#61
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On est d'accord. J'avoue que j'ai eu aussi du mal avec cette version du Highfather. Les New Gods manque de charisme pour l'instant. Mais ce fut une bonne lecture sur 3 numéros.
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#62
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Sinon, c'est un peu creux, faudrait que je relise tous les numéros d'une traite pour me refaire une idée car j'avoue que j'ai pas mal baillé. Sinon lu Batman & Robin #35 et je suis un peu resté sur ma faim. Je trouve que ça prend quand même méchamment son temps depuis quelques numéros, et puis y'a une méchante feinte type "club des 5 en vadrouille" pour profiter des capacités d'un perso bien connu et les utiliser; feinte qui est un peu basse du front... ou qui révèle combien ce perso est un peu con con. Enfin bon, moi je l'aime pas. Dernière modification par Plexiglot ; 16/10/2014 à 12h54. |
#63
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Clair que ce n'est pas le meilleur Batman & Robin.
Après graphiquement, ça tabasse toujours autant.
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#64
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Number 6
Titre de la série : Red hood & the outlaws Numéro : 35 Editeurs : DC Titre du numéro : Burned Auteur : Illustrateur : Geraldo Borges Encrage : Paul Neary/Geraldo Borges Scénariste : Scott Lobdell Pourquoi je l'ai pris : Par habitude parce que le titre ronronne de trop. Pitch : Roy est bruler sur un lit d'hôpital mais qu'est-ce qui l'a amener là ? Ou est Kory ? Un numéro qui part de l'arc précédent vers ... une nouvelle direction ? Phrase qui fait écho à ma lecture : "Back off, pal !" Avis : Un numéro assez mauvais. D'un Lobdell avance trop rapidement de son arc précédent vers cette nouvelle proposition, qui est à la base pourtant une bonne idée. Du coup on se demande pourquoi Shade n'est pas sur les traces des Outlaws ... Même si très Lobdell y répond plus loin de manière à effacer l'éloigner l'organisation du titre. Dommage. Outlaws agent of Shade aurait eut de la gueule. Le numéro s'intéresse donc à un méchant qui quelque numéro avant à mener une attaque sur les USA ... Ok ça remonte se truc mais pourquoi pas. Et Kori décide de prendre les choses en mains avant que sous la masse de travail elle fuit ... Pas logique mais bon. Et Roy la rattrape courant vers un destin peu enviable (Lit d'hôpital du début). Mais c'est le coté soap que j'ai pas apprécier sur le numéro. Le rapport Kori/Roy est sympa mais sonne tellement faux à ceux qui comme moi la voie toujours avec Dick. Et puis c'est un numéro de transition malgré ce début excellent de Roy au plus mal à l'hosto. Je crois qu'il est temps d'arrêter les frais. Franchement le titre aura fait mieux que ce que je ne l'espérais à la base (Vu que j'en espérait rien). Coté dessin à part deux ou trois planche qui pète (Les partis à l'hosto avec Jason dans l'ombre, ou lorsqu'il se lance seul dans la masse de méchant), le reste est clairement en dessous. Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 6/10 Scénario : 5/10 Intérêt : 3/6 Originality : 3/6 Plaisir de lecture : 2/6 Note : 5/10 Number 5 Titre de la série : Miles Morales : The ultimate Spider Man Numéro : 6 Editeurs : Marvel Auteur : Illustrateur & encrage : David Marquez Scénariste : Brian Michael Bendis Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'ai aimer le premier run de Miles, même si là Bendis temporise un max. Pitch : Peter Parker est-il Peter Parker ? Comment est-ce possible ? Miles demande des réponses mais rien ne dit que ça va lui plaire. Phrase qui fait écho à ma lecture : "But until you get a front row seat, you really can't appreciate your pioneering work in villainous monologuing as the mayor of crazy-town." Avis : Un numéro entre parlotte et action. La parlotte aurait pu prendre moins de place mais c'est Bendis dont on parle. On est pas plus avancer sur Peter et Miles met une déculotter à Green Goblin. Par contre le coup du tout est lier donc Osborn en plus de savoir qui est miles (Bien oui au lieu de dire "Hé toi le jeune hispano ..." il dit "Miles Morales" ... Et connaîtrait le père de Miles. Coté dessin, Marquez fait un très bon travail, un peu cartoony drole parfois (Jameson qui fait sa castaphiore au téléphone après avoir tirer sur Osborn). Manque un rien pour que ce soit parfais (Comme des cases trop vide de décors trop souvent). Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 9/10 Scénario : 5/10 Intérêt : 3/6 Originality : 2/6 Plaisir de lecture : 5/6 Note : 6,5/10 Number 4 Titre de la série : New Avengers Numéro : 25 Titre en couverture : In 7 Month ... Time Run Out ! Editeurs : Titre du numéro : What happened when the world woke up Auteur : Illustrateur & encrage : Kev Walker Scénariste : Jonathan Hickman Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'aime ce titre ... Pitch : Retour sur les illuminati avant la capture d'Amadeus Cho (Avengers 35) et avant les événement avec les Black Panther dans le New Avengers 24. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Yes, we are locked in." Avis : Un comics assez surprenant déjà par les transformation physique des personnages. Red barbu à retrouver le costume bleu des FF avec un nouveau 4 sur le torse. Captain Britain barbu aussi est borgne. Hulk à une nouvelle coupe. Plus je lis et plus je me demande si on serait pas dans une sorte de Flashpoint ... En tout les cas même pour un numéro de transition c'est un bon numéro. On voit la détermination du susan à incarcéré son mari. Cette fois contrairement à l'après Civil War, y'a pas de pardon possible semble-t-il. Par contre on n'est pas plus avancer sur pourquoi le shield cherche à arrêter les illuminati vu que ce sont plus eux qui font le sale boulot. Un comics complètement couper des événements actuel des FF ce qui est dommage ... J'y reviendrais Coté dessin Walker fait du bon travail, si le numéro est mou du genou c'est pas de son fait. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 9/10 Scénario : 7/10 Intérêt : 3/6 Originality : 3/6 Plaisir de lecture : 4/6 Note : 7/10 Number 3 Titre de la série : Justice League Numéro : 35 Editeurs : DC Titre du numéro : The amazo virus. Prologue : The outbreak Auteur : Illustrateur : Doug Mahnke & Ivan Reis Encrage : Keith Champagne, Mark Irwin, Christian Alamy,, Ray McCarthy & Joe Prado Scénariste : Geoff Johns Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'aime le titre même s'il ronronne depuis quelque temps. Pitch : Bruce est déterminer a arrêter Luthor et la justice league et sur le coup aussi. Mais Luthor semble ne rien cacher jusqu'à un mystérieux individu n'attaque le bâtiment ce qui ouvre un container d'un virus que détenait Luthor. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Luthor's good. Bruce is Better" Avis : Un numéro de transition présentant qui aurait pu passer pour un numéro de présentation de la ligue. Heureusement le duo Luthor/Bruce est loin de nous ennuyer a s'envoyer des petites pique de si de là. La fin réveille le numéro qui pour l'instant me rappel les épisode par Johns sur Avengers (Ah savoir Red Zone). Coté dessins Reis fait un travail fabuleux, et Mahnke ne démérite pas. Vivement la suite parce que a part l'arc sur Atlantis la justice league manque d'arc marquant et réussit. Forever Evil ne comptant pas pour moi c'était des ties in à l'évent. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 7/10 Intérêt : 5/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8,5/10 Number 2 Titre de la série : Ms Marvel Numéro : 9 Editeurs : Marvel Titre du numéro : Generation Why Auteur : Illustrateur & encrage : Adrian Alphona Scénariste : G. Willow Wilson Pourquoi je l'ai pris : Super série à lire absolument non de zeus. Pitch : Kamala ne peut se transformer et elle a un robot qui attaque l'école. Heureusement elle peut compter sur Lockjaw et Bruno pour l'aider. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Oh my god, can we not talk about puberty ?! I'm still not over my mom's "you're a woman now" speech" Avis : Comme d'habitude mener avec tambour battant et fun vers des aventures et des révélations sur l'origine de ses pouvoirs pour Kamala. Et le cliffanger là encore est surprenant. Coté dessin Alphona est juste parfait comme d'hab là encore. Meilleurs série Marvel depuis trèèès longtemps. 9 numéros sans failles, j'attends ceux qui prédisaient une série qui se terminerait rapidement ... Couverture : 1/2 (Pas le meilleur du numéro). Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 10/10 Intérêt : 6/6 Originality : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9,75/10 Number 1 Titre de la série : Fant4stk ou Fantastic Four Numéro : 11 Titre en couverture : Breaking Bad ! Editeurs : Marvel Titre du numéro : East of Eden part three Auteur : Illustrateur : Leonard Kirk Encrage : Karl Kesel Scénariste : James Robinson Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'aime ce run des FF (Oui je pleur la décision de Marvel) Pitch : Un numéro de transition qui s'intéresse à Red, mais aussi à Wyatt et Jennifer Walker, ainsi qu'à la chose toujours tourmenter en prison. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Before whoerever's involed realizes we're onto them." Avis : Un bon numéro ou Robinson continue son travail de sap ainsi que la reconstruction de l'équipe. Reconstruction qui passe par des mains extérieur de manière surprenante. Wanda Scarlet Witch Maximoff d'une part. Bien que si red à raison et qu'elle regarde dans le futur, elle est pas douer parce que New Avengers semble aller dans le sens inverse de sa prédiction. Puis Wyatt et Miss Hulk qu'on dévore des yeux sous le trait de Kirk et qui est coquine sour la plume de Robinson. Son "tu sais que j'aime quand on fait ça" au "On va attaquer des deux coté" est surprenant à lire. Mais drôle surtout pour un couple qui se connait autant et ou Wyatt dit ne pas être là pour fleurter. De toute manière on sait la miss avoir un appétit à part (Son aventure avec junggernaut le prouve). A suivre pour un début de réponse donc Coté dessin, c'est parfait y'a rien a redire. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 10/10 Intérêt : 6/6 Originality : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 10/10 |
#65
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Bon sinon Death Of Wolverine 4 c'est un peu de la merde tout de même. Soule en mode yes man fait tout sauf rêver. C'est à de se demander ce qu'a pu pondre Cornell comme Pitch pour qu'on lui préfère celui là. Alors oui il y a une jolie symétrie entre la fin de Wolverine et ses débuts (cf. le big bad guy) mais bordel ce que c'est chiant. La symbolique de la dernière page est cool mais que cette mort est naze… Franchement, le Not Dead Yet de Ellis et Yu était tout de même plus palpitant. En fait, même si cette mort n'est que temporaire, cela aurait mérité plus d'ambition, quelque chose d'épique, c'est pas mauvais mais c'est loin d'être bon un peu comme la bouffe à la brasserie en face de mon bureau : Tu ne vomis pas le soir mais bon tu n'es pas non plus très heureux d'y avoir bouffé.
Conclusion : M E D I O C R E |
#66
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Fantastic four #11
FANTASTIC FOUR #11 (James ROBINSON / Leonard KIRK / Karl KESEL)
Comme Slobo l'a souligné c'est bien un très bon numéro. James ROBINSON continue de manipuler le destin des quatres Fantastiques et commence à nous donner des bribes d'explications. Cet épisode est dans la continuité de l'annula du mois dernier et Susan avoue ce qui c'est passé à son mari. Les dialogues entre Wanda et Reed sont effectivement très bon car il montre la défiance du leader des FF envers la magie. C'est également l'occasion de mettre à nouveau sur le devant de la scène un personnage que l'on avait pas vu depuis longtemps en la personne du meilleur ami de Johnny (il y a en aussi un autre qui n'est pas loin d'ailleurs), Wyatt Wingfoot qui va faire une rencontre étonnante. Cela amène à un cliffhanger de folie que je n'avais pas vu venir et qui donne une envie folle de lire la suite. Et à y réfléchir c'est pourtant assez logique si on se rappelle les premiers numéros de Robinson sur la série. Le duo Leonard KIRK- Karl KESEL fonctionne à plein régime. C'est très beau surtout The Thing (et une scène sous la douche, et une). Ce numéro est surement un des meilleurs depuis le début. Robinson a accéléré son récit et semble désormais enclin à nous donner des réponses. La reconstruction des FF semble avoir commencé et il y a de l'aventure dans l'air. |
#67
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Green lantern new guardians #35
GREEN LANTERN NEW GUARDIANS #35 (Justin JORDAN / Brad WALKER / Andrew HENNESY et Robin RIGGS)
GODHEAD act 1, part 4 Je me suis ennuyé dans cette quatrième partie qui n'apporte pas grand chose au récit en coupant surtout la dynamique installée. Il a le mérité de mettre Kyle dans l'équation (chose peu étonnante) mais avec une narration maladroite et emprunté (du Justin JORDAN quoi) et des dessins de Brad WALKER peu impressionnants et parfois grossiers. C'est pour l'instant le numéro qui m'a le moins apporté dans la lecture de ce cross-over. |
#68
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C'est vrai que Justin Jordan hormis faire passer Carol de Hal à Kyle (pitié mais arrêtez de casser ce couple!!!!) et de mettre des complexes de Dieu dans la tête de ce dernier, je vois pas ce qu'il a apporté réellement sur la série.
Dernière modification par Bootman ; 20/10/2014 à 21h12. |
#69
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Justin Jordan fait la quasi-unanimité...
...contre lui!
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#70
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Ms. Marvel #9
MS. MARVEL #9 (G.WILOW WILSON / Adrian ALPHONA)
Excellent encore une fois. Marvel sait faire des bonnes séries dans la lignée ce qui a fait leur succès. C'est inventif (les pouvoirs et les ennemies), encrée dans la réalité (Kamala étant écrite comme Peter Parker a pu l'être) et dans la continuité (meilleur série exploitant Inhumanity avec enfin des vrais Inhumains) et surtout très bien dessiné. Adrian ALPHONA s'éclate et nous avec des planches qui semblent tellement fraiches et novatrices. En plus c'est encore une fois un régal à la lecture avec G.WILOW WILSON qui multiplie les références à la culture populaire parfois aidé du dessinateur (W1L-LOW sur une plaque d'immatriculation) mais aussi (Masterchief, le slime, le non Star War Wars universe, l'allusion au diapason sur Lockjaw, a galaxy far far away, l'épisode IV...). Les personnages deviennent de plus en plus attachant preuve du travail de fond que réalise le scénariste depuis le début. Oui cette série ne ressemble à aucune autre et c'est tant mieux. La série Marvel que j'attends le plus chaque mois et qui me redonne foi dans la maison des idées. |
#71
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Supreme blue rose #4
SUPREME BLUE ROSE #4 (Warren ELLIS / Tula LOTAY)
Etrange série que cette reprise de Supreme par Warren ELLIS qui a l'air de s'éclater à donner sa vision de cet univers. Ce numéro ne déroge pas à la règle même si des réponses sont enfin données ce qui montre le talent du britannique qui maitrise sa narration. Il fallait s'accrocher et le fait que ce récit soit centré sur Doc Rocket (le Flash de l'univers Supreme) est un tout un symbole de cette accélération soudaine dans l'aventure. En plus comme depuis le début on ne peut que tomber sous le charme des planches de Tula LOTAY, plus poétiques et planantes que jamais. Je pense qu'une relecture en bloc (ou bien en TP) fera du bien à SUPREME BLUE ROSE mais il y a beaucoup d'idées intéressantes dans la narration et les dessins qui méritent que l'on s'y attarde. |
#72
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Manifest destiny #11
MANIFEST DESTINY #11 (Chris DINGESS / Matthew ROBERTS)
Ce numéro clot le deuxième arc. Le prochain sera un sweet single (dixit Chris DINGESS) et le troisième arc commencera au #13. Pour ma part j'attends de voir dans quel TP sera mis le #12 car je ne continuerai pas cette série en single. Cet arc a montré les limites de Manifest Destiny. Il manque un vrai fil conducteur et le scénariste n'a pas pris le temps de creuser ses personnages. Du coup peu d'empathie pour eux. Il reste une impression que l'on va suivre des aventures en 5 ou 5 épisodes centrées sur un problème à surmonter et uniquement cela. C'est dommage car ce n'est pas désagréable à lire mais il manque le truc pour en faire quelque chose d'incontournable surtout que le cadre historique est intéressant mais là encore sous exploité. Ah si ils ont enfin réussi à décoincer le bateau donnant un morceau de bravoure assez bien fait. Une série agréable mais pour l'instant pas inoubliable. Je conseille quand même à ceux qui veulent lire en VO car c'est très accessible et pas prise de tête. |
#73
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Unity #0
UNITY #0 (Matt KINDT / Cary NORD)
Encore une fois un bon numéro de chez Valiant. Sans trop en dévoiler Matt KINDT arrive à jouer habilement avec le jeune passé de cet univers et surtout avec l'équipe d'Unity qu'il arrive à récréer pendant la seconde guerre mondiale. C'est très bien fait et cela lui permet en plus d'enchainer sur son prochain arc avec les United (qui sont ils ? il faut lire l'interview de Matt Kindt dans ce numéro). Autre raison de lire ce #0 c'est le dessins de Cary NORD qui a une nouvelle fois adapté son style et là je dois dire que j'ai été bluffé tellement c'est beau. Les couleurs de Jose VILLARRUBIA apportent la dessus des effets sépias ou des tons délavés dans le style WWII qui s'accordent très bien à l'encrage de Cary Nord. Au delà d'être un bon récit, ce numéro construit le passé et l'histoire de Valiant et est indispensable pour ceux qui suivent la série. |
#74
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Teen titans #3
TEEN TITANS #3 (Will PFEIFER / Kenneth ROCAFORT)
Troisième numéro de cette nouvelle et énième mouture des Teen Titans et je continue à pense que Will PFEIFER s'en sort bien. Je trouve qu'il a l'intelligence de ne pas se précipiter et nous sortir des histoires juste impossibles. Il mène sa barque lentement et surement et travaille sur les personnages. Ici petit coup de projecteur sur Raven et encore sur Bunker, teen titans que semble apprécier le scénariste. L'équipe en tant que tel commence à bien exister sous sa plume tout comme le fait qu'il s'attache à décrire des situations de jeunes héros. Le fait que Kenneth ROCAFORT est plus soft que d'habitude contribue surement à ma appréciation globalement bonne de cette série. Rien d'extraordinaire mais une bonne histoire et ambiance depuis la reprise qui contribue à faire de ce titre quelque chose de très agréable à lire. J'aime. |
#75
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Deadly class #8
DEADLY CLASS #8 (Rick REMENDER / Wes GRAIG)
Numéro stratégique car il dévoile une partie de l'enfance de Marcus dans le drôle d'orphelinat où il avait été placé. Et force de constater qu'il n'a pas été gâter. Sale ambiance et saleté d'adultes et gosses dans une atmosphère digne de certains films underground ou indépendant qui mettent mal à l'aise. Tout s'emboite permettant à Rick REMENDER de continuer son travail de fond sur les protagonistes. C'est très intéressant de voir comment le scénariste travaille ses personnages. Autre satisfaction c'est les dessins de Wes GRAIG qui associé à Lee LOUGHRIDGE aux couleurs nous proposent un superbe flashback, nerveux et porteur de rage et de désespoir. Tout est dans les tons de couleurs employés qui tranchent avec les séquences au présent. C'est stylé et superbe. C'est actuellement la série de Rick REMENDER qu'il faut faire et suivre (peut être avec Uncanny Avengers). C'est différent, intelligent et bourré de références pop culture. Une réussite. |
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