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Vieux 31/07/2014, 19h13
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Ma critique de TRAVELERS JIGEN KEISATSU, un film de SF sur un duo de policières qui voyage d'un monde parallèle à l'autre: http://www.toku-onna.fr/index.php?op...ontent&id=7996
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Vieux 14/11/2014, 19h01
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Après Beyond et Beyond Outrage, j'attendais le prochain film de Takeshi Kitano avec une grande impatiente, et bien voilà le trailer de sa prochaine oeuvre, une comédie noire sur fond de Yakuza Eiga... nnnnnyyyyyyyyyyyyyaaaaaaaahhhhhhhhhhhh ^^



Je veux ^^
Il se nomme Ryuzo And The Seven Henchmen.
Un article intéressant sur Kitano: http://www.asiafilm.fr/2014/11/09/b-...even-henchmen/
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Vieux 14/01/2015, 17h13
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Enzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'épongeEnzo boit comme Bob l'éponge


Bonjour de Yasujirô Ozu

Une excellente comédie qui se situe dans la dernière partie de la carrière (ses 6 uniques films en couleurs) d'Ozu qui continue son procédé de variation autour des mêmes thèmes, allant jusqu’à faire des remakes d’anciens films avec quelques nuances d’importance qui traduisent l'évolution de la société qui a eu lieu entretemps (ici une reprise d'éléments de l'intrigue de Gosses de Tokyo).
L'intrigue se focalise sur de sales gosses pour le moins attachants, qui prennent les remontrances de leurs parents au pied de la lettre, allant jusqu'à entamer une grève de la parole en vue de les pousser à l'achat d'une télévision, s'intéressant également aux petits rien de la vie de tous les jours, et ce qui peut y paraître (faussement) futile.

Le film montre la vie d'une petit quartier où les traditions s'amenuisent et la modernité se fait de plus en plus présente, s'inscrivant comme un élément perturbateur dans ce cadre serein, et plus largement dans une tendance d'occidentalisation progressive du pays.
Pour autant, le réalisateur ne juge pas cela, il constate sans fustiger ni critiquer, observant ce petit monde avec un certain recul, et une grande attention qui témoigne de la tendresse qu'il éprouve pour ces personnages, malgré leurs comportements (l'obstination et la rébellion des enfants, les commérages des mères, les pères qui passent leurs temps au bar du coin et qui rentrent souvent bourrés).

La mise en scène est toujours très soignée, bénéficiant d'une grande maîtrise du cadre et de l'espace, aussi poétique qu'épuré et admirablement structuré dans sa gestion du rythme.
le comique de répétition (le running gag des flatulences qui est certes trivial mais nullement vulgaire, s'inscrivant dans la logique de rivalité et de soif de compétition de ces garnements) et le sens du burlesque qui proviennent de ses films muets sont admirables, lorgnant parfois vers Tati ou Chaplin.
Assurément une des meilleures représentations de l'enfance au cinéma au même titre que E.T., Les 400 coups, ou encore Stand by Me.

Dernière modification par Enzo ; 14/01/2015 à 17h19.
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  #79  
Vieux 04/03/2015, 19h49
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Vieux 07/03/2015, 23h18
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Vieux 10/03/2015, 16h01
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Vieux 14/03/2015, 16h26
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Vieux 14/03/2015, 17h10
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Le film est parmi ceux que je préfère du réalisateur, alors bien entendu pour un premier essai le film n'est en rien parfait, mais moi j'aime ce film, bien plus en tout cas par exemple que son tout dernier film qui lui par contre est vraiment spécial on va dire et trop différent de ses autres oeuvres. Ici nous somme témoin des péripéties/déambulations de Yûya Uchida, c'est assez particulier et très années 80, on pense directement aux films de l'époque, notamment dans l'approche musicale (Katsuo Ohno,) comme pour l'atmosphère du récit. Ici on assiste progressivement à l'apparition du mal dans tout ce qu'il y a de plus glauque, tout ce qu'il y a de plus horrible avec l'élément perturbateur du récit, c'est un film ancré dans les années 80, le film met en scène un policier qui vit d'échec en échec et pas forcément très sympathique quand on le voit, ou peu intéressant si vous préférez, le film est assez glauque, assez sombre en soit, il y a une véritable déchéance, le tableau qu'en fait le réalisateur est très particulier: il est divorcé de sa femme, sa fille le déteste. Il n'a pas d'argent et perd ou gagne dans les courses de bateaux, il fréquente les Yakuzas sans réellement le vouloir, bref on nous montre la société tokyoïte et de consommation dans toute sa splendeur, du moins celle de l'époque. Pour autant le héros ne prend pas tout cela au sérieux visiblement, il y a un côté cool, détaché qui choque un peu quand on voit toutes les mauvaises choses de sa vie.
On assiste peu à peu au dérapage du policier et héros, enfin anti-héros vu ce qu'il va commettre dans le récit. Le film nous dresse un portrait sombre d'un personnage comme il en existe tant, ici en tout cas notre personnage principal s'enfonce dans un jeux dangereux avec le détachement qui le caractérise et qui montre toutes les tares de ce pays pour l'époque, c'est un peu ce qui touche aujourd'hui une partie de la Chine selon moi, du moins certaines villes en Chine, il y a un trop plein qui rend les gens fous.
Le film en tout cas nous présente une réalité, une réalité crasseuse et on peut dire que nous sommes vraiment mal à l'aise, et très souvent, car c'est vraiment bizarre, c'est un peu le schéma métro/boulot/dodo mais version noir. Le titre le dit clairement, le personnage principal est un moustique, c'est un parasite, un profiteur pour ne pas dire autre chose, il vit au dépend des autres, notamment pour ce qui est de ses dettes, il acquière des objets qui ne lui sont d'aucune utilité en soit à part pour s'enfoncer encore plus dans sa bêtise, comme par exemple l'ordinateur.
Il n'est pas méchant certes, mais plus on avance dans le récit et plus il sombre, plus il devient mauvais en soit par ses actions. L'argent est un véritable vecteur de psychose, que ce soit pour payer la pension qu'il doit, ou même pour ses défenses au quotidien, il se surendette de plus en plus que ça en devient effrayant, le personnage principal ne contrôle strictement rien et c'est d'ailleurs assez bizarre, car c'est un policier, il est censé être une représentation de l'autorité, et ici c'est tout le contraire, on n'arrive pas à le respecter et on vient même à se demander du pourquoi du comment de son rôle. C'est une représentation de lasociété capitaliste dans tout ce qui ne va pas, on pourrait presque croire que ce qu'il montre est en soit bien, alors que c'est très critique et sarcastique.
Le réalisateur est très critique dans ce premier film ce qui donne toute la force du récit, il n"épargne rien et pas son personnage principal ni ceux qui abusent de lui.
Le Moustique au Dixième Etage nous montre un personnage qui n'évolue pas une seule fois, au contraire, il s'enfonce de plus en plus. C'est un film qui a un aspect documentaire en soit... bon après si vous ne voulez pas être révolté ou dégouté de l'espèce humaine, il ne faut pas regarder ce film.
La mise en scène du film est assez simple, très posée et c'est plus ce qu'il y a dans le cadre qui est intéressant, il s'intéresse vraiment son personnage, après il manque peut être du rythme à l'oeuvre et un véritable fil rouge. Bon après cela n'empêche pas de proposer une oeuvre avec des qualités, j'aime bien ce que je vois et comme je l'ai dit c'est un de mes films préférés dans la filmographie du réalisateur et pour moi il mérite un 7/10.


Stray Cat Rock : Beat '71 de Toshiya Fujita


Un homme politique influent fait accuser une jeune femme de meurtre afin de l'éloigner de son fils. Mais celle-ci parvient à s'échapper de prison...

C'est le cinquième et ultime film de la franchise Stray Cat Rock qui pour ma part reste un de mes meilleurs souvenirs de jeunesse, une série que j'ai souvent vue et qui pour autant n'est pas parfaite, ce dernier opus en étant le parfait exemple.
Si vous ne connaissez pas la franchise, ce sont des longs-métrages, aux histoires indépendantes les unes des autres, ce qui est assez dommage en soit il faut le reconnaitre, évoquent une jeunesse borderline, ici souvent représentés par des femmes sur un fond de sexe drogue et rock n' roll. L'une des particularités de la franchise étant son réalisme en quelque sorte, bien entendu cela reste romancé, mais ce n'est pas pourtant proche des groupes de l'époque. Cette série a en tout cas inspiré un grand nombres de réalisateurs comme par exemple Tarantino... bon je ne pense pas que ce soit cet opus qui fut son inspiration première quand on voit le résultat assez décevant en soit.
C'est une des séries qui fit connaitre par exemple, on va dire plutôt un genre, qui fit connaitre l'excellente et sublime Meiko Kaji et qui encore aujourd'hui est source d'influence pour de nombreuses scénaristes, de cinéma ou autre comme par exemple Kelly Sue Deconnick qui en parle régulièrement. C'est du Pinku Eiga, ou du moins c'est la série qui inspira tout une vague de films de ce type et même si le succès fut au rendez-vous, la qualité ne fut pas constante malheureusement et pourtant on pouvait croire dans le potentiel des films de la Nikkatsu.
Le problème de ce film, principalement, c'est son écriture brouillonne, en effet on sent que le ou les scénaristes veulent se faire plaisir, sauf que cela part dans tous les sens pour une histoire assez simple et qui ne méritent pas autant on va dire, de liberté. Le réalisateur n'arrive pas à canaliser ce qu'il faut pour proposer une oeuvre riche certes, mais qui serait fluide. Le film part dans tous les sens et propose des moments assez étranges, mais punk dans l'esprit j'en conviens avec par exemple des phases musicales, certes plaisante pour les oreilles, mais qui alourdissent le film inutilement. Il y a de nombreuses scènes bien nawak qui n'ont pas réellement de sens, à part montrer que les gens sont fous j'en conviens, mais bon ce n'est pas trop le sujet du récit. L'oeuvre n'étant pas dynamique, on s'ennuie assez régulièrement alors qu'avant dans d'autres opus il y avait quand même cette girl power attitude fort plaisante. Ici c'est caricatural ce qui fait que cela ne fonctionne pas du tout. On a eu droit à des affrontements, alors que ici c'est assez étrange, je veux dire que l'oeuvre manque de dynamisme. Pourtant voir un groupe de femmes se la jouer délinquantes et montrer qu'il n'y a pas que les hommes qui en ont dans le pantalon, c'est le top, mais bon pour cela il vaut mieux regarder les deux premiers films en ce qui me concerne.
La mise en scène de Toshiya Fujita est classique et manque de disons de dynamisme, d'ampleur, ici c'est assez plat, même quand les scènes sont étranges, notamment celle de l'instrument au milieu de la rue. L'ambiance du film est assez datée, mais bon c'est un détail qui ne dérange pas en soit même si ce n'est pas très bien mis en scène là aussi, on dirait presque que l'ambiance est caricaturale. Ce n'est pas un mauvais film, c'est juste une oeuvre anecdotique en soit qui n'est pas terrible en soit. C'est dommage et je vous recommande plutôt les premiers films, bon après quand on est nostalgique comme moi, c'est une oeuvre plaisante, mais cet opus ne mérite pas plus qu'un 4/10 selon moi.
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Vieux 01/04/2015, 18h55
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Ma critique de IT bubble to neta onnatachi (Les femmes qui ont couché avec la bulle spéculative des IT): romance et érotisme sur fond de bulle spéculative.

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