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#1
26/08/2008, 09h25
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Crit . Doopiennes semaine 75 : Numéro anniversaire !(nightwing,thor,x-factor,hulk etc
Critiques Doopiennes semaine 75
NIGHTWING : THE LOST YEAR TPB  Contient le NIGHTWING ANNUAL #1 et NIGHTWING #133-137 (Andreyko-Wolfman / Bennett-Igle-Bosco) Je ne reviens pas sur le NIGHTWING ANNUAL que j’ai déjà chroniqué précédemment, en revanche, je vais m’attarder sur la suite du run de MARV WOLFMAN dans la série régulière. Il faut dire que depuis INFINITE CRISIS , NIGHTWING est devenu un petit peu une série fourre-tout, sans aucune direction et sans attache au BAT-UNIVERSE. C’est BRUCE JONES qui avait initialisé ces changement, re-localisant notre héros à NEW YORK et le coupant de toute son histoire, dans un run totalement catastrophique et sans aucun liant. Le mal était fait, il fallait redonner au personnage et surtout à la série un semblant de direction, tout en le gardant loin de ses bases. DC appelle donc le vétéran MARV WOLFMAN pour redonner un semblant de cohérence, mais comme l’idée de base est totalement idiote, il devient difficile de faire quelques chose de bien. WOLFMAN a donc tenté d’introduire de nouveaux personnages, de créer de nouveaux vilains et est en fait arrivé a redresser un peu la barre, même si c’est très loin d’être flamboyant. D’une série très médiocre, il en a fait une série à peine moyenne, plombée par le changement incessant de dessinateurs assez moyens pour la plupart (excepté une apparition de JURGENS). Je ne comprends pas ce qui est passé par la tête des éditeurs, pur saborder une série, on ne peut décidément pas faire mieux ! Le pire, c’est que DICK GRAYSON est depuis devenu un carnassier sexuel, sautant sur tout ce qui bouge et qui a une grosse poitrine, alors qu’avant 52, il était censé s’être stabilisé et se marier avec BARBARA GORDON. Son changement d’attitude est trop soudain, et malgré les explications laborieuses d’ANDREYKO dans l’ANNUAL #1, c’est complètement à côté de la plaque. WOLFMAN se retrouve donc avec une nouvelle mission : à savoir devoir justifier le comportement sexuel de son personnage et son incapacité à se stabiliser. Difficile quand on n’a pas accès aux personnages du BAT UNIVERSE. Il va donc utiliser un moyen pas vraiment original et pas terriblement jouissif pour les lecteurs ; la fameuse RETCON, qui consiste a essayer d’intégrer dans le passé du personnage de nouveaux éléments sans que cela gêne la continuité. C’est souvent très superficiel, et WOLFMAN n’arrive pas à éviter l’écueil du personnage qui tombe comme un cheveu sur la soupe, à savoir la torride et dangereuse LIU, premier amour de NIGHTWING dans le sens où c’est elle qui va faire de lui « un homme » lorsqu’il avait 17 ans et qu’il avait décidé de s’émanciper de la tutelle de BATMAN. En fait, le jeune DICK (encore ROBIN) est pris dans les mailles du filet tendu par cette jeune demoiselle et son amant METAL EDDIE qui veulent se servir de lui pour accéder à WAYNE ENTERPRISES. GRAYSON tombe dans le panneau et se laisse berner par les charmes de la jeune femme pendant une année. Il s’apercevra ensuite (lorsqu’il trouvera LIU et EDDIE au lit ensemble) qu’il a été utilisé et enverra le dernier en prison. Cette histoire est censée nous expliquer que ce premier amour de jeunesse qui a mal fini l’a tellement marqué que depuis, il n’ose plus se stabiliser avec aucune autre femme, en particulier KORY et BABS. Cela ne marche pas vraiment, le personnage de LIU et les attaches sentimentales du héros envers cette dernière arrivant trop rapidement. Cette retcon est donc initiée par le retour de LIU et EDDIE dans la vie de DICK GRAYSON, qui se doute bien que les deux escrocs vont encore essayer de le manipuler. Cette fois ci, il ne tombera pas dans la piège, aidé par le nouveau VIGILANT. Autant le dire, c’est assez faiblard au niveau du scénario, même si cela tient la route d’un épisode sur l’autre. Il faut dire aussi que JAMAL EAGLE, qui rend une copie assez correcte sur les deux premiers épisodes est remplacé par Jon BOSCO, que je ne connaissais pas et qui a un style très différent de celui du précédent dessinateur, il n’arrive pas à maintenir la cohésion graphique et on a du mal a reconnaître les personnages d’un épisode à l’autre. Il faut dire que BOSCO n’a qu’une seule manière de dessiner les têtes de ses persos, et qu’il n’est certainement pas encore assez solide pour assurer une série régulière. C’est donc assez décevant sur ce coup là en dépit des splendides couvertures de RYAN SOOK . Pour l’instant, NIGHTWING est complètement perdu, vite, il faut faire revenir la personnage à GOTHAM (ou BLUDHAVEN ) et stabiliser une équipe artistique. Certainement la plus mauvaise période de la série depuis le début, ce qui m’ennuie beaucoup, NIGHTWING étant l’un de mes personnages préférés.  et demiDessins : et demiWORLD WAR HULK HORS SERIE 2 Contient  World War Hulk Frontline #4-5-6 (Jenkins / Bachs) Suite et fin des aventures de Sally et de Ben Urich et de leur nouveau journal qui relate les faits de la guerre entre Hulk et les autres du point de vue des humains. J’avais bien aimé la première partie, et je dois avouer que j’ai bien apprécié la deuxième aussi. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je trouve que Sally Floyd a quelque chose de touchant et de bien réussi. J’ai de l’affection pour ce personnage, même si forcément, sortir un FRONTLINE à chaque grand événement risque de devenir redondant. Car disons le clairement, il ne se passe pas grand chose là dedans, c’est plutôt une succession de petites histoires, mais JENKINS le fait plutôt bien. Evidemment, le seul fil rouge (l’identité du mécène du journal) est résolu à la fin et l’identité du personnage n’est pas vraiment une grosse surprise. Ce n’est pas la partie de l’intrigue la mieux réussie de cette histoire, il faut l’avouer, et ses raisons me semblent un peu tirées par les cheveux. J’ai quand même passé un bon moment, surtout que les dessins de RAMON BACHS me plaisent bien. Sa prestation est solide et son style sympathique. Finalement une bonne lecture…. Histoire : Dessins : et demiWorld War Hulk Aftersmash #1 (Pak / Sandoval / Cifuentes) On en aura eu des noms débiles de revues quand même , avec cet event. Je crois que là, on tient quand même la palme. Voici donc WORLD WAR HULK AFTERSMASH, qui est censée nous narrer ce qui se passe après la défaite de HULK. Voilà quelques uns de nos héros (MISTY KNIGHT, HERCULE, IRON MAN) confrontés aux collègues de combat du géant de JADE, qui n’ont pas encore abdiqué. L’un d’entre eux essaye même de créer une faille dans le sol pour engloutir la ville. Heureusement, les gentils gagnent à la fin. Et c’est tout ? Oui, c’est tout. Une grosse scène de bagarre sans aucun intérêt avec une intrigue assez bâclée et des dialogues sans saveur. C’est marrant, mais placer cette série juste après FRONTLINE n’est pas lui rendre service, car si l’on s’aperçoit que JENKINS peut faire de bonnes choses avec rien, ce n’est pas encore le cas de GREG PAK, qui se vautre lamentablement sur ce numéro spécial, aussi vite lu qu’oublié. Plus un épisode bouche trou qu’autre chose, qui n’apporte strictement rien. Les dessins de RAFA SANDOVAL sont tout à fait corrects mais son style ne me plaît pas beaucoup. Disons que c’est un tout petit peu au dessus de la moyenne, et qu’il a tendance à répéter les postures et les visages tout au long du numéro. Histoire : Dessins : On finit ensuite avec quatre doubles pages humoristiques de valeur assez inégales. La première est assez rigolote avec CAPTAIN RECTITUDE, la deuxième est sans intérêt, la troisième à peine mieux, et la quatrième fait référence au dialogue entre SALLY FLOYD et CAPTAIN AMERICA dans CIVIL WAR FRONTLINE. C’est rigolo , mais on est loin du niveau d’un FRANKLIN RICHARDS ou des petites pastilles de CHRIS GIARUSSO ! X-FACTOR #28-32  Difficile de subir de plein fouet la disparition d’un personnage pour une autre série, je parle bien évidemment de RAHNE dans X-FORCE. C’était quand même l’un des piliers de X-FACTOR qui s’en va, laissant MADROX et les autres en plan. PETER DAVID doit donc faire face à cette hémorragie de personnages, si l’on rajoute LAYLA MILLER et relancer sa série. Il s’en est toujours bien tiré depuis le début, étant l’un des seuls à traiter de l’après HOUSE OF M assez sérieusement. Là, cela fonctionne un peu moins bien En effet, le départ de RAHNE et de LAYLA est véritablement une grosse perte pour la série. Bien évidemment, DAVID va nous sortir un ou deux bons épisodes, centrés sur ce pauvre RICTOR qui ne sait plus quoi faire, et sur MADROX, dégoûté d’avoir perdu deux équipiers, mais c’est l’intrigue principale, où un nouveau vilain rase complètement MUTANTOWN qui me semble bien faible. En effet, si c’est toujours un peu plaisant de revoir En gros ; si les épisodes #28 et #29 sont dans le ton classique de la série, je trouve que les numéros #30 à #32 sont beaucoup lus faibles, l’utilisation de quelques personnages de MUTANTOWN en point de vue m’a semblé assez gnangnan pour ne pas dire très ennuyeuse. Après, il semble logique que les conséquences de MESSIAH COMPLEX entraînent le départ de X-FACTOR de ce quartier, et j’espère vraiment que DAVID a une iodée derrière la tête en ce qui concerne la localisation de sa nouvelle équipe et de sa composition. Le tout dernier épisode semble indiquer que oui, avec un petit saut dans le temps qui annonce pas mal de chose, notamment le retour en force de notre amie VAL COOPER, que seul PETER DAVID a réussi à bien écrire. Maintenant, je ne suis vraiment pas sûr et le fait de ne plus voir ni RAHNE, ni LAYLA me perturbe un peu. De la même manière , on peut trouver assez facile le retour de VAL et l’utilisation des personnages, DAVID naviguant sur la nostalgie de son précédent run. Vous me direz, c’est quand même ce qu’il fait depuis le début, et si les dialogues sont toujours assez forts et quelques situations à mourir de rie, c’est vraiment cette histoire avec le vilain et MUTANTOWN que je trouve un peu ratée. Du coup on se dit que là, il risque de tomber un peu dans la facilité. Je compte quand même sur lui pour rebondir avec les nouveaux membres de l’équipe. Au niveau des dessins, PABLO RAIMONDI, excellent , se partage le travail avec VALENTINE DE LANDRO, qui n’est pas une fille comme son nom le laisserait croire, mais qui a un peu le même style, ce qui fait que différencier les deux est compliqué. Ca ne nuit donc pas du tout à la continuité graphique de ces épisodes. Le style de DE LANDRO est peut être un peu moins réaliste, un peu plus crayonné et moins détaillé que celui de RAIMONDI, mais cela fonctionne très bien. En conclusion, je dirais que ces cinq numéros de X-FACTOR ne sont pas les meilleurs de la série, mais qu’ils restent tout de même d’un bon niveau en dépit de son intrigue principale un peu molle. Comme d’habitude, de bons dialogues et de très bonnes mises en situation relèvent la note de ce run. Dessins : et demiTHOR : L’INTEGRALE 1985  Suite des aventures de THOR période SIMONSON qui s’enchaînent à toute vitesse (le dernier est sorti il n’y a pas si longtemps que ça) pour notre plus grand plaisir. Je dis ça parce que n’ayant lu que très peu de THOR dans ma jeunesse (je n’achetais pas les petits fascicules noir et blanc de chez AREDIT), j’ai commencé avec la fin du run de SIMONSON quand SEMIC a sorti ses versions intégrales. Et pour moi, THOR est toujours resté comme un personnage MARVEL secondaire, que je n’appréciais pas trop. Trop cosmique, pas assez de collants et tout ça, problèmes d’identification. Et oui, j’avais quinze ans…… J’avais beaucoup aimé ce qui avait été fait par SIMONSON dans les VERSIONS INTEGRALES et j’avais rapidement laissé tomber à l’arrivée de DE FALCO/FRENZ ; ces intégrales sont pour moi de bonnes occasions de pouvoir découvrir ces épisodes inédits qui aboutissaient à la pulvérisation de THOR dans son armure. J’avais énormément aimé la première intégrale, avec le début de la SAGA de SURTUR. Là, WALTER SIMONSON nous livre la suite et fin de cette longue SAGA et enchaîne avec ses conséquences puisqu’ODIN ayant disparu, il va falloir décider entre THOR et LOKI pour régner sur ASGARD. Le gros point fort de SIMONSON , c’est qu’il ne s’attarde finalement que très peu sur THOR, mais beaucoup plus sur les personnages secondaires, les dieux qui l’entourent comme VOLSTAGG, les ENFANTS D’ASGARD, LORELEI, HELA et surtout LOKI, beaucoup moins premier degré et plus profond qu’il n’y paraît. Plein de super héros apparaissent dans cette intégrale, puisqu’une immense bataille a lieu à NEW YORK, mais ils ne sont pas vraiment traités, on sent bien que WALT donne sa préférence à BETA RAY BILL et aux ASGARDIENS. Les histoires s’enchaînent parfaitement et on est pris du début à la fin par cette saga Nordique, qui met vraiment du divin et de la mythologie partout. Je l’ai dit au départ, je ne suis pas un grand connaisseur de THOR, et je ne sais pas si cette dimension mythologique avait été aussi approfondie par le passé, mais c’est certainement ce qui m’impressionne le plus ici dans le travail de SIMONSON au scénario. On a aussi droit à quelques passages un peu soap, avec des triangles amoureux et des sortilèges d’amour de toutes parts qui pimentent un peu le récit. C’est un peu cul cul la praline, mais c’est assez léger et amusant pour ne pas nous faire sortir de la puissance de l’histoire, et cela correspond bien aussi à ce qui peut se passer avec des dieux, regardez la mythologie grecque où tous s’envoyaient des sortilèges d’amour et où tout le monde couchait avec tut le monde sous toutes les formes possibles et imaginables. Cela me rappelle vraiment les légendes grecques. Niveau dessin, que dire de plus, si ce n’est que SIMONSON est terriblement impressionnant de puissance, de cadrage, de dynamisme et de narration (bon, peut être abuse t’il un peu trop de ses onomatopées de bruitages par moment , mais c’est le style qui veut ça et puis, c’est franchement rigolo…) Non , vraiment , ces intégrales THOR sont une réussite totale dans la mesure où ce sont quasiment les seules qui proposent des épisodes inédits en France, et qui plus est de très grande qualité. J’avais déjà compris en lisant l’intégrale 1984 pourquoi THOR de SIMONSON est un des runs d’anthologie de chez MARVEl, et ce deuxième volume ne fait que me le confirmer. On voit là un artiste qui se donne à fond et qui est au sommet de son art narratif. Vite, la suite ! Histoire : Dessins : et demiGREEN ARROW and BLACK CANARY : ROAD TO THE ALTAR TPB  Contient des extraits de GREEN ARROW, de BIRDS OF PREY, mais surtout la mini série BLACK CANARY et le one-shot BLACK CANARY WEDDING SPECIAL. Ce TPB nous raconte donc les évènements situés entre la demande en mariage de GREEN ARROW à BLACK CANARY , sa réponse et les préparatifs du mariage en question. (Au cas où vous ne l’auriez pas compris, elle a dit oui. ) Evidemment , une demande en mariage, avec DINAH au milieu, ça ne peut qu’attirer mon petit cœur de fillette, et c’est donc avec plaisir que je me suis jeté sur ce TPB ; même si je ne pense pas que l’idée de mariage entre GREEN ARROW et DINAH soit excellente. Si les deux pages de GREEN ARROW sont anecdotiques, le numéro de BIRD OF PREY, qui reprend la totalité de la discussion entre BARABRA et DINAH, (où la première tente de mettre en garde la seconde sur les mauvaises habitudes de son futur mari) est intéressant et j’ai vraiment beaucoup aimé cette conversation, qui correspond parfaitement aux réactions de l’une comme de l’autre. Ca fonctionne parfaitement et ça permet au lecteur de bien rentrer dans la mini série, le point d’orgue de ce TPB. Bon, il faut le dire, cette mini série n’est pas extrêmement bien réussie. En fait, le problème, c’est que cette mini a pour but de résoudre le problème SIN, la fille adoptive de BLACK CANARY ; que vraisemblablement les éditeurs DC n’ont plus envie de voir dans les pattes de DINAH et de son futur mari et qu’elle s’emploie à trouver une solution assez lourdement. Il faut le dire, BEDARD avance à pas très très lourds et on comprend tout de suite que SIN va disparaître. Evidemment, je ne vous raconte pas la fin, mais la résolution est elle aussi absolument indigeste, le scénariste (ou les éditeurs ? ) n’osant pas pousser leur logique jusqu’au bout. Bref, on a droit en fait à quatre épisodes pas vraiment mauvais, mais avec des vilains qui ne servent pas à grand chose, une intrigue un peu tirée par les cheveux et qui ne tend que vers deux buts qu’on comprend dés le départ : faire en sorte que DINAH dise oui et se débarrasser une bonne fois pour toute de la morveuse ! C’est vraiment très mal exécuté pour le coup et on sent le travail de commande à fond la caisse. Si BEDARD dans son épisode des BIRDS OF PREY rentrait bien dans la psychologie des personnages, là il faut avouer qu’il fait le minimum syndical, n’arrivant pas à donner cette petite touche d’émotion ou d’humour qui caractérisait si bien les numéros de GAIL SIMONE. Pour le coup, BEDARD se comporte comme un éléphant dans un magasin de porcelaine et c’est dommage. Le BLACK CANARY WEDDING SPECIAL est un numéro simplement humoristique, plutôt bien foutu, mais qui n’apporte pas vraiment grand chose non plus. On rit quand même et à mon sens, J.TORRES réussit mieux que BEDARD en quelques pages pour donner de l’émotion. Les dessins, signés dans leur grande majorité par PAULO SIQUEIRA ;sont bons, sans être toutefois exceptionnels. C’est en tout cas lisible et sa BLACK CANARY est bien sexy, il a peut être un peu trop tendance à aller sur du TERY DODSON pour le coup. Et forcément, la comparaison n’est pas à son avantage. C’est quand même au niveau des dessins largement au dessus de la moyenne. Dommage, j’attendais plus de ce TPB, qui n’a pas réussi à me faire vibrer alors que la mission paraissait facile ! C’est une impression mitigée donc, BEDARD ne réussissant pas à re-capturer l’émotion qu’il avait laissé voir dans le premier numéro du TPB (l’épisode des BIRDS OF PREY) et nous fournissant une mini série assez basique. Histoire : Dessins : et demi
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#2
26/08/2008, 11h41
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Cette deuxième intégrale est un très beau cadeau que fait Panini à ses lecteurs, achetez-là !
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" 
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#3
26/08/2008, 12h39
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Le principal intérêt du WWH Aftersmash, c'est de développer un peu les persos de Heroes For Hire après l'arrêt de la série qui finissait sur quelques bouleversements.
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu.
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#6
26/08/2008, 16h14
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Ouais, dés fois c'est juste parce que j'aime bien le dessin, le texte, c'est sur le moment en fait .... Donc dur à expliquer.....
NIGHTWING c'est parce qu'encore une fois, DICK est à poil dans un lit avec une fille.... WWH parce que j'ai aimé la scène X-FACTOR parce que j'ai beaucoup aimé le dessin THOR parce que ça résumé complètement la série et la puissance graphique de SIMONSON BLACK CANARY-GREEN ARROW, je sais pas...comme ça......
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#8
27/08/2008, 01h02
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je trouve que PAULO SIQUEIRA fais un super travaille je te trouve un peu dur avec lui doop c dinamique et propre mieux que beaucoup ,sinon c triste pour nightwing depuis le depart de grayson triste quand meme ,
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#9
27/08/2008, 07h59
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Thor l'intégral: Le meilleur du meilleur de Thor
J'aime particulièrement le mélange Légende nordique+Collant qui fonctionne très très bien. UN must-have pour tout ceux qui aime les saga Epiques ou les morceau de bravoure cotoie le quotidien + les dessins de M Buscema qui sont 
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L'amour pour épée, l'humour pour bouclier ! (B WERBER)
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#11
27/08/2008, 12h21
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Un fan de Liefield pour les poses féminines???
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-+- Mes GamingCards : PSNProfile et XboxLive -+- Mon GamerTag PSN/Xbox: Manou001 -+- Mes tests de zolies voitures
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#13
27/08/2008, 14h25
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elle en impose
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#14
27/08/2008, 19h26
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En plus, c'est une pose que toutes les femmes peuvent prendre, hein... bon, après, vouloir, c'est moins évident.
Par contre, j'ai bien aimé ce GA/ BCanary, mais si c'est du niveau d'X-Factor, je veux bien être pendu.
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Mode linéaire
