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Yep ! La Grande Attaque du Train d'Or.
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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ZAITCHICK, Le Cinéphile qui tire plus vite que son ombre (Hombre !).
C'est pas le cas de ma vieille Mule d'ordinateur (mais je la garde quand même, nom d'un Trésor de La Sierra Madre) PSYCHO pour ta participation et la carotte au bout du petit bâton qui nous faisait saliver. |
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(note-ter) Mouche ! Tu me l'as enlevé de la bouche - Foi de Dino Dingo (That's Amore) (ultima-note) Naïf que de moi alors, j'avais été le voir aussi (en matinée à cinq francs) ...Aucun souvenir. Sans quoi, Peter Fonda en rousse, y devait pas être mal non plus ! |
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Bon, assez ri ! …Reprenons de la hauteur.
Un fort beau décollage (Let’s Take Off !) que ma mémoire n’aura jamais effacé :
Dans un autre Topic « Rétro », que DOOP a consacré au Maître Des Arts Mystiques du Marvel Universe, j’avais pu exprimer mon attachement pour les dix épisodes consécutifs de Doctor Strange qu’aura dessinés* et encrés, Dan Adkins en 1968. Les curieux emprunts qu’y fit Adkins à plusieurs reprises, d’illustrations pêchées ça et là chez deux grands « Vétérans » - l’un Américain (assez évident), l’autre Français ! (un peu plus inattendu) - me laissa longtemps (+ de 30 ans) dans l’incertitude jusqu’à sa résolution (dans le Thread sus évoqué) grâce au renfort précieux de Buzzukis toujours enthousiastes que du reste pour la plupart, je retrouve avec plaisir en qualité(s) de « Caseurs non amnésiques ». C’est bien dans les Eclipso 49 et 50 qu’environ un an après leur parution, j’ai découvert ce Run qui donc fait le pont entre ceux de Marie Severin et de Gene Colan/Tom Palmer. Mais j’ai néanmoins préféré reproduire ma vignette « ascensionnelle » dans sa version originale (Essential DS, vol.1) car dans le pf, le phylactère invocateur des « Hôtes velus d’Hoggoth » et des « Nombreuses lunes de Munnopor » , cachait un peu la tunique du Disciple soucieux quant à la santé déclinante de son vieux Mentor. L’autre jour, à propos des « vie » et « mort » du Captain Marvel selon Starlin, nous avions relevé que celui-ci pouvait s’inspirer le cas échéant, des Grand Peintres Italiens de la renaissance. De la même manière, l’envol du bon Docteur n’est pas sans m’évoquer (désormais) comme une légère réminiscence de ceux qui comblent les hauteurs picturales d’un autre Grand Artiste contemporain des précédents. Il a officié sa vie durant à la cour d’Espagne, quoique il fut de Grecque extraction** …D’où son Pseudo ! http://www.nationalgallery.org.uk/paintings/el-greco-the-adoration-of-the-name-of-jesus & * Sauf sur un seul épisode dont les Lay-Out(s) sont de de George Tuska (qu’est qu’il faisait par là ?), ce qui casse d’ailleurs un brin cette admirable progression. **El Señor Domínikos Theotokópoulos. |
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Le piège à filles de Russ manning dans le Berceau des Dieux en 1975 dans la luxueuse collection Appel de la Jungle.
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De Ditko à Adkins. 1ère partie : l’Éloge du Maître.
Je continue si vous le voulez bien, sous l’impulsion de mon dernier Post.
Nous allons traiter d’un rapport curieux - car non direct - entre un Élève particulier et un Maître avéré (et vénéré), lequel sera cette fois désigné de façon moins implicite. Pour le coup, introduisons sans attendre le grand Dessinateur de Comics dont j’ai parlé en tant que vétéran « born in USA ». Il est d’ailleurs fort indiqué pour remplir vis-à-vis de Dan Adkins (et consort), un rôle comparable à celui de l’Ancien envers son disciple. Tout ça pour dire aussi que nous demeurerons dans les Arts (et les Arcs !) mystiques Je veux parler bien entendu, de Monsieur Steve Ditko. Mais d’abord, à tout Seigneur, tout Honneur ! Je lui déroule le tapis rouge en vous proposant non pas une, mais trois de ses images mémorables ou pour être exact, des Splash-Pages introductives choisies parmi ses plus emblématiques parce que : de ce genre d’exercice de style fort propice à encourager nos (jeunes) appétits de lecteurs boulimiques, cet Artiste de Génie* fut (est ?) un expert quasi inégalable. Toujours dans un souci de continuité, je me sers du précieux volume « One » (le « Two » l’est presque autant) de l’Essential Doctor Strange** pour reproduire les panels en question et par conséquent, en VO. 1) DS in Strange Tales 135, que j’ai connu par l’Eclipso N° 36. Une Spash d’intro « récapitulative par anticipation ». Elle annonce les péripéties à venir, un peu à la manière de l’Ouverture d’un Opéra romantique*** qui mélange les thèmes musicaux de scènes ultérieurement développées. La composition de Ditko est d’autant plus efficace qu’il me fut trop facile de succomber à l’évocation du château anglais (ou écossais) perché sur son piton rocheux cerné de grosses vagues… Souvenirs agréables d’une Île sombre plus ou moins bien fréquentée (Gare au Gorille ! …Et aux faux monnayeurs, respectivement) ou d’un Chien de cauchemar s’acharnant sur une dynastie dont on retrouve d’ailleurs le nom - quel hasard ! - à l’intérieur de l’épisode (cf. le félon manchot) présenté donc, d’aussi belle manière : 2) DS in Strange Tales 138. Mais là, j’ai lu cette histoire dans l’Eclipso 38 amputée de sa planche d’intro justement, car le petit format enchaînant trois épisodes successifs du personnage, les éditeurs (sans doute encore éblouis par le soleil de Tourcoing ) n’ont pas jugés utile de conserver cette image (pré)supposée redondante (!) Pour cause, c’est bien d’une Splash d’intro « prompte piqûre de rappel » qu’il s’agit. Elle réexpose en effet, les incroyables évènements survenus uniquement au cours de la planche sur laquelle s’achevait l’épisode précédent (la dixième du DS in Str. Tales 137, donc) mais cette fois sous la forme - réminiscence du picturalisme « sacré », à nouveau ? - d’un tryptique incurvé dont chaque composante est comme un instantané chargé de symbole. Ça aurait même un coté quasi photographique que je serais pas surpris. Pour preuve : Docteur Strange en situation de voyageur « initiatique », va enfin rencontrer le fort intimident Éternité (même pour lui !), lequel faisait grand mystère depuis pas mal de temps - «Eternity » first pronounced by The Ancient One in Strange Tales 132 - Or, on apprendra bientôt que c’est la dite Entité Cosmique - apparence incluse, Thanks Steve ! - qui procurât jadis à l’Ancien, l’amulette mystique - devenue ensuite (cf. Str. Tales 127 quand même !) l’ornement indispensable de son disciple favori - laquelle - phénomène marquant ici - s’est agrandie jusqu’à devenir une porte (voire une super focale) de passage d’entre les dimensions. Une cohérence narrative vraiment remarquable. Je ne sais pas à qui le crédit en revient davantage : Stan Lee, le scénariste ou son Metteur en images épris de Merveilleux (Sense Of Wonder) ? Vous aurez compris où s’oriente mon sentiment… Mais le débat reste ouvert. Bon ! Assez tergiversé, l’image : 3) DS in Strange Tales 144, défriché dans l’Eclipso 42. Une Splash d’intro « psychologique ». Même si elle reprend un fait survenu auparavant - DS in Str. Tales 141, en vérité car entre temps, le bon mage aura eu quelques soucis, sinon d’autres chats (dont une chatte coriace ) à fouetter - cette image décrit plutôt l’état d’âme du Héros. Son accablement rapport au sort injuste infligé envers sa « promise » - Dormammu, mauvais perdant autant que tête brûlée ! - est on ne peut mieux figuré par les plis tourmentés de son manteau de lévitation qui forment désormais - Ô contre-emploi mémorable ! - une espèce de linceul ou cocon propres à insister sur l’impuissance (momentanée) de son propriétaire. J’aime à penser (mais peut être me trompe-je énormément) que le Ditko de 1966 - en outre, bientôt en rupture définitive d’avec Marvel - fait là encore, œuvre de précurseur visionnaire car on ne retrouvera ce procédé que bien plus tard chez ses éminents confrères, le Batman de Neal Adams et ses Héritiers, en particulier : * Tiens ! Au fait, mais pour tout le « Silver Age » Marvelien (examen de ceux de métaux plus « ordinaires » toujours en attente), qui vois-je donc comme « Élus » gratifiés de cette prestigieuse distinction, elle-même considérée selon son sens le plus fort (ou profond) ? Ditko …OK ! - Kirby …Of course ! - ? …Euh, That’s All, Folks ! ** Une petite pensée s’il vous plait, pour mon malheureux exemplaire qui supportât la violence à répétition de se faire plaquer sur le carreau comme le premier ruffian venu …avec parfois le concours d’un petit pavé, le cas échéant ! *** Un exemple patent (et magistral !) : « Le Freichütz » de Carl Maria Von Weber, version Carlos Kleiber (si possible). |
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Tous les personnages ont quelque chose de la "poupée". Est-ce voulu ? |
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Regarde le scan de l'original trouvé sur l'ERBzine : http://www.tarzan.com/manning/680414h8.jpg
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Merci PSYCHO, d'éclairer encore ma lanterne et pour ce dernier lien qui semble assez pléthorique.
Le Tarzan BCBG de Manning me rappelle celui du petit écran de mon adolescence. Il était blond (avec une belle mèche) et s’il n’était pas obligé de sentir le sable chaud , son "side Kick" (un gamin de souche asiatique) s'appelait Jay ou Jaï, je crois. ça devait avoir été tourné autour de ces mêmes années 1967/68 car je me souviens surtout d'un épisode avec Diana Ross & The Supremes en guest Stars. Elles jouaient le rôle de religieuses missionnaires. Dernière modification par Oromasès ; 25/08/2010 à 09h43. Motif: précision ethnique |
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C'est ça. L'épisode avec Diana, Mary, et Cindy date de 1968. La série Tarzan avec Ron Ely a durée de 66 à 68.
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My World Is (just a little Bit) Empty Without Them
Including The Singers & The Ape-Man (La, La-La, La-La, La-La, La, La, La !*). * Préférer celui de Raymond à celui -"relooké"- de Serge (malgré mon attachement pour ce dernier prénom). |
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De Ditko à Adkins. 2ème partie : Hommages de l’Élève (début)
Dan Adkins se voit confier le graphisme de Doctor Strange à partir du Strange Tales 161 d’octobre 1967, soit quinze mois après le départ de son illustre prédécesseur.
Entre-temps, la destinée picturale du Maître des Arts Mystique aura été assurée d’abord, par rien moins que le créateur aguerri de Sub-Mariner : Bill * Everett dont la carrière débuta même avant celle de Steve Ditko mais qui (hélas pour nous),décèdera début 73. Peu de temps en l’occurrence, après avoir recouvré son personnage « fétiche » pour plusieurs épisodes mémorablement « hors du Temps » (cf. The Marvel Continuity) …Faudrait qu’on y pense ici. Ensuite, vient une Personne qui justement, soignera bientôt - de façon prolongée et pour notre plus grand plaisir aussi - la belle prestance** de sa majesté Namor 1er : Madame Marie Severin, laquelle peut-être un tantinet impersonnelle au démarrage (« ses » deux 1iers DS), retrouvera vite la cadence et l’esthétique des mieux inhérentes à la série. Everett de son coté, (soyons impartial) n’aura pas trop forcé son talent quoique ce « minimum syndical » ne l’aura pas empêché de porter sur les fonds baptismaux deux adversaires pittoresques de Doctor Strange : Kaluu, le rival ancestral de l’Ancien et Umar, la soeurette « oubliée » de Dormammu-Le-Terrible. On aurait pu s’attendre à tout, sauf à son physique (seyant malgré ça) …de Madame Irma !? Cela dit, j’ai toujours adoré les filles - un rien « garçonnes » - croquées par le regretté Bonhomme. Quant à la Sœur de John, elle n’est pas en reste non plus car elle gratifie le Doctor Strange ’s World(s) de deux Entités Cosmiques supplémentaires : Zom, l’affreux géant velu hyper dé(sen)chaîné*** et ce Monument de Solennité (les arches de Stonehenge sont ridicules à coté) à trois faces (Janus n’a plus qu’à bien se tenir !) plus ou moins voilées ("Hordes-de-Feux" aussi ! …Fais gaffe Poil de Carotte, Son Omnisciente Hauteur te jauge de tous ses yeux ! ) répondant au titre intrinsèquement considérable de Le Tribunal Vivant … Quel Concept, noms de Dious ! Profitons de cette dynamique singulière pour mentionner d’entrée - puisqu’à partir de maintenant, il sera surtout question de lui - les contributions marquantes de Dan Adkins le jeune bénéficiaire donc, des jolis travaux que je viens d’évoquer : Nebulos, l’abominable autant qu’antipathique (jamais un sourire) Seigneur des Périlleuses Planètes en perpétuelle lévitation (c’est pour ça qu’il a pas besoin de jambes ) et autosuffisant à outrance puisqu’il s’imagine que son Sceptre de Pouvoir Polarisé - fallait le trouver, celui-là - lui permet de flanquer la peignée à n’importe qui - ou n’importe quoi - de vivant, de minéral, de mortel et d'in(dé)fini. Arborer une permanente aussi baroque avec une antenne plantée dedans, ça lui donnerait pas la « grosse tête » ? Yandroth, un Savant Fou - vague sosie de Yul Brynner (Hi Again !) - qui pour se consoler de ne pas avoir été préféré à Donald Pleasance lors du Casting (alors tout récent) de « You Only Live Twice », a choisi de s’extirper de ce Cul-de-sac inadmissible (également très imbu de sa petite personne, notre acteur refoulé) en se réfugiant accessoires inclus - sa combinaison collante noire, ses gants et bottes assorties sans oublier l’indispensable holster avec son Super Luger « futuriste » (Efficacité garantie même contre les Dinosaures !), plus quatre ou cinq semi-remorques bourrés de la Haute Technologie Dernier Cri de son cru (Ah !! …Dur dur, les Roadies) - sur quelque exo planète sombre et gluante peuplée (entre autres) d’escargots et de vampires (la bébête, pas le Mort-vivant) géants. Et cela à seule fin de se rejouer la-Scène-du-Rapt-de-la-petite-Madame-innocente-et-Sexy-malgré-elle - Miss Victoria Bentley, So Chic You Are ! - histoire d’embêter son Boy-friend (platonique) du moment : rien moins que notre Stephen-sous-cape favori, alors qu’il vient juste de se débarrasser de Nebulos (Jamais moyen d’en prendre Cinq !). N’empêche, cette rencontre qui va davantage le mesurer à du bon gros « Matériel » - dont Voltorg («le Balourd »), un Robot à électrodes grand modèle récupéré d’une série « Z » des Fifties - lui (nous) permettra aussi de s’évader un peu des terrains d’exercice plus coutumiers à son spiritualisme extraordinaire. Bon ! Une anecdote maintenant, relative au retour imminent d’une politique des Auteurs moins farfelue : Quand on connaît bien les usages du Comics Entertainment, il est toujours intéressant de consigner (dans nos annales de la rareté) que les trois Dessinateurs et la Dessinatrice qui de fin 1964 - cf. La 1ère apparition de Dormammu - à mi 68 - Le 1er grand Retour de Cauchemar (Morphée l’ayant longtemps retenu) - se sont passés le relais sur « DS,MOTMA », furent tous leurs propres encreurs. C’est donc à partir de l'accointance Gene Colan/Tom Palmer autant virtuelle (paraît qu’ils se seraient presque jamais rencontrés) qu’encensée (mais gardons-nous des « Receveurs d’Idées » trop fervents ) que se rompt cette chaîne d’exception. Quand même un mot sur les Scénaristes : Stan Lee bien sûr, qui (sans doute trop fatigué d’avoir beaucoup donné en amont) prend des vacances après avoir laissé Stephen Strange en situation délicate.**** Mais notre fumeur de cigares au sourire éclatant (et commercial) reviendra sur trois ou quatre épisodes ultérieurs. Viennent ensuite, Roy Thomas - Le méritant Dauphin - Dennis O’Neil - Copain du précédent alors en recherche de poste avec l’espoir d’un CDD (Il le trouvera ailleurs) - Raymond Marais (C’est qui, un Frenchy ?) et enfin Jim Lawrence (Il est confidentiel !). Ouvrons désormais « The Dan Adkins’Tribute to Steve Ditko », une passionnante (pour moi au moins) compilation d’images recyclées qui si l’on en croit l’Artiste panégyriste en cette occasion, lui furent suggérées par son Éditeur (Excelsior !) Citation du Document Source : - http://twomorrows.com/alterego/articles/08adkins.html - Roy THOMAS : (...) So then you went onto "Dr. Strange" in Strange Tales, which was the other character you had wanted to do. Dan ADKINS: Yeah. They told me to draw it like Ditko. I did that for the first two or three stories. Then they started letting me do my own thing, and I slowly changed the appearance of the whole strip. Les histoires concernées sont DS in Stranges Tales 161 à 163, dont les protagonistes principaux sont outre le Magicien, Victoria Bentley - (jolie) brebis égarée de service - Mordo - faisant son xème retour - Nebulos - qu’on ne reverra pas de sitôt - and The Living Tribunal (!) - qui au précédent va donc lui faire ravaler définitivement son caquet (son étrange casquette eût été plus délicat). À l’intérieur de ces trois parutions, j’ai effectué une sélection de vignettes et de planches (en réalité il doit y en avoir deux fois plus) parmi les plus évidentes concernant le phénomène qui motive donc, ce petit descriptif de cases mémorables par transitivité : d’Adkins envers Ditko, puis du lecteur assidu (dont votre serviteur) envers ces deux artistes. Nous procéderons de façon chronologique à partir des œuvres de l’Élève appliqué (dans tous les sens du termes, le concernant), lesquelles seront aussitôt mises en miroir avec celles de son glorieux Aîné. 1) Deux vignettes dont seule la seconde est concernée mais la première est reproduite pour mieux en comprendre le contexte : Idem pour le modèle issu de la rencontre historique entre Docteur Strange et Éternité : Commentaire : bien que les poses du Docteur en soient identiques, l’un est dynamique (il se pose en douceur) et l’autre est statique (il se fait sonder par son hôte fort intimidant) * Son prénom complet est William Blake, ce qui nous attire encore du coté de l’Art avec un grand « A », même si l’œuvre hallucinée du Poète et Peintre homonyme - contemporain britannique de Fuseli et Turner - excita pas mal la polémique en son temps …ce qui n’est plus le cas de nos jours, vu le nombre de références « modernes » qu’il aura suscitées (!). Pour les Curieux de tous poils : -http://www.blakearchive.org/blake/ - ** Mais cette Dessinatrice éprouvée sut s’accommoder avec égal bonheur - comme un vrai Chef ! - de la touchante brutalité qu’en parallèle, manifestait l’impressionnant Alter-Ego couleur d’émeraude du Docteur Banner. *** Je suspecterais bien le Big Brother Buscema de s’en être inspiré pour accoucher (l’IVG était largement conseillé, pourtant !) de son Haut Seigneur. Y’en a qui dissimulés derrière leur célébrité, ne manquent vraiment pas de Toupet ! **** Pauvre Doc ! En équilibre sur une corniche - Ah ! Les toits de New York selon Ditko - sans sa pèlerine ni son amulette enchantées, les mains emmitouflées (plus de gymnastique digitalo-incantatoire), aveuglé et ballonné par une cagoule (Motus ! Ô magistrales invocations).Ses perfides tortionnaires auront presque pensé à tout …sauf trouver un truc - Allo ! Gérard Majax …C’était pourtant pas compliqué comme disait son pote Michel Chevalet - pour inhiber sous une parfaite étanchéité, la substance ectoplasmique propre à l’ubiquité distinctive de leur supposé martyr …Étourderie fatale ! ... To be continued (soon)
Dernière modification par Oromasès ; 05/10/2010 à 16h35. Motif: Impératrice des Indes plutôt que nostalgique de L'Aigle Noir |
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De Ditko à Adkins. 2ème partie : Hommages de l’Élève (suite)
2) Là, les trois vignettes successives contiennent des reprises
Par contre, les originaux ont été péchés dans deux Numéros différents de Strange Tales : To Be Continued (very soon)
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