituer les X men. Avec l’aide d’un de ses anciens moon knights repentis, la partie semble bien engagée mais ils auront fort affaire avec ses werewolves by night…
Ce deuxième récit est plus sombre et relativement dispensable, n’étant pas appelé à connaitre une suite. Reste d’agréables dessins.

Ce premier numéro de Secret wars journal déçoit un peu. J’en attendais plus que de son homologue « bastonisant », Secret wars battleworld, dont le premier opus est sorti la semaine dernière.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



AVATAR

Uber TPB 1 à 3

Mai 1945 : la guerre est à deux doigts de finir en Europe. Soudain, le suicide d’Hitler est interrompu : un général a réussi à concrétiser le projet de surhommes nazis, quasi indestructibles.

Grâce à une espionne anglaise, le secret de la création des super soldats va se répandre peu à peu chez les alliés, continuant la guerre par d’autres moyens, plus destructrice que jamais.

Uber utilise le thème rebattu des wunderwaffen allemandes et du crépuscule des dieux wagnérien qu’appelait Hitler de ses vœux. Gillen se saisit de ce thème et en fait une petite merveille de narration et de dialogues, l’idée de génie de ce comic étant de ne pas habiller les nouveaux venus comme des super héros (façon Invaders par exemple) mais de les considérer comme des bâtiments de guerre, une nouvelle arme encore plus destructrice que les précédentes (la bombe atomique n’a pas encore fait son apparition) qui permet à une Allemagne exsangue de poursuivre sa guerre, renversant le cours de l’Histoire.

Gillen nous fait pénétrer l’esprit d’un Churchill épuisé mais vaillant, la Grande-Bretagne étant le principal adversaire montré dans ces volumes, n’oubliant pas son fameux « chien noir ».
Peu à peu, nous ferons connaissance avec le fameux Alan Turing, après rencontré les trois plus puissants surhommes nazis dont l’un seulement est un monstre fanatique, les deux autres gardant une part d’humanité.

Les Russes font aussi très vite leur apparition et tout particulièrement le premier d’entre eux, le sinistre et calculateur Staline, dont Gillen montre très bien le cynisme et le froid glaçant, comme il le fait avec l’enthousiasme fanatique d’Hitler.
L’auteur ne perd jamais une occasion de s’intéresser à l’homme de la rue autant qu’aux super soldats et aux dirigeants : nous nous trouvons ainsi souvent rallié au point de vue de simples soldats américains sur le front pacifique, de partisans ou d’anciens koulaks russes…

La suite des évènements nous montre que la guerre va être rallongée plusieurs années encore, les destructions occasionnées par les panzermensch étant comparables à celles des bombardements aériens. Le dessinateur a d’ailleurs cette qualité : il ne nous cache rien des destructions et des corps éparpillés de leurs victimes, le gore souvent éprouvant me semblant ici particulièrement justifié.
Il est juste dommage qu’il soit pour le reste très moyen, les portraits des personnages historiques étant parfois méconnaissables.

Autre qualité majeure de la narration de Gillen, la volonté de souligner les premiers engagements et évènements liés aux panzermensch d’un point de vue historique, amplifiant le sentiment que ces évènements vont laisser une trace majeure dans l’Histoire du monde : ces trois tomes oscillent grâce à ça entre le récit de guerre romancé (dans le sens de pas aussi rigoureux qu’un ouvrage scientifique) et livre d’Histoire illustré.

Personnellement, je trépigne en attendant le prochain TPB, malgré le dessinateur qui gâche un peu la fête.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 10/20
Note finale : 17/20


Dernière modification par Man-Thing ; 28/05/2015 à 23h36.
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  #333  
Vieux 29/05/2015, 00h01
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Bien tu nous en donne pour notre argent en avis secret wars.
Arrête de me tenter, j'ai déjà trop de titre et mes comics ont du mal a entrer dans mon meuble désormais.
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  #334  
Vieux 29/05/2015, 00h12
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Comme dit la pub, "et c'est pas fini!"
Vous allez en manger du Secret wars dans ces pages. Je suis chaud bouillant sur ce crossover même si je prendrai pas tout (mais pas loin). J'ai fait l'impasse sur Convergence dans ce but.
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  #335  
Vieux 29/05/2015, 14h57
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Kemlo change la caisse du Fauve
Merci pour ces avis ça donne envie! Hate de poser mes mimines sur les secret wars de la semaine comme toi j'ai fais l'impasse sur convergence pour prendre un max de tie-ins secret wars meme si tu me fais un peu regretter d'avoir fais l'impasse sur le 2099
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  #336  
Vieux 04/06/2015, 20h41
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MARVEL


Secret wars 3

Ce numéro approfondit le monde nouveau au travers de plusieurs discussions importantes nous révélant tout un tas de non-dits et de vérités cachées. En fait, 8 ans ont passé entre les évènements du 1 et du 2, ce qui explique bien certains changements drastiques de caractère chez certains personnages.
On découvre que certains personnages savent encore qu’il y’a eu un monde avant celui-ci et l’origine de Battleworlds. Les antagonistes ont rarement été aussi pluridimensionnels. Un vrai bonheur d’écriture.

Encore un numéro passionnant !

Scénario : 17/20
Dialogues : 18/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 18/20



Spider-man : renew you vows 1

Dans ce domaine de Battleworlds, Spider-man s’est marié avec Mary-Jane et n’a jamais perdu la mémoire à cause de Mephisto et son stupide contrat de One more day.
Un jour, les vengeurs et la majeure partie des super-héros se rassemble à la tour de la super équipe : un riche industriel a fait tuer les héros sans pouvoirs et de nombreux autres, dont les X men, ont subi des expériences dans ses laboratoires. S’appropriant leurs pouvoirs, rien ne semble pouvoir l’arrêter, pas même une énorme coalition de héros. Apprenant l’évasion de Venom de la prison des super criminels, Spider-man ne participe pas à ce combat, car il sait qu’Eddie Brock va s’en prendre à sa femme et son bébé…

Ce premier numéro est doté d’un scénario classique mais très efficace et bien mené. Il est axé sur les responsabilités nouvelles qui incombent à Spider-man en tant que père. Assez dramatique, il bénéficie d’une superbe réalisation : dessins magnifiques, dialogues réussis. On se passionne pour le destin du tisseur placé face à des choix cornéliens.
La suite dans deux semaines déjà. Vivement !

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20




Years of future past 1


Ce domaine continue le scenario du célèbre arc des X men “Days of future past” avec quelques points de divergence vis à vis des évènements d’origine. Nous suivons Christina Pryde, fille de Kitty et Peter Raspoutine (Colossus) qui est considérée comme le meilleur espoir des mutants dans ce mond sinistre. Le sénateur Kelly, politique raciste, a fait plusieurs mandats et parqué les mutants dans des camps de concentration (qui portent bien sûr un nom moins effrayant), des sentinelles parcourant les rues en ruine des villes depuis plus de quinze ans... Mutants, humains et « anomalies » (des super héros humains ?) doivent arborer en permanence des vêtements identifiant par une lettre leur nature.
Des affiches sont partout placardées sur les murs, appelant les humains à vérifier annuellement si leurs enfants sont des mutants et à préserver la « pureté » de la race humaine.

A la veille des élections présidentielles, Kelly craint une victoire des libéraux pro-mutants qui amènerait seol lui la déchéance de l’humanité ets urtout le courroux de Dieu, qui lui a donné mission, comme à la baronne Grey (cf X tinction agenda 1 plus bas dans la page) de circonscrire les mutants et d’empêcher qu’ils se rendent où ils veulent sur Battle worlds.
Quoi de mieux qu’un petit incident filmé ? C’est au même moment que Christina, sa mère et leurs alliés découvrent un moyen de se libérer de leurs colliers inhibiteurs de pouvoirs.

Un premier numéro assez magistral dans le genre ! ça a vraiment le goût et la couleur du célèbre crossover, y compris dans la narration et les dessins.
Pour l’instant, le titre le plus convaincant de Secret wars sur les mutants.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Thanos : the infinity relativity OGN

Suite directe de l’excellent Thanos : the infinity revelation et du nettement moins bon et assez mal nommé Thanos vs Hulk, ce nouvel original graphic novel de Jim Starlin se situe en fait entre les deux.

Face à la menace représentée par un Annihilus plus puissant que jamais et aux pouvoirs encore inconnus de la nouvelle incarnation de Warlock, Thanos se voit contraint de sortir de sa retraite.
Il s’adjoint l’aide de ses alliés traditionnels, le téléporteur Pip et sa pupille Gamorra, désormais membre des gardiens de la galaxie, qui partagent ici la vedette avec l(’anti) héros titre.

Ce deuxième numéro de la trilogie est de bonne facture : nous avons droit à notre dose de cosmique starlinien avec un mélange toujours aussi réussi des éléments qu’il a créé dans les années 70 et poursuivi dans les années 90 mais également les ajouts réussis de l’ére Abnett et Laning (la vague d’Annihilation, les alliances entre empires, les gardiens modernes).

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Future imperfect 1

Ce domaine désertique du nom de Dystopia est régi par le cruel Maestro, célèbre avatar de Hulk, seul super-héros à avoir survécu à une guerre mondiale nucléaire, devenu tyran de l’unique ville existante. Nous suivons une mutante qui sauve du désert un Odin ayant perdu ses pouvoirs.

Très bon premier numéro exploitant très bien l’univers futuriste éponyme de son créateur, qui parvient à nous surprendre et à nous divertir à chaque page.
Même le dessinateur Greg land est plutôt en forme par rapport à ses habitudes !
Très bon premier numéro qui donne diablement envie de lire la suite.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20



Armor wars 1

Le domaine de Technopolis est une métropole gigantesque ravagée par un mystérieux virus. Toute la population doit porter une armure faite par la firme du baron Stark ou par son frêre, Arno.
Stark a promis à son père de sauvegarder une certaine indépendance et liberté à la ville, qui obéit aux règles du dieu de Batlleworlds mais qui a son propre Thor (Jim Rhodes, War machine dans d’autres univers) et relègue le plus loin possible les affaires d’Etat.

Nous faisons connaissance avec quelques grandes figures de ce domaine, toutes prisonnières d’un carcan d’acier, notamment le baron Stark, qui gère le domaine, Pepper Potts ou en core la petite amie d’un certain Spyder-man (vi vi)., qui gère sa compagnie en nom propre.
Problème : les deux frères sont en conflit armé et Arno est prêt à tout …

Un très bon premier numéro qui présente les enjeux, les forces en présence et le domaine, évoquant certaines figures influentes pas encore apparues (le Caïd du crime, par exemple).
Les dessins sont simples mais très efficaces, avec de l’impact, malgré quelques défauts. La progression du scénario est efficace et ce domaine est un desplus intéressants jusque là, notamment parcequ’il ne se limite pas à bêtement mettre les super héros en armures et va jusqu’au bout du concept d’Iron man.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20



Giant size little avengers vs X men 1

Le domaine de Marville (oui, comme la courte série du même nom, que je n’ai pas lue) est l’un des rares où la mort semble ne pas exister !
Cette ville typiquement « banlieue américaine » est le cadre de jeux gentiment conflictuels entre deux bandes d’enfants à super pouvoirs : les X men de Cyclope, qui aime les jeux de mots pourris et les vengeurs de Captain America. D’autres bandes de gamins regardent tout ça d’un œil interrogatif, comme la bande des midnight sons ou encore Kid MODOK.

Dans ce numéro, nous suivons la dérouillée infligée par Magyk à un Tony Stark déjà doté d’un système pileux, nous apprenons qu’en matière de stand de bouffe, il faut être prêt à tout pour attirer le client et assistons à l’arrivée de célèbres jumeaux dans le quartier.

Avec son petit générique chanté très réussi de début de numéro et ses dialogues légers, ce premier numéro est une franche réussite pour Skotte Young, qui sort pour une fois le nez de ses bien connues couvertures alternatives.
Légère et belle, très amusante à défaut d’être franchement drôle, cette série s’annonce sous de très bons auspices.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 15/20




X-tinction agenda 1


Ce domaine est une uchronie qui imagine que plusiuers X men et nouveaux mutants sont restés à Gensoha pour rebâtir la ville après la bataille qui a opposé cet état humain génocidaire et eclavagiste aux mutants. Malheureusement, l’île est sous quarantaine depuis qu’un mystérieux virus menace la survie des esclaves mutants survivants, pouvant se transmettre aux mutants comme aux humains.

Le baron du domaine est Jean Grey, une mutante saine qui supervise à la fois Genosha et le reste du pays au-delà de la zone de quarantaine. Elle est limitée dans sa mission par les consignes de Dieu, qui considère les mutants comme un fléau qui doit être circonscrit à certaines zones (on repart dans les délires de certains scénaristes qui le rendaient tour à tour raciste dans Black panther ou encore misogyne dans Mighty Avengers…).

Un titre un peu trop décompressé et bavard, servi par des dessins qui m’ont fait penser aux nineties. Pas franchement hyper marquant. On se demande comment Guggenheim va transformer l’essai.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Secret wars battleworld 2

Deux récits composent ce numéro. Le premier fait se rencontrer le Blade des années 70 et un Howard the duck qui n’a jamais quitté Duckworld.
Malgré les clins d’œil à la série originale d’Howard, il est très oubliable car un peu balourd, aussi bien dans l’humour que dans l’exécution.

Le deuxième se déroule dans les arènes de gladiateurs d’Arcade, que nous avions déjà vues dans Planet Hulk 1. Un avatar du taskmaster est très dépité de voir que sa protégée n’a pas grand succès aux yeux du public comme du dieu de Battleworlds et suit avec jalousie l’ascension fulgurante du cyborg Warmachine, un avatar du général Ross à la recherche des hulks qui ont tué sa fille.
Réalisé par la même équipe que celle de la mini Planet Hulk, cette courte histoire est de bonne facture.


Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



IMAGE


Jupiter’s circle 3

Nous suivons dans ce numéro l’un des super-héros de l’équipe des années 50. Ayant arrêté une attaque du Toyman de cet univers, il lie connaissance avec une jeune fille du trou où a eu lieu l’attaque. Celle-ci rêve de devenir une super-héroïne et d’échapper à son bled. Notre héros, marié et père de plusieurs enfants, connaît des problèmes de couple avec sa femme et se sent pousser des ailes au contact de sa nouvelle alliée…

Après l’homosexualité illégale du héros précédent, Millar dépeint cette fois un homme en pleine crise de la quarantaine qui va vivre une « May-december romance ». Toujours aussi beau, simple et réussi, décrivant efficacement les années 50 et des héros qui sont avant tout des êtres humains, ce numéro est très agréable et assez fin dans la manière dont il traite son sujet.
Apparemment, les 12 numéros de la série seront constitués de courts arcs de deux numéros chacun.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20

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  #337  
Vieux 04/06/2015, 21h58
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De très bon Secret Wars Advice ^^
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  #338  
Vieux 04/06/2015, 22h33
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La qualité globale du crossover est tout de même impressionnante!
ça faisait depuis Civil war que j'avais pas été autant passionné par des titres liés à un crossover marvel.
Et en plus, il y'a quelques très bonnes surprises (MODOK, Armor wars). Enfin, ne nous emballons pas trop vite : il peut y'avoir une chute après les numéros 1.
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  #339  
Vieux 07/06/2015, 09h35
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Je crois que pour Renew your Vows ce qui me déplait c'est le traitement de Peter Parker par Dan Slott au final. Déjà je trouve qu'il a du mal avec lui dans Amazing (avant et après Superior). En fait Slott est plus à l'aise avec le costume qu'avec l'homme. Sa version de Peter m'a dérangé. J'ai beau savoir que l'on est dans un univers ré inventé j'aurais bien aimé qu'il travaille sur le couple Peter et MJ avec la petite May dans la lignée de la Saga du clone, le Spiderman/PP que l'on connait en quelque sorte. Par contre Dell bouffe le trait de Kubert déjà assez moyen.
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  #340  
Vieux 07/06/2015, 09h43
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Ah ben, j'ai été transporté de bonheur à la lecture du premier numéro, perso. J'ai trouvé les dessins très "in your face" avec beaucoup d'impact et pas vu le simperfections dont tu causes. ça faisait longtemps que j'avais pas retrouvé le Spidey que j'aime. Mais je suis d'accord que ses choix de père sont...osés quand même. Et Regent a le charisme d'une huitre mais l'idée du type normal qui deveint un surhomme peut etre bonne si elle est bien faite (je me souviens avec émotion du What if sur Korvac, dans le 1er volume. Quelle claque)

Le plus dur en faisant ces chroniques, c'est de spoiler le moins possible. J'ai eu du mal à contenir mon enthousiasme sur secret Wars 3 ou encore Future imperfect 1 par exemple de ce point de vue.
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  #341  
Vieux 07/06/2015, 11h42
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Le plus dur en faisant ces chroniques, c'est de spoiler le moins possible. J'ai eu du mal à contenir mon enthousiasme sur secret Wars 3 ou encore Future imperfect 1 par exemple de ce point de vue.
Tout à fait mais au pire les balises sont là pour ça.
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  #342  
Vieux 12/06/2015, 15h39
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C'est reparti !

DC


Catégorie "Excellent"


Rien


Catégorie "Très bon"


Gotham academy 7

Le crossover Convergence passé (je ne l’ai pas suivi), on reprend le cours des séries habituelles avec, parfois, une nouvelle direction artistique.

Ce numéro stand alone intègre le fils de Batman, le froid et très sûr de lui Damian Wayne, à l’académie que nous connaissons depuis quelques temps déjà. Pour son plus grand malheur, il attire l’œil de la fantasque geekette (et meilleur perso de la série selon moi) « Maps » Mizoguchi, en train de constituer une équipe idéale de camarades de classe pour participer à un jeu de rôle grandeur nature. Problème : elle écrit dans un grand cahier avec une plume dérobée au proviseur, dont les effets sont très ennuyeux puisqu’il semble bien que tout ce qui est écrit avec cet objet devient réalité…

Un retour en cours très réussi pour une série qui souffrait jusque-là d’une certaine inconstance dans la progression des intrigues, certains numéros étant presque dépourvus d’enjeux et uniquement tranche de vie.
Ce premier numéro post convergence est en tout cas très dynamique, notamment grâce aux dessins de qualité de la nouvelle venue. Ça a un style un peu cartoon qui colle bien à l’intrigue.
Le couple Damian/Maps fonctionne très bien et ce numéro est divertissant de bout en bout. Espérons qu’on tient le bon.

Bémol de taille : les titres DC contiennent pour ce mois et peut-être les suivants une ingénieuse page de pub au centre du numéro qui court sur le bas des deux pages. Elle est immanquable et inzappable, gâchant bien la lecture mais réussissant à capter l’attention du lecteur sur le produit qu’elle vente : une barre chocolatée anciennement appelée Raiders.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Catégorie "Bon"

Harley Quinn 17

Retour d’Harley et sa toute récente équipe de « Harlettes » nouvellement constituée. Avec un objectif clairement affiché : combattre le crime, de quelques nature que ce soit pourvu que l’intéressé puisse payer quelque chose, de préférence beaucoup d’argent.
Problème : Harley doit convaincre monsieur le maire de New York de ne pas arrêter ses filles et celui-ci n’est guère enthousiaste.
Autre problème : un certain marin bourru et costaud, le capitaine Strong, a mystérieusement disparu après avoir mangé une algue phosphorescente…

Un numéro de transition pas désagréable qui nous montre les premières missions des Harlettes et continue à nous décrire le changement de mentalité de la belle arlequin.

Oh ! Et la pub immanquable est là aussi !

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



MARVEL

Catégorie "Excellent"

Secret wars 2099 n°2

Mais après quoi court le PDG d’Alchemax? Ses diverses manipulations génétiques ou hypnotiques commencent à être peu à peu mieux connues du lecteur et ses vengeurs sont bien troubles : entre les frasques sordides de la veuve noire et la dette de faucon envers celui qui lui a donné ses pouvoirs, le puissant personnage est de plus en plus trouble.

Après une tentative d’assassinat déjouée sur l’alter égo de Captain America, il ordonne à ses troupes d’enquêter sur un suspect mais ils tombent sur un os en la personne d’Hulk 2099…

Ça fait bien plaisir de revoir le Hulk de 2099 et bien d’autres allusions toujours aussi bien employées par le scénariste. Chaque page est impressionante de surprises et de maîtrise dans la narration et même le dessinateur est meilleur que sur le numéro 1.

Indispensable pour les fans de Peter David, de secret wars ou de l’univers 2099. Si vous êtes les trois à la fois, ce titre est fait pour vous.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 17/20



Catégorie "Très bon"

Ghost racers 1

Dans ce titre nous retrouvons le Killiseum d’Arcade, maître des spectacles du dieu de ce monde et situé dans sa capitale mondiale.
Toutes sortes de spectacles sanglants sont produits dans ce colisée, des combats de gladiateurs comme ceux montrés dans Planet Hulk 1 et Secret wars battleworld 2 mais surtout l’épreuve reine, la course entre ghost riders de tous horizons, rebaptisés les Ghost racers !

Dans ce titre, nous suivons l’actuel champion en titre (et actuel ghost rider du monde marvel), Robbie Reyes, mécano et spécialiste des voitures de course se défiant dans des courses illégales en ville. Tout semble sourire à celui qui a vaincu l’ancien champion, Johnny Blaze et qui tient tête à des pointures comme Danny Ketch ou Carter Slade dans l’arène de la mort, ou des éléments extérieurs comme des zombies à superpouvoirs ou des batteries de canons font tout pour empêcher les compétiteurs.
Mais Arcade reste ce qu’il est dans tous les mondes et entend bien rester le seul maître du jeu…

On pourrait craindre une certaine répétition dans ce numéro mais il n’en est rien car il est très bien découpé et présente très efficacement les enjeux.
Ce premier numéro véhicule une extraordinaire sensation de vitesse et de danger au travers des très belles images de la première course dans laquelle nous sommes projetés. On pense aux épisodes du rugball de Cobra, du motorball de Gunnm et à quelques pointures du sport violent et imaginaire comme le jeu vidéo Speedball.

Mention spéciale à Carter Slade en terrifiant centaure zombie surarmé !
Un démarrage en trombe pour un titre qui promet le meilleur.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Mrs Deadpool and the howling commandos 1

Ce numéro est une uchronie qui se déroule peu après le très bon arc durant lequel le mercenaire intarissable a rencontré sa femme, le magnifique (sous forme humaine) démone Shiklah, promise de Dracula qu’il devait lui amener pour un mariage politique unissant les monstres et les vampires sous son égide.

Il se déroule au royaume souterrain des monstres, sous le domaine « new yorkais » unissant les villes du même nom des terres 616 et Ultimate, elles-mêmes surplombées par la cité volante des Inhumains, Attilan.

Dans le domaine présenté par ce titre, Deadpool a été tué par Dracula qui l’a découpé en morceaux et jeté dans de l’acide, épousant Shiklah. Vous croyez que la mort l’empêche d’assurer la narration de ce numéro ? Nenni ! Vous subirez ses logorrhées incessantes tout au long du volume, jouant au narrateur omniscient qui ne se prive jamais de donner son point de vue sur ce qui se déroule sous nos yeux, avec comme toujours beaucoup d’humour.
Prétextant un pèlerinage pour enterrer les cendres de ses frères tués par le maître des vampires, Shiklah entame un voyage pour les venger, accompagnée par les gardes du corps que lui a assignés son mari, Werewolf by night, Living mummy, Man-thing, le monstre de Frankenstein et bien sûr Marcus le centaure symbiote diabétique, qui n’ont dans ce monde rien de sympathique…

Un premier numéro enthousiasmant et ultra fun, parmi les plus drôles et les mieux vus du run de Duggan et Posehn pour une série qui promet d’être l’une des meilleures de Secret wars.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Daredevil TPB 2

Ce nouveau TPB de la deuxième “saison” de Daredevil est constitué du numéro special 1.5, numéro anniversaire écrit et dessiné par plusieurs équipes dont certaines devenues très marquantes, de l’arc qui se déroule durant le crossover Original sin et de celui sur les enfants du sinistre Purple man, qui ont hérité ses pouvoirs (numéros 6 à 10 en singles de la série actuelle).

Le numéro 1.50 est très agréable à défaut d’être indispensable :
- la première histoire nous montre un futur possible dans lequel tout le monde est devenu aveugle sauf Daredevil qui a perdu ses pouvoirs. On y croise la fille de son vieil adversaire, le hibou, qui a des pouvoirs similaires
- la deuxième est de la prose de Bendis accompagnée d’illustrations de Maleev. N’étant pas fan de leur run, elle ne m’a pas transcendé.
-la dernière revient sur le personnage de Mike Murdock, le frère jumeau imaginaire de Matt, inventé à une époque très ancienne du comic par lui pour brouiller les pistes de son identité secrète. Là encore une histoire bien fichue qui conclut ce premier numéro du TPB très agréable à défaut d’être très bon.

L’arc qui se déroule durant Original sin revient sur la mère de Daredevil. Suite aux évènements du décevant crossover, Matt retrouve un souvenir caché lié à sa mère, qui est également activiste politique avec d’autres nonnes, qui va être victime d’un sinistre « échange » entre le gouvernement du Wakanda et les USA. DD va devoir trouver un moyen de se rendre dans le pays africain et de négocier leur libération, ce qui n’est pas chose aisée.
On retrouve dans cet arc l’équipe habituelle aux commandes pour un résultat très réussi.

Le meilleur du volume vient enfin : le Purple man, ce criminel qui peut contrôler la volonté de ses victimes, vient chercher les enfants qu’il a eu avec plusieurs femmes pour les manipuler. Il faut dire qu’ils ont hérité de ses pouvoirs !
Rien ne se passe comme il le souhaite et ceux-ci s’échappent, semant un certain chaos sur leur passage, avec Daredevil à leurs trousses.

Ce deuxième tome est un peu inférieur au premier et aux sept de l’ancienne série, restant tout de même d’une très bonne tenue. J’ai adoré l’arc des enfants de l’homme pourpre, très bien dessiné et très original, DD ne pouvant pas blesser ses adversaires pour les arrêter et ceux-ci agissant de façon à la fois réaliste et par moments surprenante pour un adulte.
L’arc Original sin est très réussi car il change une nouvelle fois notre héros de cadre, le privant de ses repères urbains. Sur le même thème, son association avec les howling commandos du HC 7 ou sa captivité chez Fatalis dans le HC 3 étaient tout de même plus convaincantes.

Le numéro 1.50 est plus une agréable introduction bonus au volume qu’un facteur décisif chez le lecteur pour lui donner envie d’acheter celui-ci.
L’un dans l’autre, un très bon TPB tout de même.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Silver surfer 12

La nouvelle vie de Norrin Radd, qui n’emploie plus ses pouvoirs et doit se nourrir comme un être vivant normal, réconcilié avec Dawn et vivant en harmonie avec les survivants des planètes dévorées par Galactus qu’il a sauvés à plusieurs reprises, notamment de la boucle temporelle du superbe numéro 11. Un numéro qui respire le bonheur…La fin ?

La vie de super-héros étant ce qu’elle est, vous vous doutez bien que Norrin va encore en baver des ronds de chapeau : à partir du numéro 13, il vivra ses « last days » et devra affronter les derniers jours avant la fin du monde qui a conduit aux évènements de Secret wars 2.

Un numéro bien mené bien qu’on sente le côté « transition ».

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Secret wars journal 2

Ce numéro 2, bien meilleur que le premier, est compose de deux récits :

Le premier se déroule à Killville, la charmante ville ou officie MODOK dans le titre MODOK assassin. Nous y suivons deux avatars de personnages connus pour être héroïques mais roublards, Paladin et Misty Knight, ici des flics normaux (dont, dans ce domaine ripou, cherchant à arrondir leurs fins de mois) qui apprennent l’existence d’un challenge qu’ils décident de relever : quiconque parviendra à ramener à un certain Kraven sa pièce fétiche sera récompensé au-delà de tous ses désirs ! Ils décident d erelever le défi, bientôt poursuivi par toute la pègre à super pouvoisr ou non de la ville.

Ce récit est très bien fichu, avec ses dessins et son ambiance très blaxploitation seventies, sans compter un final à la fois bien pensé et surprenant. Voilà des hauteurs qui savnet raconter une histoire courte.

Le second récit se déroule dans le domaine du maître cloneur Mister Sinister. Ce généticien charmant et grand ennemi des X men d’ordinaire est la maître d’un domaine seulement peuplé de clones de lui-même, pensant comme lui ou dévolus à ses désirs. Seuls quelques clones disposent de leur libre arbitre, parmi eux, son cusinier Matt Murdock, capable de créer des merveilles culinaires qui font la renommée de son domaine auprès des ambassadeurs qui le visitent ou encore Collektra, sa chasseuse émérite et grande rassembleuse d’ingrédients.

Dans ce contexte, s’en suit le récit le plus noir que j’ai pu lire jusqu’ici dans ce formidable crossover, porté par des dessins et une narration inquiétantes et un final marquant.

Secret wars journal 2, c’est de la bonne !

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20



Inhumans Attilan rising 2

Dans ce numéro, le propriétaire très “faucon maltais” du bar de prestige the quiet room révèle la nature de l’endroit à une envoyée de la reine Medusa, omettant bien sûr de lui parler de certaines pièces plus…secrètes.

Soule continue à expliquer l’influence des Inhumains sur le monde de Battleworlds. Après Atillan, surplombant Manhattan et domaine spécial sur lequel le dieu veille tout particulièrement, nous visitons le seul lieu où les barons des différents domaines peuvent régler les affaires inter baronnies de manière moins officielle.
Le maître des lieux est mystérieux et charmant comme il ne l’a été dans aucune incarnation jusque là, ayant de petits airs d’uncertain Bruce Wayne.

Un numéro meilleur que le précédent pour une série qui mérite la lecture.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



Marvel zombies 1

Elsa Bloodstone est la fille du célèbre chasseur de monstres éponyme et quasi immortel, qui l’a élevée à la dure pour garantir sa survie. Elle est une des commandantes du SHIELD, l’organisme juché sur une grande muraille qui protège l’ensemble du monde de Battleworlds contre les hordes de zombies qui ne rêvent que de dévorer ses habitants.
Un jour, un des monstres qui mènent la horde la téléporte contre son gré bien loin de la muraille. Là, elle rencontre une enfant humaine sans pouvoirs qui s’attache à ses pas. Elle décide de marcher pour revenir au SHIELD, dût-elle affronter les hordes cannibales ou mourir, comme son code de l’honneur l’exige. Mais il existe une autre alternative que la mort certaine que cela représente.

Road movie avec des super zombies, ce titre présente la vie loin des domaines, au contact de l’une des deux forces qui aimeraient les détruire, l’autre étant les armées d’Ultron.
Spurrier parvient à nous faire nous attacher à la très dure Elsa, qui revit avec la jeune fille la relation difficile qu’elle a entretenue avec le père qui l’a élévée et formée comme une arme mue par le devoir. Marvel zombies nous montre l’envers du décor de Batlleworlds et ce qui le menace, repaire de morts vivants et de condamnés à mort.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Weirdworld 1

Où l’on retrouve Arkon, ancien ennemi et parfois allié des vengeurs, personnage un peu oublié de nos jours crée par Roy Thomas et John Buscema, seigneur régnant sur les autres seigneurs de guerre de son monde, Polemachus.

A cause des évènements de Secret wars, il se retrouve dans un mystérieux domaine rassemblant un maximum de bizarreries qui font que ce maître stratège ne peut s’échapper et commence à doucement atteindre ses limites. C’est à ce moment que la baronne qui règne surce domaine, du nom de Weirdworld, manifeste son intérêt pour cet étranger.

Le premier numéro de Weirdworld est assez intriguant : on y croise des orcs munis d’armes futuristes, des singes sous-marins, des dragons…C’est du gros fourre-tout assez réjouissant, d’autant plus que les dessins très statiques ont un rendu peint qui fait un peu penser à du Bisley des années 80, par exemple.
Potentiellement un titre très intéressant car les challenges qui attendent le maître de Polemachus est largement à la hauteur de ses aptitudes martiales et de ses dons de stratège.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Inferno 2

La goblyn queen (bien plus vêtue qu’à son apparition dans les années 80) fait à Colossus une offre qu’il ne peut pas refuser afin de s’emparer du trône de sa sœur et de son acolyte N’astirrh. Et on revoit le démon S’ym !
Pendant ce temps, sa compagne Domino fait la connaissance du fils de la reine, le jeune Nathan Summers, plus connu sous le nom de Cable, déjà à moitié cyborg et nanti d’un énorme flingue des années 90 à son jeune âge !

Dans la droite ligne du numéro 1, une bonne série un peu desservie par ses dessins efficaces mais un peu basiques. Il lance quelques pistes intéressantes pour la suite de l’histoire, concernant le devenir de Nightcrawler et de Boom Boom, notamment.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20




Catégorie "Bon"

Spider Gwen 5

Fin des aventures de Gwen pour l’instant, l’après Secret wars étant pour l’instant un peu brumeux pour la suite des aventure de la belle.
Nous retrouvons Gwen et son groupe de rock, fort marris en voyant arriver leur grande rivale, Felicia Hardy, la chatte noire, sur la scène où elles se produisent. D’autant que la chanteuse française est poursuivie par les troupes du caïd emmenées par l’assassin Matthew Murdock, qui ne s’appelle pas Daredevil dans ce monde…

Un clap de fin un peu en dessous de ce qui l’a précédé à cause de la certaine confusion qui règne dans ce numéro mêlant intrigue simple voir cliché (la rock star avec une identité secrète rivale d’une autre qui a le même pédigrée) à des combats un peu confus, surtout pour un dernier numéro censé clore la série ou du moins amener des pistes pour la suite.
Il est amusant de constater que les multiples phrases en Français qui émaillent le texte sont dans l’ensemble exactes (Sacrebleu ! dirait le maître de la savate) mais ce numéro a des carences.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Ultimate end 2

Le moins qu’on puisse dire est que c’est un peu confus : Le dieu de Secret wars manifeste via la police des Thors sa volonté que les héros des terres 616 et Ultimate survivants n’unissent pas leurs forces pour trouver une solution à la situation de Battleworlds, Peter Parker rend visite à tante May et à la Gwen de l’univers Ultimate et une bataille entre Hulks (le gris de l’univers Ultimate et un vert qui ne semble pas être celui que nous connaissons actuellement) croisent la route du Punisher.

C’est un numéro de transition pas désagréable qui vaut essentiellement par les bons dialogues typiques du scénariste et les dessins de Bagley mais du diable si je comprends grand-chose aux enjeux de ce titre.

Scénario : 13/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Spider-verse 2

Nous retrouvons le domaine d'Arachnia, régi par le maire de New York, Norman Osborn. Gwen fait face à Osborn qui l’a démasquée, fuyant avec Spider Ham et un nouveau prisonnier qui ne semble pas lui vouloir du bien.
Elle fait la connaissance d’autres arachnides , comme les Spider-men indien, britannique, celui de la terre pulp « Noir » ou une mystérieuse Spider-woman.

Ils se demandent bien pourquoi ils se sont vus dans leurs rêves depuis leur enfance et ce qu’ils vont faire de leur association. Très sympa, d’ailleurs, le clin d’œil à la série Spider Gwen, celle-ci y parlant à un Spider ham imaginaire dès qu’elle est en déroute.

Encore un numéro guère folichon après un 1 peu convaincant et toujours le titre le plus faible de ceux que je lis actuellement dans Secret wars. Problème majeur : l’action est très lente à se mettre en place et ça sent le récit décompressé sur plusieurs numéros.
Les dessins sont toujours aussi plats : il faut voir Carnage pour comprendre, Tombstone étant plus gâté par l’artiste.
Que veut Osborn ? Que vont faire les Spider-men ? On en sait toujours pas plus au bout de deux numéros…

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 14/20



IMAGE

Catégorie "Excellent"

Rien

Catégorie "Très bon"

Chrononauts 4

Fin des aventures des premiers explorateurs temporels du monde. Traqués par les leurs, trahis pars leurs hommes de main, comment diable vont-ils s’en tirer ?

Un dernier numéro pensé comme un final de film. On voit très bien que Millar a créé un synopsis pour ce faire, éliminant ses séquences gores gratuites et ses provocations égocentriques habituelles depuis ses dernières séries, ce qui n’est pas plus mal. Il retombe très bien sur ses pattes en divertissant le lecteur et en le surprenant malgré quelques clichés, tout de même bien employés.
Le dessin a toujours autant de pêche et claque bien. Je serais pas contre une suite.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20



Catégorie "Bon"

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  #343  
Vieux 12/06/2015, 15h54
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Cela fait presque du bien de savoir qu'il y a des titres seulement bien dans l'event SW en opposition à ceux excellents. Le Secret Wars 2099 est en fait plus que bon et j'ai abouti à la même conclusion que toi (the specialist est de retour ). Weirdworld est en effet un sorte d'OVNI, mais la qualité d'écriture de Aaron fait la différence (je reste mitigé sur les dessins de Del Mundo). Je t'envie de pouvoir presque tout faire, mon budget indé ne me le permet pas (sans regret non plus)

Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 12/06/2015 à 23h22.
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  #344  
Vieux 12/06/2015, 23h15
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C'est aussi pour ça que j'ai fait l'impasse sur Convergence (à regret). Quand j'ai vu les annonces, j'ai su que ce crossover était pour moi.
Pour Del mondo, je le trouve très sympa, perso. C'est plus le numéro 1 qui a des failles. Ou alors j'en attendais trop. Mais bon je suis bien content de revoir Arkon, que j'ai toujours bien aimé comme antagoniste méchant mais pas trop des vengeurs de Thomas.
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  #345  
Vieux 12/06/2015, 23h43
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Harley Quinn 17
Un numéro de transition pas désagréable qui ... Et continue à nous décrire le changement de mentalité de la belle arlequin.
Ha bon elle était aussi dans Axis Harley

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Secret wars 2099 n°2
Indispensable pour les fans de Peter David, de secret wars ou de l’univers 2099. Si vous êtes les trois à la fois, ce titre est fait pour vous.
Mais m'enfin, je vous demande de vous arrêtez de me tenter.
J'ai pas les sous pour ce titre en plus moi

Citation:
Posté par Man-Thing
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C'est aussi pour ça que j'ai fait l'impasse sur Convergence (à regret).
Non ne regrette pas ... Moi je regrette d'avoir pris et d'avoir pas eut ta sagesse

Dernière modification par Slobo ; 13/06/2015 à 00h04.
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Tags
dc comics, man-thing, marvel comics, udon


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