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#1
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Bon... Dire que je n'ai pas le même avis serait un euphémisme. Ce one shot est probablement le truc le plus con que j'ai lu de mémoire de lecteur depuis bien longtemps. Je trouve que la caractérisation des persos est catastrophique (sauf pour Damian, tiens...) Mais surtout le plan de Catwoman n'a aucun sens. Bref, ce comic book est un bon gros caca.
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#2
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Je vois pas en quoi. Lui même emploie des solarier (Qu'il paie à bas salaire ou non, mais pas à un super salaire), il est taxer sur sa fortune (Mais niche fiscale et fait qu'on veuille qu'il reste, pas trop non plus) et peu s'associer à la création de stade, ecole ou autre. Le delester d'une partie de sa fortune ne l'empêchera pas de garder le même statu. Par contre en reversant l'argent à des gens en difficulté tu peux les aider (Moins ceux qui ont des dépendances et vont tout claquer, moins ceux qui jouerais pas le jeu). - Je comprends que le voler au riche de ROBIN HOOD fonctionne mieux, après tout il affaibli ses capacité à payer ses hommes, et son influence (En payant des personnes pour qu'ils ferment leur gueule). Et il améliore la vie des plus pauvre (Enfin dans les fait il les met en danger et à la merci de personne qui voudrait leur prendre leur richesse soudaine. Autre voleur plus classique, ou le prince jean qui pourrait effectuer une saisie de bien ou faire une nouvelle taxe sur salaire. - J'aimerais espérer que le partage des richesses et la solution, mais l'Homme étant ce qu'il est, on a vu ce qui est advenue de l'idéal communiste, je recommande aussi la lecture d'Achile talon et l'archipel de Sanzuron sur le sujet. - Donc oui catwoman peu avoir un idéal et oui il est peu realiste, mais me choque pas plus que voir un simple humain ne pas dormir 3 jours de suites se fighter contre des vilains même de pietre niveau. |
#3
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Et encore une fois, l'image du coffre contenant toute une fortune n'est plus d'actualité... Par contre, voir un simple humain (enfin, Batman est un peu plus qu'un "simple" humain) ne pas dormir 3 jours de suite et enchainer les super vilains, ça ne me choque pas car ça fait parti du contrat tacite que tu passes avec l'auteur lorsque tu lis un comic book. En revanche, lorsque les personnages commencent à agir de manière totalement absurde ou à avoir des idées stupides, ça me dérangent, oui. C'est comme si d'un coup on avait une histoire où Peter Parker tue ses proches comme ça ses adversaires ne peuvent plus utiliser cette faille pour l'atteindre... Ca fonctionne hein, si on a vraiment une logique absurde. Effectivement, le bouffon vert sera bien emmerdé et n'aura plus aucun moyen de pression sur Spidey. Mais, il n'empêche que c'est complétement con. Bah là, c'est pareil. Régler un problème par une solution absurde n'enlève pas un problème mais le remplace juste par un autre.
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#4
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Mais ils devraient déjà être ailleurs, en fait. Le principe que des gens ayant des fortunes non liées publiquement au crime n'a aucun sens en soi.
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#5
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J'enlève tes spoilers, Honey. Navré pour ceux qui ne voudraient pas découvrir des choses... en venant sur un topic d'avis VO.
En gros, Gotham, ce serait les pires cités, rongées par le chômage, les trafics et le crime de masse. Dès lors, le plan de Selina ne pourrait rien détruire.
En jouant l'avocat du diable, l'on peut défendre l'idée en disant que Joker War a montré la fragilité de la richesse numérique, ce qui aurait pu provoquer un transfert des riches vers les biens luxueux en "dur", pour s'assurer de les avoir sous la main.
Il est assez clair qu'il n'est pas dans un état pleinement maîtrisé, oui. |
#6
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Il a perdu une main Bruce ?
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#7
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Yep lorsque Failsafe l'a envoyé dans un autre univers.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#8
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En lisant la réponse d'Olienno avant le poste original de Scarlet j'ai bêtement pensait qu'on parlait du nouveau titre de chez Dc ^^
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#9
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Ultimate Invasion #3
Je n'ai aucune idée de ce que veut raconter Jonathan Hickman, ici, et comment il va finir, mais... c'est agréable à lire. Bien qu'il y ait un gros risque de soufflé qui retombe à la fin. On continue ici avec Howard Stark perdu en Latvérie, au sein d'un sommet de grandes puissances marqué par une attaque d'une Légion de soldats Avengers venus du futur. The Maker, marqué par une attaque antérieure, explique "tout" à Howard, notamment qu'il semble que ces attaques viennent d'Howard dans l'avenir. Howard découvre ainsi "le secret", à savoir que les grandes puissances sont toutes alliées et feignent entre elles de mener des guerres, pour occuper les petites gens. Howard est perturbé, rentre dans la Ville et rencontre "l'homme le plus intelligent du monde" : Reed Richards, avec un masque de fer, pour travaille avec lui. Le lendemain, en flashforward constant, Howard dit tout à son jeune fils Tony, et se demande quoi faire, bien que son fils veuille qu'il se batte. Oh, et dans le futur, les soldats Avengers sont motivés et menés par un Kang en armure proche d'Iron Man (Tony ?). C'est intéressant mais troublant. J'ai toujours aimé les réécritures et réalités alternatives, ainsi que la géopolitique. Voir ici Hickman mêler les deux est assez prenant, surtout qu'il s'amuse avec des postures et idées pertinentes sur le fonctionnement global. Mais... bon, il ne reste qu'un épisode, et je ne comprends rien du projet. Je ne vois pas comment Jonathan Hickman peut finir en un numéro, en tout cas finir en ramenant un univers Ultimate "propre", capable d'accueillir de nouvelles aventures. J'ai plus l'impression qu'il se fait plaisir avec des personnages-doudous, comme The Maker et Howard Stark (déjà utilisé dans Shield). C'est agréable à suivre, mais perturbant et sans grand "avenir", en fait. Graphiquement, Bryan Hitch assure même si ses personnages sont un peu figés. C'est efficace, mais pas son meilleur travail récent. Un épisode fluide, un contexte prenant, mais de gros doutes sur le fait de réussir à livrer quelque chose de "propre" pour relancer Ultimate ensuite. Et où est Miles, au fait ? The Incredible Hulk #3 Je suis très fan. Phillip Kennedy Johnson me plaît énormément dans sa proposition ici, connexe de celle d'Al Ewing, mais plus dans une religiosité accrue. On reste dans le même domaine, mais on explore autrement ; top. Ici, on continue doucement mais intensément. Charlie et Hulk sont attaqués par les morts-vivants liés à Brother Deep, l'entité de la montagne. Hulk s'en débarrasse, détruit tout et part ; seul. Charlie enrage de ce rejet, mais tombe dans le trou formé par les années de mines ici. Hulk vient la sauver, ils arrivent dans une caverne où un mort-vivant révèle que Brother Deep a été emprisonné ici jadis par un dieu doré aux yeux verts, et Brother Deep "veut" Hulk, un Fractured Son. Hulk affronte cette créature très Cthulhu-ienne, et l'anéantit. Il part, Charlie écrase un mort-vivant en reprenant le langage de Hulk, et Hulk apprécie. Il la tolère, si elle n'aide pas Banner. En conclusion, un texte évoque Udru, alias Brother Deep, créé par la Mother of Horrors pour provoquer The One Above All ("dieu") sur Terre... J'aime beaucoup. Phillip Kennedy Johnson fait peu avancer son intrigue, mais j'aime l'ambiance qu'il intègre à son récit. Le ressort avec Charlie, rejetée puis validée par Hulk, est classique mais fonctionne, car il est cohérent avec Hulk et "rassurant". Toute la mythologie religieuse et abominable qui se créée est top, et c'est très prenant de découvrir tout ça. Le texte conclusif est très révélateur du projet, encore une fois connexe à l'approche d'Al Ewing, tout en s'en différenciant. Surtout, c'est extrêmement bien dessiné. Nic Klein est en feu, avec des planches très travaillées, avec une atmosphère idéale pour cette horreur épatante. Quelle réussite. Je suis très fan, oui ! Blade #2 Ca ne raconte pas grand-chose, mais ça le fait bien et c'est fun. Bryan Hill avance à peine sa saga, en montrant non pas la traque de l'Adana par Blade et la jeune fille qui l'a libéré, mais Blade qui cherche à s'armer contre la démone... et rencontre d'autres soucis. Il va ainsi au Japon, chez Tulip, une dealeuse d'armes mystiques qui "sent" ce dont un client a besoin. Il la sauve d'un client agressif, recouche avec elle, puis tente de la sauver d'une attaque ; et échoue. Tulip est enlevée par les sbires d'un pseudo Shogun ingrat, Blade et la jeune fille viennent aider mais l'homme semble réussir à posséder/corrompre Blade. Ca n'avance pas, en fait, mais quelle belle ambiance. Bryan Hill donne du "cool" à Blade, dans un récit assez convenu, mais qui surfe sur les bons clichés des récits noirs avec des personnages badass. C'est agréable, en tout cas j'aime bien, et je trouve que ce Blade est top, très Wesley Snipes sans trop en faire non plus. D'autant que sa fille Bloodline est évoquée, cool ce lien de continuité. Graphiquement, surtout, c'est top. Elena Casagrande livre des planches idéales, avec une ambiance travaillée qui apporte énormément au "cool" de l'histoire. J'adore. Ca n'avance pas mais c'est cool. Ms. Marvel: The New Mutant #1 Bon début. Iman Vellani et Sabir Pirzada lancent efficacement ce renouveau de Ms. Marvel, et se concentrent intelligemment sur Kamala, ses proches et son ressenti pour faire passer tout ça ; top. Ici, une Kamala ressuscitée (mais ses proches ont "oublié" grâce à Emma Frost qu'elle est morte) part pour un été studieux à une université financée par... Orchis. Bruno l'accompagne, les au-revoirs sont tendres avec la famille, et Kamala s'installe troublée. Elle rejoint les X-Men dans les tunnels des Morlocks, confirme qu'elle espionnera pour eux et ne parle pas d'un cauchemar récurrent, où elle s'affronte elle-même sous plusieurs costumes/statuts (perte d'identité ?). Kamala révèle finalement à Bruno son statut de Mutante, Bruno accepte (alors que les X-Men l'ont alertée sur le risque), et Kamala stoppe finalement un Chitauri blessé et torturé, échappé des sous-sols de l'Université où il est torturé. Le costume d'X-Woman de Ms. Marvel attire des critiques des étudiants et d'Internet, et Kamala se sent rejetée. D'autant que, en sous-sol, Orchis s'organise contre elle, et Karima Shapandar a des projets pour utiliser Ms. Marvel contre les X-Men... C'est bien, oui. Pas vraiment sur l'intrigue elle-même, qui reste très basique : espionnage d'Orchis, secrets, contre-attaque, etc. Non, c'est bien sur tout ce qui a toujours fait le sel de Ms. Marvel en comics et sur Disney+ : Kamala elle-même, sa famille, ses proches, son ressenti. Ici, Iman Vellani et Sabir Pirzada se fixent beaucoup sur l'ambiance de la série Disney+ dans les interactions familiales, mais ça fonctionne bien. Kamala est perdue, paumée dans son nouveau statut, et c'est pertinent autant que bien fait. Cette saga vise aussi et surtout à "justifier", pacifier ce changement, et ça débute bien car l'héroïne est bien écrite... humainement. Graphiquement, Carlos Gomez et Adam Gorham proposent des planches assez classiques, lumineuses et efficaces. C'est pas formidable mais ça se lit bien. Un bon début, notamment sur Kamala elle-même. Marvel Age #1000 Un one-shot plutôt sympathique et de qualité. Tout n'est pas formidable, mais rien n'est mauvais, et il y a de vrais bons moments. Mark Waid et Alessandro Cappuccio débutent avec Machine Learning, sur l'androïde Human Torch. Ce dernier "grandit" en écoutant des feuilletons radiophoniques sur un flic badass, avec des répliques qui tuent et le bon sens inné. Le professeur Horton est ravi que Torch puisse agir seul, et défende la Justice, mais surtout qu'il parvienne à éteindre ses flammes ; car ça rendra Horton riche ! Torch se sent trahi par cette approche pécuniaire, et surtout qu'en allant à la police, il apprend que le héros radio soit fictif. Un flic sympa' lui dit cependant que ce héros qu'il cherche est finalement en lui, au vu de ses actes. C'est sympathique, mais le "flou" graphique sur la période me gêne un peu. Tout le script donne l'impression de se trouver dans les années 40, ce qui a du sens et ce qu'il faut dans la chronologie, mais le design des flics donne l'impression de personnages contemporains. Et c'est dommage, car ça n'a pas de sens et ça gêne d'envisager déplacer Torch temporellement. M'enfin, ça reste sympathique, "mignon", avec un graphisme cependant un peu trop brouillon ici. On continue avec Sunday Dinner par Ryan Stegman. Spider-Man textotte en attendant puis affrontant le Lézard, devant gérer son coloc' demandant le loyer, ses proches lui rappelant que le dîner du dimanche commence bientôt et qu'il ne faut pas être en retard. Son portable est brisé, mais il arrive... avec cinq minutes de retard, ce qui est presque applaudi avant une photo familiale finale sympathique. C'est cool. Ryan Stegman ne révolutionne rien, mais livre un script efficace, avec des SMS bien vus, une voix-off fluide, et des rebondissements attendus mais efficaces. Tout simplement un bon moment sur Spider-Man, pas dramatique ou débile, et des dessins nerveux, réussi, très McFarlane dans l'esprit. Cool. On enchaîne avec People Wonder Why... par Rainbow Rowell et Marguerite Sauvage. Une succession de petits moments dans la jeunesse des premiers X-Men, montrant les rapprochements timides de Scott et Jean, ici pièce centrale du récit. Jusqu'à ce que la chevalerie de Scott soit usante en combat, mais que Jean comprenne grâce à Hank les raisons de cette présence. Et l'accord pour un premier rendez-vous... J'ai adoré. C'est complètement romantique, une vraie bluette, comme la série She-Hulk de la même autrice ; et j'adore. Rainbow Rowell maîtrise complètement la douceur des premiers échanges, la timidité des adolescents, et ce côté si mignon des rapprochements difficiles et prudents. C'est top, prenant et adorable. C'est en outre très joli, avec Marguerite Sauvage idéale pour cette bluette avec son style éthéré, si poétique et mignon. Coup de coeur. On poursuit avec Captain Marvel in "Earth's Greatest Weapon!" par Dan Slott et Michael & Laura Allred. A ses débuts, Mar-Vell apprend que la NASA va envoyer une fusée dans l'Espace, avec quelque chose qui semble être une grande arme. Les Kree veulent l'empêcher, ça part dans tous les sens. Finalement, Mar-Vell apprend ce que contenait la fusée... de la musique terrienne. Il se lance circonspect, puis est changé par la musique et voit la Terre différemment. C'est bien sur le principe, mais trop bavard et lourd dans la réalisation. Dan Slott en fait trop en rappelant le bavardage des comics des années 60, et j'ai très vite survolé les dialogues par usure de tant de mots. Dommage, car l'idée est agréable, et le final émouvant Graphiquement, les Allred font du Allred : ce n'est pas mon "délire", mais ça fonctionne en soi. On avance avec Overload par Armando Iannucci et Adam Kubert. En affrontant des petites frappes, Daredevil entend "brutalement" le pouls des gens qui mentent, au point de le rendre dingue. Ca se poursuit au quotidien, un médecin évoque le Tinnitus ; ça passera quand Matt acceptera et se contrôlera. Il n'y arrive pas, s'emporte mais réussit quand même, car il n'abandonne pas, même quand la vie lui met de nouveaux coups. Mouais. Le scénario est très faible, l'idée surprend et la réalisation tape à côté. Je trouve que c'est juste foiré, et c'est dommage car Adam Kubert livre quelques belles illustrations, même s'il ne se donne pas à fond non plus. Une occasion ratée. On passe à Deaf Heaven de Steve McNiven. Le Silver Surfer erre sur un charnier, un champ de bataille sur Terre, moqué et tenté par Mephisto ; avant de réussir à le repousser. Bon. C'est beau, mais vide. Steve McNiven s'inspire de très grands, ici, et livre de très belles planches, qui en soi sont surtout de magnifiques illustrations. Ses dialogues ne sont pas "bons", pas mauvais non plus, mais viennent quand même gêner le parcours de ses planches. Un récit muet aurait été meilleur. M'enfin, c'est très beau. C'est déjà ça. On rejoint Jason Aaron et Pepe Larraz sur The Girl Who Hates Super Heroes. Une jeune fille est soulée de l'intervention des super-héros en ville, notamment car sa mère a eu une attaque et est morte après trois jours au sol, sans que personne ne vienne la sauver. Elle rejette ainsi les super-héros, alors qu'elle multiplie les boulots pour survivre. Elle croise cependant une fois The Mighty Thor face à des troupes envoyées par Malekith, et la jeune fille voit Jane redevenir elle-même en étant trop éloignée du marteau. Jane le retrouve, s'y remet, mais la gamine est marquée par cette femme malade qui se bat. Elle module alors son avis : ce n'est pas qu'elle n'aime pas les super-héros... elle en aime certains, elle qui porte un blouson avec Mjolnir dessus désormais. Mignon. Prévisible, inoffensif mais mignon. Jason Aaron ne force pas le scénario, ça fonctionne mais ça reste quand même très accessoire. Dommage, ça aurait pu être plus grand, quand même. Graphiquement, Pepe Larraz assure avec notamment de belles planches de transformation de Jane. C'est beau, quand même. Enfin, J. Michael Straczynski et Kaare Andrews finissent avec Observations From The Backyard. Dans un petit jardin, il y a trois gamins : le ramassé et grognon Jack, le volubile Stan et le renfermé et bizarre Steve, surnommé D. Ils discutent de l'avenir, mais aussi de ce qu'ils voient par un trou de mur - un monde de miracles, de monstres. Qu'ils décident de partager avec autrui, pour amuser et divertir, et ne pas juste être en arrière. C'est mignon. On a une fable sur la création de l'univers Marvel, c'est sympathique mais sans grosse ambition. Straczynski gère bien les trois profils, Andrews livre des dessins efficaces. Mais ça ne dépasse jamais le pitch et la blague, au fond. Une fable mignonne, sans plus. Bref, un gros one-shot inégal, mais avec quand même de la qualité. Sympathique ! |
#10
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Alors désolé Honey mais en fait si on suit ton idée qui est logique bah c est tout Batman qui s effondre.
Il n y a aucune logique à ce qu il reste un riche à Gotham. La ville est moche, dangereuse, ils se font attaqués tous les 3 jours, exemple le premier arc avec failsafe.... Rien n à de sens à Gotham
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#11
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Mais là ça vient de la logique (ou plutôt son absence) des protagonistes qui est juste effarante, Catwoman en tête. Ca ne règle rien du tout, ça change un problème en un autre problème. Même lire Zeb Wells sur Spider-Man est moins pénible que de lire ça, c'est dire.
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#12
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Alors désolé Honey mais en fait si on suit ton idée qui est logique bah c est tout Batman qui s effondre.
Il n y a aucune logique à ce qu il reste un riche à Gotham. La ville est moche, dangereuse, ils se font attaqués tous les 3 jours, exemple le premier arc avec failsafe.... Rien n à de sens à Gotham
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#13
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La description de ce one-shot me rappelle un peu l'écriture du dernier film Batman qui était aussi simpliste sur cet aspect.
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#14
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Weird Work 1 & 2 / 4
Donc Weird Work est un comics qui a été publié en 2021 chez Burnt Barn, et réédité par Image en ce moment ... avec une re pagination / refonte on passe de 3 à 4 numéros. (30 - 37 - 40 vers 28 - 31 - ? - ? ). Weird Work est un Roman Noir, qui se passe dans le futur, sur une planète peuplé d'êtres tous plus étranges ... donc Shaky Kane s'y sent à son aise. Mais Jordan Thomas, à changer le type de récitation, nous perds , ces interventions dans les cadres est de trop... (N'est pas Morrison ou Milligan qui veut) et ... c'est peut être lié à la re pagination, mais on se perds un peu (au début) dans l'histoire.. se succèdent 3 séquences de 4 - 5 pages qui n'ont pas de lien vraiment entre elles - même si ca permet de poser l'univers, on sent le schéma un peu forcé -- comme l'écriture en elle même ... J'ai vraiment du mal à rentrer dedans... (je me dit que la suite dans ma PaL sera bien meilleur.... Groo, Second Coming ... )
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Shoot Shoot don't talk |
#15
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Weird Work 1 & 2 / 4
Donc Weird Work est un comics qui a été publié en 2021 chez Burnt Barn, et réédité par Image en ce moment ... avec une re pagination / refonte on passe de 3 à 4 numéros. (30 - 37 - 40 vers 28 - 31 - ? - ? ). Weird Work est un Roman Noir, qui se passe dans le futur, sur une planète peuplé d'êtres tous plus étranges ... donc Shaky Kane s'y sent à son aise. Mais Jordan Thomas, à changer le type de récitation, nous perds , ces interventions dans les cadres est de trop... (N'est pas Morrison ou Milligan qui veut) et ... c'est peut être lié à la re pagination, mais on se perds un peu (au début) dans l'histoire.. se succèdent 3 séquences de 4 - 5 pages qui n'ont pas de lien vraiment entre elles - même si ca permet de poser l'univers, on sent le schéma un peu forcé -- comme l'écriture en elle même ... J'ai vraiment du mal à rentrer dedans... (je me dit que la suite dans ma PaL sera bien meilleur.... Groo, Second Coming ... )
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