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je ne savais pas où mettre ça, alors j'ai choisis le lieux de la grace
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J'admets que c'est beau à en oublier l'orthographe.
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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il a quand même perdu mCcarthy y a pas a dire....
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On débarrasse HERE ! nouveau déstockage avril 2022 ! My dead Blog ! Mes critiques après tout le monde ! 600éme !!! TPB Waiter |
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\o/
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je fais mon gougoune et je reviens uneviedestar.free.fr |
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Je me rends compte que je perds mon sens de l'humour quand on confond Pope et Brendy tant je les aime. Alors humour ou non monsieur ?
Et kiss Paulie avec un geste viril tambourinant ma poitrine.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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WHATDAYATHINK ponque ?
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sinon, mon signe \o/
c'est un monsieur qui leve les bras de joie et d'excitation. C'est tout. \o/
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ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh parce que ça ressemblait vraiment a un chasseur T.I.E qui serre les fesses ^^
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Bouahaha
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Burn the land and boil the sea, but you can't take the sky from me. Mes ventes v.o: http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=27439 |
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Je passe deux semaines sans poster et c'est le bordel ici.
M'enfin c'est un beau bordel donc respect. And now for something completely different... Le plus horrible dans cette histoire c'est mon incapacité à dessiner une fille (et à colorier sous Photoshop). C'est pas facile de faire flipper son lecteur avec un illustré. Si je cherche un peu des souvenirs de comics vraiment effrayants ça ne se précipite pas vraiment. Quelques numéros d'Hellblazer, des Swamp thing quelques EC... alors quand je tombe sur un truc bien anxiogène j'applaudis. Cut est la dernière sortie de la ligne Horror de chez Dark Horse. C'est Mike Richardson (fondateur et président de cette maison d'édition) qui scénarise et c'est Todd Herman (que l'on a déjà vu dans The Goon noir) qui dessine. Les couleurs sont évidemment du spécialiste de ce genre d'ambiance : Dave Stewart. Cet homme doit avoir définitivement renoncé à dormir, manger et voir la lumière du jour vu le nombre de comics qu'il met en couleur ! Suite à des bonnes vibes émises par un certain monsieur Nix autour du précédent bidule de Richardson (the secret) je me suis procuré ce petit fascicule trapu de 102 pages agrémenté d'une jolie composition de Mignola en couverture. Le pitch fait dans le classique-mais-efficace : Meagan Walters se réveille brusquement dans une pièce sombre et poussiéreuse. Elle n'a strictement aucune idée de ce qu'elle vient faire là. Un coup d'oeil par la serrure lui révèle que son hôte n'a visiblement pas grand chose d'humain. Qu'est ce qui fait qu'une histoire pareille fonctionne pour moi ? J'apprécie ici le rythme soigné et trépidant. Le découpage est ramassé et dense. C'est le genre de bouquin qui se lit d'une traite, en apnée. On voit aussi que c'est un travail où l'on a pris le temps de chiader les détails. Richardson explique avoir pris quatre ans pour peaufiner son histoire et cela se ressent. Le scénario est finalement assez simple mais réussit à faire exister ses personnages et des situations « classiques »avec une facilité déconcertante. Le « méchant » de l'histoire est très très réussi et j'aime aussi que tout ça garde une bonne part de mystère. Peu d'éléments sont finalement révélés et c'est aussi bien comme ça J'aime le dessin « simple » d'Herman et son approche assez terre-à-terre sans grand effet de manche mais avec des expressions et des cadrages d'une grande puissance. J'adore aussi la fin mais je ne vous en dirai rien. Une bonne petite flippe pas prétentieuse pour deux sous pour 9,95 $, ça ne se refuse pas. En bonus, vous avez en fin de bouquin un petit sketchbook tout à fait pertinent qui montre bien l'important travail de préparation. P.S. : Je viens de me souvenir que Richardson avait déjà commis « Gone » une petite histoire tout à fait glaçante illustrée par P Craig Russel dans le bon petit Dark horse book of hauntings.
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
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J'ai pas regardé mais tu vas pas mettre tes productions dans la partie qui est faite pour ?
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Ben oui, fais tourner.
Je connais au moins deux ou trois personnes dans le coin qui aiment bien la bandessinée.
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Mais pas beaucoup plus, hein, faut pas déconner...
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Ben en fait des ch'tites BD j'en fait surtout pour me dispenser d'écrire des intro idiotes.
Mais je promets d'aller faire un tour du côté des scribouillards.
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Personnellement, j'apprécie autant la série The Goon d'Eric Powell pour son humour tordu, ses dialogues hilarants ou son fantastique grotesque que pour les petites pointes de mélancolie qui viennent parfois prendre le contre pied des couteaux dans l'oeil et autre demeuré balançant leurs propres déjections. Et voilà t'y pas que Mr Powell nous sort le tant attendu Chinatown. Ça fait un petit moment que l'on entendait parler de ce graphic novel sensé nous narrer un épisode traumatisant de la jeunesse de son héros à gueule de parpaing. Il aura fallu de bonnes ruptures de rythme dans la série et trois épisodes de The Goon noir mais The Goon : Chinatown and the mistery of Mr Wicker est donc sorti dans un beau hardcover rouge chez Dark Horse en novembre 2007. Le pari risqué de Powell est de faire une histoire entièrement dramatique. La première page nous prévient donc : Pour mener à bien le bidule, il imbrique habilement deux intrigues : celle de Chinatown qui nous conte comment il est devenu la brute défigurée que nous connaissons et celle de Mr Wicker qui fait le lien avec une menace du présent. La double narration fonctionne très bien. Le rythme est savant sans être trop démonstratif. Les échos entre les deux histoires apportent beaucoup au récit. Deux femmes différemment fatales, deux adversaires vicelards et puissants, deux combats titanesques et au final une unique page splendide bouclant la boucle sur un constat amère. Le dessin est comme d'habitude d'une grande classe. La mise en couleur sépia est somptueuse et finalement assez discrète sur la durée. Le bouquin peut s'enorgueillir de plusieurs morceaux de bravoure graphique dont la tétanisante baston contre le dragon ou les cinq pages où notre Goon est submergé par le chagrin et la rage. Dans le genre hyper casse gueule, il fallait oser mais pourtant j'ai marché à fond. Bon, je veux bien reconnaître que ça manque un peu de finesse sur les personnages féminins ou la relation avec Franky mais en se laissant un peu aller on se laissera emporter par ce mélo flamboyant et cruel. Le bonhomme Powell continue son petit cheminement artistique dans une voie à la fois personnelle et risqué, on ne peut que saluer la démarche et constater à nouveau le grand talent du gonze. Même si je peux difficilement en juger, le truc à l'air de pouvoir se lire indépendamment de la série mais les fans y trouveront largement leur bonheur. Ça coûte la bagatelle de 19,95$.
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