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  #211  
Vieux 23/06/2015, 14h12
Avatar de Jorus C'Baoth
Jorus C'Baoth Jorus C'Baoth est déconnecté
Jedi du coté obsc... DOH!
 
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Jorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec Dracula
PAreil que la flêche, le 1er TP de Winterworld est un poil faiblard et ne révolutionne pas grand chose, même si l'idée du sacrifice autour d'El Nino apporte un peu d'intensité. Le 2 est déjà un cran au dessus dans le même genre quand même... plus d'action, on en découvre plus sur les personnages et leur background.
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  #212  
Vieux 16/09/2015, 19h46
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
Chrononauts, Falling Skies, The Spirit

Yep, il est temps de changer un peu d'approche. Moins de fioritures, plus d'écriture directe avec un style plus percutant et une présentation plus spartiate mais qui me fera également gagner du temps. Je ne maitrise pas encore tout mais cela me manque de ne pas vous faire partager mes dernières lectures. Le font et la forme évolueront surement.

On commence par un bad trip back to the future, des extra terrestres qui mettent la misère à notre planète et un justicier immortel avec un imper qui aime se balader la nuit pour chasser une pieuvre sans visage.

CHRONONAUTS (IMAGE)
Mark MILLAR / Sean MURPHY
Chrononauts #1 à #4




Quelques lignes sur :
Et bien c’est pas terrible. L’association Mark Millar –Sean Murphy me faisait légèrement rêver (faut pas exagérer non plus, Millar c’est correct pas extraordinaire). En plus l’Ecossais décide de s’attaquer aux voyages dans le temps mais de façon assez fun. Avec un des dessinateurs hype du moment je pouvais donc m’attendre à passer une bonne heure agréable.
Las… une bonne heure quelle rigolade, en une demi-heure ce Chrononauts est torché devant le vide abyssale du scénario de Millar qui se vautre complètement en plus de pomper dans tout ce que la culture pop a pu produire sur le sujet (Back to the future me vient en tête assez immédiatement au vu de certaines scènes). Le scénariste ne fait preuve d’aucune finesse, mais alors pas l’once d’un bout de réflexion, ayant laissé son cerveau bien au fond du vestiaire de la pire équipe de rugby écossais. Tout n’est que paradoxe temporel, situations débiles et personnages insupportables. De toute façon le premier numéro donne malheureusement le ton car Millar vu tout ce qu’il a à nous raconter attaque bille en tête sans trop explications, histoire que l’on démasque son imposture. Paf, Je suis le doctor Quinn, je construis une machine à voyager dans le temps et j’invite mon pote aux deux neurones (Millar c’est calmé, il ne montre pas ses attributs anatomiques et il ne vomie pas) qui sera de la partie (trop con les autres hommes et femmes sur terre). La suite n’est que du grand n’importe quoi avec un mélange gloubiboulgesque d’anachronismes qui n’ont qu’une seule grâce à mes yeux : laisser Sean Murphy s’éclater avec plein de tanks, de temples, de mitraillettes et de beaux vêtements d’époques. Millar ne s’est pas tant calmé que cela avec des exécutions sanguinolentes et une certaine violence gratuite.

Autre saccage en règle de ce qui aurait pu faire un scénario sympathique : la façon de Millar décrire non pas pour des lecteurs mais pour des producteurs d’Hollywood histoire de vendre les droits assez rapidement. Que le monsieur est besoin de manger je le conçois (il y a bien pire dans le monde comme façon de faire) mais au moins qu’il y mette les formes. Ici on a droit uniquement au script et pas au scénario développé. La même chose un peu plus fouillé et ambitieux aurait donné un comics de bonne facture. Là il se moque de nous, et on tombe dans le panneau car s’est ubër bien dessiné par Sean Murphy (rien à dire, impeccable) et que les voyages dans le temps c’est ultra cool.
Au passage on notera que les femmes sont quasi inexistantes. Millar, misogyne ? Tiens en voilà un débat intéressant (plus que Chrononauts).
A part Sean Murphy, le prix (10$) peut également vous inciter à vous pencher sur cette pépite de mauvais comics qui remporte malgré tout des suffrages.

Alors on fait quoi avec :
Si on souhaite économiser 10$ on attend l’adaptation cinématographique et on va plutôt acheter Ivar, Timewalker de Fred Van Lente chez Valiant.

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FALLING SKIES (DARK HORSE)
Paul Tobin / Juan Ferreyra
Falling Sky #1 à #5




Quelques lignes sur :
Trouvé pour pas cher, ce recueil de petite taille regroupe les web comics sur la série Falling Skies produite par Steven Minority Report Spielberg avec Noah Wyle (Doc ER Carter forever mais aussi Steve Jobs) en tête d’affiche (et non pas de gondole, on n’est pas à Venise mais à Boston). Les 5 numéros font entre 12 et 16 pages et se passent avant le premier épisode de la saison 1.
Deux intérêts à se lire ce recueil :
Le premier et le second. Logique :beu :Je me suis claqué (comme Yoyo Gourcuff que j’embrasse, vive la Bretagne libre) ce soir avec ce billet.

Tout d’abord lire ces épisodes permet de boucher les trous de la saison 1 de FS qui commence bille en tête. Ainsi on va découvrir comme Ben (le troisième fils) est enlevé, on va vivre la première rencontre entre Tom Mason et le colonel Weaver mais aussi avec la belle pédiatre Anne Glass, Hal (le deuxième fils de Tom) va offrir son premier baiser à Karen et on va assister à la création de la deuxième division. Paul Tobin n’est pas un manchot (sinon il serait sur la banquise, ok je sors) et nous sort des histoires dynamiques et rythmés (certaines sont sur deux numéros). L’utilisation de la voix off à travers le journal de Tom Mason de permet de densifier la lecture et donne pas mal de compléments sur les vilaines bestioles (plutôt War of The Worlds qu’ET le Steven) en plus d’apporter de la psychologie aux personnages. Bon c’est du web comics avec un cahier des charges gros comme les mensonges de Nico Sarko donc il ne faut pas s’attendre à quelque chose de révolutionnaire.

L’autre intérêt de jeter un coup d’œil attentif à ce comics c’est Juan Ferreyra. Le bougre est loin du niveau de ses prestations actuelles mais on mesure l’évolution de son trait au fur et à mesure passant d’un style passe partout comics lambda à des ébauches de ce qu’il va produire dans Colder avec le même Paul Tobin. Sacré évolution. Il est toujours intéressant de se pencher sur les œuvres de jeunesse d’un artiste pour y déceler ce qui va nous plaire plus tard. En plus le dessinateur s’en sort très bien avec la représentation sur papier des acteurs. C’est loin d’être du Greg Land ou du Larroca (là c’est un compliment pour Ferreyra au fait) et les visages très ressemblant ne font pas photoshop ou catalogue de la redoute que l’on emporte dans les toilettes discrètement. Un petit cahier graphique est présent à la fin comme bonus.

Alors on fait quoi avec :
On s’équipe d’un lecteur Blu Ray pour comprendre le tread Netflix afin de ranger ce recueil à côté des galettes de la série que l’on va acheter. En plus la taille est identique, c’est du tout bon pour ne pas avoir d’accros visuels dans sa blu-ray thèque. On peut aussi se jeter sur la saga Colder des mêmes auteurs et mesurer les progrès faits par Tobin et Ferreyra.

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THE SPIRIT (2007) BOOK ONE (DC)
Darwyn COOKE et Jeph LOEB / Darwyn COOKE / J. BONE
The Spirit (2007) #1 à #6 ; Batman/The Spirit #1




Quelques lignes sur :
Le personnage fétiche du grand de Will Esiner continue d’inspirer les artistes de la planète. En 2007 Darwyn Cooke (The New Frontier) décide de s’attaquer à ce monument de la BD américaine.
J’ai écrit quelques lignes que m’ont inspiré les 6 épisodes de la série présentée dans ce très beau HC (la couv est superbe avec le titre, The Spirit, découpé dans la jaquette).

The Spirit #1
Drôle d’entrée en la matière pour ce premier numéro car Darwyn Cooke prend le parti pris que l’univers du Spirit est connu et ne fait donc aucun effort pour présenter les personnages et leur environnement. C’est quand même immédiatement folklorique et bien dans la lignée du personnage crée par Will Eisner avec la ville, qui est très présente (studio télé, bas fond, sordides ruelles et égouts, le tout de nuit avec plus ou moins de lumière). L’histoire est semble toute classique puisque le justicier masqué enquête sur la disparition d’une présentatrice télé. Le burlesque est de mise (le vilain de service The Pill, la traque dans les égouts, la relation je t’aime moi non plus entre le Spirit et Miss Coffee, l’émission télé qui suit la traque de notre héros). Les jeux de mots sont un des points fort de ce premier numéro et les personnages portent presque tous des noms (de Will Esiner) qui font sourire. Cela part bien et l’histoire est bonne. Le personnage principal apparait comme décalé tout comme les situations.

The Spirit #2
Ah une femme fatale … cela pourrait être l’essence même du Spirit. A ce stade on a quand même un peu peur à la fois pour notre héros qui pourrait succomber alors que sa vie privé est enfin exposée et pour le lecteur qui se dit que deux numéros et déjà deux histoires qui tournent autour du sexe faible (pas tant que cela et puis Cooke dessine donc bonne pioche pour nos yeux). Il n’en ait rien dans ce polar enlevé où les faux semblant sont légions et la conclusion plutôt choc nous ramène à une dure réalité. Un épisode dynamique, drôle et qui joue parfaitement avec les codes du genre de la comédie policière. De plus en peu de scène, Cooke nous dresse un portrait assez sympathique de la vie conjugale du Spirit.

The Spirit #3
Cooke décide enfin d’en donner un peu plus aux lecteurs en tissant une intrigue qui va faire la part belle au passé et aux origines du Spirit. Plusieurs points de vue pour un récit très efficace (à défaut d’originalité comme Alan Moore a pu le faire sur un récit similaire) qui muscle également le ton (moins de burlesques). Cooke et son coloriste, Dave Stewart, s’éclatent puisque le récit est de nuit, souvent sous la pluie avec des jeux de lumières et de couleurs (peu) intéressants. On sent avec ce troisième épisode que Cooke décide enfin de construire autre chose que des one shot.

The Spirit #4
On rentre dans le Spirit d’Eisner avec l’évocation d’Octopus (dont on ne verra jamais le visage, marque de fabrique de ce vilain), la nemesis du Spirit. Un personnage du #2 fait également son retour confirmant la bonne impression de l’épisode précédent à savoir que Cooke construit un univers. On s’éloigne également de l’ambiance urbaine dont on était habitué. J’aime cette prise de risque de la part de Cooke, même minime. Ce numéro est aussi l’occasion d’admirer le trait de Cooke sur la gente féminine (Silk Satin sublime). Par contre pour la seconde fois l’artiste adopte une narration en flashback qui ne convient pas forcément à mes attentes (on en est qu’au quatrième numéro).

The Spirit #5
Un numéro qui semble léger au premier abord (usurpation de l’identité du Spirit) mais qui renferme une critique de la société de consommation et de la publicité. Cooke ramène sur le devant de la scène un autre vilain du folklore crée par Eisner. Le rythme du récit m’a semblé un peu bancal comme si Cooke hésitait entre donner un ton léger (le pitch, la publicité) ou grave (un passage à tabac assez violent, une critique sans trop de concessions). De plus on s’éloigne du fil directeur que semblait donner Cooke précédemment.

The Spirit #6
Je n’ai pas aimé ce numéro qui est pourtant, et c’est un comble vu mes réserves, celui qui sort le plus des sentiers battus (narrativement et graphiquement). J’ai eu du mal à reconnaitre une histoire du Spirit. D’ailleurs Cooke ne semble pas si intéressé que cela par le justicier. Cela aurait pu être un récit sur la ville de Centra City mais au final cette histoire qui emprunte beaucoup n’est qu’un patchwork de certaines idées de la jeunesse (musique pop, célébrité, drogue, jalousie..). La chute est surprenante, trop même, car elle nous ramène assez maladroitement à l’enquête du Spirit (que l’on avait presque oublié) pour conclure sur un twist facile et trop en décalage avec le style policier voulu par Cooke.

Batman/The Spirit #1
A lire pour les planches de Cooke qui s’éclate à croquer tout le folklore de l’univers du Spirit et de Batman. On est ici dans les débuts des deux héros (très bonne idée) malheureusement Jeph Loeb fait du Jeph Loeb et non seulement oublie souvent de mettre sur le devant de la scène les deux héros mais comme trop souvent passe son temps à faire le catalogue des ennemies (et associés) des justiciers. Un régal pour les yeux mais une déception en terme d’écriture pour une rencontre qui promettait (et qui semble en plus tellement évidente). C’est loin d’être nul, c’est convenue (et un peu ennuyeux).

L’ensemble nous donne des histoires dans le style pulp retro. Darwyn Cooke, graphiquement impeccable et impressionnant a quand même parfois du mal à se sortir de l’exercice de style. Cela manque de surnaturelle ou de magie. Il marche dans les pas de Eisner sans pour autant le plagier, mais sans pour autant s’affranchir complétement du maitre. Mais l’ensemble donne un recueil très plaisant surtout pour le plaisir des yeux.


Alors on fait quoi avec :
Si on aime admirer les planches de Cooke on se dégotte ce recueil et on tente éventuellement de chercher le deuxième. Sinon il est fortement conseiller de se pencher sur l’œuvre originale de Will Eisner voire sur la série publié par Kitchen Press il y a quelques années (avec du Moore, du Gaiman…). Et surtout on évite de passer par la case grand écran et le film de Frank Miller.
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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 17/09/2015 à 13h18.
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Vieux 16/09/2015, 19h52
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GenSen
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JB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme SpidermanJB est agile comme Spiderman
J'aime bien cette nouvelle formule PV à suivre dès que possible
A la lecture de ta critique de Falling Skies, j'ai envie de me ressortir tous mes comics à licence
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  #214  
Vieux 16/09/2015, 20h07
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Spirit de Cooke, c'est sympa mais ça ne va pas plus loin.
(bon, je les ai et je suis content)
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Alan Moore :
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  #215  
Vieux 16/09/2015, 21h18
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Content du retour de tes critiques, hâte de lire les prochaines.
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  #216  
Vieux 16/09/2015, 21h31
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Très agréable, merci.
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  #217  
Vieux 16/09/2015, 21h31
Avatar de zenita
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zenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektrazenita a le phone d'Elektra
Good job arrow !!!
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  #218  
Vieux 16/09/2015, 22h54
doop doop est déconnecté
bouzouk force !!!!
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doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
Cool !!!!
On veut des arrowcases
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  #219  
Vieux 17/09/2015, 12h54
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
Merci pour vos retours

Je suis d'accord avec Scarletneedle sur le Spirit de Cooke qui est sympathique mais sans plus. Un bon moment de lecture néanmoins et graphiquement cela bastonne (surtout pour l’incrustation de The Spirit dans les doubles pages).

Pour ceux qui voudrait jeter un coup d'oeil, le comics de Falling skies est disponible ici.

Pour les arrowcases je laisse Doop seul détenteur de son brevet avec ses doopcases (quoi que j'en ai deux sur 3 dispo)
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  #220  
Vieux 18/09/2015, 10h18
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rik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Leerik spoutnik tutoie Stan Lee
Je me rappelle les avoir lus dans leur version semic. J'y ai pris beaucoup de plaisir. Mais j'ai l'impression que Jeph Loeb privilégie l'action au détriment des personnages.
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  #221  
Vieux 18/09/2015, 11h20
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Ce n'était pas Panini qui a publié les Spirit ?
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Vieux 18/09/2015, 12h51
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Oui chez Panini

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Vieux 18/09/2015, 13h29
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Merci pour ces critiques très instructives Arrow .
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  #224  
Vieux 18/09/2015, 14h41
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Un vrai plaisir à lire qui donne envie de lire justement...
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  #225  
Vieux 02/10/2015, 19h32
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Empire tp1 ; no mercy tp1

EMPIRE TP1 (IDW)
Mark WAID / Barry KITSON / James PASCOE
Empire (vol 1) #0 à #6




Quelques lignes sur :
C’est en lisant Empire que l’on se rend compte que Doom, Luthor, Darkseid et autre Magneto en ont une toute petite. Ils ont rêvé, Golgoth la fait : il est devenu maitre du monde. Yep une série sur un vilain qui a déjà accompli son but. Seul problème le plus dur reste à faire. C’est sur un tel pitch que Mark Waid nous sert surement un de ces plus beaux scénarios.

Plus de 10 ans après une première publication chaotique (chez feu Gorrilla) Waid et Kitson donne enfin une suite à leur creator owned de haute voltige : Empire Uprising. A cette occasion IDW ressort donc la première série en TP (en France seuls quelques épisodes ont été publiés dans un Semic Book).
Empire c’est le bien chez le mal. Waid a écrit un superbe récit qui fait la part belle à des personnages extrêmement bien travaillés et à des intrigues à tiroirs bien ficelées. Il y a de l’action, de l’espionnage, des trahisons, des exécutions, de la romance (cool j’aime cela, ayant versé hier soir ma petite larme devant nos étoiles contraires) et portant le scénariste arrive à rendre les protagonistes terriblement humains. Le récit suit plusieurs personnages à travers un fil rouge : d’où provienne les fameuses gélules qui décuplent les capacités des ministres de Golgoth. Mais comme Icare ceux qui se risquent à cette quête risque de s’y bruler les ailes.
La force du récit c’est de s’attacher à ce gouvernement de salaud (bon là on est peu dépaysé, hop c’est gratuit) et de meurtriers. On en verserait presque une larme devant le destin de Golgoth (personnage ambiguë) et les drames familiaux qui l’affectent.
Le récit est résolument adulte, ce qui en fait un atout par rapport à d’autres comics de super-slip. Bien sur Waid ne va pas aussi loin que Ennis ou un Moore auraient pu faire mais il n’hésite pas à nous montrer quelques scène de torture, de violence voire de sexe (très chaste, un peu de nudité, suggéré plutôt que démonstratif). La religion est également abordé plus comme moyen de domination vis-à-vis du pouvoir (l’eucharistie) que comme doctrine (même si il y clairement un culte autour de Golgoth qui s’est développé). Même développement autour des médias et de la manipulation des images et de l’information. C’est en cela que son récit pèche parfois car il y a une certaine retenue qui empêche l’ensemble de complètement décoller. Les personnages sont parfois plus des voyous que des dictateurs. Par contre comme Empire est un creator owned Waid et Kitson ne sont pas bridés. Pas question de statut quo mollement remis en cause, tout peut arriver et tout arrive. C’est leur bébé et ils entendent bien le mener comme bon leur semble. On va donc de surprises en surprises, les rebondissements sont nombreux ce qui en fait l’atout majeur de Empire.

Je ne suis pas un grand fan de Barry Kitson. Ici les planches sont claires mais certains personnages sont parfois difficiles à différencier. Il a également du mal à se démarquer par rapport à ces autres travaux dans le super héros. Il manque une évolution plus adulte, plus sombre, à son trait pour qu’il imprime complètement sa marque sur Empire. On a parfois l’impression qu’il ne maitrise pas complètement les personnages.

Alors on fait quoi avec :
On embauche une société de sécurité pour sa maison, on surveille avec le mauvais œil ses voisins, on se méfie de sa famille et de ses amis (si il vous en reste), en clair on devient infréquentable (enfin). Surtout on se penche très sérieusement sur la sortie VF chez Delcourt et pour les VOiste on jette un coup d’œil intéressé sur la suite, Empire Uprising actuellement en publication chez IDW.

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NO MERCY (IMAGE)
Alex DE CAMPI / Carla Speed McNEIL
No Mercy 1 à #4




Quelques lignes sur :
J’avais fait l’impasse sur cette nouvelle série Image et les bons retours de Magda et EsseJi sur le forum, couplé au petit prix d’appel du premier TP (10$) m’ont décidé à tenter l’aventure. Oui car il est bien question d’aventure avec No Mercy, pas la grande, non celle qui commence bien et qui se termine mal. Il parait que les voyages forment la jeunesse, et bien si vous sortez vivant de No Mercy vous passez à l’âge adulte directement (formation accélérée comme les futures réformes de l’enseignement en France, vous voyez le genre).

Le pitch est simple mais intrigant et surtout mine de rien assez original car peu traité : Des universitaires sont en voyage sur un projet visant à la construction d’une école dans un village pauvre d’Amérique Centrale. La dernière étape est en bus et là c’est le drame : la sortie de route. Tous les rescapés vont devoir apprendre à survivre : manque de bouffe, pas de réseau = pas de texto (trop dur la life), la froideur (et pas la Fredeur) de la nuit, des gros chat affamés amateurs de viande fraiche et bien sûr comme l’être humain est un loup pour l’homme quoi de mieux que de se mettre dessus par la même occasion. Comme il fallait également pimenter l’ensemble la scénariste Alex De Campi insère une histoire de drogue avec le cartel local et une bonne sœur qui en impose (mais elle est toute mimi).

Est-ce le récit ultime à lire à tout prix : clairement non. Passe-t-on un bon moment : clairement oui. Alex De Campi s’attache à faire évoluer des personnages bien humains, limite caricatures (on a quand même envie de distribuer quelques baffes comme bon gaulois que nous sommes) mais pas trop quand même. La situation dans laquelle sont embarqués ces insupportables étudiants gâtés pourris est assez réaliste pour que l’on y croie. Surtout que la scénariste (Achie vs Predator) n’hésite pas à en trucider quelque uns. Le récit est rythmé avec différents ressorts dramatiques assez bien vu (là encore à défaut d’être original).
Graphiquement cela pèche en peu, Carla Speed (comme le bus fou de Jan De Bon, Hell Yeah) McNeil fait le job, laissant la place au scénario mais les personnages auraient mérité d’être un peu plus fouillés, réalistes. Il y a un côté cartoony qui passe parfois très bien (on s’imagine le coyote puis bib-bib arriver..) sur certains passages (tout le début avec le bus, les textos et autres selfies ou la description de l’insupportable vegan Travis ). Mais quand le récit bascule dans l’horreur le dessin de Carla Speed McNeil convient moins.

Le TP présente les 4 premiers numéros de la série et moult frites, non bonus (les character development avec les esquisses, la vie d’une planche du scénario à la page encré et coloré, une cover color stages, et les 4 Rebel Years en textes, ainsi qu’un fac similé d’une lettre d’admission à Princeton University)). Soit du bon travail éditorial qui donne envie de revenir voir la suite et qui nous plonge un peu plus dans cette histoire pas si clichée que cela.

Alors on fait quoi avec :
On s’inscrit désormais au Club Med ou à Nouvelle Frontière qui semblent proposer des voyages sans danger (et puis marre d’aider son prochain avec du bénévolat, les margaritas sur la plage à exploiter les indigènes locaux c’est moins dangereux). On peut également se pencher sur Sheltered de Ed Brisson (3 TP , série terminée) sur un sujet assez similaire. Enfin No Mercy faisant passer un moment agréable sans être non plus révolutionnaire je conseille d’attendre la suite en TP à moins que vous ne soyez déjà accro et à ce moment-là c’est No Mercy #5 dès le mois de Décembre.
Dans un genre plus sordide vous pouvez lire Les Survivants de Piers Paul Read (le film après).
__________________
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