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Ben ouais tant mieux pour nous la soi disante élite, parceque en effet on s'éclate! Je t'assure on est plein à s'amuser sur ce titre et à y voir des similitudes d'écriture avec 100 bullets, notamment la lenteur du récit.
Bon après si tu t'attendais à tout prix à avoir de l'action à tout azimuth y avait erreur sur la personne, et moi de toute façon je ne susi pas venu sur le titre, que je lisais d'ailleurs déjà, pour Jim Lee mais bien pour Brian Azzarello.
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Ben moi aussi je suis venu pour Azzarello, mais je ne l'ai pas encore trouvé
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Et si vous etes nombreux à apprécier, tant mieux pour vous.
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#19
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Non en effet rien à voir avec Bendis, c'est pas parceque tous les deux ont des intrigues longues et prennent leur temps qu'ils écrivent de la même façon!
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euh, juste pour savoir si je comprend ce thrace: y'a marqué "best of", "dc" et "2004" mais nul part marqué "continuity bandits". c'est soit moi qui ne comprends plus rien aux lettres, soit vous êtes tous si déments que même le prophète a laissé tomber l'affaire.
vous ne meritiez pas giscard. |
#21
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Non, c'est juste moi qui suis à la bourre et fais trente-six trucs en même temps, d'où retard, mais je compte bien évoquer Plastic Man aussi.
Et je m'en fous j'avais voté Balladur. |
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han tout le monde dit ça
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Aaaaah continuity bandits en effet quel oubli de taille chers amis! Pour une fois que je comprends Paulie en plus ça se fête!
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moi, par contre je comprends toujours ce que tu dis. j'aimerai tant qu'il en soit autrement.
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Oh le méchant Quinch.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Bah on a la répartie qu'on mérite quelque part, je ne ressent pas le besoin de raconter n'importe quoi pour me sentir bien dans ma peau. N'est pas Lynch qui veut.
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Part II : Batman
L’année de la chauve-souris a débuté dans le titre éponyme par la fin de l’arc Broken City, par Azzarello & Risso, où le duo de 100 Bullets revisite les origines de Batman. Pas évident d’emprunter ce genre de chemin maintes fois parcouru par d’autres et d’en tirer quelque chose de fort et d’original. Azzarello n’y parvient pas vraiment, même si sa tentative est louable et reste un bon moment de lecture. Mais ces six épisodes valaient-ils qu’on nous prive d’autant de 100 Bullets ? Judd Winick et Dustin Nguyen leur succèdent sur le titre avec As the Crow flies, un arc très orienté action et assez spectaculaire, qui met le Bat aux prises avec une nouvelle version cauchemardesque de Scarecrow. Puis vint War Games, le méga-giga crossover DC de l’année. Ca a commencé petitement, dans le one-shot Batman : the 12 cents Adventure, par une réunion au sommet qui tourne mal entre les différents caïds de la pègre de Gotham. Débuts pas vraiment motivant. Et puis ça a pris de l’ampleur, au fil des numéros, les enjeux ont monté, les moments forts se sont succédés, et finalement l’univers de Batman a connu quelques bouleversements marquants et durables. Je n’ai pas suivi le crossover dans son intégralité, à peu près la moitié seulement, mais au final et malgré une vision quelque peu parcellaire des choses j’ai été assez agréablement surpris par ce que j’en ai lu, et même pris par surprise à plusieurs reprises. Je laisse à d’autres le soin de parler de Detective Comics, Gotham Knights & Legends of the Dark Knight que je n’ai pas lu, pour m’arrêter quelques instants sur une poignée de one-shots et mini-séries. Paru en début d’année, Batman : Roomful of Strangers a le double avantage d’être comme toujours très joliment mis en image par Scott Morse, et de faire revenir sur le devant de la scène durant 64 pages Jim Gordon. Un récit à l’ambiance étrange, onirique. Autre curiosité parue cette année, le Elseworlds The Order of the Beast d’Eddie Campbell. Un récit situé juste avant guerre à Londres, et mettant en scène une très curieuse société secrète dont les membres vont mourir les uns après les autres. Comme souvent avec cet auteur c’est une œuvre assez unique, à la fois érudite et farfelue, assez déroutante à la première lecture mais qui mérite qu’on s’y attarde. En début d’année est également parue la conclusion de la mini-série Batman : Death & the Maidens, de Greg Rucka et Klaus Janson. Une mini un peu ignorée me semble-t-il, et pourtant très réussie, opposant Batman à l’héritière de Ra’s al Guhl. Outre l’intrigue réussie, c’est l’occasion de retrouver un Klaus Janson très inspiré, et de regretter de le voir trop souvent se cantonner au simple rôle d’encreur. Autre auteur qui se fait trop rare ces dernières années et qu’on se réjouit d’avoir retrouvé sur deux titres Batman cette année : Ann Nocenti, qui signe le one-shot Batman/Poison Ivy : Cast Shadows et les deux prestige format Batman and Catwoman : Trail of the Gun. Le premier titre est sublimement mis en image par John van Fleet, et offre le plus beau portrait qu’il m’ait été donné de lire de Poison Ivy. Le second est également graphiquement superbe, Ethan van Sciver oblige, en revanche le scénario déçoit assez, Nocenti plombant son récit par d’interminables commentaires sur la circulation des armes aux Etats-Unis, propos certes louables mais qui au final prennent le pas sur l’histoire et de toute façon ne rendront pas les membres de la NRA moins cons. Je ne terminerai évidemment pas sans citer la mini la plus mimi de l’année, Batman : Harley & Ivy, signée Paul Dini et Bruce Timm, dans laquelle nos deux foldingues font n’importe quoi à longueur de page sans jamais se départir de leur grand sourire qui ferait fondre le plus insensible des lecteurs. L’intrigue part un peu dans tous les sens, mais au final on s’amuse tout autant qu’elles. |
#28
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Enfin, hélas non, mais on aimerait.
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