Le topic de l'Education Nationale

[archerhawke]

J'ai lu tous les messages, mais je vais répondre à celui là puisqu'il s'adressait à moi

	Citation:			Posté par doop
	Oui, mais c'est pas non plus le quartier des minguettes ou du mirail. Peut être mais en attendant a t'on réellement besoin de ces moyens là sur ces grands bahuts parisiens ? Concrètement ca ne te gène pas que certaines de ces classes soient conservées dans certains endroits et pas dans d'autres ? Tu trouves que c'est "égalitaire" ? Vraiment je demande sans aucune véhémence, ca m'intéresse. Ne crois tu pas que justement c'est dans les endroits les plus défavorisés qu'il faut proposer de pousser les meilleurs (sans négliger les autres). Ce gouvernement à réussi à faire croire que ces classes là prenaient quelque chose aux autres élèves, c'est faux. En plus, cela permettait que les parents laissent leurs enfants dans le public plutôt que de les mettre dans le privé. Tu trouves normal que plus de la moitié des enseignants aient leurs enfants dans le privé ? Que les inscriptions dans les écoles privées aient explosé depuis 4 ans ?

Je ne suis pas spécialiste d'éducation, mon gamin est en maternelle, donc pour les lycées je ne sais pas trop comment les choses sont réparties.
Par contre, ça commence à faire un moment que je vis ici. 10 ans de vie et de travail intramuros. Je suis prestataire (pour encore seulement 2 mois après je devrais signer un CDI chez un client final ), donc j'ai vu pas mal de coin de Paris.

Et Paris, c'est beaucoup, beaucoup de quartiers "défavorisés". Pour faire simple, je pense que je ne mettrais mon fils une école dans plus de 50 % des quartiers de Paris. Sachant qu'il y a plus de 300 maternelles dans Paris, ça fait beaucoup.

De ce que je lis sur le site de l'académie de Paris il y a 113 collèges et 74 lycées publics. C'est pas mal quand même ? Si je regarde les publics il y a presque la moitié des lycées qui sont dans le 18 19 et 20eme. Connaissant ses coins, ça doit n'être que des lycées difficiles, clairement des endroits où je ne mettrais pas mon fils.

Donc en termes de lycée chaud, je pense que Paris a largement sa dose. Est-ce que ça justifie cette loi, je n'en sais rien, je n'ai pas d'avis la dessus n'y connaissant rien. Quand mon fils sera au lycée, je veillerai à ce qu'il soit dans un très bon établissement. Quitte à reproduire le schéma de mes parents qui ont toujours choisi de vivre dans un endroit où l'éducation était bonne, même si ça les forcait à se taper 1 heure de trajet matin et soir.

Pour info voici les stats de l'académie de Paris pour cette année : https://www.ac-paris.fr/portail/uplo...ffres_2014.pdf

Question, quid de l'académie de Versaille ? Elle aussi se fait baiser ?

[doop]

EN fait , tout le monde se fait baiser.
Je viens d'avoir des infos et les bilangues de NVB ne sont pas des bilangues !
En fait, les bilangues avant c'était 2 h en 6ème; 5 ème; 4ème; 3ème en plus de l'horaire normal.
Les bilangues que NVB a annoncé hier c'est juste 2 heures en 6ème et c'est tout.

Et pourtant, elle embauche 400 profs d'Allemand en plus alors qu'environ 20% des profs d'Allemand déjà en place n'ont pas de service complet.
...
Non c'est vrai !!!!!!!

Sinon Archer, effectivement qu'il y a des lycées pourris à Paris, mais concrètement il y a beaucoup plus de lycées "d'élite" que dans n'importe quelle autre ville, et c'est quand même terrible de laisser autant de ressources alors qu'à côté y'a des besoins.

[archerhawke]

Avec les nouvelles lois, il va y avoir un menu cantine unique pour toutes les maternelles de Paris. De cette façon, les écoles les mieux financees pourront aider les autres... Vu que mon fils est dans une ecole du 17eme où il y a les moyens ,avec des menus variés et des produits bio, ça gueule fort. Je suppose que dans les écoles avec des moyens plus faible, on se félicite de cette nouvelle loi.

Il y a sûrement des gens qui sont heureux avec cette nouvelle loi sur les cours bilangues.

[zenita]

	Citation:			Posté par doop
	oh, pour la primaire, c'est pas vraiment essentiel, ZENITA. En revanche, à partir du collège, effectivement il faut se poser la question. Le pire, c'est que la plupart des profs du privés sont 100 fois moins bons que n'importe quel prof du public, qui ont l"habitude de gérer des classes pourries et se se casser le cul pour arriver à ce que tout le monde essaye de progresser. Perso, tu mets les profs de notre lycée public avec les élèves du lycée privé d'en face, on fait de meilleurs résultats. Ce qu'il faut voir c'est que les programmes sont à peu près les mêmes. La différence, c'est que les gens qui mettent leur gamin dans le privé y vont juste pour le "climat scolaire" , parce que n'importe qui à part nos ministres sait que deux élèves gentils et doués accompagnés de 33 nullos, ca ne fonctionne pas. En revanche, un bon "mix" donne entière satisfaction. L'ennui, c'est qu'à force de voir partir nos meilleurs élèves dans le privé, on n'a plus les proportions pour mixer les nullos, les gentils, les doués etc...... Les classes euros permettaient ça. Les bilangues aussi (parce que en dehors de tout ce que vous avez pu entendre, les euros ne sont pas des classes d'élite et les élèves sont souvent mélangés avec des non-euros). Du coup, on sait déjà ce qui va arriver.... ET ca fait pas envie !

Oui je sais Doop mais franchement quand tu vois comment les choses évoluent, tu penses à "protéger" tes enfants des le démarrage.
pourtant, je suis pro public. je suis issue d'une famille d'enseignants. Ils sont tous dans le public et ils font le même constat que toi sur la qualité de l'enseignement public vs privé. Mais, j'ai aussi beaucoup de retour d'enseignants qui pratiquent dans le public et qui me conseillent d'orienter mes enfants dans le privé. (y compris dès le primaire)

Important, je précise que je vis en village dans un coin pas vraiment aisé dans le Nord.

[gillesC]

T'en fais pas, de toute façon l'école "libre" est aussi payée par tes impôts.
(ce qui explique une petite mais significative partie des problèmes du pays). ^^

[gillesC]

C'est plus facile, parfois...

http://m.demotivateur.fr/article-buz...-cliches--4077

[doop]

UN texte de Marc Le Bris, un des premiers à s'être élevé contre la méthode de lecture "globale"

	Citation:
	L'école de la République accueille tous ses élèves, à égalité de droits (et de devoirs). Il n'y a pas à revenir là-dessus. Et croire que les «enfants de bourgeois» réussiraient tous quasiment sans effort est inepte et faux. Mais croire a priori qu'aucun des enfants d'ouvriers, ou aujourd'hui aucun des enfants des quartiers, ne réussiront jamais est un véritable racisme social. Le déterminisme social de Bourdieu appliqué à l'école n'a apporté que cette principale conséquence: on prend désormais les enfants de la classe ouvrière -et aujourd'hui des quartiers défavorisés- pour des incapables congénitaux, et on les traite comme tels. Afin de les protéger, et puisqu'ils ne sont pas capables d'accéder aux classes d'excellence, on ferme ces classes. Ainsi, les bons élèves issus des quartiers défavorisés n'ont plus aucun chemin de réussite par l'école. Ni, non plus ceux des quartiers chics, ce qui était le but avoué de la réforme. … Cette réforme commet le premier crime de dénoncer explicitement une catégorie d'élèves, et le second crime d'empêcher la réussite à tous. Or, si on traite également, avec la même exigence, tous les élèves de l'école de la République, les meilleurs réussissent ; ils doivent certes travailler plus et ils ont besoin aussi d'un enseignement plus substantiel, deux choses tout à fait oubliées aujourd'hui . L'école de la République n'a pas à se préoccuper du milieu d'où viennent les bons élèves, sous risque de totalitarisme. Il en viendra certainement de Neuilly ou de Versailles, mais il en viendra aussi des quartiers ; en moindre proportion au début (ma seule concession à Bourdieu), mais c'est ainsi, par le mérite, que se renouvelleront petit à petit les élites de demain, comme elles se sont remarquablement renouvelées dans les années cinquante, avant que Bourdieu n'écrive sa thèse destructrice de civilisation. ... et les remplacer par le pédagogisme le plus arriéré Cette idéologie simpliste justifie les actes de la ministre qui ferme les bonnes classes, qui ferme à l'école sa sortie par le haut. Notez qu'ainsi elle dénature tellement la mission de l'école qu'elle enlève aux enseignants leur véritable moteur interne, la satisfaction du travail bien fait ; la satisfaction d'emmener un mauvais élève vers du mieux, mais aussi celle d'envoyer un bon élève briller plus haut, d'où qu'il vienne. Le rejet massif de la réforme par les enseignants du secondaire est naturel. On ne pourra jamais les empêcher à ce point d'enseigner. Mais une fois supprimées les classes plus exigeantes, par quoi les remplacer, techniquement? La souriante ministre s'est naturellement retournée vers l'Inspection Générale, où elle a choisi sa directrice de l'enseignement scolaire. Je ne saurais dire si c'est sa seule appartenance à l'Inspection Générale qui a valu à Madame Robine cette promotion où si elle était d'avance une amie de l'idéologie ministérielle. Mais il est probable que cette inspectrice générale soit plutôt l'inspiratrice pédagogique de la réforme, confirmant une fois plus ce fonctionnement français qui confie les véritables décisions, techniques mais aussi politiques, à des hauts fonctionnaires, agents administratifs nommés à vie, ce qui suffit sans doute à les faire passer pour des experts. Que propose donc l'inspection générale pour étendre à la totalité des élèves ce qui était jusque là indûment réservé à quelques privilégiés en Lacoste bleu ciel? En fait, quel que soit l'objectif, depuis 50 ans, l'inspection générale propose toujours la même méthode qui est universelle et infaillible, valable pour toutes les matières, tous les âges d'élèves, tous les niveaux de difficulté: les élèves en petits groupes, sont assis, ou mieux encore debout, face à une situation non scolaire qui doit leur poser des problèmes naturels de conception et de présentation, d'où ils tireront des maths, de la rédaction, de l'anglais … bref, une «situation-problème interdisciplinaire» dans laquelle ils construiront eux-mêmes leur savoir. Ce sont les EPI de cette réforme-ci, les ‘projets pédagogiques' de la loi Jospin qui a détruit l'école primaire il y a déjà 25 ans, les méthodes de lecture globale, les divisions par devinettes … Ils veulent faire au collège ce qu'ils ont fait à l'école primaire, sans vaseline. Le professeur, dans ce cadre, perd la présidence de la classe -honteux excès de pouvoir. Il ne fait plus face, et se poste humblement sur le côté, pour prodiguer les conseils qu'on lui demanderait au milieu du brouhaha. Si le but de la réforme est de l'empêcher d'enseigner, c'est parfait. Seulement, cette interdisciplinarité qui ne posait aucune difficulté d'organisation matérielle à l'école primaire, où un seul maître enseigne toutes les disciplines, se transforme en un extraordinaire jonglage d'emploi du temps complexe, où plusieurs professeurs doivent intervenir ensemble dans une même classe, puis dans une autre, seuls ou avec d'autres encore, sans trop y laisser de précieuses heures de la DGH, tout en assurant une ‘aide personnalisée' qui suppose des effectifs très réduits … Notre administration experte propose donc des emplois du temps caporalistes, variables à double ou triple détente, avec des flèches et des encarts, et des changements intempestifs dont la complexité est, à elle seule, une cause certaine de l'échec du système proposé. Quant à l'aide personnalisée, il semblerait qu'elle se pratiquera désormais en classe entière. Avec un peu d'autorité administrative, les solutions peuvent être simples ; vu d'en haut, un trait de plume suffit … Tout cela n'est pas évident à faire appliquer. Ni les objectifs de la réforme, ni ses modalités d'application, ni les surcroîts de travail (encore, s'ils étaient utiles …) et de réunions qu'elle entraîne ; alors le ministère a lancé une campagne de formation des professeurs, qui s'apparente bien plus à un reformatage complet, tant la nouvelle définition de leur tâche est inédite et sans doute contre nature. Ces formations, marquées quelquefois par un autoritarisme indécent, prennent pourtant une forme ahurissante: quelle est la méthode pédagogique universelle qui permet de tout enseigner … donc d'enseigner à des enseignants une nouveauté qui choque une bonne partie d'entre eux? Vous ne me croirez pas … Il suffit de les séparer en petits groupes, et de leur proposer une «situation-problème» comme la conception d'un EPI par exemple… Pour qu'ils construisent eux-mêmes les éléments de la réforme qui «reconstruira» leur métier? Même si le ministère persiste dans son autoritarisme et sa surdité, cette réforme ne s'appliquera jamais. Elle est trop impossible, trop contre-nature, trop complexe, trop contraignante, trop inefficace, trop dangereuse pour l'avenir même de l'école. Elle a besoin de l'adhésion des enseignants, et elle ne l'aura jamais. Les professeurs résisteront, n'appliqueront pas, feront semblant, la détourneront en véritable enseignement, autant que faire se pourra. Mais la désorganisation et le chaos régneront. Et les bons élèves se réfugieront dans les écoles privées qui sauront bien leur proposer des sections latinistes ou germanistes. L'école française sera alors véritablement américanisée: de bonnes écoles chères pour les riches, et l'enseignement public pour les autres. Cette réforme détruit structurellement l'enseignement public à la française. L'actuelle résistance des professeurs de collège est historique, courageuse et clairvoyante. Il faut la soutenir par tous les moyens. Et le président et son premier ministre ne trouvent rien de mieux à faire que confirmer tout ça dans leur nouveau gouvernement. J'espère que ce remaniement ministériel, à vocation évidemment électoraliste, leur perdra au moins les voix d'une bonne partie des enseignants.

ca ne peut pas mieux résumer ma pensée !!!!!

[Zen arcade]

Je ne connais pas les spécificités de l'enseignement en France mais les propos de Marc Le Bris me semblent quand même très passéistes.
Alors, ce n'est certainement pas pour tresser les louanges des réformes que tu pourfends, sans doute largement à raison, mais quand même, n'y a-t-il pas moyen de trouver une voie médiane entre les errements actuels et les propos de ce gars? Genre une vraie vision moderne et synthétique de l'enseignement qui ne rejetterait pas le passé et qui pourrait prendre en compte de manière positive des méthodes d'enseignement plus récentes adaptées à la société d'aujourd'hui ?
J'ai l'impression qu'aujourd'hui ce qui est impossible en France, c'est précisément de trouver cet équilibre.

Sinon, il a quoi contre la méthode globale d'apprentissage de la lecture, le gars ?
J'ai été voir sur le net et sa position me parait à très dogmatique.

Perso, j'ai une fille qui est en première primaire (je ne connais pas l'équivalent en France) et qui est en plein apprentissage de la lecture.
Son instituteur nous a expliqué qu'il utilisait une méthode mixte, à la fois globale et syllabique.
Parce que tous les élèves ne réagissent pas de la même manière à l'apprentissage de la lecture. Certains sont très réceptifs à la méthode globale, d'autres moins et ont besoin de se reposer sur la méthode syllabique. En fait, selon les circonstances et les difficultés qu'ils rencontrent, les enfants privilégient soit l'une soit l'autre et peuvent passer librement de l'une à l'autre.
La seule chose qui compte, c'est d'amener les enfants à pouvoir lire correctement. Loin de tout dogme, en permettant à chaque enfant de pouvoir se reposer sur la méthode qui lui convient le mieux. Et ça fonctionne très bien comme ça.
Alors quand je vois venir un gars qui crache sur une méthode pour privilégier sans nuances l'utilisation exclusive d'une autre, j'ai tendance à prendre l'ensemble de son discours avec des pincettes.

[Man-Thing]

La fessée a elle une utilité pour éduquer les enfants? Meurice à la rencontre des Français...
http://www.dailymotion.com/video/x46...nt-meurice_fun

[doop]

Un petit poutou à tous les gens qui ne voyaient pas le problème avec la nouvelle réforme du collège

http://www.huffingtonpost.fr/2016/04...n_9803628.html

et y'a aussi ça, même si je ne suis pas dans les propos de l'auteur, la page est affligeante !

https://www.facebook.com/fx.bellamy/...type=3&theater

[Nopoman]

	Citation:			Posté par doop
	et y'a aussi ça, même si je ne suis pas dans les propos de l'auteur, la page est affligeante ! https://www.facebook.com/fx.bellamy/...type=3&theater

Je suis peut-être un jeune con, mais moi je trouve ça plutôt malin. Accrocher l'élève par un truc qui l'intéresse/le concerne, pour l'amener à la thématique du cours. La double page de français me trouve très bien faite sur ce thème de l'évolution, car elle parle tout autant des classiques que de choses plus récente, plus à même de concerner l'élève (et en plus ils citent pas des trucs trop laids, c'est quand même Abd Al Malik).
Pour le sujet avec le texto, c'est pareil selon moi. Prendre conscience qu'il y a une réalité, l'écriture abrégée, et en profiter pour dire à l'élève "Ok, on a compris l'idée. Maintenant développe, exprime toi, et écrit en français correct". On demande pas à l'élève de transformer un long texte en texto, on lui demande un effort d'évolution et d'expression. Au moins on se voile pas la face à vouloir à tout prix changer leurs habitudes et ignorer le fait qu'ils écrivent en abrégé (ce qui en passant ne veux pas forcément dire qu'ils écrivent mal à coté de ça. J'ai plein d'amis qui écrivaient des textos en langage sms et avaient une meilleur orthographe que moi quand il s'agissaient de rédactions).
Enfin en ce qui concerne Claude François il faut admettre que je trouve ça un peu de mauvais goût, même si l'idée est la même, partir d'un fait concret pour ensuite amener des sujets de physique classique. Et la description de son décès reste assez neutre et détachée.

Honnêtement, moi ces cours là m'auraient intéressés. Et si c'est le pire qu'ils aient pu trouver dans les manuels, je pense que ça va...

Maintenant c'est un point de vue d'ancien élève, pas celui d'un éducateur, et je sais pas ce que ça vaut en terme d'outil pédagogique. Je dis juste que c'est une manière intelligente d'amener des sujets de cours, beaucoup plus que de nous balancer l'historique de Lavoisier pour nous parler de la conservation de la masse en chimie ou d'aborder la maitrise de la conception en SVT par la vérification de la consistance de la glaire cervicale.

[doop]

Ben nopo, je peux t'assurer par l'expérience que tu amènes ça de cette manière en classe, non seulement ca n'intéressera personne de plus (qui connait Abd El Malik au collège? , il est pas passé chez les chtis) mais qu'en plus tu passeras pour UN GROS RINGARD !!!!!!! Les élèves ils cherchent un prof qui leur apporte des trucs, pas qui sache écrire des sms. là on a clairement un truc Qui essaye de se mettre à la place de l'élève au lieu d'élever le débat. CA fait vingt ans qu'on nous oblige à faire ce genre de choses, ca fait vingt ans que c'est une catastrophe, mais c'est pas grave, on continue.

Franchement, j'aurais juste honte d'aborder une activité comme ça.
Mais je peux comprendre l'idée, d'accrocher les élèves, sauf que l'important il est pas là, il est plus là...

Et sinon, Claude François ?

[scarletneedle]

[gillesC]

Mais.... mais.... °_0

https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net...2d&oe=57D6FD25

A 'ment donné, ça va se voir....

[doop]

sinon, pour ceux qui douteraient encore de la chose. OK, c'est orienté mais tout ce qui est dit est vrai

http://learningapps.org/watch?v=pr3j0qtnt16