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Je sais pas pourquoi j'ai un doute. Et puis comme toi je peux pas tout faire. Déjà j'ai pris Powers qui m'a choper alors qu'il n'était pas prévu dans mes dépenses. Et j'attends d'avoir le 1 de Spider&theX-men pour juger avec le 2 dans la foulé. |
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En tout cas même si je ne suis pas d'accord sur tout, merci pour tes critiques encore une fois vraiment intéressante.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Le côté "je range les jouets pour que l'auteur d'après ne soit pas dépaysé" semble devenu la norme chez Marvel. Avant, c'était au scénariste suivant de voir ce qu'il voulait garder ou non de ce qui s'était passé avant lui. Tu ne trouves pas?
Perso, je trouve ça pénible mais ce doit aussi être une démarche commerciale, afin de ne pas paumer le nouveau lecteur potentiel et rêvé.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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DC
Secret six 2 Les six (la nouvelle ventriloque, Catman, la magicienne Black Alice, l’assassin de la cour des hiboux Strix et deux nouveaux venus à ma connaissance) sont devant un choix : obéir en tuant l’un des leurs ou tous mourir. Et s’ils choisissaient une troisième voie ? Ce deuxième numéro s’est fait attendre, le dessinateur étant tombé malade. Le résultat est toujours aussi bon ! Il y’a du suspens, de la tension et de l’action. Qui les a kidnappés ? Pourquoi ? Et surtout, va-il s’en mordre les doigts ? Parti comme c’est on est bien partis pour retrouver la Gail Simone du run de 2005-11, qui était un bijou et Ken Lashley ne démérite pas ! Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Harley Quinn : Valentine’s day special 1 Harley a envie de protéger les animaux. Deux justiciers de seconde zone, Carpman et Sea Robin ont envie de construire un havre de paix pour les poissons et les protéger des pêcheurs. Bruce Wayne organise un gala de charité au profit de la faune de Gotham : donner de l’argent en échange d’un rendez-vous avec lui. Vous voyez où on se dirige, du coup ? Un numéro de Saint valentin plutôt sympa à défaut d’être original, qui est surtout l’occasion de développer un peu Harley Quin du point de vue des relations amoureuses : elle n’est pas insensible au charme de Bruce Wayne, au contraire de celui de Batman et ne se remet pas de sa rupture avec le Joker (dans les pages du décevant et gorissime Death of the family, si je ne m’abuse) qu’elle a envie de tuer ! Ce numéro assez volumineux est aussi un prétexte à mettre en scène deux rêves très sympas desinés par des guest artists : Dans le premier, celui de Harley, elle est mariée à Bruce Wayne mais regrette vite son choix quand il lui vante les mérites des familles nombreuses à hauteur de 32 gosses quand même ! Le deuxième est celui de Bruce qui se voit marié à une Harley qui est devenue son nouveau Robin, a vidé sa Batcave pour faire de la place et renvoyé Alfred ! L’un dans l’autre, un bon petit numéro de la plus prolifique des séries DC (si je me fie au nombre de numéros spéciaux qu’elle génère) Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20 MARVEL Iron man epic collection n° 16 “War games” TPB Ce copieux TPB contient la totalité du run écrit par John Byrne au début des années 90. Tête de fer est confronté à trois menaces : Tout d’abord, un mystérieux homme d’affaires allié aux jumeaux Marrs (des antagonistes crées par le même Byrne dans les pages de Namor) entretient à son égard une haine inouïe et pilote en sous mains un projet visant à le faire tomber : opéré à son insu, Stark peut se voir privé de ses mouvements sur simple commande électronique. Avec l’aide du fidèle Rhodey, il va s’atteler à chercher une solution lui permettant de continuer à jouer les hommes d’affaires et les justiciers. Rappelons qu’à l’époque, son identité était secrète, ce qui complique la tâche… John Romita Jr se charge de la partie graphique de cette première partie et livre des planches pleines de force et d’impact, façon Kirby par moments. On est dans sa période très carrée et détaillée, celle que je préfère (comme quand il dessinait le Punisher ou Cable). Il croque également le retour du mandarin et de Fin Fang Foom, le « dragon », tous deux particulièrement mis en valeur par son trait puissant. La deuxième partie du recueil est justement consacrée à la menace du mandarin en Chine. Celui-ci a retrouvé la totalité de sa mémoire grâce à un mystérieux vieillard qui en sait beaucoup sur ses anneaux et sr lui. Se mettant à son service, il lui apprend à contrôler le pouvoir de Fin Fang Foom et à faire trembler les maîtres de Pékin. Face à celui qui contrôle désormais un tiers de la Chine, ils se résolvent à inviter son pire ennemi, le symbole du capitalisme américain que sont Stark et son garde du corps Iron man. Cette seconde partie est assurée graphiquement par Paul Ryan, dont le trait réaliste se prête bien à cette histoire très « espionnage industriel et guerre froide larvée ». La confrontation entre les deux régimes est bien présente dans les dialogues (Pékin faisait encore semblant d’être communiste à l’époque), notamment dans son opposition liberté d’entreprendre américaine contre régime dictatorial. De manière amusante, Stark n’épargne pas un de ses concurrents venu faire du business en Chine, encourageant par sa présence l’existence du régime… Quand on connaît les liens économiques d’interdépendance entre les USA et la Chine actuellement c’est savoureux… Cette seconde partie est également la meilleure du volume car elle est grandement dévolue au mandarin et en dresse un portrait très humain. En proie à des cauchemars, à deux doigts d’atteindre l’omnipotence, Byrne lui donne vraiment un aspect majestueux et paradoxalement fragile, surtout quand on se réfère à l’excellent final (seule partie que j’avais pu lire à l’époque et qui est grandiose). Le dernier épisode de l’arc est d’une force et d’un symbolisme incroyables et ont vraiment défini le personnage pour moi : un égoïste mégalo et vaniteux dont la colère peut soulever des montagnes, un expert en arts martiaux capable de battre les meilleurs à mains nues mais qui se laisse aveugler par sa soif de pouvoir qui peut en faire un pantin. Byrne livre selon moi la meilleure version de l’origine des anneaux et la meilleure exploitation du personnage. La dernière partie ne compte que deux épisodes (si on excepte les scènes qui y ont mené et qui ont été introduites auparavant dans le volume). La veuve noire (qui avait les cheveux courts à l’époque, ce qui lui allait comme un gant) vient quérir l’aide du magnat pour empêcher l’apocalypse nucléaire que va provoquer l’activation d’un agent dormant de l’ère soviétique, Oktober. Celui-ci a été conditionné pour agir si l’URSS venait à s’écrouler, ce qui est chose faite à l’époque de la parution de ces épisodes. Toujours dessinée par Paul Ryan, elle est encore plus axée espionnage et fonctionne très bien, à défaut d’être originale. Elle comporte un coup de théâtre bien fichu et constitue un bon « bonus » aux deux sagas qui l’ont précédée. Au final, un très bon TPB, le 16ème de la collection Epic en cours de parution dédiée au personnage. Moi qui ne suis vraiment pas fan du perso, j’ai beaucoup apprécié ce tome qui a pour petit défait d’être parfois un peu trop bavard et décompressé. Nul n’est parfait. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 16/20 The punisher 15 Un très bon numéro dans lequel Frank est mis en joue par les howling commandos, qui ont ordre de l’exécuter. Pendant ce temps, Los Angeles est toujours attaqué par le plus grand gang du cru, bien décidé à s’emparer de la ville coûte que coûte en mettant hors circuit ses commissariats. Mais à qui profite la situation ? Un comic plein d’action et de tension, avec des dialogues réalistes et des scènes d’anthologie dont je ne peux dévoiler la teneur sous peine de vous gâcher tout le run. L’équipe actuelle est réjouissante ! Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 The amazing Spider-man 14 Fin du crossover Spider-verse, en attendant l’épilogue… Un beau dénouement, classique mais bien tourné, pour ce crossover que j’ai adoré de bout en bout. Le fait de ne pas avoir lu la série Spider woman, qui y’était liée, ne m’a jamais dérangé, contrairement à ce que j’ai pu lire ici et là. Au final, j’ai trouvé que les tie in Spider-verse team up et Scarlet spiders étaient les plus utiles pour tout piger mais j’ai beaucoup aimé les plus dispensables Spider-verse 1 et 2, qui creusaient les origines des Spidey alternatifs. Spidey 2099 a été la série touchée par le crossover qui l’a particulièrement bien gérée. Tellement que je vais la continuer. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Wolverine epic collection n°1 “Madripoor nights” TPB Ce gros volume réimprime les débuts solo du plus célèbre des mutants (Sic. Je préfère Cyclope, perso) à la fin des années 80. Il nous propose surtout les seize premiers numéros de sa série régulière, appelée à un énorme succès jamais démenti, qui faisait suite à plusieurs mini séries pas réimprimées ici. Le scénario est principalement de Chris Claremont, scénariste bien connu des X men mais les six derniers numéros sont écrits par Peter David. Le dessin est essentiellement assuré par Buscema avec un encrage de Klaus Janson, dans un style dépouillé mais réaliste et élégant. Ce volume est surtout le lieu de la mise en place de l’île asiatique de Madripoor, haut lieu du crime de la terre 616 qui fait ici sa première apparition. On débute avec les 10 chapitres de « Marvel comics presents» volume 1, que j’avais déjà lus. Cette anthologie bi mensuelle rassemblait les aventures de quatre héros à chaque fois dans de très courts chapitres à suivre. Ces numéros racontent la façon dont Wolverine, que tout le monde croit mort à l’époque, tout comme les X men, s’établit dans cette île sous l’identité du mystérieux Patch, surnom faisant référence au bandeau qu’il porte sur un œil. Il retrouve une ancienne alliée humaine des X men qui a décidé de devenir le nouveau parrain du crime de l’île à la place du brutal Roche, qui s’est adjoint les services du sinistre tueur Razorfist, ennemi d’Iron fist. Tiger Tyger, tel est le surnom de cette alliée des X men, présente un visage plus présentable du crime car elle refuse de cautionner certains trafics qu’elle souhaite interdire, ce qui décide Wolverine à la soutenir dans sa guerre, lui servant en quelque sorte de Jiminy Cricket. Ce premier arc est très intéressant car il dresse le portrait saisissant de l’infâme bouge sans foi ni lois qu’est Madripoor ainsi qu’une partie des alliés de Wolvie, un pilote alcoolique et un tenancier du bar le plus couru de la ville. La série qui le suit garde la même ambiance de film noir et introduit peu à peu le reste du décor : un général vietnamien qui veut supplanter Tiger Tyger et est l’oncle de Karma des nouveaux X men (dont les dialogues sont émaillés de Français), Spider woman (sans costume mais avec ses pouvoirs) et sa meilleure amie, une actrice américaine de seconde zone ou encore le prince de Madripoor, descendant de pirate cupide et amoral mais cinéphile énamouré. On assiste également à une petite visite de Mister Fixit (alias Hulk, période grise et énervée mais à l’intelligence retorse) bizarrement pas mise en scène par son créateur Peter David et au retour d’un mal primordial remontant aux temps mythologiques (les six derniers épisodes du volume, qui sont eux écrits par David). Ce volume a pour lui de très bons dialogues, une ambiance de film noir pas piquée des vers et des histoires réalistes et sombres mais pas inutilement gores. Wolverine y’est pré Hugh Jackman, c’est-à-dire petit, teigneux et pas spécialement beau. Franchement, il avait beaucoup plus de présence et de cachet que maintenant. On sent un personnage bienveillant, se cachant derrière un masque de gangster pour limiter les dégâts, assez ambigu, ce qui est assez agréable. Les combats ne sont pas légion mais bien dessinés et privilégiant le réalisme (il met son costume une seule fois, à la fin de volume, lors du seul duel over the top, dans les airs). Bref, si comme moi vous avez la nostalgie des histoires de Wolverine à Madripoor qui paraissaient notamment en France en complément des X men de Nicieza et Kubert dans le magazine du même nom chez semic ou de sa version intégrale, ça devrait vous plaire car ça a bien vieilli et on a affaire à du bon Claremont certes verbeux et multipliant les descriptions comme il aime le faire mais très convaincant. Bémol pour les antagonistes, franchement pas marquants dans ce volume. Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Return of the living Deadpool 1 Quelques années après les évènements de Night of the living Deadpool, une jeune femme tombe sur Deadpool en voulant échapper aux zombies qui ont envahi la planète. Il a perdu la mémoire et elle lui apprend qu’une menace bien pire que les zombies existe et qu’il en est responsable... Ce début de mini-série est plutôt sympathique et devrait être plus réussi que la mini-série originelle, vu le postulat. Rappelons que c’était la plus faible du lot jusqu’ici… Les dessins et la palette de couleurs volontairement restreinte sont toujours aussi convaincants. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 14/20 Thanos vs Hulk 3 Hulk est toujours prisonnier d’un Annihilus très diminué et de ses hommes, Blastaar en tête (mon pauvre poilu, t’es tombé bien bas depuis l’ère Stan Lee/Jack Kirby…). Ceux-ci veulent exploiter les facultés incroyables du titan de Jade pour remettre sur pied leur souverain et le rendre plus puissant qu’il a jamais été… Le premier numéro était intriguant mais celui-ci poursuit la lignée décevante du deuxième numéro. Sachez que Thanos n’apparait pas du tout dans ce troisième opus, ce qui est dommage vu son titre et vu qu’il est l’élément vendeur de la mini-série car associé à son créateur. On assiste surtout au point de vue des scientifiques qui opèrent Annihilus avec une baston finale entre Hulk et Blastaar dans lequel le monstre de la zone négative a peu de chances de l’emporter (suspense : zéro !) Bref, un numéro guère passionnant surtout sauvé par les dessins de Starlin. J’ai peu d’espoir pour le final. Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 14/20
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Je n'ai pas encore eu l'occasion de lire la fin de Spider-Verse, mais toi tu dis que les combats ne sont pas légions, et Scarlet l'inverse ^^ en tout cas vos critiques sont vraiment totalement opposées ^^ moi j'aime bien cet event et j'ai hâte de lire le dernier numéro.
Tes critiques de Secret Six et Harley sont intéressantes, mes critiques arrivent prochainement. Ta critique de Wolverine me donne envie de relire les histoires. J'aime bien en tout cas ce que tu proposes encore une fois dans tes critiques, continue.
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Le 14 est une gros final baston plutôt bien fichu avec une fin un peu ouverte et quelques coups de théâtre qui correspondent bien aux personnages impliqués. Mais, oui, c'est bizarre que ça diverge à ce point, nos avis.
N'hésite pas à te pencher sur secret six, ça vaut le coup.
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Cette collection (EPIC) c'est en couleur ou en NB comme les essentiels ?
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en couleur
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C'est quand même curieux que le TPB d'Iron man prenne le titre de l'histoire la plus courte de son sommaire. Grand moment que la conclusion de la saga des dragons en effet.
Pour Serval, l'épisode de Colan est celui où il traque des hommes qui ont violé et/ou tué une religieuse ? je crois me souvenir d'un épisode assez sombre qui clashait pas mal avec l'apparition de Fixit ou le délire de Peter David. Merci de partager tes lectures |
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Avec un papier correct, c'est une belle collection en rapport qualité/prix ! |
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Je confirme, Mordiggian. Je suis conquis par les Epic même si je ne prends que ceux dont je n'ai pas les équivalents essential et encore pas tous, budget oblige.
Jb, tu te souviens bien : le seul épisode de Colan est effectivement dans le volume et parle bien de ça. Et le premier combat contre Sabretooth, qui a tué Silverfox, est bien présent dans le volume.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Petit question parce que je me lis Attlantis Rising ou Stark est en fauteuil roulant (Enfin à la professeur X année 90) c'est lier à ce qui se passe par rapport au jumeaux mars dont tu parles ici ?
Spiderverse je sais plus quoi en penser tellement les avis diverge (Pas qu'ici). |
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C'est une stalkeuse désaxée nommée Kathy Dare qui lui tire dessus et le paralyse. Il conçoit une technologie pour remarcher détournée par les Marrs et DeWitt
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Jb a répondu parfaitement!
Slobo, Spiderverse t'interessera si tu aimes les what if, les clins d'oeil et les events bien foutus. A côté d'un multiversity, c'est sûr que c'est gentillet mais ça enterre Siege, Original sin et autres Axis. Je dirais que c'est au niveau de fun d'un Civil war.
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