Critiques VO septembre 2014

[Fletcher Arrowsmith]

PROMETHEUS : FIRE AND STONE #1 ( Paul TOBIN / Juan FERREYRA )



Je suis un gros fan de l'univers d'Alien. Un comics concu par les artistes de Colder avec comme accroche Prometheus ne pouvait que me faire de l'oeil.

Et bien je reste sur ma faim sur ce premier numéro qui n’est ni plus ni moins que la suite directe du film. Ceux qui n’ont pas aimé continueront à ne pas apprécier, pour les autres et bien cela rallonge l’opus de Ridley Scott uniquement.

Un nouvel équipage est affrété sur LV -223 pour comprendre ce qui s’est passé avec la précédente mission. Là où je suis déçu c’est que Paul TOBIN applique un calque parfait : équipage similaire, même plaisanteries, une équipe faussement soudée, des militaires un peu stupides, une scientifiques arriviste, des secrets… Et tout cela pendant les deux tiers du comics. Cela s’améliore légèrement une fois arrivée sur LV-223 avec une surprise de taille mais là c’est Juan FERREYRA qui failli avec des dessins pas à la hauteur de l’artiste. Il loupe complètement l’atmosphère à avoir dans ce type de récit, faune et flore incluse. Seul la planche finale promet de meilleurs jours pour la suite.

Le duo magique de Colder ne réitère pas sa performance dans un numéro où narration et dessins sont trop convenus rendant le récit guère passionnant.

[Fletcher Arrowsmith]

TERMINAL HERO #2 (Peter MILLIGAN / Piotr KOWALSKI)



Cela sera peut être un Milligan mineur dans l'œuvre de l'artiste mais l'histoire reste plaisante et continue à nous donner son lot de surprises.

Le scénariste continue de se focaliser sur les pouvoir de Rory et des conséquences suite aux évènements du premier épisode. Le tout prend une tournure intéressante car même si le héros semble maitriser ses pouvoirs c'est sa vie qui lui pose problème car elle lui échappe en étant complètement dépassé par les évènements. En clair ce n'est toujours pas cool d'avoir une tumeur au cerveau. Il y a beaucoup de rythme dans ce numéro et on ne s'ennuie pas. Milligan maitrise l'espace qui lui est donné (LS en 4) et le cliffhanger promet pour la suite.

Par contre les dessins de Piotr KOWALSKI restent décevant surtout quand on sait de quoi il ets capable (SEX par exemple).

Lecture sympathique pour une bonne histoire qui se tient.

[Fletcher Arrowsmith]

SHELTERED #11 (Ed BRISSON / Johnnie CHRISTMAS)



En voilà une série qui ne faiblit pas car Ed BRISSON sait où il va et attaque tambour battant le dernier arc.

On en est sur maintenant, cela va mal se finir, très mal même à mon avis. Synthèse de l'ensemble des intrigues ce numéro voit l'étau se resserrer sur les adolescents de Camp Haven, mais au point où ils en sont ils vendront chèrement leur peau. Le scénariste introduit de nouveaux adultes, qui toute force de l'ordre étant, feraient bien de se méfier de ces mioches, devenu très dangereux car déconnecté de la réalité. On est dans une secte infantile.

Cette série a su se rendre passionnante par l'étude de mœurs qu'elle propose. On a l'impression d'assister à une expérience grandeur nature et rien ne semble exagéré.

[Fletcher Arrowsmith]

LAZARUS #11 (Greg RUCKA / Michael LARK / Tyler BOSS)



Comme cela se lit très bien et j'aime bien l'ambiance, j'ai finalement décidé de continuer en single.

L'histoire avance et les familles qui se sont partagés le monde s'apprêtent à se rencontrer en conclave. Tant mieux pour le lecteur qui va surement en apprendre beaucoup. Les intrigues autour de Forever continuent à leur rythme. Cela reste toujours un peu lent et cela manque d'action. Mais Greg RUCKA et Michael LARK ont réussi à instaurer une ambiance particulière à cette série. Ce n'est pas un incontournable pour l'instant mais je me suis rendu compte que j'attendais quand même chaque mois la sortie du numéro

Ah, j'ai failli oublier, Michael Lark a trouvé un encreur : Tyler BOSS. C'est plus rought qu'avec Brian Level. A voir sur la durée.

[EsseJi]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	THE WOODS #5 (James TYNION IV / Michael DIALNAS) Un numéro sympathique et surprenant car James TYNION IV, pour la première fois, varie son schéma narratif. En effet aucune scène ne se passe au présent à l'intérieur de l'école et le scénariste se focalise un peu plus, via un flashback, sur le passé de certains personnages. Cela permet d'étoffer ses derniers et de justifier leurs comportements. Pour le reste l'histoire avance peu apportant encore plus de questions que de réponses. Mais qu'importe l'intérêt de ce numéro n'est pas là et cette pseudo "pause" fait beaucoup de bien au récit afin de lui permettre de reprendre du souffle tant l'aventure est haletante.

Je n'ai pas ressenti l'effet pause, bien au contraire ça avance à son rythme mais avec tout ce qu'il faut pour tenir en haleine.
Par contre je ne savais pas qu'une sorte de javanais avec bu existait en langue anglaise, toujours casse tête à lire...

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par SJ
	qu'une sorte de javanais avec bu existait en langue anglaise, toujours casse tête à lire...

C'était bien fun et compliqué à lire en effet. J'ai bien aimé ces passages.

[Fletcher Arrowsmith]

EAST OF WEST #15 (Jonathan HICKMAN / Nick DRAGOTTA)



Enfin un numéro où le récit avance. Mais bon pour moi il est trop tard, la suite cela sera en TP (VO ou même VF quitte à attendre une dizaine de mois). La narration trop décousu de Jonathan HICKMAN aura eu raison de moi. Pourtant cette série possède énormes qualités mais sa lecture mensuelle ne me convient plus. Le scénariste ne travaille pas à partir d'un fil directeur et alterne entre histoires consacrées à la mise en valeur de l'univers uchronique d'un côté et la quête du fils de Death de l'autre, le tout dans une ambiance apocalyptique au sens religieux (très réussi dans ce numéro d’ailleurs). J'ai besoin d'avoir plus de lien pour être complètement accroché par cette histoire ambitieuse.

Et encore une fois avec ce quinzième numéro je peux dire qu'intrinsèquement il est très bon, avec beaucoup d'action (comme Conquest prend cher !!), des dialogues intéressants et un final intrigant mais quid des autres protagonistes ? On voit Death sur sa monture à la fin de l'épisode.....comme dans le #10. Rien n'a vraiment évolué. C'est une fausse décompression. En TP je pense que cela passera mieux.

Nick DRAGOTTA reste au top sur chaque planche. C'est un régal pour les yeux.

[Fletcher Arrowsmith]

THE BUNKER #6 (Joshua HALE FIALKOV / Joe INFURNARI)



Encore un excellent numéro où Joshua HALE FIALKOV semble prendre un malin plaisir à jouer avec la situation et les possibilités offertes.

Quoi de mieux que donner aux lecteurs un peu plus de matière en lui proposant tout simplement d’égrener les 30 jours précédant la découverte du Bunker au présent. Suite à la révélation surprenante du précédent numéro, c'est en compagnie de Grady et de l'invité mystère que nous sommes conviés. Peu de dialogues mais des situations percutantes qui font mieux comprendre aux lecteurs comment on en est arrivé là. Le scénariste n'en a pas finit de jouer avec le concept du voyage dans le temps et utilise tout les outils scénaristique à sa disposition.

Le type même de numéro qui apporte beaucoup de réponse de manière très intelligente mais qui surtout donne une envie furieuse de tout relire depuis le début.

[Slobo]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	EAST OF WEST #15 En TP je pense que cela passera mieux.

Tout pareil

[EsseJi]

Wild's End #1 : H.G. Well's fait parti de ces auteurs qui ont façonné la science-fiction, son héritage est aujourd'hui plus que jamais présent, surtout dans les pages de nos illustrés. Ainsi une énième adaptation libre de la Guerre des Mondes peut être à la fois excitante ou inutile. Heureusement pour nous cette mini se situe dans la première catégorie. L'originalité de Wild's End est de situer l'action dans le roman de Wells sans suivre à la lettre l’œuvre originelle, et surtout que les protagonistes sont tous les animaux aux attributs humains.
Mais la véritable force de ce récit est la British Touch. Tenue en toute circonstance, politesse exacerbée et humour pince sans rire font parti des attributs que l'on admire chez nos voisins d'outre Manche et cela Dan Abnett a su le retranscrire avec brio.
Il flotte sur ce premier épisode comme un nuage d'eau chaude qui macère le thé, on est immergé tout de suite dans une époque, un lieu et ses mœurs. C'est pourquoi à la lecture du premier épisode on est comme subjugué et l'envie de lire la suite est bien là. Pour le Roi et le pays, ces damnés extra-terrestres devront faire avec le flegme britannique.

[EsseJi]

The Names #1 : bien plus qu'un label, Vertigo c'est un ton. Depuis ses débuts les lecteurs savent que chez Vertigo on y trouve des comics qui osent, ils osent une narration, ils osent des thèmes et derrière tout cela il y a la patte d'auteurs. Même si Peter Milligan est un habitué de la ligne, Leandro Fernandez est lui pratiquement un nouveau venu, mais on sent que c'est là qu'il est le plus à l'aise. Ainsi à la lecture de The Names il n'y a pas d'erreur, c'est du comics Vertigo qui n'a rien à envier au reste du catalogue. Le récit est en apparence simple, le lecteur sait où il met les pieds et se sent presque rassuré par le ton employé. Ce titre commence très fort avec toutes les qualités qu'on est en mesure d'attendre. Il n'en faut pas plus pour que The Names va s'imposer comme un des titres incontournables de ce second semestre 2014. Quels sont ces fameux noms qui donnent son titre à ce comics? On est presque impatient de l'apprendre.

[Fletcher Arrowsmith]

Excellentes lectures. J'apprécie tes billets. C'est deux récits me poursuivent depuis leur dégustation

[EsseJi]

	Citation:			Posté par arrowsmith
	SOUTHERN BASTARDS #4 (Jason AARON / Jason LATOUR) Jason AARON n'est pas perdu pour le media. Après son décevant Original Sin je dois dire que j'en étais venu à appréhender la lecture de ce quatrième numéro de son creator owned chez Image, d'autant qu'il avait du retard. Je suis rassuré, même mieux je suis enthousiasmé. Beaucoup d'actions, de jurons et de testostérones avec enfin la confrontation tant attendu entre le coach et Earl Tubb qui est à la hauteur de nos attentes. Mais là ou Jason Arron remporte le morceaux c'est sur un double cliffhanger qui m'a scié. Le scénariste revient également sur ce premier arc narratif et l'attente entre le #3 et le #4 pour conclure qu'il sait très bien où il va et que jusqu'à présent nous n'avons lu qu'une mise en bouche voire un récit introductif. Well done mister Aaron vous savez y faire. Au passage on peut remarquer que le scénariste traite encore un thème qui lui est cher, la guerre (Vietnam et Moyen Orient) comme dans The Other Side. Graphiquement son complice Jason LATOUR n'est pas en reste avec surement ses meilleurs planches depuis le début. Les premières et dernières pages sont surprenantes et dénotent avec le reste du récit prouvant que l'artiste sait adapter son style à la situation. Arrêtons les comparaisons, Southern Bastards n'est pas Scalped et Jason Aaron reste un brillant scénariste. Une excellente série que je vous invite à suivre.

J'avoue qu'au deux tiers du comics j'ai eu peur d'une conclusion convenue, et quelle fut ma surprise après la fin, et ensuite la deuxième. Même si c'est assez facile, j'appelle ça le phénomène Kickboxer, cette série de films où un membre d'une famille vient toujours en venger un autre.
Sinon la comparaison avec Scalped est encore un peu là mais pour le moment on est plus dans du Game of Thrones.

[Slobo]

Numéro 7
Titre de la série : Red Hood & the outlaws - The New52 futures end
Numéro : 1
Editeurs : DC

Titre du numéro : Dark Days
Auteur :
Illustrateur & encrage : Scott Kolins
Scénariste : Scott Lobdell
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que c'est une des seuls séries qui me plaisent encore.
Pitch :
Dans le futur Jason a tuer le maire de central city et amener les flics à sa plaque ... Il se rappel sa dernière rencontre avec Arsenal qui a remplacer Green Arrow dans la justice league toute en allant supprimer.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "."
Avis :
Un numéro très décousu ... Je me suis demander si la fin n'allait pas au début. Et puis pourquoi attirer les flics si c'est pour partir comme ça ? A moins que c'est mal expliquer et qu'il les avaient sur les talons.
Coté dessin c'est très décevant aussi et pas l'ombre d'une starfire pour me mettre le sourire. J'ai trouver le passage avec arsenal forcer et trop surfait. On sent le "hum c'est le futur alors créons un truc bien dark".
Couverture : 1/2 (Non 3D)
Dessin & encrage : 7/10
Scénario : 5/10
Intérêt : 1/6
Originality : 2/6
Plaisir de lecture : 2/6
Note : 4/10

Numéro 6
Titre de la série : Wonder Woman - The new52 futures end
Numéro : 1
Editeurs : DC

Titre du numéro : Dark Days
Auteur :
Illustrateur & encrage : Scott Kolins
Scénariste : Scott Lobdell
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que c'est une des seuls séries qui me plaisent encore.
Pitch :
Dans le futur Jason a tuer le maire de central city et amener les flics à sa plaque ... Il se rappel sa dernière rencontre avec Arsenal qui a remplacer Green Arrow dans la justice league toute en allant supprimer.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "."
Avis :
Un numéro très décousu ... Je me suis demander si la fin n'allait pas au début. Et puis pourquoi attirer les flics si c'est pour partir comme ça ? A moins que c'est mal expliquer et qu'il les avaient sur les talons.
Coté dessin c'est très décevant aussi et pas l'ombre d'une starfire pour me mettre le sourire. J'ai trouver le passage avec arsenal forcer et trop surfait. On sent le "hum c'est le futur alors créons un truc bien dark".
Couverture : 1/2 (Non 3D)
Dessin & encrage : 7/10
Scénario : 5/10
Intérêt : 1/6
Originality : 2/6
Plaisir de lecture : 2/6
Note : 4/10
Titre du numéro : Old Soldiers
Auteur :
Illustrateur : Rag Morales
Encrage : Joe Marzan Jr, Batt
Scénariste : Charles Soules
Pourquoi je l'ai pris :
La couverture et j'adore le titre d'Azzarello/Chiang
Pitch :
Dans le futur wonder woman et assiéger. Sa décision qu'il n'y ait plus de guerre la mener à se voir en mener une contre Némésis.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Has she lost herself."
Avis :
Et deviner qui est le traitre !
Bon déjà c'est un numéro ou je me sens complètement étranger car il a moins a voir avec le run d'Azzarelo/Chiang qu'avec futures end. Normal me dirait vous.
Soule fait de sont mieux pour faire une histoire intéressante et qui nous permettent de comprendre les enjeux mais en étant juste ennuyeux. Et puis mélanger des personnages du temps ainsi fait qu'il est difficile de savoir où on est. Dommage parce que dès qu'il parle de Némésis là l'intérêt s'envole mais ce ne sera pas pour ce numéro.
Et puis dès que Diana s'énerve voilà que son ex arrive en cliffanger pour mener sur un autre titre futur end ...
Coté dessin c'est presque réaliste mais va pas trop au méchant ou au costume de superman du coup. Un numéro qui me conforte pour arrêter le titre après le départ d'Azzarelo/Chiang. Parce que si soule n'a pas réussit, c'est pas les Dodson qui vont réussir.
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 9/10 (Un peu gênant ce style réaliste)
Scénario : 6/10
Intérêt : 3/6
Originality : 2/6
Plaisir de lecture : 2/6
Note : 6/10

Numéro 5
Titre de la série : Avengers
Numéro : 35
Titre en couverture : In 8 month ... Time runs out !
Editeurs : Marvel

Titre du numéro : The three avengers
Auteur :
Illustrateur : Jim Cheung, Paco Medina, Nick Bradshaw, Dustin Weaver
Encrage : Mark Morales, Guillermo Ortego, Juan Vlasco, Nick Bradshaw, Dustin Weaver
Scénariste : Jonathan Hickman
Pourquoi je l'ai pris :
La couv qui n'a pas grand chose à voir, vu que sur les 5 présent on ne voit un seul sur une seule page
Pitch :
Huit mois après ... Les Hex-nihilo assistent à la mort d'une étoile (la cinquième) sans intervention extérieur et alors qu'ils tentaient de l'aider. L'origine de ce désordre ... La terre. Solar et Manifold vont rendre visite à Cannonball et Smasher qui habitent désormais chez les Shiar. Nightmask et Starbrand eux aussi sont rappeler sur terre. Alors que Thor et Hyperion aide l'AIM désormais contrôler par Solar à construire un truc en Terre Sauvage. Enfin Amadeus Cho membre des Illuminati tente d'échapper au shield.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Did you just say you work with A.I.M. ?"
Avis :
En fait je me suis ennuyer jusqu'au moment ou le shield et Amadeus Cho entre dans une dance mener de main de maître. Vu le casque que porte l'agent du shield j'aurais du me douter de son identité. On peut se demander en quoi 8 mois plus tard les Illuminati sont considérer comme ennemi alors que Namor à fait un autre groupe. D'ailleurs aucun de ses derniers ne sont dans les recherché, mais les illuminati on grossi en nombre.
J'ai trouver le coup du bébé un peu vite expédier (Bon y'a huit mois de passé ... Mais tout de même certain couple marvel on durable ou non non pas eut la "chance" de ce couple, après faut voir sur le long terme comment il sera traiter ce nouveau venu ... Si c'est pour faire comme Luna et le mettre souvent dans les limbes, c'est très limite.)
Coté dessin, c'est pas mauvais ... Mais c'est pas non plus le top. Pourtant Cho fait du Cho et Bradshaw du Bradshaw mais surement moins alaise que sur Wolvy & x-men. C'est d'ailler avec son cannonball que j'ai le plus de mal.
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 8/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 4/6
Originality : 3/6
Plaisir de lecture : 4/6
Note : 7/10

Numéro 4
Titre de la série : Nova
Numéro : 21
Editeurs : Marvel

Titre du numéro : Moving Day
Auteur :
Illustrateur : David Baldeon
Encrage : Terry Pallot
Scénariste : Gerry Duggan
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que c'est pas si désagréable à lire cette petite série
Pitch :
Nova va (Enfin), après avoir aider à déménager, chercher son père. Sauf que rien n'est si simple.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Just make a appointment with my assistant."
Avis :
Un petit numéro un peu facile ... Du coup on retarde la rencontre père/fils. Bon y'a malgré tout des moments un peu fun mais on sent le comics pour jeunot. Dommage.
Après je suis plus embêter de voir un casque dans la cellule de Papa Alexander. D'un parce que je croyais que le casque de Sam était celui de son père. De deux parce que du coup pourquoi il ne la pas utiliser (Oui ok il semble hors d'état mais on ignore depuis quand). Pire pourquoi le laisser là même s'il est hors d'état. Y'avait déjà la mot sur le mur. Puis le cliffanger ne m'a pas fait grand effet.
Coté dessins c'est toujours dans la même veine et ça ça me plait toujours.
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 10/10
Scénario : 7/10
Intérêt : 3/6
Originality : 3/6
Plaisir de lecture : 4/6
Note : 7/10
Pourquoi devant Avengers Parce que quelque part il m'a donner plus de plaisir qu'Avengers.

Numéro 3
Titre de la série : Miles Morales : The ultimate Spider-Man
Numéro : 5
Editeurs : Marvel

Auteur :
Illustrateur & encrage : David Marquez
Scénariste : Brian Michael Bendis
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que Bendis est bon sur ce titre ... Et étrangement constant.
Pitch :
Miles et Peter sont entourer de flic nerveux et doivent fuir mais miles est blesser. Il trouve un surprenante alliée qui va l'aider à faire le point. Pendant qu'Osborn rend visite à Jameson.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "So ... You are not done fighting."
Avis :
Un bon numéro de transition qui permet de mettre Osborn remettre Osborn sur de meilleurs raille j'ai trouver. Et puis la rencontre avec le rédacteur du Buggle est prenante. Par contre pitié changer moi cette coupe affreuse pour Peter s'il doit rester.
Miles reste mon spider man préféré ...
Coté dessin marquez est le bon choix.
Couverture : 1/2
Dessin & encrage : 9/10 (Une case ou deux mon posé problème)
Scénario : 8/10
Intérêt : 6/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 4/6
Note : 8/10

Numéro 2
Titre de la série : The Multiversity Society of Super-heroes
Numéro : 1
Titre en couverture : Conquerors from the counter world !
Editeurs : DC

Titre du numéro : Conquerors from the counter-world
Auteur :
Illustrateur : Chris Sprouge
Encrage : Karl Story, Walden Wong
Scénariste : Grant Morrison
Pourquoi je l'ai pris :
Parce que Multiversity était une pépite.
Pitch :
Dr Fate à rallier autour de lui les héros de sa terre pour faire face à une menace venant d'un autre monde.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "All of you ... I turned you into killers."
Avis :
Bon s'est pas lier (Ou on ne les voit pas trop) au premier numéro. A part le comics qui traine dans toute les mains ... Mais qu'est-ce que c'est bon comme aventure. Une impression de revoir la JSA ... Même si c'est pas eux. Je regrette de pas avoir la couv avec les méchants tout de même
Coté dessin Sprouge fait aussi bien voir mieux que sur Tom Strong
Enfin revoir une vraie Lady Shiva merci Morrison
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 10/10
Scénario : 8/10
Intérêt : 4/6
Originality : 4/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 8,5/10

Numéro 1
Titre de la série : George Perez's Sirens
Numéro : 1
Editeurs : Boom Studio

Titre du numéro : From Time to Time
Auteur :
Illustrateur, encrage et scénariste : George Perez
Pourquoi je l'ai pris :
Perez
Pitch :
Dans le passé une femme va trouver un trésor, dans le futur la même femme mène une race de dragon pour une mission suicide de sauvetage. Tout cela pour récupérer Highness et raliers les sirens à plusieurs point du temps.
Phrase qui fait écho à ma lecture : "Sorry we're not dead Niada. Althrough we did bielive you were."
Avis :
Perez
Bon c'est bavard mais pas chiant. Faux juste réussir se laisse porter puis remettre toute les pièce en place. J'ai hate de lire la suite. Highness me faisait déjà penser dans les croquis à un miss en scarlet witch et Donna Troy, c'est pas ma lecture qui va me faire changer d'avis.
Vive perez
Couverture : 2/2
Dessin & encrage : 9/10 (L'encrage est un peu gras faut avouer)
Scénario : 9/10 (Faut s'accrocher)
Intérêt : 6/6
Originality : 6/6
Plaisir de lecture : 6/6
Note : 9,5/10

[Baltazared]

Trees #5

Un épisode qui bouge. Un peu. Cette série bénéficie grandement de la renommée de son auteur. Si Warren Ellis n'était pas aux commandes, la lenteur et l'incompréhension qui l'imprègnent m'aurait sans doute (et beaucoup d'autres avec moi) fait fuir il y a un ou deux numéros.

Mais le storytelling est bon, agréable, fluide.
Mais le dessin est beau, simple, détaillé.
On sent que la série va partir d'une issue à l'autre. "Wait & See" donc mais je le sens vraiment très bien.

Concernant ce numéro, les protagonistes n'entrent toujours pas en relation, et seule la dernière partie est vraiment très intrigante. L'ambiance devient tendue et l'on a hâte de comprendre pourquoi ces "arbres", pourquoi ces "fleurs", et pourquoi "ils" sont ici.

Trees démarre tooooouuuuut doucement, et cet épisode paraît être l'antichambre du décollage de la série. Pour notre plus grand plaisir, sans doute.