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#1
02/12/2005, 18h31
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Super Heroes of Europe : S.H.E.
je sens déjà quelques vannes sur le titre, mais j'assume.
  Le texte en italique est lorsque les personnages parlent en Norvégien. Episode #1 : Senja. DING DING DING. La cloche du bateau faisait mal aux oreilles des passagers tandis que le vieux capitaine faisait son geste régulier et habituel pour prévenir ses clients qu’ils arrivaient sur la petite île de Senja, au Nord de la Norvège, c'est-à-dire à ce qu’on faisait de plus froid en Europe. Lentement, les deux hommes et la femme sortirent de leur cabine, emmitouflés dans des grosses parquas chaudes et munis de gants et de bonnets pour tenter de se cacher vainement de ce froid qui les glaçait à chacun de leurs gestes, à chacune de leur respiration. Le vieil homme sourit en voyant ces étrangers qui venaient vers son île, cet endroit où il était né et où il avait passé la moitié de sa vie, l’autre étant dédiée à la seule vraie femme de sa vie, la mer. Bien sûr, maintenant que l’économie était plus difficile et que trouver à manger même en pêchant beaucoup n’était plus aussi simple, il fallait que le vieux Jens fasse la navette entre le continent et son île, mais au fond cela ne l’embêtait pas plus que cela que de transporter des gens vers sa terre natale : ils ne restaient jamais très longtemps… « On est arrivés, préparez-vous à descendre ! » Le vieux barbu avait maugréé ces quelques mots tandis que son navire touchait terre et qu’il se préparait à aller jeter les amarres vers un des rares gamins encore sur l’île qui l’aidaient à faire partir et arriver son bateau. Senja n’avait plus vraiment de jeunesse et la plupart de ses habitants n’étaient que des vieilles personnes qui tentaient de faire vivre encore leur terre natale. Malheureusement, de moins en moins en étaient capables… « Tout le monde descend ! » Les deux hommes baraqués et portant tous deux des lourds sacs (c’étaient les plombiers que Senja avait tant besoin et qui devaient venir six mois plus tôt) descendirent de suite, comprenant parfaitement le vague langage norvégien de Jens. La jeune femme, par contre, toute recouverte de son grand manteau d’hiver et de sa cagoule, semblait chercher quelque chose…et ne semblait pas vraiment savoir quoi faire. « Hey, mad’mzelle…c’est fini, vous pouvez descendre… » La jeune personne emmitouflée fut surprise lorsque Jens vint se placer juste devant elle, ne l’ayant sûrement pas entendu et vu avec tout ce qu’elle portait sur elle. Elle se concentra pour tenter de le comprendre, mais elle n’y arrivait pas…sans parler parfaitement le norvégien, elle se doutait bien que cela n’allait pas être facile, mais si en plus on lui parlait avec un accent digne des Highlands, ça allait être pire… « Euh…moi pas parler bien…langue…je… » Jens soupira. Qu’est-ce qu’il y avait de pire pour un habitant de Senja que quelqu’un du continent ? Un Anglais…et qu’est-ce qui était pire qu’un Anglais ? Une Anglaise… « Toi…descendre…fini…voyage… » L’anglais du vieil homme était rouillé, mais la jeune femme lui sourit et réussit à le comprendre. Elle prit alors ses deux gros sacs de voyage qui étaient à sa droite et à sa gauche, et elle descendit doucement du bateau, le long de petites marches posées à la hâte. Malheureusement, les marches en bois étaient gelées et très glissantes. Un des deux hommes avait même failli tomber avant, mais son camarade l’avait rattrapé juste à temps. La jeune personne parlant anglais, elle, n’avait personne pour cela… A peine avait-elle fait quelques marches qu’elle sentit le sol se dérober sous ses pieds. Lentement pour elle et rapidement pour les rares personnes qui la regardaient, la jeune femme sentit qu’elle s’élevait dans les airs, sentant aussi qu’elle allait retomber lourdement sur les marches. Tout le monde pensait qu’elle allait se faire mal et que sa colonne allait se casser sur les rebords durs et secs des marches…tout le monde pensait qu’un horrible cri de souffrance allait sortir de sa gorge pour montrer à tous sa douleur…tout le monde pensait qu’elle allait passer le reste de sa vie dans un fauteuil…et tout le monde se trompait. La jeune personne retomba bien, oui, mais par une chance inouïe, elle tomba à côté des marches, sur le sol dur, sec, mais néanmoins moins dangereux que les marches, du port. Deux enfants, un homme robuste et Jens accoururent alors pour l’aider, pour voir si elle n’avait rien, mais ils n’en avaient pas besoin : elle était déjà debout, souriante et ramassant déjà ses affaires. « Ca…va…rien…j’ai…merci… » Elle leur fit un petit sourire malgré tous ses habits, et s’avança vers le bar de Senja. Jens, lui, se disait qu’il n’avait jamais vu quelqu’un avoir autant de chance…elle aurait dû se rompre le cou ou le dos…et pas s’en tirer ainsi…ouaip, pensa-t-il…elle avait eu énormément de chance… L’intérieur du bar de Senja était très pittoresque et à la limite du caricatural dans ce genre d’endroits nordiques : tout était en bois, le bar était rempli de bouteilles étranges, la télé ne captait qu’une seule chaîne, il y avait des trophées de pêche aux murs et la photo du passage du Président en…1976 au mur… La jeune femme britannique frissonna autant de froid que de dégoût en s’asseyant à une table au fond de l’endroit, refusant totalement la possibilité de subir un courant d’air dès qu’elle aurait enlever tous ses habits chauds. Lentement, elle enleva donc son grand manteau, ses gants, sa doudoune sous sa première couche et son cache-nez. Elle retira ensuite sa cagoule, laissant apparaître et flotter dans les airs ses grands et beaux cheveux roux, laissant aussi à tous les êtres présents, tous des hommes apparemment, le soin d’apercevoir ce superbe sourire qui en fit craquer plus d’un. « Ah, ça fait du bien ! » Molly Fitzgerald n’avait pu s’empêcher de pousser ce petit cri de plaisir et de douceur tandis qu’elle était enfin débarrassée de tous ces horribles et chauds vêtements qu’elle portait jusque là. Elle était beaucoup plus à l’aise en jupe, même dans son Irlande natale…mais avec le terrible froid norvégien, la jeune femme n’avait pas voulue tester la rigidité de sa condition, ni la porté de sa chance… La jeune irlandaise réalisa alors que, hormis le barman et un vieil alcoolique au bar, pas une seule des autres personnes présentes dans la pièce ne s’étaient retournées lorsqu’elle avait parlée anglais…et vu que presque aucun habitant ne semblait avoir vraiment rencontré de britannique ou d’étranger dans leurs vies vu les réactions des deux habitués des lieux, cela voulait dire qu’elle n’était peut-être pas seule à être étrangère ici… Tandis que Molly se dirigeait vers le bar pour se commander une boisson chaude, un horrible doute l’étreint…allait-elle être à la hauteur ? Allait-elle être acceptée ? Allait-elle apprendre qui lui avait envoyé cette satanée lettre ? Et enfin, est-ce qu’on allait pas découvrir ce qu’elle s’efforçait de cacher depuis tant de mois ? Bien sûr, personne n’était informé de cela…personne ! Elle avait prit toutes les précautions possibles pour que personne n’apprenne ce qui était arrivé à Shamrock, la célèbre super héroïne irlandaise…mais…pourtant… Pourtant, quelqu’un savait. Quelqu’un savait ce qui lui était arrivé, ce qu’elle avait fait…et cet être lui avait conseillé de venir ici, dans son intérêt. La menace n’était même pas cachée, elle était très claire : si l’Irlande, l’Europe et le Monde n’apprenaient pas le secret de Shamrock, cela voulait dire qu’elle devait absolument venir ici, dans ce coin perdu d’Europe…comment Molly aurait-elle pu refuser ? En retournant à sa place, la jeune Fitzgerald se demandait aussi, maintenant, qui étaient les quatre autres personnes présentes dans les différents coins du bar…toutes étaient encore recouvertes de leurs affaires chauffantes, malgré la douce chaleur qui régnait dans le seul endroit où l’on pouvait trouver de l’alcool sur Senja…cela n’était pas normal, pensa-t-elle en buvant rapidement le chocolat chaud qui réveillait lentement ses muscles refroidis. Bien sûr, pensa-t-elle en se rappelant pourquoi elle était venue, elle aurait pu demander de l’aide aux héros qu’elle connaissait…Peregrine…Vormund…Blitzkrieg, peut-être…mais…mais c’était Shamrock qu’ils connaissaient, pas Molly Fitzgerald…ils ne l’auraient peut-être pas aidés…surtout si ils apprenaient ce qu’il s’était passé… Soudain, alors que la jeune femme était encore plongée dans ses pensées, l’on entendit un bruit sec et sourd. BOUM. Une sorte d’immense son violent et rapide, du genre de ceux qui font mal aux oreilles durant quelques secondes avant que l’on se demande si ils ont vraiment existés ou non. Si ils n’étaient en fait que de simples cauchemars, ou d’horribles prémices à de monstrueuses choses… BOUM. Le doute ne fut plus permit lorsque tout le monde entendit une deuxième fois ce bruit sec et sourd qui faisait tant mal aux oreilles. BOUM. BOUM. Troisième et quatrième fois. Trois et quatre fois de trop pour les personnes présentes, apparemment. Les quatre hommes que Molly avait repérés en entrant se levèrent alors en même temps et sortirent presque dans le même geste, tandis que le barman, l’habitué et la jeune Fitzgerald restaient toujours surpris face à ce qu’il se passait et à l’attitude de ces quatre étrangers… Imbécile, pensa alors la jeune femme en commençant à se rhabiller à la hâte. Apparemment, elle ne devait pas être la seule à avoir été envoyée ici, et ces hommes semblaient être, comme elle, des héros…enfin, héros : l’était-elle vraiment ? La jeune irlandaise chassa ces pensées de son cerveau en finissant de se rhabiller et en sortant du bar, décidant qu’elle devait aider ces êtres, qui qu’ils soient et quoiqu’ils fassent dehors… Lorsque Molly sortit, elle ne vit pas de suite l’origine des bruits violents qui avaient agressés ses oreilles et ceux des personnes présentes dans le bâtiment principal de Senja. Bien sûr, elle avait remarquée qu’il faisait plus sombre, mais la jeune femme avait pensée naïvement que c’était le soleil qui se couchait tôt dans cette partie du monde…hélas, quand elle leva la tête, elle se rendit immédiatement compte de l’absurdité de son idée… Bien sûr, le soleil était caché. Bien sûr, la luminosité avait baissée. Mais ce n’était pas la Lune qui cachait l’astre solaire aux habitants de l’île…oh non. C’était…autre chose. Un…monstre. Oui, véritablement un monstre. Digne des pires cauchemars enfantins et des plus grands esprits créateurs d’Hollywood, pensa Molly en reculant légèrement, comme les quatre hommes autour d’elle. La créature dégoulinait d’eau, le liquide descendant lentement le long de son corps visqueux, écailleux et vert tandis que sa lourde respiration était comme une sorte de vent pour les quatre humains sous lui. Une sorte de sourire vicieux s’affichait sur le visage de la bête à la tête ressemblant au célèbre Godzilla d’Emmerich, mais c’était sûrement l’imagination débridée de Molly Fitzgerald qui commençait à s’affoler face à ce monstre sortit des eaux devant lui. « Unglaublich… » Son plus proche voisin sur la gauche venait de laisser filer ce mot tandis que, lui aussi, ses yeux étaient fixés sur l’horrible créature qui ne bougeait pas, semblant attendre quelque chose…oui, mais quoi ? « Alain Racine. Alejandro Montoya. Christopher Keller. Anna Bella. Et Molly Fitzgerald. » Une voix calme, posée et avec un léger accent du nord de la Grande Bretagne se fit alors entendre, sans que personne ne parle de ceux que la jeune femme voyait…pourtant, elle avait bien entendue cette voix ! « Vous êtes tous ici par ma volonté…parce que moi, je le voulais. » La voix se faisait toujours entendre, mais l’on ne voyait toujours personne. Les quatre hommes, enfin apparemment les trois hommes et l’autre femme même si Molly ne voyait rien de féminin dans tous ces êtres qui étaient autour d’elle, enlevèrent alors leurs cagoules, leurs capuches ou leurs bonnets pour être plus à l’aise et regarder qui étaient les autres. La jeune femme ne reconnut personne, même si apparemment deux hommes (celui qui avait parlé allemand et un autre à sa droite) semblaient se connaître. Ils se firent un petit signe tandis que celui qui était le plus à droite semblait chercher quelque chose dans le sac qu’il avait dans le dos. « Vous êtes tous ici pour accomplir une mission…une mission bien précise. Acceptez, et vous serez couverts de gloire et riches jusqu’à la fin de vos vies. Refusez, et vous périrez, comme cette île. - Was ? L’île ? » L’allemand avait parlé d’un ton sec et cassant. Il semblait ne pas être trop content d’être là, ni de parler à quelqu’un qu’il ne voyait pas…Molly, elle, semblait envier cette confiance en soi que l’homme aux cheveux noirs à ses côtés semblait avoir. « Oui, l’île. Refusez, et je la détruis. - Vous…vous n’oseriez pas ! » Molly se surprit elle-même à parler ainsi à la voix anonyme qui faisait peser une atmosphère si lourde sur le village que personne n’osait sortir, et que les étrangers ne voulaient ni bouger, ni parler. « Ah ? » L’on pouvait presque discerner un sourire dans ce petit mot de la voix, tant cela se sentait que celui qui parlait riait déjà des paroles de la jeune irlandaise, qui ne se laissa pas démonter pour autant. « Vous n’oseriez pas tuer…des femmes, des enfants vivent ici…personne n’oserait les tuer… - Je prends cela pour un défi, Mademoiselle Fitzgerald et… » Le monstre marin sourit encore plus en relevant la peau autour de ses dents. Il se préparait à quelque chose, tout le monde le sentait…oui, mais à quoi ? Cette question hantait chacune des pensées de toutes les personnes présentes… « Et je relève toujours mes défis… » La créature inspira alors fortement, puis expira quelques secondes après. Un immense jet de flammes sortit alors de sa bouche, allait s’écraser aux pieds de Molly…il l’avait manqué…il avait tiré à côté… La chance…encore une fois sa fameuse chance la sauvait apparemment…sauf que cette fois, cela n’était pas le cas…cette fois, la fameuse chance de la célèbre Shamrock n’était pas au rendez-vous… Bien sûr, le monstre avait tiré à côté…bien sûr, il n’avait pas touché la jeune femme…mais…le sol de l’île n’était pas vraiment de la terre, surtout près de l’eau…c’était surtout de la glace très solide…et comme toute glace, si une forte chaleur vient dessus, elle fond…et c’est ce qui arriva… Avec horreur, Molly vit que le sol sous elle commençait à fondre… Avec horreur, elle vit que le bout de glace sur lequel elle était basculait lentement mais sûrement vers l’eau gelée qui s’approchait de plus en plus… Avec horreur, la jeune irlandaise vit un de ses compagnons tenter de la rattraper, et échouer… Avec horreur, la jeune femme sentit l’eau gelée agresser son corps comme des millions de coups de couteaux… Lentement, Molly Fitzgerald se sentit glisser dans l’eau, jusqu’à être totalement immergée…puis, calmement, doucement, tranquillement…la jeune femme sentit de moins en moins de choses…jusqu’à ne plus rien sentir du tout…et ne plus rien voir du tout… Dernière modification par Ben Wawe ; 02/12/2005 à 22h36. 
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#2
02/12/2005, 18h34
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Cool Ben !! Jveux la suite !
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#3
02/12/2005, 18h36
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#5
03/12/2005, 13h52
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Mr Sum a dit : "Franchement,j'aime ton style. répondre avec une telle dérision et un tel sens du second degré,ça frise le génie !!" Fredgri a dit :" j'aime bien Lupin, pour ce qu'il est, cette gentillesse alliée à un faux/vrai égocentrisme qui me fait souvent sourire même si je ne sais jamais sur quel pied danser !"
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#6
03/12/2005, 15h11
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Je ne sais pas si j'ai raison, mais:
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#7
03/12/2005, 15h16
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personnellement, je pense que c'est juste et j'utilise très souvent ces tournures de phrase, aussi bien dans mes écrits que dans mes devoirs pour la fac/le lycée : on ne m'a jamais fait de réflexion là-dessus, donc je suppose que c'est juste, ou du moins que ça se dit.
après, c'est possible que ça soit faux, mais j'aime bien le résultat que ça donne. y a un prof' de français sur Buzz ?
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#8
03/12/2005, 15h22
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Ah, mais je ne dis pas que ce n'est pas juste gramaticallement parlant, juste que ça coule mieux en évitant par exemple la répétition de "et" pour le passage: " ... et munis de gants et de bonnets (...)"
Je trouve que ça alourdit inutilement le texte. Mais bon ce n'est que mon avis et je ne suis ni prof de français ni boulimique de roman donc...
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#9
03/12/2005, 15h28
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ma foi ,je suis d'accord avec "le clone raté de Roland S..." , ça passe beaucoup mieux ainsi ,c'est plus digeste
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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#11
03/12/2005, 21h08
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alors y a des passages qui sont bien écrits. sincerement, t'as plutot une plume tres sympa a lire je trouve.
apres, t'as des trucs un peu balancés au lance roquette je trouve, genre:
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"Ces trois films sont des merdes même s'il y en a deux que je n'ai pas vu..."
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#13
03/12/2005, 21h33
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ah oui mais j'avais bien capté que c'etait un subplot. je dis juste qu'il est un peu balancé brut de décoffrage.
et puis pour la lecture, c'est a moi que ca a fait plaisir! et qu'on ne dise pas que je ne suis pas poli ensuite.
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"Ces trois films sont des merdes même s'il y en a deux que je n'ai pas vu..."
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#15
03/12/2005, 21h38
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heureusement que ces grands élans d'amour viril ne sont pas visibles des autres forumers...
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"Ces trois films sont des merdes même s'il y en a deux que je n'ai pas vu..."
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Mode linéaire
