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Ah oui je confirme, même si ce numéro n'est là que pour nous faire patienter encore une semaine, ça reste quand-même du bon, notamment la revue des entités et tout le combat avec Xanshi.
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Petite question s'il vous plait : Est-ce que Blackest Night se passe avant ou après Cry For Justice et Rise and Fall ???
J'ai mal au crane parce que j'ai vraiment du mal à situer ces deux events. Le Green Arrow 30 n'arrange en rien les choses vu qu'il situe clairement BN avant RAF Est-ce que BN se passerait entre CFJ et RAF ? Illogique vu que RAF Special laisse entendre que c'est exactement tout de suite après. |
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Les 3 dernières pages de Justice League - Cry For Justice se passent après Blackest Night donc Rise & Fall et les titres qui s'y rapportent se passent bien après
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Blackest Night #8 Blackest Night #8 Writer : Geoff Johns Penciller : Ivan Reis Inker : O’Clair Albert & Joe Prado Colorist : Alex Sinclair Le printemps est là et, comme pour marquer la transition d’un climat froid à un réchauffement de la température, voici venir la fin de Blackest Night qui s’en va laisser la place à Brightest Day et ce sans aucun retard sur le planning : DC Did It ! Que de chemin parcouru depuis le début de l’event qui aura su enchaîner des coups de théâtre (malgré certaines grandes lignes que tout le monde pouvait voir ou prévoir). En tout cas, le cliffhanger du dernier épisode était un joli pied de nez avec la révélation du White Lantern (même si je trouve toujours le concept assez facile sur le fond) où Sinestro vole la vedette à Hal (bin oui pour beaucoup, après avoir eu moult bagues, il lui en manquait 1 à sa collection…) comme si c’est une nouvelle fois une manière d’indiquer que tout n’était pas prévisible dans l’histoire, bien au contraire. En effet, qui aurait pu miser que je m’interrogerai, par exemple, sur l’absence de Mera sur la couverture de ce dernier numéro il y a 9 mois ? C’est l’un des tours de force de cette saga qui aura remis au goût du jour certains personnages tout en ménageant une sombre ambiance englobant le DC Universe ! En effet, même si cela prend sa source dans la mythologie Green Lantern, DC (enfin Dan Didio) a décidé d’en faire une saga à plus grande échelle histoire d’intégrer un maximum de personnages et du même coup produire un maximum de titres (money is money). Oh, comme d’habitude dans ce genre d’histoires, tout n’a pas été essentiel (loin de là) et seuls les titres fondateurs de la saga ont été et sont toujours indispensables (pour les précisions et surtout pour le plaisir engendré en retour) : au niveau valeur ajoutée, il n’y a pas eu tromperie sur la marchandise et les derniers Green Lantern Corps (qui a fait très fort en la matière voire même l’antimatière) et Green Lantern (qui en a remis une couche sur le retcon du précédent numéro où Geoff Johns rejoue la Création à sa façon) ont magnifiquement préparé le terrain pour le round final. Ainsi, les différents Corps sont à l’unisson et Nekron ne devrait pas avoir la partie facile. De plus, avec ce dernier épisode, j’espère que la conclusion sera satisfaisante à tous les niveaux. Comme la suite officielle est déjà connue (mais non dévoilée dans les grandes lignes pour ne pas gâcher le suspense ou faire comme si ce n’était qu’un passage obligé) avec Brightest Day, il incombe à Geoff Johns de ne pas finir sur un « subtil » To Be Continued dans tel ou tel titre mais bel et bien de mettre un point final à Blackest Night. Evidemment, le destin de certains personnages style Aquaman ne sera pas élucidé en profondeur mais ce serait dommage que les dernières pages m’abreuvent de petits panels sur le futur des revenants. Bin oui, il risque d’y avoir de la résurrection (bête et méchante ou plus subtile ?) de personnages morts avant le début de la saga (car ceux qui ont rejoint Nekron à la fin de Blackest Night #5 ont un avenir balisé). Par contre, ai-je vu juste avec cette histoire de connexion coupée (ce qui limiterait les possibilités)? Qui seront les heureux « élus » ? De plus, Geoff Johns a expliqué que la signification de Brightest Day ne serait dévoilée que durant cette conclusion : à quoi faut-il s’attendre ? Clairement pas à une ambiance rose bonbon mais je m’interroge… Sinon, au-delà de la finalité de l’histoire, est-ce que ce numéro se penchera une nouvelle fois sur les dualités avec Hal au centre (même s’il s’est éloigné de son statut de vedette au fur et à mesure que l’histoire avançait) : que ce soit pour Hal / Barry (version Brave & the Bold) et Hal / Sinestro (l’apprenti et le maître, de la grandeur à la déchéance et vice-versa), il y a plusieurs facettes que j’aimerai bien voir abordées surtout si le nouveau statut de Sinestro ne devait pas survivre à ce numéro. Si je me focalise sur ces personnages (mais Mera, Atom, Firestorm ou n’ont pas donné leur part au chien), c’est que Blackest Night est un event qui aura su se débrouiller sans la Trinité (je continue de sourire en pensant au cas « Batman » si certains pensent encore qu’il est mort). Comme la Trinité a été plus moins mise hors-jeu (mais avec des mini-séries dédiées, DC n’est pas fou), il est donc normal de s’intéresser à d’autres héros quand bien même ce sont des personnages fétiches pour Geoff Johns (il a quand même réussi à m’intéresser à Hal Jordan qui était un con bouffi d’arrogance à l’origine surtout en comparaison de Kyle). Sinon, est-ce que Black Hand et Nekron en révéleront plus ? Après, qu’est-ce que ce numéro me réserve encore ? Je me pose la même question au sujet du bourreau de travail qui aura rendu tout cela possible : Ivan Reis ! L’artiste brésilien met un terme à l’histoire via un double-sized (limiter les doubles et splash pages permettrait de ne pas atténuer ce surplus ). S’il fait aussi bien que les précédents opus, je serai aux anges : mieux serait du bonus (mais je prendrai quand même). Après, va-t-il se fixer sur Brightest Day ou bien DC va enfin communiquer sur son prochain projet ? Ce week-end, c’est le WonderCon à San Francisco, il n’y a pas de meilleur moment pour les grandes manœuvres! Et donc… In Blackest Night, In Brightest Day… Quel final !! Voilà une apothéose à la hauteur de ce que fut cet event c’est-à-dire grandiose et riche en couleurs ! Geoff Johns a réussi à offrir une fin qui ne frustre pas les lecteurs exclusifs de Blackest Night tout en évitant de faire de même pour ceux qui liront Brightest Day en évitant une conclusion expédiée en quelques pages : c’est un magnifique épilogue qui prend le temps de s’arrêter sur tous les personnages qui sortent transformés par l’histoire (et bordel il y en a !!). Voilà un event qui fera date ! Déjà, Geoff Johns joue à merveille avec l’intermède de Green Lantern #52 sans revenir sur les révélations de la Création (terrain de chasse de la série visiblement) pour entrer dans le vif du sujet : régler son compte à Nekron ! Dans ce genre de situation, il y a 2 cas de figures possibles : soit expédier les affaires courantes en peu de pages pour se focaliser sur les retombées style Flash – Rebirth, soit faire durer la baston et bazarder le reste en 2 pages style Civil War. En fait, Geoff Johns pioche le meilleur des 2 situations en faisant un nouveau pied de nez aux aficionados de la lumière blanche et en usant à merveille de l’excès de pages pour offrir un combat démentiel s’étalant sur la moitié du numéro. Pour commencer, c’est l’occasion de voir si Geoff Johns peut « écœurer » le lecteur lambda via Nekron mais ce n’est évidemment qu’un leurre (pour le gore, il faudra repasser ou relire les 1ers numéros) : en fait, l’auteur se base sur le concept du personnage dans la lignée de sa création par Mike Barr et Len Wein. Aussi, l’auteur préfère faire joujou avec un personnage qu’il a modifié en profondeur c’est-à-dire Black Hand qui est enfin sous le feu des projecteurs. De même, il en profite pour sortir de sa manche le personnage de Deadman dont le rôle de joker est enfin expliqué (comme quoi rien n’est gratuit) : cela aboutit à une scène qui lave plus blanc que blanc provoquant le retournement de situation attendu mais aussi et surtout à une cascade d’événements aux retombées plus qu’intéressantes. En plus, pour bien appuyer les propos, Geoff Johns et Ivan Reis le font par le biais d’une monstrueuse splash dépliante iconique de folie. Je veux bien sûr parler des résurrections car, comme prévu, il y a en a et Geoff Johns ménage tous les camps donnant des indications sur les compositions de différentes séries. D’ailleurs, l’auteur est un « filou » car cela éclaire logiquement d’un jour nouveau Flash – Rebirth : j’assiste vraiment à un plan sur le long terme et c’est prodigieux de pouvoir mettre toutes les pièces du puzzle ensemble, ce qui explique aussi certains manques de la mini-série narrant le retour de Barry. En Geoff Johns, je dois toujours avoir confiance ! Ceci dit, j’avais raison sur ceux qui auraient la possibilité de revenir car la transhumance n’est pas totale ce qui a paradoxalement le don de me satisfaire (on n’efface pas l’ardoise d’un coup et faire comme si rien n’était arrivé) et de me chagriner car il y en a que j’aurai bien aimé voir revenir… Ainsi, sans trop en dire sur Brightest Day (mes interrogations subsistent mais ce n’est pas l’endroit), Geoff Johns en pave la route tout en évitant une fin ouverte aux 4 vents : il préfère revenir sur les situations développées lors de l’histoire en cours et tous les personnages qui ont eu leur ¼ d’heure de gloire sont de la revue. Comme d’habitude, l’auteur a ses chouchous. :hug: A commencer par le binôme Hal / Barry : le personnage principal reprend le leadership mais continue de sa faire voler la vedette par Barry au niveau des réparties qui font mouche. De plus, les 2 héros concluent l’histoire comme elle avait commencé : dans le cimetière du début mais en plein jour et en civil comme pour appuyer la thèse / antithèse qu’est la saga Blackest Night / Brightest Day. Après, il y a Larfleeze : si le personnage est aussi réussi et ambivalent (dangereux mais risible), c’est aussi la preuve que l’auteur a quelques prédispositions à l’écriture. Le tandem formé avec Lex Luthor aura été intéressant et cet épisode bien mieux fichu que le précédent. Pour Sinestro, j’y vois presque un parallèle avec Superboy Prime : comme le petit con, le Korugarien se voit en sauveur ultime (les œillères, c’est fantastique) mais se plante dans les grandes largeurs. Je ne sais pas si Geoff Johns préfère réserver la rédemption aux héros reconnus (Hal Jordan au 1er rang) mais le plus « grand » Green Lantern n’a pas eu l’impact souhaité : c’est d’autant plus flagrant avec le début du numéro… Sinon, il faut croire que l’Indigo Tribe se la joue Usual Suspects : il est grand temps que DC révèle leur langage tellement j’ai l’impression de m’être fait balader. Enfin, à la fin, je ne suis pas le seul qui bave devant cela. Après, il y a donc des personnages qui voient leur statu quo évoluer ou revenir à l’initial : cela promet de belles histoires ! En tout cas, au travers de ses grandes lignes, ce numéro est aussi un orgasme (oui, oui) pour tout lecteur adorant les Crises DC avec la cargaison de personnages : la baston est totale entre les différentes factions. L’arrivée des cavaleries de chaque camp est un régal (et mon nouveau fond d’écran est tout trouvé). A ce sujet, en comparaison d’Infinite Crisis (toutefois très réussi), Geoff Johns a retenu les leçons dans la gestion d’un event à grande échelle : tout le monde est impliqué mais il n’y a pas de dispersion sur le front de l’histoire et pas besoin de compliquer les choses pour enrichir les débats. De même, contrairement à Final Crisis qui n’a pas (eu) une grosse incidence sur le DC Universe hormis le cas Batman (sur lequel Geoff Johns a malicieusement surfé durant Blackest Night), l’histoire contée a des répercussions directes. De plus, cette conclusion a des analogies avec celle de Sinestro Corps War lors de Green Lantern #25 mais, à la différence du 2ème acte de la trilogie dédiée à Green Lantern qui faisait la part belle aux porteurs de l’anneau (comprenez juste le Green Lantern Corps ^^) tout en plaçant en arrière-plan les héros du DC Universe, c’est le DC Universe en entier qui est aux 1ères loges : la notion d’event DC n’est pas usurpée ! En fait, je ne trouve qu’une chose à redire sur ce numéro : il est criminel de refermer ce joyau en voyant en DC Nation la couverture de Brightest Day (#0 ?) de David Finch qui est une horreur… Ce n’est vraiment pas rendre justice à Ivan Reis (ou alors c’est justement pour ça mais ce serait vicieux…) : il y a comme une douche glacée après le bonheur offert par l’artiste brésilien. DC avait promis un double-sized : chose promise, chose due ! 40 pages explosives me sont offertes avec 5 doubles-pages ce qui permet de bien développer le reste : chaque page a son utilité et c’est du grand art. J’en reviens à la double page du débarquement de la cavalerie des héros : tant de personnages reconnaissables, c’est bien simple, il n’y a que chez George Perez que j’ai vu cela auparavant. Sinon, il est exceptionnel de voir que les nombreux designs pour un même personnage au travers de l’histoire (genre Wonder Woman qui a 4 aspects au final !!) coulent de source : il y a moyen d’écouler un paquet de figurines ! Ivan Reis prouve que le surplus de temps (mais sans retard sur le calendrier initial) qui lui a été accordé a été utilisé à bon escient : il va pouvoir désormais se reposer. :hug: Voilà, Blackest Night est fini… Pour une histoire donc les 1ères rumeurs s’intéressaient plus à un soulèvement des morts (1er teaser en Décembre 2007 !!) et plus particulièrement des héros décédés (et vu le nombre accumulé depuis quelques années, il y avait de quoi se focaliser dessus), Blackest Night n’aura finalement pas été (que) cela. Une fois le cap de la baston avec les Black Lanterns passé, la thématique s’est plutôt orientée au bout de la 1ère moitié vers une opposition plus globale Vie / Mort avec des concepts de pseudoscience et de religion venus s’imbriquer donnant à l’ensemble le côté fresque épique que j’étais en droit d‘attendre et je n’ai pas été déçu. Il faut dire que cet event a été construit en phases bien distinctes évitant une certaine routine :
Ces 8 chapitres ont été accompagnés par une diminution de la violence (du moins dans sa démonstration et l’accumulation de scènes gore) qu’il était toutefois logique d’avoir dans ce genre d’histoire (l’occulter aurait été hypocrite) : Geoff Johns a préféré en mettre plein la vue dès le départ (le sang, ça tâche) pour marquer son territoire puis s’en désintéresser à mi-parcours. En effet, un excès aurait plus desservi que servi l’histoire (ce que certains détracteurs se seraient faits un plaisir de relever) et il y a plein d’autres choses qui apportent du piment. Après, il est clair que 8 numéros (9 en comptant le Free Comic Book Day), c’est assez long et cela monopolise le DC Universe pendant 8 mois (9 avec la pause de Janvier) qui doit parfois rester en état de gestation pour certaines séries avec Brightest Day en ligne de mire (n’empêchant pas des bouses comme Justice League – Cry For Justice d’exister malheureusement). 6 numéros auraient peut-être été plus judicieux, histoire de condenser ce qui pouvait l’être : le tronc n’était pas décompressé mais certains épisodes s’appesantissaient parfois sur des détails (les ties-in sont là pour ça). Après, il est évident que cela sert l’event qui se suffit ainsi à lui-même si je n’omets pas le rôle prépondérant de Green Lantern et Green Lantern Corps : voilà une saga où les nombreux ties-in auront bien garni le portefeuille de DC (fabuleux coup marketing des anneaux qui en a irrité plus d’un ou alors c’est la réussite globale critique et commerciale de Blackest Night qui a énervé…) tout en n’obligeant pas le lecteur à les acheter pour avoir l’histoire principale… Sinon, au chapitre des regrets relatifs, il y a le cas du massacre du Secteur 666 qui n’a pas été abordé (pour plus tard ?) et à un degré moindre celui des Entités même si Green Lantern a enfin commencé à s’intéresser. Il faut dire que c’est un event DC et non plus un event Green Lantern comme le fut Sinestro Corps War : les aspirations sont toutes autres (The DC Universe Will Never Be The Same etc...) et il faut empiéter sur les futures histoires alléchantes de Green Lantern. Le fameux cas des héros que Nekron a réclamé pour en faire des Black Lanterns ne trouve pas de justification profonde (voire pas du tout) si ce n’est une volonté profonde de Geoff Johns tout lier (avec le risque de tout mélanger et parfois de se contredire) : c'est très fan-boy mais c'est que j'attends aussi de ce genre d'histoire donc... Le sombre voile de Blackest Night s’est envolé, place à Brightest Day !! Bilan :
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Bravo à Scarlet pour avoir tenu bon pendant tous ces mois à nous avoir fait ces critiques, c'est de l'excellent travail !
PS : es-tu bien certain d'avoir la liste complète de TOUS les revenants ?
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Il me tarde d'être à demain
Surtout, ne pas craquer : ne pas cliquer sur le spoiler
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes |
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merci !
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Pas tout lu, mais travail impressionnant de Scarlet. Chapeau.
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J'ai pas réussi à aller me coucher et à le garder pour demain... Bouaaaah c'était énorme!
J'adore la tournure qu'a pris cet event dans ses derniers numéros, et le final est spectaculaire. Et puis la réplique énorme de ce numéro: Sacré Larfleeze !
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Burn the land and boil the sea, but you can't take the sky from me. Mes ventes v.o: http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=27439 |
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Moi je pige toujours pas comment situer BN chronologiquement par rapport avec Cry for Justice et Rise And Fall. Y'a des bouts avant, y'a des bouts après, ça donne le tournis...
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Quand même pas
Justice League - Cry For Justice #1 à 7 jusqu'à l'ante antépénultième page Blackest Night Justice League - Cry For Justice #7 les 3 dernières pages donc Rise & Fall Qu'est-ce qui ne va pas?
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Visiblement, il y a déjà un personnage qui fait causer :
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#298
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Excellent dernier numéro pour cet event, qui donne bien envie de lire la mini Brightest Day.
Encore un gros bravo à Scarlet pour son boulot assez énorme pour chacune de ses critiques: je me demandais si tu allais faire le même genre de choses pour Brightest Day ou ça va être la pause pour toi ?? |
#299
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Houlà, tout dépend si cela me plaît, du temps que cela prend, etc...
Pas envie que ce soit une corvée.
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#300
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je viens juste de me mettre à la vo et j arrive à Blackest night.
Que me conseillerez vous: - prendre en singles les série GL, GLC et BN en singles sans les ties in ( les ties ins sont elles importantes ?) - patienter tant bien que mal jusqu a juillet et prendre tout les HC (tout en sachant que j aurai brightest day sous le coude) |
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geoff johns, green lantern |
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