En septembre c'est aussi la rentrée des avis VO

[Slobo]

Champions 12
Marvel ; Scénariste Mark Waid ; Dessins Humberto Ramos ; Encreur Victor Olazaba.

Pitch :
L'équipe trouve que cyclops à un peu beaucoup un ballet dans le C... Mais après avoir arrêter le Psycho-Man en tirant sur sa boite à émotions Cyclops a un trop plein de celle-ci passant d'un état d'euphorie dangereuse à des moments de doutes qui lui font avouer ses peurs profondes à ses équipier.
Vous trouverez :
- Un cyclops touchant et humain
- Une équipe soudé
- Des gens sous emprise mental.
Vous ne trouverez pas :
- De liens à Secret Empire on dirait pas que l'équipe en sort tous juste
Avis :
Couverture - Ok pas très belle se gros plan sur Cyclops tirant sa rafale optique mais bien raccord avec ses emotions ici aussi incontrôlable que ses rafales de pure force. 1/2
Scénario - Assez sympa faut avouer. Mais la première choses qui m'embête c'est qu'on ne parle plus des événements de Secret Empire, ni deux ceux ayant jouer les remplaçant pendant 1 numéro (Ironheart, Wasp et le nouveau Patriot). La seconde choses c'est que j'ai jamais lut ça sur notre bon vieux cyclop (Enfin autant de doute et de souffrance, je comprend un peu mieux combien Jean et Emma pouvaient lui faire du bien). Et puis du coup je regrette l'absence des originals X-men car oui j'aurais plutôt vu ça sur un titre X. 2/3
Dessins - Ramos est toujours parfait pour moi à mettre du fun, a faire des scènes actives. 3/3
Sentiments - Pour moi meilleurs que Super Sons, pas loin d'égaler le fun que j'avais en lisant la Young Justice de Peter David et Todd Nauck. Une bel fin. Un titre en constante progression. 2/2
8/10

[Slobo]

Cloudia & Rex 3/3
Lion Forge ; Scénario Ulises Farinas et Erick Freitas ; Artiste Daniel Irizarri.

Pitch :
La mère de Cloudia & Rex est repartit dans le temps. Les deux fillettes elle veulent qu'elle reviennent et les dieux craignent toujours celui qui est là pour les exterminer et se pensent perdu.
Vous verrez :
- Des dieux un peu à la ramasse
- Une belle famille
Avis :
Couverture - J'aime beaucoup la couverture qui n'a pas de liens avec ce qui se passe à l'intérieur. 1/2
Scénario - J'ai pas compris pour quoi la mère partait dans le passé. Si c'est pour changer les choses, c'est rater. Si c'est pour faire son présent, pourquoi faire certaine scène sans impact. Si c'est pour encrer les dieux, c'est encore rater. La fin est un peu à l'image de cette mini pas terrible et facile. Dommage encore une fois car je pense qu'il y avait des choses intéressante dans le premier. 0/3
Dessins - Pas mauvais mais vraiment pas mon style graphique et ça n'aide pas du tout à se mettre dedans. 1/3
Sentiments - D'avoir un peu perdu mon argent sur ce truc. 0/2
2/10

[Slobo]

Doom Patrol 8
Dc Young Animal ; Scénario Gerald Way ; Dessin Nick Derington ; encrage Tom Fowler.

Pitch :
Alors que Keeg (L'alien de la dimension négative lier à Trenor) tente d'aider Dany the Land à retrouver la forme, Casey elle rencontre Lotion devenu humanoïde. De plus Casey va pas être emballer d'être obliger à déménager au sein de Dany pour l'aider.
Vous verrez :
- Que Kreeg est un bon scientifique.
- Que Lotion est attachant
- Que Casey et Flex Mentallo ont des choses en commun.
- Une séance de spiritisme.
Vous ne verrez pas :
- Beaucoup d'action
Avis :
Couverture - Le problème des variants c'est de pas les voir à lors des sollicitations. Du coup j'aurais préférer la normal. 1/2
Scénario - Toujours marrant même si le coté sur l'ado rebel qui veut réussir à invoquer des démons me plaisent moins. Et j'ai rien capter à la fin (D'où ils viennent ceux là). 2/3
Dessins - Le point fort de cette série qui rend ses personnages si attachant. Un petit raté sur le lotion en mode Puss in Bots. 3/3
Sentiments - Sympa sans plus et vu l'attente on en attendait plus. Allez va falloir vous bouger parce que Mother Panic à l'air d'être arrêter. Pas sur que les autres titres soit en meilleurs position, même Bug n'est pas terriblement placé dans les listing. 1/2
7/10

[Slobo]

The Generation : The Iron (Iron-Man / Ironheart) 1
Marvel ; Scénario Brian Michael Bendis ; Dessin Marcus Rudy; Artist Szymon Kudranski et Nico Leon ; Encrage Will Sliney et Scott Koblish.

Pitch :
Ironheart a un problème lorsque tombant en chute libre son armure ne répond plus. Mais elle arrive à s'en sortir et se rend vite compte qu'elle n'est plus dans le présent. Rêve, crise de nerf qui la fait halluciner ou réalité ?
Vous verrez :
- Une équipe de vengeur du futur (La combientième ?) qui sert à rien
- Que Bendis se fou comme de sa première chaussette des autres future marvel écrit de ci de là. Autant en rajouter un et se faire plaisir. Etonnant venant de lui, non ?!
- Que Ironheart ne sert à rien
Vous ne verrez pas :
- Iron-Man. Vous verrez Tony stark, ça oui mais pas un pet d'Iron Man.
Avis :
Couverture - Ah je préfère cette couv à celle de Coipel est ça tombe bien cette fois c'est celle-ci la variant 2/2
Scénario - Oui pourquoi pas. Y'a de bonne vanne. Et puis c'est pas mal le coup de stark lui disant que son trip dans le passé de Camelott c'était pour se remettre en question et donc faire le lien avec se trip. Bien que pas certain que Riri est le besoin de se trouver une motivation, me semblait qu'elle en avait déjà assez. Ainsi que le fait que Riri elle ne croit pas une seconde vivre se qu'elle vit, mais en même temps à envie de rester. Par contre niveau ennemi et combat, c'est plus que mou du genou (Mais logique). 2/3
Dessins - Bon si je suis pas fan de se mode peinture faut reconnaitre qu'il y a de belle planche (Y'en a aussi des moins bonnes avec de jolie gros plan sur une bande prenant la page pour un décors fait que de couleur. Mais merde alors quand en voit les détail au moment ou stark parle des fleur alienne ... 2/3
Sentiment - De m'être fait avoir (Mais bon Bendis), et pas certain que ça va avoir un vrai impact sur la série. Et ha oui un possible destin mystérieux et forcément pas bon pour Riri. Qu'on est étonné. Pour l'instant sur 2 Generation pas convaincu du tout. Pis maintenant que nous on sait comment et par qui il ont été envoyé dans le temps c'est un peu con que les perso eux capte pas (Genre Riri qui se rappel plus de quand ça s'est passé. C'est sur un cap hydra prenant le pouvoir avant de se faire moucher par le cap classique ça arrive tout les jour, même le dimanche).0/2
6/10

[Slobo]

Justice League 28
Marvel ;Scénariste Brian Hitch ; Dessin Fernando Pasarin ; Encreur Batt.

Pitch :
Chacun des membres de la ligue fait le point avec les jeunes qui leur sont lier. Superman, Lois, Jon & Hunter passe une soirée ensemble. Dori et Mera parcourt les océans. Flash et Cruiser font la course, là ou Jessica garde les jumeaux endormis. Et Cyborg et son père font le points sur les améliorations dont est fait Cube. Pendant ce temps Wonder Woman doute d'elle-même.
Vous verrez :
- De beaux moments en famille
- Wonder Woman fragilisé
- Simon Baz seul à aider l'armée à faire le ménage.
Vous ne verrez pas :
- Ni Batman
- Ni Curi
Avis :
Couverture - J'aime vraiment cette couv parfaite et au moins je peux pas dire comme pour la normale qu'elle ment sur l'intérieur. Là c'est juste une image de la ligue actuelle. 2/2
Scénario - Très touchant. J'adore c'est nouveau personnage et j'ai pas envie de les laisser repartir. Enfin un scénario de Hitch ou je ne peux pas remplacer les membres de la Justice League par ceux d'Autority. 3/3
Dessins - Passarin rend une très belle copie, pas parfaite, mais vraiment pas loin. Un sourire s'est dessiner pendant ma lecture et en passant en les pages en revu pour cet avis. 2/3
Sentiment - Pour l'instant le meilleur arc de la Justice League. Putain de Cliffanger 2/2
9/10

[Slobo]

Superman 30
DC ; Scénariste Keith Champagne ; Art Ed Benes, Tyler Kirkham & Philip Tan.

Pitch :
Parallax se pense en mesure de vaincre Sinestro maintenant qu'il est dans le corps de Superman. Cependant il a oublier que Sinestro est malin et qu'il a toujours un plan. Même si ce dernier le mène à se surmener pour attraper l'entité de la peur qui ne désire plus être son esclave.
Vous verrez :
- Le retour des Weaponners de Qward
- Que Sinestro n'est pas si malin
- Un parallax surprenant.
- Un discours de Superman, avec un grand S.
- Les peur profonde de l'homme d'acier.
Avis :
Couverture - Une couverture qui fait écho à l'intérieur et qui est bien belle, qui montre bien l'équilibre des forces. 2/2
Scénario - J'ai aimé de bout en bout cette seconde partie de ce qui aurait pu se lire dans la dernière version du titre Sinestro. Bon bien entendu Tomasi de ramener ce dernier à un rôle de méchant, limite ça m'a un peu énerver vu les progrès de ce personnage. On dirait même que certain truc on été zappé/oublié. 3/3
Dessins - Malgré 3 dessinateurs, je le ressent pas y'a une belle unité graphique pour un numéro qui de se coté aussi m'a grandement emballer. 3/3
Sentiment - Encore un bon arc pour Tomasi. J'ai trouvé ça très malin et plutôt juste. Et une fin très touchante. Le salopard réussit même à me dire qu'il va falloir que j'achète Hal Jordan & the Green Lantern 30-31. 2/2
10/10

[Ben Wawe]

Aujourd’hui, je me suis lancé, avide, sur ce Mister Miracle #2, après mon avis si positif sur le premier.
Toujours par Tom King et Mitch Gerads, donc. Le début de la guerre New Genesis/Apokolips après la mort (?) de Highfather, le trouble intense de Mister Miracle et son impression que la Réalité se dérobe, qu’il lie à sa récente tentative de suicide (se défier d’échapper à la Mort pour échapper à l’ennui et, surtout, à la pression d’être le fils légitime de Highfather, sacrifié pour être élevé par Darkseid pour une paix impossible) - mais qui pourrait sûrement venir de son ennemi.
Après ma lecture, l’avis est toujours positif - mais pour d’autres raisons.

Si le #1 était surprenant, troublant, intriguant, excitant, l’impact du #2 est moindre (moins d’effet de surprise) ; et, surtout, ce numéro se concentre encore sur l’intimité de Scott (et un peu de Barda, aussi), tout en l’intégrant à la grande guerre. Ici, c’est bien le rapport de Scott à ses camarades New Gods qui est interrogé, sa place dans ce monde, dans cet affrontement.
Lui, le fils de New Genesis élevé sur Apokolips - lui, l’héritier de Highfather dressé par Darkseid et ses sbires. De quel côté est-il ? Chez qui se reconnaît-il ? Au final, même si on a été élevé par de “mauvaises” personnes, ne les aime-t-on pas plus, naturellement, que les “bonnes” qui nous ont abandonnées ? Et son opposé, celui qui a subi le même traitement mais a mieux hérité au change, que faire quand celui-ci vous éclabousse de son arrogance… et prend votre place ?
Tom King pose ces questions de manière directe, mais joue habilement sur l’interprétation de la Réalité, voir la folie de Scott (on peut s’interroger, en effet, s’il n’est tout simplement pas devenu dément). C’est intéressant, encore, car l’ampleur de la mythologie créée par Kirby pourrait penser qu’on filerait vers une narration basée sur l’ampleur de l’affrontement, mais l’auteur choisit encore l’intimité - et ça fonctionne.

Tom King pose de très intéressantes questions, ici, tout en travaillant une ambiance âpre, aride, sale, désespérée et même désespérante ; on sent que rien de bon ne peut sortir de tout ça, que tout est trop corrompu et dégueulasse.
Les dessins étant au diapason, avec néanmoins une atmosphère plus “uniforme” que le #1 qui allait un peu partout, tout fonctionne toujours - et donne envie de lire la suite, même si la puissance du premier y est un peu moins.

Toujours surprenant (je ne m’attendais pas à une telle interrogation sur/dans Scott), troublant (les questions posées sont bonnes, les réponses difficiles), intriguant (je pensais que King embrayerait sur l’impact montant de Darkseid, non), excitant (car j’ai hâte de lire le prochain)… oui, vivement la suite, encore !

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Aujourd’hui, je me suis lancé, avide, sur ce Mister Miracle #2, après mon avis si positif sur le premier. Toujours par Tom King et Mitch Gerads, donc. Le début de la guerre New Genesis/Apokolips après la mort (?) de Highfather, le trouble intense de Mister Miracle et son impression que la Réalité se dérobe, qu’il lie à sa récente tentative de suicide (se défier d’échapper à la Mort pour échapper à l’ennui et, surtout, à la pression d’être le fils légitime de Highfather, sacrifié pour être élevé par Darkseid pour une paix impossible) - mais qui pourrait sûrement venir de son ennemi. Après ma lecture, l’avis est toujours positif - mais pour d’autres raisons. Si le #1 était surprenant, troublant, intriguant, excitant, l’impact du #2 est moindre (moins d’effet de surprise) ; et, surtout, ce numéro se concentre encore sur l’intimité de Scott (et un peu de Barda, aussi), tout en l’intégrant à la grande guerre. Ici, c’est bien le rapport de Scott à ses camarades New Gods qui est interrogé, sa place dans ce monde, dans cet affrontement. Lui, le fils de New Genesis élevé sur Apokolips - lui, l’héritier de Highfather dressé par Darkseid et ses sbires. De quel côté est-il ? Chez qui se reconnaît-il ? Au final, même si on a été élevé par de “mauvaises” personnes, ne les aime-t-on pas plus, naturellement, que les “bonnes” qui nous ont abandonnées ? Et son opposé, celui qui a subi le même traitement mais a mieux hérité au change, que faire quand celui-ci vous éclabousse de son arrogance… et prend votre place ? Tom King pose ces questions de manière directe, mais joue habilement sur l’interprétation de la Réalité, voir la folie de Scott (on peut s’interroger, en effet, s’il n’est tout simplement pas devenu dément). C’est intéressant, encore, car l’ampleur de la mythologie créée par Kirby pourrait penser qu’on filerait vers une narration basée sur l’ampleur de l’affrontement, mais l’auteur choisit encore l’intimité - et ça fonctionne. Tom King pose de très intéressantes questions, ici, tout en travaillant une ambiance âpre, aride, sale, désespérée et même désespérante ; on sent que rien de bon ne peut sortir de tout ça, que tout est trop corrompu et dégueulasse. Les dessins étant au diapason, avec néanmoins une atmosphère plus “uniforme” que le #1 qui allait un peu partout, tout fonctionne toujours - et donne envie de lire la suite, même si la puissance du premier y est un peu moins. Toujours surprenant (je ne m’attendais pas à une telle interrogation sur/dans Scott), troublant (les questions posées sont bonnes, les réponses difficiles), intriguant (je pensais que King embrayerait sur l’impact montant de Darkseid, non), excitant (car j’ai hâte de lire le prochain)… oui, vivement la suite, encore !

Je tente le #2. Je ferais un retour.

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Aujourd’hui, je me suis lancé, avide, sur ce Mister Miracle #2, après mon avis si positif sur le premier. Toujours par Tom King et Mitch Gerads, donc. Le début de la guerre New Genesis/Apokolips après la mort (?) de Highfather, le trouble intense de Mister Miracle et son impression que la Réalité se dérobe, qu’il lie à sa récente tentative de suicide (se défier d’échapper à la Mort pour échapper à l’ennui et, surtout, à la pression d’être le fils légitime de Highfather, sacrifié pour être élevé par Darkseid pour une paix impossible) - mais qui pourrait sûrement venir de son ennemi. Après ma lecture, l’avis est toujours positif - mais pour d’autres raisons. Si le #1 était surprenant, troublant, intriguant, excitant, l’impact du #2 est moindre (moins d’effet de surprise) ; et, surtout, ce numéro se concentre encore sur l’intimité de Scott (et un peu de Barda, aussi), tout en l’intégrant à la grande guerre. Ici, c’est bien le rapport de Scott à ses camarades New Gods qui est interrogé, sa place dans ce monde, dans cet affrontement. Lui, le fils de New Genesis élevé sur Apokolips - lui, l’héritier de Highfather dressé par Darkseid et ses sbires. De quel côté est-il ? Chez qui se reconnaît-il ? Au final, même si on a été élevé par de “mauvaises” personnes, ne les aime-t-on pas plus, naturellement, que les “bonnes” qui nous ont abandonnées ? Et son opposé, celui qui a subi le même traitement mais a mieux hérité au change, que faire quand celui-ci vous éclabousse de son arrogance… et prend votre place ? Tom King pose ces questions de manière directe, mais joue habilement sur l’interprétation de la Réalité, voir la folie de Scott (on peut s’interroger, en effet, s’il n’est tout simplement pas devenu dément). C’est intéressant, encore, car l’ampleur de la mythologie créée par Kirby pourrait penser qu’on filerait vers une narration basée sur l’ampleur de l’affrontement, mais l’auteur choisit encore l’intimité - et ça fonctionne. Tom King pose de très intéressantes questions, ici, tout en travaillant une ambiance âpre, aride, sale, désespérée et même désespérante ; on sent que rien de bon ne peut sortir de tout ça, que tout est trop corrompu et dégueulasse. Les dessins étant au diapason, avec néanmoins une atmosphère plus “uniforme” que le #1 qui allait un peu partout, tout fonctionne toujours - et donne envie de lire la suite, même si la puissance du premier y est un peu moins. Toujours surprenant (je ne m’attendais pas à une telle interrogation sur/dans Scott), troublant (les questions posées sont bonnes, les réponses difficiles), intriguant (je pensais que King embrayerait sur l’impact montant de Darkseid, non), excitant (car j’ai hâte de lire le prochain)… oui, vivement la suite, encore !

Lu.

Et comme pour Vision #2 je reconnais que c'est une bonne lecture, que Tom King a une écriture et des idées intéressantes mais cela ne me parle pas plus que cela. En fait je ne vois où il veut en venir, la cassure avec le premier numéro étant trop brutale. Et puis comme pour le premier numéro je n'arrive pas à m'immerger dans l'univers décrit la faute à une parachutage de la série sans trop savoir ce que l'on doit connaitre, savoir, déduire .... Quelles sont les prérequis pour apprécier la série ? Il y a clairement quelque chose qui me manque. Et puis cela reste trop vite lu, la faute au fameux effet gaufrier qui n'est que du remplissage et du vide. Franchement effet raté (on peut évoquer le côté solitude e mais perso j'y vois un manque d'idée et un rendez vous raté avec la possibilité de construire un véritable background). D'ailleurs le côté vide se retrouve également dans la pauvreté des décors et protagonistes. Il reste quelques passages bien marquant, surtout à cause des dialogues devenu désormais la marque des grands comics incontournables (au détriment du scénario) et quelques situations intéressantes (les deux confrontations avec Orion puis Granny Goodness).
Enfin je renouvelle mes doutes quand à certains choix graphiques peu heureux de Mitch Gerald. Rien que sur la première planche je n'ai pas compris où était la tête de la créature (j'ai du m'y reprendre à plusieurs fois). Attention , trop d'effet de style tue les effets de style et tout simplement la narration.

Comics intéressant mais loin d'être la tuerie annoncée partout, où alors il faut aussi savoir reconnaitre que le niveau de nos futurs standards a bien baissé.

Mais c'est loin d'être mauvais. Je prendrais le #3 car j'ai quand même passé un bon moment.

[Fred le mallrat]

Oui moi aussi j aime bien mais pour l instant on est pas dans al tuerie annoncée mais ca reste une reecriture sympa.. et puis franchement c est le comics que je préfère de Tom King pour l instant (peut etre avec vision)

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par Fred le mallrat
	Oui moi aussi j aime bien mais pour l instant on est pas dans al tuerie annoncée mais ca reste une reecriture sympa.. et puis franchement c est le comics que je préfère de Tom King pour l instant (peut etre avec vision)

Perso je cherche encore mon Tom King préféré.

Mon expérience de lecture de Mister Miracle (deux numéros pour l'instant) est comparable à celle de Vision (je ne suis pas allé plus loin que le #2 malgré des qualités indéniables, rien que graphiquement) mais que je trouve également dans Batman (je n'ai pas aimé le premier arc I'm Gotham pour à peu prêt les mêmes raisons : trop vite, manque de background solide, moment clé baclé ...)

[Fred le mallrat]

Oui mais alors dans Batman l arc sur bane m a paru trop punisherien dans le masochisme... j ai pas du tout aimé le cross sur les monstres et là la guerre joker/riddle... ca me fait penser à Year Zero et je suis pas fan.
Personne n arrive à me faire prendre vraiment le riddler au serieux à un tel niveau de menace...

[Ben Wawe]

Et bien, et bien... très surprenant, ce Dark Nights : Metal #2.
Surprenant, car complètement fou, en fait. Si Snyder m'avait plu sur un #1 intriguant, ambitieux mais qui englobait énormément de choses de l'univers DC, beaucoup oubliées, certaines mises de côté ; mais là, c'est bien différent.
Là, Snyder fait littéralement feu de tout bois, en tirant dans tous les côtés : c'est un festival d'apparitions surprenantes, d'évocations d'éléments qu'on pensait zappés par le New52 ou trop polémiques à réutiliser (Final Crisis et Return of the Bruce Wayne, ce n'est pas ce que les successeurs de Morrison ont assumé le plus aisément sur la franchise).
L'auteur, certainement conscient que toucher à tout ça, raviver des éléments abandonnés, créer des liens entre des concepts funs mais qu'on ne voyait pas forcément ensemble... et ben, c'est diablement ambitieux, et complètement casse-gueule. Et, donc, Snyder décide d'y aller quand même : pas de timidité, pas d'hésitation - Snyder se lance dans son intrigue, tirant dans tous les côtés ; il risque peut-être de se planter, mais en tout cas il fonce et il ne s'empêche rien !
En soi, déjà, c'est respectable, car au moins Snyder tente le tout pour le tout et se veut, vraiment, généreux dans son histoire, ses idées et ses rapprochements. Il est, en plus, bien assisté par un Capullo en forme, et la lecture, dynamique, a un aspect presque jubilatoire dans la folie de l'accumulation d'idées WTF dans ce numéro ; les pages se lisent vite et bien, et j'ai clairement envie de lire la suite.

Après...
Après, même si c'est fun, même si c'est dément dans l'addition constante des idées, même si c'est jubilatoire dans l'accélération, c'est loin d'être parfait.
D'une part, il va quand même falloir que Snyder ait un sacré plan pour réussir à faire tenir tout cet ensemble d'idées hétéroclites. De l'autre, il va aussi devoir sortir de la fan-fic qu'il est en train de dérouler, car il peut très vite arriver à l'impression que l'auteur s'amuse, comme un gosse avec ses figurines, à tout mélanger ; fun, mais vraiment casse-gueule. Et s'il n'a pas de plan vraiment solide, l'effet retombera très vite, et très bas, et ce sera vraiment dommage d'avoir ravivé tous ces personnages et toutes ces idées pour pas grand-chose...
De même, il faudra aussi ouvrir sur autre chose que Barbatos

(le dieu noir qui a poursuivi Batman dans Return of Bruce Wayne au fil de ses bonds temporels, serait donc le méchant ici, manipulant dans l'ombre Bruce et les siens pour faire du héros le portail entre le monde et le Dark Multiverse, via l'addition dans son corps de métaux permettant ce passage)

et ses troupes (des versions maléfiques de Batman : Bat-Aquawoman, Bat-Flash, Bat-Joker, Bat-Doomsday, Bat-Cyborg, Bat-Green Lantern), pour éviter que la sensation de reprise soit trop forte (Xavier Fournier, sur Comic Box, parlait de Judge Death et de ses copains, c'est exactement ça).

En soi, la lecture est fun et jubilatoire dans la folie qui parcourt les pages - mais gare à la suite.
Un tel rythme, une telle proposition exigent un plan ultra-solide et bien fichu, avec un début très fort (là c'est bon), mais aussi un milieu et une fin très forts également ; or, si Snyder n'a jamais été mauvais, il n'a jamais pleinement réussi à tenir sur le début, le milieu et la fin de ses intrigues jusque-là (la fin, souvent, pèche grandement).
A voir, donc. Pour l'instant, c'est énorme, complètement fou et agréable ; mais le plus dur arrive, et je reste prudent car, à taper si fort, va vraiment falloir assurer comme jamais...

[Ben Wawe]

28e numéro pour Hal Jordan & the Green Lantern Corps, la relance de la majorité des personnages de la franchise par Robert Venditti, déjà à l'oeuvre depuis quelques temps déjà, et qui semble avoir, enfin, trouvé la voie à suivre, et la voix des personnages (il faut dire que la décision de DC de faire de Hal Jordan un hors-la-loi avec un gant Lantern et un look à la Star-Lord était loin d'être bonne) ; et 3e numéro de la saga sur les New Gods, après Godhead qui ne m'a pas convaincu.

Bon, en soi, Venditti prouve encore que les New Gods ne sont pas sa spécialité - ledit Godhead n'était pas bon, les versions New52 des New Gods sonnent faux et creux, et sont malheureusement reprises ici. Les deux premiers numéros de cette saga montraient l'arrivée brutale d'Orion chez les Lanterns, étaient basiques mais efficaces ; là, Venditti meuble clairement dans ce #28 - et ça rendrait l'épisode naze si l'auteur ne parvenait pas à se détacher de son intrigue qui ne décolle pas (des géants de Nth Metal poursuivent les New Gods pour les tuer, soit) pour offrir un moment d'émotion.

Pour simplifier, Lightray file aussi vite qu'il peut avec Highfather (non pas l'équivalent physique et moral de Moïse, mais un général brun et sévère, autoritaire) pour échapper aux ennemis ; les Lanterns doivent le retrouver et envoient Hal, qui n'arrive pas initialement à rattraper le New God le plus rapide... mais finit, surtout, par croiser une des énergies des géants, et a alors une vision - de son père.
Venditti, par ce procédé encore inconnu et un peu bateau, parvient néanmoins à faire oublier le vide de l'intrigue (elle n'avance pas) et cette justification clichée par un vrai, beau moment entre Hal et son père.
Là, l'auteur parvient à démontrer qu'il sait qui est Hal Jordan, et d'où vient son caractère. Cela fonctionne vraiment bien, c'est un passage de vraie émotion, où Venditti maîtrise clairement l'essence du héros, et cela permet d'oublier les défauts d'un épisode bien dessiné mais qui ne fait rien avancer.

Un beau moment, donc, mais qui n'est que ça, et où l'intrigue stagne.
Soit, Venditti livre une belle caractérisation et on peut lui pardonner cette décompression pour la qualité de cette relation ; mais il va falloir reprendre, vite, l'intrigue pour la consolider. Venditti a ici l'occasion de rattraper Godhead, et de continuer la bonne reconstruction du Green Lantern Corps (en soi, un titre bien plus légitime pour la série).
Je suis curieux de lire la suite, mais exigeant après cette pause imposée !

[Slobo]

Merci de tes avis intéressant Ben. Voilà ma dose de la semaine attention va y avoir du post ^^

All New Wolverine 24
Marvel ; Scénariste Tom Taylor ; Artist Leonard Kirk

Pitch :
Laura, Gamora et Star-Lord doivent fuir. Mais lorsque Rocket suggère de faire péter la lune, Laura n'est pas d'accord pour laisser Gaby (Même en reine Brood) en arrière. Comme il faut quelqu'un pour ouvrir la voit à ceux qui vont fuir (Et que Rocket va être occuper à faire sa bombe) Laura se porte volontaire. Et même s'il lui disent de pas faire de bêtises on sent bien qu'elle va tout faire pour sauver Gabby.
Vous trouverez :
- Que tout ça vient de l'erreur d'un scientifique.
Avis :
Couverture - Bon pas terrible mais en même temps c'est pas pire que la variant. 1/2
Scénario - Alors j'ai pas compris comment après deux super numéro Taylor pouvait ne pas nous faire une super fin. Le soufflet retombe et c'est bien la première fois. J'ai trouvé ça un peu court, un peu facile. Bon la fin (Du scientifique est marrante) et puis surtout

Jonathan peut parler désormais.

2/3
Dessins - Et bien là aussi un peu déçu par Kirk, j'ignore s'il n'était pas emballer par ce numéro où s'il commence à fatigué mais trouvé ce numéro nettement moins bon. Y'a tout de même de bonnes cases 2/3
Sentiment - Un peu déçu je dois avouer. La fin ma laisser un arrière gout amère. Mais en même temps c'est assez logique. 0/2
5/10