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Ah merci !
Très bonne critique en tout cas comme souvent. Je suis d'accord pour dire qu'on a pas été dupé sur la marchandise. Vivement la suite. J'en irais de ma petite critique demain.
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"Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l’espace d’un matin." |
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Black Science #6
A mon tour de donner mon avis sur la fin de ce premier arc. Black Science est clairement la série que j'aime le plus retrouver de mois en mois. Un premier arc à plus de 150 pages, Remender nous fait plaisir, et visiblement il en profite pour se faire plaisir également. Explorant un univers à chaque épisodes ou presque, on est transportés sans être malmenés. Conduit d'une main de maître par Scalera, Black Science est une réussite jusqu'à présent. Et l'épisode #6 ne déroge pas à la règle. Un dénouement essouflant qui laisse entrevoir de nombreuses choses. On n'a pas le temps de souffler, Remender nous transporte littéralement. Vraiment hâte de repartir pour un tour. Clairement, j'espère que les événements à venir seront aussi épiques qu'impitoyables, comme en témoigne ce dernier épisode. Attendre jusqu'en Juillet risque d'être long, mais le retour risque aussi d'être bon.
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Southern Bastards #1
Premier mot qui me vient à l'esprit : Baffe. Et puis la grosse. Depuis que je me suis mis aux comics, Image est mon éditeur favori. Ils proposent tellement de bonnes séries qui sortent des sentiers battus que j'en suis tombé amoureux. C'est grâce à vos conseils avisés que je me suis jeté sur ce #1 et franchement merci. Evidemment, je suis un peu trop dithyrambique, ce n'est qu'un numéro 1 après tout. Mais c'est l'un des plus réussis qu'il m'ai été donné de lire. Tout est réussi. L'introduction des personnages, la mise en place d'une esquisse d'intrigue, l'ambiance, et déjà un peu d'action. Le dessin est très beau, et les couleurs "rougées" donnent une ambiance caractéristique. Je n'avais jamais lu de Jason Aaron, et jamais vu du Jason Latour, mais inutile de vous dire que c'est un plaisir. Je risque de me pencher sur leurs travaux respectifs. Un excellent premier numéro à mon sens. J'espère simplement que toutes ces promesses ne tomberont pas à l'eau. Hâte d'être numéro 2, et merci à tout Buzz Comics de m'avoir conseillé Southern Bastards.
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Si tu as aimé Southern Bastards je te conseille vivement de te mettre à SCALPED du même Jason AARON, idée de tendre l'autre joue.
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J'ai failli ajouter dans mon message que ça me donnait envie de le lire ! Mais je vais attendre un peu. Voir comment évolue celle-là déjà. Et puis c'est beaucoup de tomes je suis déjà à plusieurs rattrapages de séries à plus de 6 tomes. Mais si ça continue sur cette lancée, nul doute que je me ferai Scalped.
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Southern bastards #1
SOUTHERN BASTARDS #1 (Jason AARON / Jason LATOUR)
Je serais moins dithyrambique que Baltazared simplement car il est rare que Jason AARON déçoive surtout quand il joue à domicile. La comparaison avec SCALPED est évidente et nous saute rapidement aux yeux. Tout comme Dashiell, Earl revient au bercail après une absence plus ou moins remarquée se confronter aux fantômes de son passé dans les lieux de son enfance. Thème récurrent chez le scénariste la présence dominante d'un parent est encore là. Après un père absent, ici c'est la mère et la figure du père omniprésente chez Earl (la mère dans Scalped). Et si vous avez aimé l'ambiance pourri de Prairie Rose avec un Red Crow en parrain dominant vous allez adoré découvrir Craw County et son coach pas franc du collier semble t-il. Les bouseux et les losers sont donc de retour chez Aaron. Alors remake ou futur classique ? Il est encore dur de répondre car Aaron fait du Aaron et le fait magnifiquement bien. En effet il place son histoire dans le sud qu'il aime et qu'il connait (comme il nous le rappelle à la fin). C'est donc en pays conquis que l'on évolue et il me semble que c'est justement cela que nous soyons allez chercher. En en effet Aaron met ce qu'il faut dans ce premier numéro pour nous dire de rester car il y aura de la testostérone, du sang, des larmes et des secrets. Personnellement une ville dont le coach d'une équipe de foot fait la loi avec son bar miteux et sa serveuse vulgaire cela me convient très bien. Enfin comme pour Scalped ou encore WATXM Aaron cherche à bien s'entourer et à rapidement donner une identité visuelle à ses récits. C'est chose faite avec Jason LATOUR qui assure lui même les couleurs. C'est puissant, sombre avec des couleurs ocre ou rouge pour renforcer les chocs des images et des flashbacks. Les personnages sont immédiatement identifiables avec des visages très expressifs mais pas drôle. Jason Aaron est de retour sur un creator owned et cela va faire mal. Ce premier numéro est très solide et on a envie de frayer un bout de chemin dans le sud et ses bâtards. |
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Justice League United #0 : Lemire a tout compris à l'esprit de la League. Pas besoin forcément de Trinité et de gros bras, cette équipe fonctionne grâce à sa diversité. Nous sommes dans un épisode d'introduction où chaque pièce s'imbrique parfaitement avec les autres, la présence des personnages est justifiée et McKone y va de tout son talent sur chaque page.
Mais comme souvent depuis les débuts du new 52 on se croit chez DC en terrain conquis et des détails nous rappellent que l'histoire de certains est seulement en train de s'écrire. C'est ici le cas de Adam Strange, cependant une véritable nouvelle héroïne fait ses débuts avec Equinox et peut-être que le cadre du Canada évoque forcément d'autres débuts mais on ne peut s'empêcher de trouver des ressemblances avec les Alpha Flight de Byrne. Un début fracassant pour cette nouvelle League, la seule chose qui pourrait briser l'osmose soit que McKone ne puisse pas gérer les cinq parties du premier arc. |
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Southern Bastards #1 : Scalped est de retour, et je ne sais pas si il faut s'en réjouir. Quiconque a lu la série Vertigo de Aaron ne pourra s’empêcher de faire le jeu des points communs entre les deux séries. Personnage principal qui revient au pays, rapports tendus avec les parents même morts, des gamins sauvages mais malicieux et une communauté qui vie sur elle-même avec ce côté mafia mêlé au soleil des états du sud, on connait déjà tout ça de la part de Aaron alors pourquoi le refaire? L'auteur n'a-t-il déjà pas fait le tour de ce qu'il avait à raconter dans Scalped?
Qu'on ne se trompe pas, c'est un très bon comics qui commence avec ce premier numéro, on se réjouit de retrouver la patte narrative de Aaron sur du creator owned mais on a tout de même du mal à y trouver de l'originalité. Au final du bon comics mais un peu exactement ce que l'on pouvait attendre du scénariste sur une série qui se passe dans le sud américain, on a pas encore l'étincelle qui donnera son ton à Southern Bastards, on continu à l'attendre en espérant. |
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Je ne l'ai pas dit comme cela mais je pense à peu prêt comme toi sur Southern Bastards. Mais après avoir été sevré de Scalped et après la déception de savoir que Aaron quittait Amazing X-Men je dois dire que j'ai vite replongé. Peut être cela va t-il manquer l'originalité à cette série à la fin ? A voir car il y a quand même des divergences avec Prairie Rose. Mais cela reste très bien écrit et illustré au final et c'est aussi cela qui compte. Et puis n'est ce pas cela que nous sommes également allez chercher ? Intéressant de lire ton avis après celui de Baltazared qui n'a pas lu Scalped...
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Et moi j'ai lu le tien après avoir écrit ma critique et j'ai vu qu'on allait dans le même sens. Je savais à quoi m'attendre avec ce titre, je ne pensais pas que ça serait autant.
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Rai #1
Allez je me relance avec un rai
RAI #1 PLUS EDITION (Matt KINDT / Clayton CRAIN) Matt KINDT m'ayant fait forte impression par sa justesse d'écriture à l'ancienne sur UNITY, j'étais impatient de découvrir son nouveau titre chez l'écurie Valiant. Et bien le solde est plus que positif. Nous sommes en 4001 et pour la première fois depuis un millénaire un meurtre vient de se produire à New Japan. Dans une société aseptisée où l'électronique a remisé le papier aux oubliettes Father décide d'envoyer le légendaire RAI enquêter dans les bas fond de Blackwater. C'est le début de la remise en cause de ce dernier au travers de rencontres aussi improbable qu'une icône fictionnelle immortelle et une jeune fille. Comme dans Unity Matt Kindt s'attache à écrire une bonne histoire avec ce qu'il faut de cohérence mais surtout il caractérise rapidement son ambiance emprunt de mystère et de technologie pour que le lecteur soit rapidement harponné. L'excellente surprise vient également de Clayton CRAIN qui s'occupe lui même de la mise en couleurs et son trait est lisible comme il l'a rarement été. Il est chargé de donner vie à l'univers inédit sortant de l'imagination de Matt Kindt et il s'acquitte fort bien de cette tache. Enfin j'ai opté pour la plus édition et j'en suis ravie. Le tout forme un très beau single avec des bonus sous forme d'historiettes mais également de complément sur ce nouvel univers. Petit conseil : lisez les bonus en dernier pour de pas vous faire spoiler la fin de l'épisode. J'ai eu de la chance c'est ce que j'ai fait. Tout comme sur UNITY Je suis épaté de voir l'émerveillement qui m'habite à la lecture de cette nouvelle série. Je suis comme un gamin à qui on offre un nouveau jouet. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 06/05/2014 à 00h18. |
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Faudra attendre pour que je puise le lire (Ce jeudi étant de nouveau férié) mais je pense pas avoir pris la version +édition. Tu donnes diablement envie en tout les cas.
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Je suis tombé dessus dans le FCBD Valiant j'espère vraiment le trouver !
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V-Wars FCBD + V-Wars #1 : du sang frais chez les vampires. Si Walking Dead s'est réapproprié le zombi on fera bientôt la même comparaison avec cette série et les suceurs de sang. Jonathan Maberry nous vient du roman, son dada c'est Nosferatu et ses copains et en ce moment il signe chez Dark Horse une des histoires les plus intelligentes écrite sur le genre vampire avec Bad Blood, c'est ainsi que tout naturellement cette série avait déjà de très bons arguments avec son nom aux crédits. Et le scénariste ne déçoit pas avec ce nouveau titre, on y découvre un monde où les vampires ne sont que des mutants avec ce gène qui les différencie de leurs cousins humains. Nés dans un monde qui les craint et la peur de l'autre faisant le reste la guerre est déclarée entre les deux branches de l'humanité. On parle de guerre avec son lot d'enjeux, et là la politique et les magouilles ne sont forcément pas loin. L'histoire se dévoile d'une grande richesse et à tiroirs, un nouveau monde à explorer nous est promis dès le départ.
On se demandait après l'arrêt de Locke & Key si IDW allait récupérer un nouveau titre star, c'est chose faite avec V-Wars. S'essayer à ce sang frais de l'éditeur ne coute pratiquement rien car tout débute dans le FCBD, à posséder d'urgence avant que le bruit ne s'ébruite et que d'autres soient accro. |
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