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Je pense plus, pour la case dont tu parles (si c'est bien d'elle dont tu parles hein ) qu'il s'agit d'une référence au Lying Cat de Saga... d'où la tête de Bentley (donc pas de raté niveau dessin!)
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Je veux mes comics!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Rarement (jamais ?) acheté autant de single issues en un seul mercredi, je ne les ai pas encore tous lus mais j'ai la tête qui tourne @_@ Quelques avis :
All-New All-different Point One #1 De manière générale j'aime bien les anthologies et la possibilité qu'elles offrent de découvrir différents styles, différentes équipes sur un format assez réduit, donc j'apprécie cette initiative de Marvel à chaque nouveau gros lancement (les Sneak Peeks de DC pour le DCYou étaient pas mal non plus, mais le principe d'enchâsser des histoires pour former un tout qui se tient est très astucieux).
Avengers #0 L'impression inverse ici : la trame principale est ennuyeuse mais plusieurs des courts segments suscitent mon intérêt pour la suite, et surtout on sent déjà une cohérence au niveau des histoires mettant en scène Carol Danvers (son titre solo, A-Force et The Ultimates), ce qui fait plaisir.
Siege #4 Alors que d'autres histoires peuvent être sympathiques mais sans plus, Gillen bourre ses chapitres à la fois de jeux de mots et concepts débiles (Galact-USA The Great Consumer ), de one-liners bien sentis et de moments plus émouvants (j'avoue, j'ai versé ma petite larme en voyant la double-page de fin). Chacune de ces petites trouvailles vient relancer notre intérêt, et en plus d'aimer les phrases à double sens, on sent qu'il écrit avec ses tripes. La peur d'une mort inéluctable qui nourrit The Wicked + The Divine est également présente ici, et comme il s'agit de son dernier travail pour l'univers Marvel (il continue juste Darth Vader pour l'uivers Star Wars), les derniers mots d'Abigail Brand prennent une signification supplémentaire : Avec le recul, il y avait tout dans ce tie-in : l'humour, l'étrange, l'émotion, les liens avec la série principale et des niveaux de lecture supplémentaires, à propos de l'absurdité de la vie et de ses dérisoires combats quotidiens avec de toute façon la mort au bout (et sans doute aussi l'écriture de comics pour un univers partagé, chaque mois amenant son lot de chapitres dans un univers où tout change et rechange sans nécessairement évoluer). Je n'ai pas trop compris l'intérêt du segment sur Lady Katherine Bishop et America Chavez par contre (va-t-on les retrouver dans la série principale ou d'autres tie-in ?) Midnighter #5 Huhuhu. Dans ce 5e chapitre, on garde une recette qui fonctionne : des séquences d'action façon film-avec-Bruce-Willis-dedans et leur lot de one-liners et de scènes dantesques (saupoudré d'allusions sexuelles gay : ici Dick Grayson menotté à Midnighter pour une certaine raison), le tout entrecoupé de passages relatant la vie amoureuse du héros. Et puis Steve Orlando réalise quand même un gros tour de force, en nous surprenant à plusieurs reprises via certains twists, alors que son héros a le pouvoir de prédire l'issue de beaucoup de choses. Je ne suis juste pas fan de la colorisation de Romulo Fajardo Jr, qui fait certes très bien le taf mais qui donne l'impression que l'ambiance lumineuse est la même quelle que soit l'image qu'il colorise. Où sont les lecteurs ?!
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"It's not about adding diversity for the sake of diversity, it's about subtracting homogeneity for the sake of realism." une cacahuète dans la nuit. Dernière modification par cosmos ; 07/10/2015 à 19h08. |
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Tu rigoles, j'espère?
Secret Wars oui, les Bendiseries non. Après, j'essaie de passer entre les gouttes pour les spoilers de Batman & Robin: Eternal.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Vendredi pour moi (avec les 2kg de Pulp en plus ). Cela me calmera les nerds de la réunion programmée plus tôt à mon insu. Pas plus d'attente que d'habitude (un peu pour SW #6 au vu du post de mrcitrouille à qui je fais totalement confiance)
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Le segment Spider-Woman de The Amazing Spider-Man #1
(j'avoue que celui-là, je l'ai juste feuilleté pour ne lire que le passage qui m'intéressait) Dennis Hopeless est le premier à avouer que sa femme devrait être créditée comme co-scénariste pour tous les détails sur la grossesse de l'héroïne, et on le croit tellement ça sonne juste (même si on n'a jamais été enceinte pour, par exemple, la simple et bonne raison qu'on n'est pas une femme). Ce court chapitre est tout simple : Jessica est au téléphone avec Carol Danvers, et tandis que l'une marche simplement dans la rue afin d'aller accomplir une petite mission, l'autre est occupée dans l'espace à faire cinquante trucs de super-héroïne trop cools. Et ça fonctionne très bien, tellement les anecdotes de Jessica sur ce que ça change d'être enceinte sentent le vécu. La façon dont elle est passée de super-héroïne dure à cuire et volontiers solitaire/torturée à future mère que tout le monde pense devoir aider ou protéger en posant mille questions indiscrètes est complètement jubilatoire. Javier Rodriguez assure encore une fois au niveau des dessins, avec des expressions excellentes et des compositions de page astucieuses, dans la droite lignée de ce qu'il produisait dans les précédents chapitres. Malgré les torrents de nerd-rage qui ont suivi l'annonce de la grossesse de Jessica, je suis sûr que le couple Hopeless ainsi que Javier Rodriguez vont nous sortir une superbe histoire. Jughead #1 Un nouveau principal arrive au lycée de Riverdale, et il est bien décidé à changer certaines choses, en commençant par la menu de la cantine, qui sera à présent sain et équilibré. Mais c'était sans compter sur Jughead Jones, bien décidé à rétablir le burger au déjeuner... En résumé : Squirrel Girl lite. La présence de la dessinatrice Erica Henderson y est pour beaucoup, mais on retrouve ce côté très bavard dans les dialogues, et surtout l'impression que tous les délires sont permis, la preuve avec un rêve très Game of Thrones, qui reprend les aspects les plus marquants de la série (ceux qui sont devenus des memes, quoi), ce qui fait qu'on n'est pas perdu même si on ne suit pas la série. La couverture du #2 qui annonce un Time Police à base de dinosaures confirme l'idée que cette série, ça va vraiment être n'importe quoi. Et donc "Squirrel Girl lite" parce que j'ai souri à de nombreuses reprises et éclaté de rire deux ou trois fois, alors qu'avec les aventures de Doreen Green je ricane tout du long Mais on retrouve le même trait simple tout en étant extrêmement expressif, et ces personnages qui aiment s'écouter parler en truffant leurs (longues) répliques de traits d'humour ou d'allusions à la pop culture. A noter que l'équipe a une approche du personnage légèrement différente de la série principale : là où Mark Waid et Fiona Staples en ont fait une sorte de manipulateur bienveillant qui a des dossiers sur tout et tout le monde, celui de Chip Zdarsky et Erica Henderson est juste obnubilé par la bouffe et les jeux vidéos, et est prêt à tout pour que rien de tout ça ne change. Bref : après Afterlife with Archie, Chilling Adventures of Sabrina et le relaunch d'Archie, voici une autre réinvention de Riverdale qui s'annonce épatante, vivement la suite. Cyborg #3 (sérieux j'ai déjà oublié de quoi parlait ce chapitre ; fuyez loin)
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"It's not about adding diversity for the sake of diversity, it's about subtracting homogeneity for the sake of realism." une cacahuète dans la nuit. |
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Y a pas grand chose à spolier dans le Batman, ne t inquietes pas Et merci à arrowsmith, pour la confiance: le seul défaut ds SW6 c est la date de sortie du 7 |
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De retour pour jouer un mauvais tour. J'avais prévenu que j'allais craquer. Et bien voilà c'est malin ... Mon pauvre porte monnaie.
Batman & Robin Eternal 1 (DC ; Scénario de James Tynion IV et Scott Snyder ; Dessin de Tony Daniel ; Encrage Sandu Florea). Pitch : Dick est de retour a gotham pour une bête histoire de bombes dans une soirée... C'est tellement commun qu'il en profite pour faire une aventure annexe avec Red Hood et Red Robin ... Mais ça mission le ramène à son premier affrontement avec l'épouvantail dans sa jeunesse de Boy Wonder du Batman. En parlant de la chauve souris plus proche du mécha il traque Bluebird. Avis : Bien plus convaincant que Batman Eternal 1. Peux être le plaisir de voir 3 robin ensemble ... Mais pas seulement. Le retour de Cassandra Cain. Et quel retour. Alors qui est mother ? Qui est the Orphelins ? Et quel danger pour les pupille de Bruce ? Au moins on a déjà la réponse de qu'est-ce qui le lit à Mother avec un cliffanger Coté dessin j'avoue malgré avoir trouver ça très beau j'ai pas du tout reconnu la patte de Tony Daniel ... J'aimais l'ancien Tony ... Mais ce qu'il montre ici est encore plus fort, mieux maitriser. Paper Girls 1 (Image ; Scenario Brian K. Vaughan ; Artiste Cliff Chiang) Pitch : Une jeune fille après un rêve très étrange va faire son tour de quartier pour délivrer les journaux du matin. Elle fait alors une mauvaise rencontre mais 3 autres jeune filles paperboy comme elle arrivent la soutenir. Elle va alors faire sa tourner avec leur leader (La première Papergirl). Mais les deux autres sont agresser par d'étrange individu qui pique leur talkie. Elles décident d'aller le récupérer. Avis : En ouvrant les cartons j'était sur ne pas résister longtemps au vu de la qualité graphique ... Chiang m'avait enchanté sur Wonder Woman et ici il recommence. Vaughan arrive à nous ramener à un temps que les moins de trente ans au état unis ne peuvent pas connaitre (Et nous encore moins). Il pose légèrement mais irrémédiablement dans nos coeurs chaque personnage positif et dans notre mémoire ceux plus négatif. Mêler ce passé nostalgique et la SF était couillu et ça fonctionne parfaitement. Un plaisir que je désire continué dans la suite forcément plus étrange. +10000 à leur vrais/faux courrier des lecteurs. Par contre je ne saurais dire s'il accuse le coté commercial d'avoir utiliser des mômes pour livrer les journaux ou s'il regrette ce temps là. Et leur photo tout jeunot pour le prix de meilleurs livreurs du mois et juste génial et trop forte. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 12/10/2015 à 18h26. |
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Secret Wars #6
Mais entre les retards, le coup des tie in qui ont enfin de l'importance (et malheureusement pas ce que j'ai lu, j'aurais aimé un éditorial ou des notes pour relier l'ensemble) et la All-New Different qui a commencé Secret Wars me fait moins vibrer qu'au début.Le soufflet est un peu descendu. Je pense que comme beaucoup de titres actuels une nouvelle lecture en bloc permettra de mieux apprécier le scénario de Hickman. Pour Slobo : Bentley est bien dessiné en mode clin d'oeil au Lying Cat de Saga |
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Paper girls #1
Paper Girls, le déjà futur hit de Brian K. Vaughan, commence comme dans SAGA, continue comme dans les Goonies, se la joue John Hughes et se termine comme dans Super 8 avec un excellent cliffhanger sur un symbole ultra connu renvoyant au début du même comics (belle mise en abyme). Comme le signale Slobo on est dans une atmosphère de SF à l'ancienne (bon les années 80 se n'est pas si vieux, quoi que je suis bien déjà un vieux con sénile) et BKV et Cliff Chiang ont beau se la jouer rétro cela fonctionne. Ils apportent cette touche de modernité qui fait la différence que cela soit graphiquement (Chiang qui adapte son dessin et s'éloigne légèrement de ce qu'il a pu faire sur WW mais apporte un soin particulier aux habits so eighties par exemple) ou au niveau de l'écriture (on est pas noyé par les références, ce qui était clairement un piège, mais elles sont subtiles, explicites, intelligentes voire drôles). Donc oui l'ensemble fonctionne très bien et on a une énorme envie de lire la suite. Ce premier numéro est une réussite de la part d'un Vaughan décidément prolifique cette année et qui sait se renouveler. |
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We stand on guard #4
WE STAND ON GUARD #4
Déjà j'adore la cover : Le graphisme soigné de Steve Skroce (et sans retard) me plait toujours autant (peut être même son meilleur numéro d'ailleurs) et même si WSOG restera un Vaughan "mineur" par rapport au reste de sa production (c'est également une mini ce qui tranche avec ses on-going) le récit me fait passer d'excellents moments de lecture. Encore un flashback sur le passé de Amber intéressant qui ouvre encore le droit à des spéculation sur son rôle dans cette aventure. Pour moi il est là le petit plus qu'apporte rian K. Vaughan car il nous met dans un doute permanent (et à la fois il n'y a que 2 possibilités) sur son héroine. Les scénaristes ouvrent également un peu plus leur récit avec la situation au Etats Unis. On a également le droit à une bonne scène d'action qui se conclue par un cliffhanger (comme à chaque numéro, marque de fabrique de la mini qui joue dessus). En clair, c'est du solide. Moi je m'éclate et je le prends pour ce que c'est : un bon comics. |
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Sinon ce sera une mini moi j'espère parce qu'une ongoing j'ai tout de même des doutes d'un intérêt au long terme. Je sais pas toi mais j'ai trouver Chiang, en effet ici différent, proche du style de murphy. |
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Alors
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Pas encore lu mais merci pour vos retours. Super 8 c'est le film de Spielberg ? j'ai vu la même remarque sur un forum américain. Les retours sont très positifs pour l'instant. |
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