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  #556  
Vieux 14/01/2021, 23h02
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EsseJi EsseJi est déconnecté
Reader of stuff
-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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EsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autres
Si tu ne connais pas du tout la ligne Vertigo et que tu demandes des conseils, voici les principaux succès:
Transmetropolitan, Preacher, Sandman, Hellblazer, Fables, Astro City, DMZ, Doom Patrol, Human Target, Scalped, Invisibles, Y the last man, IZombie, Lucifer, Northlanders, Punk Rock Jesus, Swamp Thing, Sweet Tooth, Unwritten, etc...

Avec ça, tu as de la lecture pour la prochaine décennie.
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  #557  
Vieux 15/01/2021, 07h17
doop doop est déconnecté
bouzouk force !!!!
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doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
et plein d'autres encore ...
j'avais fait une liste détaillée ici :
https://topcomics.fr/vertigo-15-meil...e-de-dc-comics
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  #558  
Vieux 15/01/2021, 07h18
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bouzouk force !!!!
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doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
unknown soldier, 100 bullets, y le dernier homme, maintenant tu as de la lecture pour 2 décennies !
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  #559  
Vieux 16/01/2021, 21h03
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Banni
 
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Vulcano change la caisse du Fauve
Je connais starman de robinson. Urban comics ne l'a tjs pas réédité.
Dommage!
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  #560  
Vieux 16/01/2021, 22h03
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bouzouk force !!!!
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doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
Sauf que Starman, c'est pas du Vertigo ! Mais ca s'en rapproche un peu quand-même !
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  #561  
Vieux 16/01/2021, 22h07
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ollieno ollieno est déconnecté
Des Figues , des bananes,
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ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !
Starman n'est pas du Vertigo

ce que mes copains n'ont pas cité ... (j'aime les trucs abscons, bizarres, nuls, introuvables)

The Last One (DeMatteis/Sweetman)
Skin Graft (Prosser /Pleece)
Enigma (Milligan /Brereton)
Sebastian O (Morrison / Yeowell)
Sloth (G.Hernandez)
Stuck Rubber Baby (Cruse)

et il y en a pleins d'autres ...
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  #562  
Vieux 24/02/2021, 19h36
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Dernière et ultime partie du bouzin : Après le vieux, le neuf avec un review pas rapide du tout (je sais je sais...mais allez fouiller sur le site de James & Faye, j'ai écris 2-3 trucs bien plus rapides à lire!!) du relaunch de l'univers en 2018.

Autour de The Sandman : Nouvel Univers

Allez y, fire at will
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  #563  
Vieux 03/03/2021, 12h05
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gillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le TireurgillesC vise plus juste que le Tireur
Y'm les faut tous!!!

- ou presque -
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  #564  
Vieux 21/08/2021, 12h35
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Hey regardez ce que j'ai trouvé dans un coin de mon DD :


Hellblazer #25 -26 : Early warning & How I learned to love the bomb par Grant Morrison & David Lloyd



John réponds à l'appel d'une amie photographe pour suivre une cérémonie culturelle dans une petite ville quasi abandonnée à son sort dans le nord de l'Angleterre. Non loin, une base de missiles US, seul intérêt dans cette ville sans boulot. Mais un technicien pète un câble et déclenche une machine qui trouble la personnalité des habitants.

Curieux placement de ce petit arc en 2 numéros sortis juste après le prologue à l'arc The Family Man.. obligations éditoriales sans doute...

Oh bordel, Grant Morrison sur du Hellblazer.. la peur nous noue déjà les tripes devant ce nom qui vient se frotter au monde du bastard !! Car ce nom, on le crains, on le vénère, on le déteste, mais on ne reste pas insensible.. alors.. révolutionnaire comme ses X-Men ? Illisibles comme The Invisibles ? Sur-valorisé comme Joe the Barbarian ou Happy ? (je me fais des amis là?).
Et bien rien de tout ça, le temps d'un petit dyptique, le jeune Grant Morrison s'intègre parfaitement dans l'univers de Constantine et livre une chtite histoire qui, sans être révolutionnaire ni parfaitement marquante, fait le job. John se retrouve dans un bled perdu dans le nord de l'Angleterre pour assister à un festoche pagan qui va vite tourner au bordel le plus total. Un phénomène complètement humain ce coup ci va vite faire péter un câble à la population locale qui va se libérer de certaines limites...
Rien de magique donc, rien de bien formidable, si ce n'est une ambiance magnifiquement malsaine, un lourdeur sombre qui ne laisse pas la place au moindre espoir. En cause, les thèmes utilisés par Grant, la pauvreté d'une ville morte, sans travail ni espoir de s'en sortir, une base de l'armée américaine dure et froide, la volonté dramatique de ses habitants de continuer à vivre leur culture et leur patrimoine via leur minable festival... un tableau d'une tristesse absolue, un simple pub, une église, et rien d'autres pour sortir de la morosité ambiante... jusqu'au pétage de câble d'un des techniciens de la base militaire qui déclenche un certain mécanisme. Rien n'est laissé au hasard, en quelques pages seulement, Morrison décrit un monde à l'agonie, un symbole de notre société, oubliant ses campagnes, poussant des hommes simples à des choix dramatiques pour des raisons idiotes de budget ou de ressources humaines.. et tout notre monde vacille et s'écroule ! Le mécanisme fait ressortir les désirs les plus profonds de chacun, et l'orgie commence dans le village, les pulsions à jour, les limites oubliées.
John en sera la victime tout d'abords avant de reprendre conscience et d'essayer de limiter les dégâts. Hélas, les choses sont allées trop loin et la fin, complètement wtf d'ailleurs, ne peut être que noire.
Et que dire de David Lloyd aux crayons et à la couleurs, un magnifique travail d'ambiance, gris, sombre, étouffant, abusant de couleurs pastels irréelles, peignant la ville comme un monde fantômatique, des personnages sans âmes, déjà perdu avant l'arrivée de John.
Il ne payait pas de mine ce petit dyptique, il n'apporte rien à l'Histoire de Hellblazer mais participe par contre à sa mythologie, une anthologie horreur/fiction qui de temps en temps nous sort une petite perle.


Hellblazer #27 : Hold me par Neil Gaiman & Dave McKean



Alors que des amis fête la mort de Ray Monde, ami homosexuel de John, alors qu'il est proposé à ce dernier de devenir le père d'un enfant d'un couple de lesbiennes, un clochard décédé seul de froid il y a plusieurs mois hante une résidence de défavorisés, cherchant désespérément de la chaleur.

Et bien, Vertigo ne s'était pas foutu de la gueule de ses lecteurs en ce début 1990. Après le très bon dyptique de Morrison/Lloyd, voilà un one shot par Gaiman/McKean !! En 3 numéros, 4 noms prestigieux car ici aussi, le pari est réussit pour l'équipe de Black Orchid.
Comme je disais juste avant, Hellblazer peut parfois être vu comme une anthologie, une suite d'histoires d'horreur alternant avec un fil rouge et la vie de John. Ici on est dans l'anthologie donc, un simple one-shot sans ambition, sans arrogance mais très puissant.
A la base, histoire simple, après une fête de commémoration de Hellblazer, (toujours appréciable), John se retrouve face à face avec le fantôme d'un sans abris mort de froid. Moué jusque là, une histoire de fantôme, rien de bien formidable. Mais c'est là que toute la poésie du créateur de Sandman entre en jeu. Partant de là, il brosse des portraits tristes, humains, pointant du doigt cette société qui oublie les sans abris dans la rue, qui fait vivre un calvaire à des gens juste parce que leur sexualité n'est pas la plus répandue, qui oublie parfois la chaleur que peux apporter le contact avec quelqu'un d'autres. Thème simple donc, nous sommes une espèce qui vit en groupe, en société, en famille, et nous oublions parfois ce que c'est que de prendre un verre pour penser à un ami disparu trop tôt, ou qui oublions de baisser les yeux dans la rue. Parfois, il suffit de discuter, de se toucher, pour retrouver un peu de chaleur.. c'est foutrement dramatique ce que je viens d'écrire mais en quelques pages, Gaiman donne une leçon qui presque 25 ans plus tard, est encore aussi puissante.
Et cette petite claque, on l'a doit à Mc Kean aussi, très lisible par opposition à certains autres de ses travaux, peignant une ville onirique, constamment dans une brume obscure, perça parfois d'un peu de lumière, une réunion entre amis ou celle provenant d'un foyer accueillant la porte ouverte.
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  #565  
Vieux 08/09/2021, 21h53
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Jorus C'Baoth Jorus C'Baoth est déconnecté
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Plus récent, avec une fournée de Sandman Universe :

The Dreaming #7 - 12 : Empty Shells par Simon Spurrier & Bilquis Evely, Abigail Larson




Alors que l'entité baptisée Wan tente d'accomplir son nouveau rôle de responsable du Dreaming au mieux, Rose Walker, l'ancien vortex, raconte sa rencontre récente avec Dream. De son côté, Dora part à la recherche de Dream en passant par un ex, Faerie et le Bar à la fin du Monde.

Retour sur le flagship du relaunch de 2018 qui fut, au moins visuellement, une excellente lecture. J’avoue que Si Spurrier est parvenu à me surprendre dés le début de ce second volume. Nous apprenions la départ de Dream dans les premières pages de The Sandman Universe et, au vue du cliff de fin de volume 1, je me suis convaincu qu’il ne serait présent qu’en fond d’histoire. Après tout, Kiernan avait, elle aussi, utilisé les Endless avec parcimonie.
Bref, voilà ma surprise de constater que la première histoire de ce volume 2 est totalement centré sur Dream. Pas le temps de se remettre qu’une révélation tombe. Le personnage féminin, narratrice à la chevelure auburn et la mèche blanche n’est autre que Rose Walker, vortex onirique du volume" La Maison de Poupée/The Doll's House" et petite chouchou de papa Neil. Pas le temps d’encaisser non plus car Lucien fait aussi son apparition ainsi que.. la fille de Rose elle-même.
Spurrier fait mal très vite : focus sur un Endless, retour d’un perso majeur de la mythologie de The Sandman, introduction d’un personnage qui s’annonce important. L'auteur continue sa navigation entre deux eaux, nouvel univers mais liens avec l’ancien. Et quoi de mieux qu’une romance intense qui se finit par mal pour Dream ?
Il brosse le fan dans le sens du poil certes mais apporte à chaque étape sa nouveauté. Si nous recroisons Nuala en Faeries, c’est pour la voir se rebeller enfin contre la reine Titania. Si nous retournons à la taverne de la Fin du Monde, c’est pour la voir brûler. Et si Dream retombe dans une histoire d’amour impossible.. c’est que c’est un piège…Le plan de l’auteur se comprends, mais le lecteur habitué peut aussi rester sur sa faim. Cet univers est si grand, revoir les anciens fait plaisir, mais découvrir de nouveaux territoires aussi.
Revenons à cette première histoire. Exercice difficile, une histoire d’amour qui se veut particulièrement dramatique et forte. Beaucoup d’émotions doivent ainsi quitter la page pour sauter aux yeux du lecteurs. Et si Spurrier y arrive tout juste (la faute à une narration trop verbeuse), Abigail Larson aux crayons rehausse avec brio le travail de son binôme. Son style fantasque, éthérée renforce le côté drama de la love story, y apportant un visuel irréel et féerique. Théâtral même ! L’entremetteuse, le coup de foudre, l’amour fou, la manipulation, la vengeance et la souffrance dans des décors simples, presque sur des planches. Décidément, les dessinatrices du Dreaming de Spurrier sont de vrais atouts !
Seconde partie qui rejoins le fil rouge développé dans le 1er volume, retour dans un Dreaming en ébullition. Spurrier assure totalement niveau narration sur cette partie-là, alternant la quête haute en couleur vers Dream et le nouveau management du Monde des Rêves, plutôt… inhabituel. Les magnifiques cases de Bilquis Evely (qui peut assurément TOUT dessiner) s’enchainent dans une aventure trépidante. Il faut dire qu’on en a pour notre argent : Faerie, l’Enfer, des panthéons massés aux portes de Cornes et d’Ivoire, des histoires sans fins, Dora et son ex, Abel sans son frère,… Peut être trop même… Spurrier continue d’être très verbeux et cette poursuite après Dream n’offre que peu de pauses aux lecteurs. Son récit reste très dense. Il surfe toujours sur l’ancienne vague, déjà riche, en y ajoutant des ingrédients, ce qui au final approche parfois de l’overdose.
Cela dit, le cadre reste très sérieusement travaillé. L’aspect fantastique et étrange du Dreaming reste un point agréablement fort, dans la lignée du premier volume. Spurrier parvient même à rendre le tout cohérent tout en explorant ce monde chimérique. Voir des démons se jeter sur du vomi est très étrange (et dégoutant) mais tout devient logique lorsque l’on apprends qu’il s’agit des « restes » de nourriture venant de Faerie. Cela donne une aventure fabuleuse magnifiée par la magie d’Evely. Nous pourrions peut être regretter d’être aussi éloigné du monde éveillé car le lien entre les deux est un moteur de cet univers. Kiernan en avait fait l’une des caractéristiques de son run avec de bons moments.
De son côté, Spurrier propose donc un volume dense mais dans la lignée du premier. La matière qu’il injecte fait avancer ces multiples fils rouges, ajoutant de l’intensité à son récit. Il confirme qu’il a d’une part le monde bien en main, et d’autre part des dessinatrices qui sont de véritables atouts.

Books of Magic #7 - 13 : Second Quarto par Kat Howard & Tom Fowler, Brian Churilla, Craig Taillefer



Tim Hunter s'allie presque malgré lui avec l'inquiétante Rose et part à la recherche de son amie Ellie. Après un passage dangereux en Faerie, ils réalisent que la Cold Flamme les talonnent, et qu'ils ont envoyé sa propre mère.

The Sandman Universe continue pour Tim Hunter avec « Second Quarto », numéros #7 -13 US. La team Howard / Fowler continue sur sa lancée avec cet opus tout aussi agréable et qui se déroule efficacement. Tim Hunter continue son voyage dans le monde de la magie et sa destination continue d’être scruter par les forces de tous bords. L’histoire est simple, dans le bon sens du terme, linéaire, avec comme fil rouge le possible passage darkside de Hunter (aka « La fin du Monde »). Autour de cette idée : la progression de l’adolescent sur la voie de la magie et de la maturité. Howard enchaîne donc les étapes sans fausses notes. D’abords avec un Tim accompagné d’un guide, puis qui semble prendre son envol seul, pour le meilleur ou le pire. L’autrice en profite pour agrandir discrètement son cadre avec notamment un petit voyage dans l’inévitable Faerie ou l’apparition de nouveaux personnages intriguants.
Howard n’oublie pas le monde des mortels en y ajoutant une enquête par la police, des articles de presse et des vraies conséquences concrètes aux événement du tome 1. Cela dit, la place dans l’histoire pour cet aspect là se réduit bien vite. Hélas, l’idée prometteuse d’une « double vie » magicien/lycéen s’efface vite au profit de la partie purement magique. Le Tim « jeune adulte » est assez peu usité, là où le passage en parallèle vers un Tim magicien ET adulte aurait ajouté du sel. De même, la police semble abandonner bien vite au profit d’une agence qui ressemble surtout à un Deus Ex Machina pour faire apparaître de nouveaux personnages. L’autrice n’est quand même pas avare en développement personnel même si son rendu est un peu trop facile et peu subtil sur les traumas des personnages. Les perso secondaires notamment sont peu creusés et là juste pour faire avancer le plot. Il reste une excellente surprise avec le #13 où cette fois Howard prends le temps d’un face à face touchant entre Tim et son père.
Dans l’ensemble, ce volume semble vouloir jouer sur tous les fronts sans vraiment y arriver, étant constamment entre plusieurs genres/styles. Le poids lourd du plan d’Howard semble être ce futur où Hunter s’impose en tant que Grand Méchant mais, soyons honnête, il a peu de chances d’arriver. D’autant qu’à l’heure où j’écris ses lignes, nous savons déjà que la série est annulée d’ici 2 tomes. Mais, au vu du très honnête travail de l’équipe, il reste en bouche non pas un goût de « Bah on s’en fout » mais de « Pinaise, dommage ! ».
L’aspect magie reste bien entendu présent et tout autant maîtrisé. Elle est habilement utilisé et mise en place, jouant comme sur le 1er tome sur la symbolique. Une porte permet de passer d’un monde à l’autre, des mots clefs enferment des prisonniers dans un livre, un bouclier magique se barde de trous en faiblissant… certes rien de bien compliqué mais qui facilite immédiatement la compréhension de l’action. Le dessin de Fowler vient par-dessus pour donner un aspect magique, fantastique, surnaturel à cela. Un vrai bon boulot d’équipe entre autrice et artiste qui semblent avoir trouver leur style.
Fowler d’ailleurs a également sa pierre à l’édifice « lecture agréable » par son trait dynamique et expressif. Pas de baisse de régime ou de faiblesses majeures dans un travail homogène et un trait rond très agréable à l’œil. Et pourtant Fowler a eu quelques coups de mains ici ou là sur les finitions. Brian Churilla et Craig Taillefer en l’occurrence, mais qui se glisse dans les crayons de Fowler sans dénaturer le style. Ce dernier glisse sous les yeux, et sans s’en rendre compte, nous voilà à la dernière page d’une histoire qui n’est peut être pas la plus originale ou la plus trépidante, mais plutôt bien maîtrisée.
Marissa Louise, elle aussi, rentre parfaitement dans les chaussures de Jordan Boyd à la colo. Le temps d’un numéro avec les 2 comparses Brian et Craig, elle livre un travail homogène qui donne l’impression qu’une vraie petite équipe se trouve derrière ce Tim Hunter version 2018.

Lucifer #7 - 13 : The Divine Tragedy par Dan Watters & Sebastian et Max Fiumara, Aaron Campbell, Kelley Jones, Leomacs




La résurrection de Sycorax ne passe pas auprès de Raguel, archange de la vengeance et chef de l'armée des anges. Mais Dieu lui accorde le même temps de vie que Jésus sur la croix : 3 jours. Malgré les protestations de Sycorax, Lucifer décide de lui trouver un échappatoire et visite tous les underworlds de la création, tissant habilement des liens avec eux.


Après un 1er tome plutôt intimiste, la team Watters/Fiumara bros passe clairement la seconde. La résurrection de Sycorax ne passe pas du tout auprès du Paradis, plutôt à cheval sur les miracles. Lucifer se retrouve face à ses anciens employeurs, affaibli, une famille dysfonctionnelle à gérer, et toujours des ennemis dans l’ombre.
L’histoire est bien plus épique, se rapprochant ainsi de l’œuvre de Mike Carey et Peter Gross. Les amoureux de l’arc de The Sandman « La saison des Brumes/Season of Mist » seront également comblés par de nombreux passages dans les différents panthéons. Au-delà de ce point, je salue l’excellente travail de fond de Dan Watters qui a très bien intégré son plot dans ce Sandman Universe. Sans verser dans l’easter egg ou le fan service, il tapisse son histoire d’évènement ou de personnages connus sans l’alourdir mais pour la servir. Ne nions pas ainsi le plaisir de voir apparaître Thessaly et… peut être même un Endless ou deux…
L’exercice est difficile. Rendre ces personnages mythologique aussi « grands » qu’ils doivent l’être était le piège de cet arc. Mais Watters est donc sérieux. Ces anges, démons, sorcières et autres sont grandioses, dans le verbe, le geste, la prestance ou le combat.
Au milieu donc un Lucifer…difficile à cerner. L’auteur a une idée, une plutôt bonne d’ailleurs. Le Déchu se lance dans une quête qui semble étrangement… désintéressée. Altruiste même, à supposer que son égo lui fasse entendre les complaintes de Sycorax, mère de son fils. Un postulat tellement inhabituel qu’il en est intriguant. Même la Horde du Paradis menée par l’Ange de la Vengeance Raguel n’en croît pas un mot. L’idée est habile. D’un côté, les connaisseurs du run de Carey/Gross ne peuvent qu’être dans l’expectative. Mais le nouveau lecteur également car Watters pointent plusieurs fois via ces personnages à quel point Luci peut être tout sauf altruiste.
Sans dévoiler les derniers moment du TPB, disons que l’idée n’a pas livré toutes ces promesses. A vouloir présenter un Lucifer inhabituel, il semble que Watters n’ait pas pleinement choisi dans quel coin il finirait. La suite pourrait nous aider à conclure mais quelques petites maladresses font chuter cette idée prometteuse de quelques marches. Des choix drastiques de personnages secondaires importants à la fin de l’histoire sont, par exemple, plutôt étonnant. Comme si il nous manquait une pièce ou deux.
Heureusement, l’idée reste plus intrigante et intéressante qu’imparfaite. D’autant qu’il ne faut pas trop pousser ce Lucifer, pourtant affaibli, pour qu’il retrouve vite une malice vicieuse qui le place au centre des storylines et lui permet de sortir de situations… bibliquement compliquées.
Watters livre donc un volume très honnête, une bonne idée de base qu’il émaille d’autres bonnes idées comme la confirmation de Sycorax en personnage majeur, la paranoïa des Anges ou cette pelle qui sème la zizanie (non mais c’est moins naze que ça en a l’air ^^). Il habille même peut être trop en multipliant les personnages, leurs trajectoires, leurs rencontres. A ce titre, le volume est un poil hétérogène. Watters livre son histoire sur sept numéros US, inhabituellement long. Du coup, le remplissage est parfois lourd. Des personnages sont utilisés par obligation, des storylines n’apportent rien et le tout dilue le fil rouge principal. Dans le premier volume, le lecteur entrevoyait cette « famille » compliquée, entre l’égo de Lucifer, la fierté de Sycorax et la souffrance de Caliban. Leur devenir et leurs relations aurait pu suffire ici comme moteur émotionnel, entre amants, père, mère et fils.

Visuellement, les frères Fiumara continuent à livrer un travail impressionnant. Ils y sont pour beaucoup dans la « grandeur » de ces entités et parviennent à donner un aspect crépusculaire à l’histoire de Watters. Les personnages semblent ainsi dans une souffrance sans fin, une agonie très théâtrale qui appuie là aussi l’écriture de l’auteur. Dave MCCaig achève le tout de ses couleurs pastels délavées. La sensation qu’il en ressort m’a fait penser à quelques toiles de l’école Romantique française, Géricaud ou Delacroix. Des paysages mornes, des personnages constamment en mouvement, baignant dans une forme de violence continue.
Petite note finale pour saluer l’intermède de cette Tragédie Divine. Ce petit flashback est l’oeuvre d’un trop rare Kelley Jones dont le trait reconnaissable entre mille envoie Caliban dans une rencontre étrange et surnaturelle à souhait. Manoir sombre, démon, pratique interdite… une horreur gothique s’invite au cœur de ce volume, offrant une pause plus inquiétante que reposante.
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  #566  
Vieux 23/10/2021, 19h40
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Lucifer #14 - 19 : The Wild Hunt par Dan Watters, Sebastian & Max Fiumara, Fernando Blanco



Plot : Alors qu'il semble s'emmerder dans un coin de la galaxie, Lucifer entend que l'on parle de lui : dans son Enfer, Cassandre lui livre une prédiction. Il doit protéger le Dieu Chassé lors de la Chasse Sauvage à l'intérieur dans une maison qu'il aura construite sous peine de redevenir régent en Enfer.

Nouveau départ pour Lucifer après avoir « réglé » ses affaires de famille. Écrire sur un être omnipotent et mythologie ne soit pas être une mince affaire. Comment lui trouver des motivations, des raisons d’agir ?
Dan Watters a quand même multiplié les très bonnes idées depuis le début du titre. Heureusement pour nous, il en a une nouvelle : comment pousser Lucifer dans son histoire ? En le forçant à faire quelque chose qu’il déteste : être manipulé.
La pauvre Cassandre, de son propre enfer, énonce une prophétie où apparaît le Déchu. Ces visions se réalisant toujours, Lucifer n’a d’autres choix que de s’y plier, pour mieux les tordre. Et si il en convient sans sourire, force et d’avouer qu’il semble, au fil des pages, prendre çà et là un certain plaisir. Difficile à dire si c’est l’écriture de Watters ou une simple impression, mais le dosage est parfait. D’un Lucifer de mauvais poil, nous passons à un Lucifer.. qui finalement s’ennuyait fermement et qui trouve là l’occasion de revenir dans le Jeu pour y réaliser quelques mauvais coups. Assez loin donc du grandiose des premiers volumes, voilà Luci forcé de participer à une chasse primordiale.
Et voilà la seconde excellente idée de Watters, comment gérer un être aux pouvoirs sans pareil ? En le forçant à se plier à une force primaire. En l’occurrence, la chasse sauvage, The Wild Hunt en vo, bien connue des lecteurs d’Hellboy et connaisseurs du folklore européen.
L’auteur continue d’ailleurs d’étaler son talent pour ce genre d’histoires mythologiques. Certes, nous sommes les témoins d’être ancestraux, d’entités magiques, de Dieux, mais Watters parvient à rendre son histoire compréhensible sans pour autant nous prendre par la main. Ces grandes « lois » qui gèrent l’Univers auraient pu être de faibles McGuffin mais au contraire, elles s’intègrent dans l’histoire et sont le moteur efficace du récit. Il continue de brasser des panthéons et des folklores sans artificialités ni accrocs, présentant un monde cohérent et pourtant très éloignés des simples mortels.
Ainsi, après un diptyque très intense et riche, au multiples camps et personnages, voilà un récit plus « simple » et resserré autour de cette ancestrale chasse au Dieu Chassé, qui d’ailleurs se révèle être bien différent cette fois. La « proie » va se défendre, ce qui ajoute quelques scènes plus légères, accompagnant un Lucifer parfois trop détendu. Mais Watters n’oublie pas que ces forces primales sont également d’une brutalité sans limite et de bons passages plus violents et carnassiers nous rappelle ici et là qu’il ne faut pas trop jouer avec ce genre de légendes.
Une nouvelle fois, les somptueux dessins des frères Fiumara et de Fernando Blanco apporte une ambiance très particulière à cette histoire, entre réalisme et onirisme. Là aussi, pas facile de dessiner Constantine qui pisse après 2 pintes d’une part et le voyage d’Odin en Enfer pour réparer sa corne d’autre part. Mais ces artistes y parviennent avec brio, permettant de profiter visuellement du voyage proposer par Watters. Ils sont complétés par les superbes couleurs de Dave McCaig et Dee Cunniffe, eux aussi parfaitement dans le ton, apportant un côté tableaux de maîtres aux coups de crayons de leurs confrères.
La fin promet un épilogue savoureux à cette histoire et à cette série qui sait jusque là se montrer plus qu’à la hauteur de ces ancêtres.
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Vieux 27/10/2021, 16h01
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La série Lucifer de l'imprint Sandman Universe était de très bonne facture (la meilleure des 4 séries initiales ?) et je me suis régalé jusqu'au #18 (série achetée en single issues).
Malheureusement après cela, la sortie s'est faite directement en TPB. J'ai donc acheté le dernier TPB pour découvrir que le premier épisode qu'il contenait était le... #20 !
Donc pas de #19 pour moi pour le moment et lecture suspendue.
Je l'ai un peu en travers de la gorge...
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Vieux 27/10/2021, 16h03
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DC (et ce sont pas les seuls) ont pas mal merdés avec les singles / tpb en période de confinement....

avec des arrets de séries, des sorties tpb... la galère sur pas mal de titres

la Hellblazer est vraiment superbe, mais a lire d'un bloc... car elle passe très moyen en single (ou alors à coup de 3 4 épisodes à la fois)
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  #569  
Vieux 27/10/2021, 17h24
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Effectivement, y a eu des bugs (ou des foirages) sur la fin de l'imprint. LA plupart ont finit directement en TPB et l'un d'eux (Books of MAgic il me semble) est d'abords sorti en numérique.. un vrai foutoir pour s'y retrouver.

Je suis à un #1 de finir le Hellblazer, de très très bonne facture en effet, avec effectivement une lecture d'une traite car il y a un beau fil rouge.

Pluessoiment aussi sur Lucifer. Je ne sais pas si elle est la meilleure car j'ai bien apprécié The Dreaming aussi mais sans aucun doute celle que je n'attendais pas à un tel niveau d'écriture !
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  #570  
Vieux 28/10/2021, 12h00
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Nortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandaisNortock Diab a cru que From Hell était un fromage hollandais
J'ai trouvé la série Hellblazer vraiment nickel avec de superbes moments d'horreur sur fond de questions sociales (les pêcheurs de la Manche post-brexit). Très jolie série qui fait honneur à sa grande sœur de 300 numéros.
Je suis plus mitigé sur le one-shot introductif qui essayait un peu trop à mon goût de réconcilier la continuité entre la série historique et cette nouvelle mouture.

C'est House of Whispers qui m'est le plus tombé des mains. S'il y avait quelque chose à en tirer, je suis passé complètement à côté.
Et là encore le TPB final m'en a bien éloigné car en plus des 2 derniers numéros inédits en single (#21-22) il reprend les 8 numéros précédents que j'ai déjà. Le ratio inédit/réédition est vraiment trop faible pour justifier l'achat...

Pour Lucifer comme pour House of Whispers, j'étais à 2 doigts de m'auto-imprimer les singles manquants mais cela n'est malheureusement pas très abordable.
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dreaming, fables, hellblazer, lucifer, vertigo

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