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J'avais vu ce film quand j'étais môme et il m'avait super impressionné. Introuvable en France en dvd je me suis rabattu sur l'édition américaine avec une VOST... |
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Et le réa Ralph Nelson !!!! The wrath of god avc Mitchum et pour toi westernophile, j'espère que tu as vu Soldier blue un des trop rares western pro-Amérindien, sinon files dans ta chambre!
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Si ayant frappé ton prochain sur une joue, il te tend l'autre, frappe le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin ! Cavanna |
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Yep ! et La Bataille de la Vallée du Diable avec Sidney Poitier et James Garner de Ralph Nelson aussi. Trés bonne série B...
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Merci pour l'info, les aminches, je vais essayer de me chopper ce film. Je me dis que Daniel Keyes est décidément un écrivain passionnant, avec sa manière de s'intéresser au cerveau et aux conséquences de ses dysfonctionnements sur le comportement humain. Va falloir que je m'achète Milligan Wars, j'ai l'impression.
En attendant, je découvre Donald Westlake. |
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Tu lis du Parker ?
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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Nope, j'ai commencé par Dortmunder. Très frais, léger, drôle, tout en restant cohérent et bien écrit. Je n'ai lu qu'une grosse centaine de pages de Bonne conduite, mais ça me plaît déjà.
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Après avoir fini un recueil de nouvelles de Romain Gary "l'orage" qui sentait un peu trop fort le post colonialisme mais je lui pardonne mon amour pour lui est en adamantium, j'ai commencé à la fois "The snapper", mon premier Roddy Doyle, vraiment sympa, attachant, à 90% composé de dialogues et "La découverte du virus du sida" sur les dessous de l'affaire Gallo/Montagnier où comment ses salopes d'américains ont essayé de nous piquer notre hiv à nous. L'affaire est connue, sanctionnée même par le dernier prix nobel, mais la remise en contexte est passionnante.
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Ayé, j'ai fini Bonne conduite de Donald Westlake. Que du bon dans cette histoire invraisemblable de sauvetage d'une nonne par un loser magnifique, mâtiné d'un cambriolage rocambolesque. Le style est leste, farci d'humour et de rebondissements malins, les personnages tous très attachants, on ne s'ennuie pas un seul instant. Je crois que je vais creuser un peu la bibliographie du bonhomme.
En attendant, je suis passé à toute autre chose, avec Slaughtermatic de Steve Aylett. |
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Enjoy.
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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très content de ma lecture de Glu d'Irvine Welsh. laborieux au départ sa dernière partie située dans les années 90, comme trainspotting, est assez fulgurante dans son genre. il y a de très beaux moments de littérature distillé par les persos de welsh.
j'ai envie de lire du percival everett là, quand j'aurais de quoi.
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johnkeats.space-blogs.com |
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Tiens, aujourd'hui, j'ai fini justement le Glu de Welsh.
Et encore une fois, c'est excellent. Par contre, oui, début un poil laborieux. Je crois que c'est surtout du à sa tentative d'écrire à la troisième personne dans un style bien écrit. Après, dès qu'il repasse en mode subjectif, ça repart direct. Il est d'ailleurs amusant de constater que toute la dernière partie est à nouveau écrite à la troisième personne, mais là, Welsh, affranchis de la contrainte qu'il semblait s'être infligé au début, nous fait un truc dans la lignée du reste du bouquin. Vraiment bien aimé. Plus que Porno même, qui subissait quelques longueurs que l'on ne trouve pas ici.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Après 4 semaines, je viens de finir les 4 tomes du Livre de Cendres de Mary Gentle chez Folio SF.
De quoi s'agit t'il ? Du récit de la vie d'une capitaine de compagnie de mercenaire nommée Cendres, et en parallèle du récit via quelques échanges emails, de la redécouverte de l'histoire de cette mercenaire par un universitaire et son éditrice, qui vont se rendre compte au fur à mesure de la progression de leurs travaux que l'Histoire de Cendres s'éloigne de plus en plus de l'Histoire officielle, avec notamment une invasion de l'Europe dont on ne conserve aucune trace, mais qui va profondément affecter la vie de Cendres. Cette structure est très efficace : le récit de la vie de Cendres et de sa compagnie de mercenaires est très intéressant, avec une description approfondie de la vie militaire au XVème siècle et une lutte difficile contre un ennemi qui semble invincible, tandis que le mystère des divergences avec l'histoire officiel et l'énigme qui en découle dans le présent ajoutent une tension supplémentaire. Reste 4 tomes oscillant entre 500 et 750 pages et un récit plein de descriptions de la vie militaire médiévale, qui pourront en rebuter certains.
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Rétrospective Captain Marcel sur mon blog Marcel Duo : Le Sage et l'Impétueux : Sergent Marcel et Adam Space contre ... Djokessada ?!?, avec Tandhruil. Sergent Marcel : Rapports non protégés : une BD cosmique avec Satanispunkrocker Mes gros sabots sont sur Twitter : https://twitter.com/Caducite |
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Alors qu'au début, c'était pas gagné cette dernière partie.
J'avoue que le on secoue tout ce qui a été fait depuis le début du livre m'a fait un drôle d'effet. Billy qui n'apparait presque pas, Gally on passe sur son cas pour ne pas spoiler mais bon voilà, il ne reste que Terry et Carl. Et encore Terry passe à la troisième personne, seul Carl reste en mode subjectif dans la narration. Et surtout, l'arrivée de plusieurs personnages qui déboules d'un coup et prennent beaucoup de place. Ça plus la fin du mode subjectif (que j'adore, c'est vraiment un truc que Welsh maitrise à fond, il sait vraiment donner un façon de pensée qui différencie chaque perso), ça chamboule tout. Et pourtant, bam, ça te percute toujours aussi fort, et ça accroche. Et ouais, cette façon de passer d'un perso à l'autre donne au texte un dynamisme fou. Ce livre m'a fait l'effet d'un train qui prendrait de plus en plus de vitesse. Et plus ça va, moins il est possible d'en descendre.
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Sinon je vais consacrer mon été à une relecture de pas mal de romans pour me décider sur mon sujet de maîtrise. Et je m'amuse à lire Moby Dick en 3 versions différentes (deux françaises et une anglaise dépourvue d'appareils critiques). Love my life.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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