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La chute du héros se situe au premier semestre de l'année 1983 après avoir connu bien des déboires en 1982, gracieuseté d'Obadiah Stane. Une lente descente aux enfers bien orchestrée qui amène Rhodey a devenir le nouvel iron-man. Le best-of Iron Monger se situe 1985 et reprend la fin du run d'O'Neil qui voit Tony sortir la tête de l'eau et prendre sa revanche décisive sur Stane. Mais sans avoir lu la descente aux enfers de Tony, lire juste cette fin de run est beaucoup moins attrayant. Cela faisait 3 ans que Tony était au fond du trou dans la série, la fin du run vaut surtout pour ce côté émotionnel que pour sa qualité intrinsèque. |
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Merci pour ces précisions Galactica+
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#273
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- la première quand Tony ramène une fille chez les Vengeurs et veut lui montrer les installations du manoir et qu'il engeule Jarvis à cause de ça... -La seconde dans les 2 derniers épisodes où l'on sent que l'alcool est une vrai dépendance.
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LE MAITRE VOLEUR TOME 1 Scénario: Robert Kirkman & Nick Spencer & Dessin: Shawn Martinbrough Pitch: Conrad Paulson est un voleur. Mais pas n'importe lequel, c'est le meilleur connu sous le nom de Redmond. Mais lorsque son fils qu'il n'a quasiment jamais vu avec la seule femme qu'il ait aimé se retrouve en prison, il va tenter le plus grand défi de sa carrière. Aimant beaucoup Robert Kirkman, j'ai voulu lire ce lire car le pitch du voleur m'a intéressé. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu car j'ai trouvé ça très bien foutu niveau scénario. Il y a beaucoup de rebondissement voir de retournement de situation. Côté dessin, ça m'a beaucoup fait penser à l'ambiance de Qui est Jack Ellis?. Le dessinateur m'a fait penser aussi à Cully Hammer. Si vous aimez les ambiances polar et la trilogie des Ocean's , ce comics est fait pour vous.
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UMBRELLA ACADEMY T.2 DALLAS Scénario: Gerard Way & Dessin: Gabriel Ba Pitch: Les temps sont dur pour cette famille de super héros recomposée. Après l'apocalypse évitée, causé par l'un des leurs, le moral est au plus bas. Chaque membre est dépressif lorsqu'une nouvelle menace qui risque d'altérer le monde fait surface. Et là aussi, quelqu'un de la famille est impliqué... Qui? Et dans quel but? Après un premier tome qui avait surtout pour but d'introduire les différent protagonistes, le scénariste Gerard Way revient avec une histoire assez brouillon. Pourquoi brouillon? Car l'intrigue qui fait appel à différents aller-retour temporel, pourtant nécessaire au niveau de l'histoire, rend la lecture difficile. Il est dommage que le scénariste se fasse bouffer par son intrigue car elle est plutôt bonne. Côté dessin, Gabriel Ba est fidèle à son style très Mignolien. Un style qui rend parfois la lecture difficile d'un scénario trop ambitieux. Après un premier tome qui m'avait enthousiasmé, un second tome qui, à la première lecture, donne un effet brouillon et donne une sensation de gâchis.
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LUTHER STRODE T.1 Scénario: Justin Jordan & Dessin: Tradd Moore Pitch: Luther Strode est un ado comme les autres, souffre douleur préféré du bahut, ignoré par les filles et taillé comme un gringalet. Mais il en a marre de ce statut... Lorsqu'il remarque une pub pour devenir un Hercule des temps modernes, il décide de commander l'ouvrage. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le processus s'avére performant, mais cela a un prix. Mon libraire m'avait vendu ça comme une excellente surprise. Mais les dessins étaient pour moi un vrai frein à l'achat. En tout cas, pour du neuf. je l'ai trouvé en occasion et j'ai pu lire ce comics. Déjà niveau histoire, le pitch de départ est assez commun. On a un peu un mélange entre Peter Parker et le héros de Kick Ass. Le seul truc qui sort un peu de l'ordinaire, c'est la façon dont Luther acquiert ces pouvoirs. Après on a une surenchère de violence à la manière d'un Kick Ass ou d'un comics de Garth Ennis. C'est très sanglant. Niveau dessin, on a un dessin entre réaliste et cartoony qui rend assez bien honneur au scénario. Par contre, ce n'est pas un style qui plaira en masse. Notamment les scènes glauques qui rappelle un peu le manga Baki pour ceux qui connaisse. Au final, un comics peu original et très bourrin, à ne conseiller qu'au fan du genre.
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AMERICAN VAMPIRE LEGACY 2 LE REVEIL DU MONSTRE Scenario: Scott Snyder & Dessin: Dustin Nguyen Pitch: 1954. De retour aux Etats-Unis, Felicia Book tient la promesse qu’elle avait faite à son ami et coéquipier, l’agent McCogan, en élevant son fils Gus, alors délivré de la contamination vampirique. C’était sans compter l’organisation des « Vassaux de Venus » qui bientôt lui demande de se rendre d’urgence à Londres où leur coffre sécurisé et inviolé depuis 1888 a été ouvert. Le plus dangereux vampire de tous les temps est de retour, prêt à reprendre le pouvoir sur son armée Tout comme le premier tome, Snyder reprend le personnage de Felicia Book comme personnage principale. On a donc un fil conducteur entre ces 2 tomes. Et ce deuxième tome qui reprend le mythe de Dracula à son compte est passionnant. Snyder maîtrise bien son univers et ça se ressent tout du long de l'histoire qui se déroule sous nos yeux. Côté dessin, Sean Murphy qui avait dessiné la première mini laisse sa place à Dustin N'Guyen qu'on avait pas vu loin de l'univers Batman depuis un bon moment. Et le moins que l'on puisse dire c'est que ça lui réussit parfaitement. Ces pages sont très récit et font partie des meilleurs planches de l'artiste tout travaux confondus. De très beau graphisme qui me font demander pourquoi Snyder ne lui a pas demandé de réaliser la série mère au côté d'Albuquerque. Si vous avez aimé le premier tome, vous ne pourrez qu'être enthousiasmé par ce second tome.
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Le point positif a été, pour moi, la découverte des frères ba, qui m'a amené à Daytripper. Mais je ne dis pas non à un tome 3 de la Umbrella Academy Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 13/05/2013 à 23h42. |
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Petite question pour American Vampire Legacy, par rapport à la série principal est-ce vraiment un plus dans la compréhension de l'univers où est-ce dispensable?
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Et désolé pour le retard dans la réponse.
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MARVEL DELUXE 1. LA SENTINELLE DE LA LIBERTÉ Scénario: John Ney Rieber&Chuck Austen & Dessin: John Cassaday & Trevor Hairsine & Jae Lee Pitch: Après les événements du 11 Septembre, le terrorisme est devenu la menace numéro 1 des États-Unis. Dans un monde où l'amalgame entre terroriste et musulman est légion, Captain America ne sait plus où est sa place surtout quand un terroriste nommé Al Tariq menace la sécurité de son pays... L'album est composé en 2 histoires. La première histoire est consacré à la vision de Captain America dans un monde post 11 Septembre. D'ailleurs, l'histoire commence pendant les attentats du point de vue de Steve Rogers. Puis il devra combattre une menace nommé Al Tariq, un terroriste qui cache bien des choses. Le scénariste John Ney Rieber tente une approche plus réaliste et plus patriotique de ce personnage et il y réussit bien. Pas d'amalgame entre terroriste et musulman, comme le montre la scène du premier épisode où Cap aide un homme musulman agressé dans la rue à cause de sa religion. Côté dessin, on a du John Cassaday très inspiré. Il est ici à son meilleur niveau, celui de Planetary. On sent qu'il porte une grande admiration au personnage de Cap et ça se ressent dans ces planches. La seconde histoire confronte Cap à un ancien allié d’origine indienne nommé Innali Redpath qui possède certains pouvoirs lié à la foudre. Ici le scénario a été commencé par le scénariste John Ney Rieber mais achevé par Chuck Austen qui a été à un moment donné le scénariste chouchou de la maison des idées, celui qu'on appelait à la rescousse. Malheureusement, cela se ressent dans le déroulement de l'histoire. Si le début est très ancré réaliste, la fin elle l'est beaucoup moins. D'ailleurs le fait aussi que la période Ney Rieber est dessiné par Trevor Hairsine, la période Austen est dessiné par Jae Lee en mode rapide, ce qui rajoute un effet brouillon à la trame. Le marvel deluxe comporte aussi 2 récits bonus. L'un de 2 pages par Paul Dini et Alex Ross consacré aux origines de Cap tiré de l'anthologie Red, White and Blue. La seconde, tiré du numéro anniversaire Captain America (vol.2) 50, est quand à elle l’œuvre de Marcos Martin qui revient sur l'histoire de Cap de ces origines à la période où Bucky hérite du titre.
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La série démarrait bien, mais je crois que le scénariste a été débarqué car une orientation aussi objective du personnage dans le contexte post-11 septembre ne convenait pas à Marvel. Le début est en tout cas intéressant, même si c'était sûrement trop tôt et trop courageux à l'époque.
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effectivement.
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Le gros plus de la première histoire c'est que Captain America tombe le masque officiellement. Cela semble anecdotique car les répercussions ont été peu abordés mais à contrario cela semble naturel à tout le mode aujourd'hui.
Pas mieux que Ben Wave et Doop sur la grosse implication de Rieber qui avait choqué à l'apoque. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 23/05/2013 à 13h19. |
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Marvel Deluxe Captain America 2 - La légende vivante Scénario: Ed Brubaker & Dessin: Steve Epting & Michael Lark Pitch: Après les événements de Avengers : la séparation, un nouveau chapitre s'offre au personnage de Captain America. Crâne rouge est mort, et l'identité de l'assassin qui fait écho au passé de Cap va en surprendre plus d'un. En 2004, Ed Brubaker reprend en main le destin de Captain America avec brio. Tout d'abord, on sent que l'auteur avait un plan pour reprendre la série, qu'il connaît bien son univers... Et surtout il a eu le génie de faire une chose que personne n'avait fait avant lui,braver l'interdit en ressuscitant un personnage mort depuis longtemps et en faire un personnage intéressant. Peu d'auteur ont réussi ce genre de pirouette avec un tel succès. Côté dessin, On a 2 dessinateurs au style très réaliste: Steve Epting et Michael Lark avec un intérim de John Paul Leon. Steve Epting dessinant les aventures de Cap dans le présent et Michael Lark les flashback. Du très bon dessin, avec le coloriste Frank D'armata qui, s'il ne fait pas l’unanimité, offre une continuité graphique au titre. Un titre à ne pas manquer tant le run de Brubaker a été très bon et cohérent sur le long terme surtout pour ce 5éme volume US.
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critique, lebeau |
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