Le défi de décembre : Noël en huis clos

[Algernon Backwash]

D'un trou a un autre,c'est l'histoire de ma vie,et cette histoire tout le monde la connait sauf parfois celle qu'on appelle mere noel,elvis l'aurait appellée "mama".
Ce dernier etait plutot dans le genre etroit sombre et humide,le genre ou t'en sors le visage tout barbouillé.
D'aucuns diraient collant mais il s'etait fait ramoner y'a pas si longtemps.
Plus dans le genre bave d'alien en fait
L'acidité en moins
Bref,je suis le pere noel


Et ceci est ma fin

C'est con quand meme,t'imagines le mec c'est le pere noel,l'obese le plus agile et le plus rapide de l'hemisphere nord (aucune connotation capitaliste) mort dans une cheminée au fin fond de schnocktown a ecouter trois connards qui parlent a leurs gosses comme s'ils etaient des trisomiques atteints d'un cancer du foie en phase terminale. "et papa noel il t'apportera ça et ci... mais ecoute bien la maitresse"
Papa Noel pour l'instant il taillerais une pipe a ta mere pour sortir de ce trou espece d'ex 68 ard degeneré par la thune.
En attendant nan,je vais rester la,à t'ecouter te foutre de la gueule de ton monde sans meme avoir la place de me taper une derniere queue ou prendre un 15 cachets d'aspirine un petard ou n'importe quoi qui me ferait oublier qu'a noel tu regardes des films avec Bourvil qui pousse la chanson "Qu'est ce qu'elle a,Mais qu'est ce qu'elle a donc,Ma p'tit' chanson ?Qu'est ce qu'elle n'a,Mais qu'est ce qu'elle n'a plus,Ma p'tit' chanson,Qui ne te plaît plus ?" j'tencule batard elle a rien ta chanson pourrie la,je meurs moi.
J'vais piquer un somme tiens.
Je me reveille.
Je m'etouffe.
Il fait deja jour dehors et je m'etouffe.
Demain personne n'aura ses cadeaux et c'est normal,




C'est le premier avril demain,con de Lapin de Paques!

[mr nix]

bravo Roro, tu as arrache un sourire a mon visage de clown triste.

blublu.

[gorlab]

Bon, allez hop, c'est donc moi qui inaugure le thème
Bonne lecture à tous !
__________________________________________________ ___________


Grelottant au coin d’un feu de cheminée d’une maison d’hôtes quasi-déserte, un gentil vieillard au visage rubicond et aux cheveux blanc comme neige, était assis, emmitouflé dans des lambeaux de vêtements rouge. Un grog fumant dans une main tremblante, un cachet d’aspirine était négligemment posé sur la table proche.

Au bar, situé à l’autre bout de la salle commune déserte, le barman et l’unique client de la maison, lui jetait des regards en biais.
Le barman s’appliquait à essuyer nerveusement un verre à whisky. Quand à l’unique client, il essayait avec grande peine de se calmer, voûté sur son tabouret. Le barman reposa le verre et lui demanda du bout des lèvres, pour ne pas être entendu par l’intéressé.
-Et vous m’avez dit que vous l’avez trouvé ou ce vieux ?
Le client se redressa un peu, un air de profonde lassitude dans le regard.
-Je croix que je l’ai renversé…
Le barman lui adressa un coup d’œil interrogatif.
-Comment ça, vous « croyez » ?
-Ca c’est passé tellement vite, J’ai rien vu venir. Je roulais pas trop vite dans le coin de la gare, quand j’ai senti un gros choc sur le devant de ma voiture. Je suis sorti, et la, au milieu de la route, y’avait un vieux, entouré de débris de bois, complètement ahuri et désorienté, y’avait même un renne mort sur le coin de la chaussée. Et pourtant je roulais pas vite, j’vous jure !
Le barman essaya d’afficher son sourire le plus désolé.
-Je suis navré, ça doit être dure quand même ?
-M’en parlez pas, une voiture toute neuve ! Je venais de finir de la payer… !
« Evidemment… » se dit un barman un peu désabusé, « m’aurait étonné… »
-Et comment s’appelle t-il ce vieux ?
Le client se gratta la tête.
-Je sais pas, il ne s’en souvient pas, il avait aucun papiers sur lui, il arrêtait pas de marmonner qu’il était en retard…

Un vieil homme à la barbe blanche habillé en rouge, un renne.., la veille de Noël ? Cela rappelait bien quelque chose au barman, il fit d’ailleurs part de ces doutes à l’unique client de la maison.
Ce dernier lui jeta un regard où se lisait un mélange d’incrédulité et de consternation.
-A votre âge ? Vous y croyez encore ?
Le barman allait répondre une remarque cinglante, quand le vieil homme au fond de la salle se leva péniblement. Il pivota vers eux et trottina lentement jusqu’au bar.
-Je vous remercie de m’avoir permis de me réchauffer un peu.
Sa voix était chevrotante et enrouée.
Le barman l’accueillit avec bienveillance d’un chaleureux sourire.
Quand au client, il se contenta de faire une moue gênée.
Le barman lui demanda doucement :
-Vous n’avez vraiment aucun papiers sur vous Monsieur ?
Le vieux gratta sa barbe neigeuse et farfouilla dans ces poches intérieures. Il posa en tas sur le comptoir divers objets : osselets, dés, cartes à jouer, pièces d’or.
Pièces d’or !!?

Les yeux du client s’agrandirent, un sourire béat commençait à ourler ces lèvres.
Le barman se contenta de rester la bouche ouverte, la mâchoire pendante.
-Non, je suis désolé, je n’ai rien sur moi.
Le client tendit une main furtive vers les pièces. Il en saisit une et la soupesa, pas de doute, c’était bien de l’or. Le métal jaune était étrangement chaud à son contact.
Faisant mine de ne pas avoir vu le client, le vieux demanda timidement :
-Puis-je vous demander autre chose messieurs ?
-Bien sur. Répondit le barman.
Le client fixait toujours la pièce d’or dans sa main.
-Il doit encore me rester des affaires à chercher, la ou vous m’avez trouvé.
Le client redressa la tête. Il bredouilla.
-Des affaires de de cette nature ? Il tendait la pièce d’or.
-Oui, je croix qu’il en restait quelques sacs.
Le client tenta de faire un geste discret au barman. Ce dernier lui jeta à peine un regard.
-Hum….je peux vous dire un mot en privé. Insista le client.
Les deux hommes s’éloignèrent pour ne pas être à portée de voix. Le vieil homme resta planté la, un sourire bon enfant illuminait sont visage.
-Ok, alors voila, je vais ramener ce vieux clodo la ou je l’ai renversé, on fouille le coin, en espérant que personne ne soit passé par la, et on fait 50/50.. Alors ?
Le barman hésita, c’était peu probable qu’il reste quoi que ce soit à cette heure ci. Mais en même temps, même si il ne restait que quelques pièces, cela sera toujours mieux que rien. La saison avait plutôt mal commencé.
-D’accord, ça me va.
Les deux compères revinrent vers le vieil homme qui les attendait sereinement.
-Nous pouvons y aller quand vous le souhaitez messieurs.
-Le temps que je ferme l’établissement, et on y va.

Le barman rejoignit le client et le vieux quelques minutes plus tard sur le parking de la maison d’hôtes. Le vieil homme était installé confortablement derrière. Le barman jeta un coup d’œil à l’avant de la voiture. Le pare-choc était effectivement bien enfoncé. Il monta devant, pensif.
Le client démarra et alluma la radio, une vieille chanson rétro de Bourvil passait sur les ondes et nimbait la voiture d’une drôle atmosphère surréaliste.
Le barman grinça des dents.
-On peut éteindre la ?
Le client éteignit la radio sans mots dire. Un silence pesant s’installa.
-C’est loin ? demanda le barman pour rompre la glace.
-Nan, dix minutes d’ici, tout au plus. Répondit laconiquement le client.
Le barman regarda le rétroviseur, le vieil homme avait le regard perdu dans le vide.
Le barman sursauta brusquement, une bande de mioches avaient eu la bonne idée de lancer des pétards à leur passage. Il étouffa un juron. Mis à part cela, ils ne croisèrent personne d’autres. Le vieux eu une curieuse réaction, il fixa avec insistance la bande de jeunes. Le barman crut l’entendre marmonner :
-Tiens, j’en ai oublié..
Quelques minutes plus tard, ils arrivaient.
Le corps sans vie d’un renne gisait sur le côté, la nature avait déjà commencé son œuvre dessus. Les restes de ce qui semblait être une charrette ou un traîneau étaient éparpillés aux alentours. Le client ne perdit pas de temps, il se mit à chercher frénétiquement parmi les restes de bois. Le barman quand à lui, restait un peu en retrait. Il ne pouvait s’empêcher d’éprouver un sentiment de malaise. Quelque chose n’allait pas. En cette veille de fête, les rues étaient d’habitude bondées, et la, personne.
Le client eut un cri de joie, on le vit soulever un sac à moitié éventré où s’écoulait une cascade de pièces d’or étincelantes, et la seconde d’après, on le vit s’écrouler, face contre terre, un trou béant dans le plexus solaire.
Le barman, horrifié, resta bouché bé, il n’avait pas vu ce qui l’avait frappé. Fébrile, il chercha des yeux le vieux. Il se retourna, et le gentil vieil homme se tenait la, la tête penché sur le côté, semblant écouter un refrain que lui seul entendait.
Le barman n’avait pas remarque auparavant que le vieil homme était aussi grand. Un bras anormalement long se posa sur l’épaule du barman. Les yeux du vieux n’étaient plus que deux puits noirs et froid, et d’une voix ressemblant à un silex que l’on passe sur un tableau d’ardoise, il lui murmura à l’oreille :
-Mon garçon, la veille de Noêl, il n’y a pas que le petit gros et ces rennes qui chasse.

[Algernon Backwash]

c'etait deja inauguré un peu plus haut coco.
sympa ta came

[wallyvega]

La section est donc ouverte avant la date de rendu des copies. Je pense que l'on pourrait décider d'une date limite (ici, le 15 décembre) tout en laissant la possibilité de poster dès que le choix du thème a été fait.

Le thème est Noël.
Les contraintes sont un huis-clos, une chanson de Bourvil, un cachet d'aspirine et des pétards. Bon courage à tous.

[HiPs!]

@Gorlab: sympa ton conte.

@Rorschach: c'est frais, c'est punk. Et record à battre pour l'étroitesse du huis-clos!

[wallyvega]

Très sympa, en effet.
Rorschach: Totalement déjanté et agréable à lire.
Gorlab: J'ai beaucoup aimé le traitement de l'histoire et des contraintes, vraiment très bien.
Un grand bravo à tous les deux.

[Hilarion]

Bravo à tous les 2!

Mais et l'esprit de Noël, alors?

[Algernon Backwash]

pas une seule seconde j'ai sous entendu dans mon conte que le pere noel et autres conneries n'existaient pas

[Hilarion]

	Citation:			Posté par Rorschach
	pas une seule seconde j'ai sous entendu dans mon conte que le pere noel et autres conneries n'existaient pas

"Ça f'sait pourtant un an ou deux
Que j'croyais plus du tout en lui
Pas plus que j'croyais au Bon Dieu
Ou à la s'maine des trente-cinq heures
N'empêche que, bon, ben... par acquis d'conscience
J'ai mis mes santiag' d'vant la ch'minée
Vu qu'on était l'24 décembre
P't'être que l'Père Noël se pointerait

Il est bien v'nu mais manque de bol
Dis donc, avec l'antenne de la télé
Y s'est emmêlé les guiboles
Et s'est vautré dans la ch'minée
S'est rétamé la gueule par terre
Sur ma belle moquette en parpaing
Y avait d'la suie et des molaires
Le Père Noël est un crétin !

Petit Papa Noël
Toi qu'est descendu du ciel
Retourne-s-y vite fait bien fait
Avant que j'te colle une droite
Avant que j't'allonge une patate
Qu'j'te fasse une tête au carré !

J'lui avais d'mandé comme cadeau
Une panoplie d'agent d'police
Une super boite de Mecano
Une carte du parti socialiste
M'a carrément amené peau d'balle
L'avait pas dû r’cevoir ma lettre
J'avais p't'être pas mis l'code postal
Qui correspond à sa planète

N'empêche qui y s'est pas gêné
Y m'avait déjà ruiné la moquette
Dans l'canapé s'est écroulé
Pour s'piquer la ruche à l'anisette
Y m'a descendu la bouteille
A lui tout seul le saligaud
‘vec le pinard l'a fait pareil
Le père Noël est un poivrot !

Petit Papa Noël
Toi qu'est descendu du ciel
Retourne-s-y vite fait bien fait
Avant que j'te colle une droite
Avant que j't'allonge une patate
Qu'j'te fasse une tête au carré !

L'était bourré comme un polack
Il a fait un boucan d'enfer
Il a fouillé toute la baraque
En chantant des chansons vulgaires
L'a ravagé mes plantations
Toute ma récolte de...d'herbes de Provence
Veuillez me passer l'expression
L'a gerbé d'ssus quelle élégance

S'est barré vers cinq plombes du mat'
Avec mes bottes et mon blouson
M'a chouravé aussi ma gratte
Y m'a juste laissé le boxon
Heureusement qu'ma femme était pas là
Parc'que y s's'rait barré avec
J'veux plus jamais le voir chez moi
Le Père Noël c'est un pauv' mec

Petit Papa Noël
Toi qu'est descendu du ciel
Retourne-s-y vite fait bien fait
Avant que j'te colle une droite
Avant que j't'allonge une patate
Qu'j'te fasse une tête au carré !"

RENAUD "Le Père-Noël noir"...

Bon, Doop, Ben Wawe, Grog’, Elijah Watch, Thoor, HiPs!… et tous les autres : rendu des copies le 15 décembre... ou avant, hein?!

[grogramane]

on arrive, on arrive. y'a pas le feu au lac.
pour ma part j'en suis aux corrections

[gorlab]

	Citation:			Posté par Halnawulf
	Bravo à tous les 2! Mais et l'esprit de Noël, alors?

Merci à tous ca fait plaisir...

Quand à l'esprit de Noêl, tu sais ce qui te restera à faire, si tu croises un petit vieux habillé en rouge...

[Ben Wawe]

Supers, Rorschach et Gorlab : si l'un est déjanté et punk, comme dit HiPs!, l'autre est bien étrange et un peu terrifiant, comme peut l'être un conte de Noël. Pour l'heure, j'en suis au désespoir pré-examens, mais j'essayerai de faire ça dans la semaine ou par la suite.

[grogramane]

Ce soir c’est ma fête !
La journée a mal commencé. De bon matin mon voisin de palier a fait griller le disjoncteur de l’étage en voulant allumer ses décorations de noël.
L’imbécile ! Il vit seul comme moi, pour qui fait t’il toutes ces simagrées, je vous le demande ?
Les autres voisins ? C’est un tel gros nul que seuls les nouveaux propriétaires se laissent avoir à ses invitations.
Le père noël ? Ça doit faire longtemps qu’il n’a plus visité sa cheminée.
L’esprit de noël ? C’est devenu une fête commerciale où l’EDF se frotte les mains en pensant aux bénéfices faits grâce à la débauche de décorations lumineuses exposées un peu partout dans les rues, les jardins et les salons, tant disque la plus part des parents font la course aux jouets et la chasse au chocolats. C’est le seul truc de bien à noël : le chocolat. Quand j’étais petit je m’en mettais jusqu’en haut de oreilles. Mes papillotes préférées étaient celles avec les pétards dedans. J’en ai un sachet dans mon attaché-case. Je vais attendre un peu avant d’en manger, je crois que ma nuit de noël va être longue. Il est déjà 22h, ça fait une heure que je suis coincé.
J’ai faim.


C’était quoi ce bruit ?
La cabine vient de bouger ?
« Ohé, il y a quelqu’un ? »
Non, évidemment la fête bat son plein…
Où en étais-je ? Ah oui le disjoncteur…
Donc ce matin plus d’électricité à mon étage, donc plus de radio réveil. Mon chauffe eau est électrique ainsi que ma cafetière programmable, vous voyez le topo ? Douche froide et pas de café. De toutes façons je n’aurais pas eu le temps de le boire.
Etant arrivé le dernier au bureau avec une bonne heure de retard, je me suis coltiné les dossier les plus emm…bêtants.
Oui, chez nous le premier arrivé choisi son travail de la journée dans la pile de boulot à faire et bien sûr il choisit le plus facile.
On n’est pas ici pour se compliquer la vie. Surtout la veille de noël.
Donc il ne m’est resté que les dossiers GCP (Gros Caca Puants).
En parlant de caca, j’aimerais bien faire un tour aux toilettes. Au pire j’ai un sachet et une bouteille en plastique vides dans ma mallette et des kleenex .
Ça peut encore attendre.

J’ai même pas pu prendre de pause déjeuner. Je me suis fais livrer un sandwich par coursier. Le problème avec ces gars c’est qu’ils sont d’une discrétion exemplaire :
« C’est qui le Mr Paire qui a commandé un panini dinde ? »
Oui, Mr Paire c’est moi. Un nom pas facile à porter. Surtout en période de noël avec les boules de sapin, le père Noël, etc.…
Mon boulot terminé, je ne rêvais que de deux choses : un bon bain chaud, à la condition expresse que mon voisin ait réussi à appeler un électricien (sans quoi j’avais la trouille de le retrouver raide mort devant le disjoncteur ouvert) et une bonne bouteille de champagne accompagné de foie gras sur des toasts.
C’était sans compter les ascenseurs et la veillée karaoké des vigiles.
Et me voilà coincé dans ce fichu monte charge, à essayer vainement de contacter quelqu’un par l’interphone, à m’époumoner, m’égosiller pour qu’on me sorte de là. Pour toute réponse j’entends Fred, le chef de la sécurité, chanter à tue tête quelque part dans le bâtiment « salade de fruits jolie, jolie, jolie, tu plais à mon père, tu plais à ma mère… » Elle doit bien être arrosée leur salade de fruits.
J’ai soif.


Le compte est bon, je suis résigné. La dernière fois que j’ai tabassé la porte et les parois de la cabine j’ai du me casser une phalange. J’avais paniqué. Je ne suis pas claustrophobe, mais il y a tout de même des limites. La douleur dans ma main m’a ramené à la raison.
J’ai laissé mes cachets d’aspirine dans le tiroir de mon bureau.
J’ai mal.


J’ai à présent la quasi certitude que je n’évacuerais pas cette cabine avant au moins 5 ou 6h du matin quand les gardiens auront fini leur soirée et auront la relève. A ce moment là les nouveaux venus s’apercevront peut être qu’un ascenseur est bloqué…s’ils ne sont pas trop éméchés.
Vu comme la journée a commencé, je suis même certain d’être encore là le 26 au matin.
Put…naise ! Dire que ce soir c’était ma fête !

Je me prénomme Noël.

[HiPs!]

Chouette relecture du "père noël est une ordure (the moovie)"
Bon, comme t'as bien de l'avance, tu nous en feras bien un autre, non? Noiël, c'est l'époque des cadeaux, après tout