#46
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On reste ami quand même ?
Je suis trop exigant que veux tu (C'est le ENIGMA que m'a conseillé Doop qui m'a retourné la tête. Je n'en suis pas encore remis il faut croire). Par contre oui, l'elllipse sur Sheltered qui nous renvoie à la fin de l'épisode précédent est très bien vu et je crois que c'est cette bonne idée qui m'a du coup déçu sur la première partie de l'épisode. Bon prochain essai sur Hinterkind ou Quantum&Woody pour tomber d'accord ? Il y également Shadowman mais je commence à avoir peur du coup ? |
#47
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#48
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Bad Blood #1 : pas de mauvais sang à ce faire pour cette mini elle va couler de source. Elle a surtout un énorme avantage, elle s'aventure dans un terrain presque vierge dans les termes du comics : le cancer. Bien sur il y a bien Captain Marvel et quelques raretés comme I Kill Giants mais d'ordinaire cette maladie est occultée, un peu comme dans notre société où on pense qu'en n'en parlant pas elle n'existe pas. Et la force de cette mini est que le personnage principal vie sa maladie comme étant un pan entier de son existence, sans aucun tabou. Bien au contraire de par son traitement chimiothérapique son sang est devenu un poison pour les vampires. Un angle d'attaque original avec cette touche de fantastique, mais encore une fois pas conventionnelle car ici les suceurs de sang sont décriés comme un phénomène de mode, des morts vivants qui sont bien plus cool qu'ils ne devraient l'être.
Un énorme bravo pour cette mini qui parle de vivant se battant contre la mort opposé aux morts qui se prennent pour des vivants. Enfin un énorme bravo à Tyler Crook qui s'est engagé dans ce projet sur les dessins, les couleurs et même les lettrage, un artiste rare qui sait être brillant sur tous les fronts. |
#49
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Déjà que tenter de prendre le perso en otage à peine introduit, ça marchait vraiment très mal, mais là, la menace envers la famille qu'on te montre vite fait en 1 case, c'est vraiment pété comme façon de faire. Menacer la famille jamais vue d'un perso introduit au numéro précédent, va falloir revoir le fonctionnement des levier dramatique. La deuxième partie du numéro passe mieux, mais bon, encore une fois la "révélation" sur Rosa dont on se fout et la façon expéditive de souder l'équipe... c'est vraiment à revoir. Perso, dernier numéro. Je quitte le navire ici, pas envie de sombrer avec et 7 numéros, c'est bien assez à avoir écopé. Sinon, la blague Shaolin Cowboy V2 s'est enfin finie. J'aurais aimé en rire aussi mais ça fait cher pour une pin up sous tout les angles.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#50
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Manifest destiny #3
MANIFEST DESTINY #3 (Chris DINGESS / Matthew ROBERTS)
Les aventures de Lewis et Clark continuent leur bonhomme de chemin. Le rythme du récit de Chris DINGESS ne faiblit pas, bien au contraire. Dans ce numéro on en sait plus à propos de l’abandon du fort de La Charrette et de la contagion de certains colons. J’ai particulièrement aimé ce numéro qui est une parfaite synthèse entre un fond historique, une étape dans les aventures des protagonistes et une dose de surnaturelle. Le tout sans tomber dans le gore facile ni dans une narration trop simpliste. Le scénariste à l’art de distiller les informations au bons moment et de rendre son histoire très intrigante. Ces louanges peuvent aussi s’appliquer au dessinateur Matthew ROBERTS dont la qualité de la production de faiblit pas et qui arrive à varier son style selon les effets narratifs souhaités par son scénariste. Bien aidé par le coloriste Owen GIENI les flashbacks sont superbes et traités dans des couleurs sépia du plus bel effet. De même Matthew Robert caractérise très bien les êtres surnaturels du récit. Cet artiste se sentirait à l’aise sur des séries comme Animal Man ou bien Swamp Thing. Le folklore associé à Manifest Destiny s’étoffe, les mystères se multiplient et on n’est pas au bout de nos surprises. |
#51
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Afterlife with archie #3
AFTERLIFE WITH ARCHIE #3 (Roberto AGUIRRE – SACASA / Francesco FRANCAVILLA)
Plus on avance dans cette histoire plus cela devient addictif. Je ne sais pas combien de numéro vont arriver à tenir Roberto AGUIRRE – SACASA et Francesco FRANCAVILLA mais encore une fois ils arrivent à nous tenir en haleine avec une histoire passionnante qui ne joue pas la redite des numéros précédents. L’action est sur plusieurs front (salle du bal, rues de Riverdale, Pop Tate’s) et cela inpulse une réelle dynamique au récit. La qualité des dialogues ne faiblit pas (Archie - Betty, Veronica – Betty, Ginge – Nancy ) et les références non plus (il y a enfin une scène dans une piscine et si vous n’avez jamais lu The Great Gatsby, Veronica vous propose de vous en faire un résumé expéditif). 3 numéros et je suis devenu accro. L’un de meilleurs titres actuellement. |
#52
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Quantum&woody #7
QUANTUM&WOODY #7 (James ASMUS / Ming DOYLE)
Bon je passe sur la prestation de Ming DOYLE que je n’apprécie toujours pas et qui me gâche une partie de ma lecture. Les dessins de Tom Fowler étaient d’une classe folle et collaient parfaitement au récit déjanté de James ASMUS. Le reste c’est du tout bon. James ASMUS continue son délire en confrontant les 2 antis héros à un nébuleux groupuscule pour la suprématie de la race blanche. C’est cette fois ci, pour le scénariste, l’occasion de jouer sur les quiproquos et les bons jeux de mots à base de religion ou de racisme (Woody et un baptême mortel, une charge contre les milices, la cagoule du KKK remplacé par…je vous laisse découvrir). Le scénariste continue (par trop de petites touches à mon gout) d’approfondir ses personnages (69 qui revient, la relation entre les 2 frères, le passé de militaire de Quantum) et introduit un sub plot pour la suite. La menace reste aussi déjantée que le reste de l’histoire. J’adore ce Magnum. Finalement, malgré des dessins pas à la hauteur, cet arc de Quantum&Woody reste une valeur sur. C’est une histoire qui joue à fond la carte du décalage, sans se prendre au sérieux, et qui regorge de clins d’œil et de bons jeux de mots. |
#53
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Hinterkind #4
HINTERKIND #4 (Ian EDGINTON / Francesco TRIFOGLI)
Déjà 4 numéros et le scénariste continue de nous entrainer sur de fausses pistes (pour le lecteur) mais surtout d’explorer le monde qu’il a crée. Et je trouve cela particulièrement bien joué. L’effet feuilleton joue à fond et la lecture en single mensuel est un plaisir. Dans ce numéro on explore les bas fonds de l’espèce humaine face aux évènements apocalyptique qui se sont déroulés. Ces évènements ont d’ailleurs conduit à une inversion entre espèces, l’humaine étant désormais dominée par celle animal. L’être humain se cache (sous terre) ou vie en communauté à l’abri de tous (nos héros). D’ailleurs Ian EDGINTON s’éloigne ici de la fable écologique à laquelle on a pu croire dans le #1 et il convient de ne pas trop s’attacher aux personnages car la mort n’est jamais loin pour certains. Hinterkind n'est pas encore une de ces lecture indispensables mais petit à petit tout cela prend forme et ce numéro en est un parfait exemple. Moins de révélations mais plus d’action et d’exploration dans ce numéro qui permet au lecteur de continuer à se familiariser avec le monde d’Hinterkind. |
#54
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Number 9
Titre de la série : Justice League of America Numéro : 11 Titre en couv : In the grio of clayface Editeur : DC Comics Titre intérieur : Despair Auteur : Illustrateur : Tom Derenick & Eddie Barrows Encreur : Derenick, Eben Ferreira, Ruy Jose, Allen Martinez Scénariste : Matt Kindt Pourquoi je l'ai pris : J'aimais la jla de kindt jusqu'ici. Pitch : Manhunter se retrouve confronter sans tout ses pouvoirs à Clayface, mais heureusement Stargirl vient lui sauver les miches. Ils sont tous deux sous l'attention accru d'un ennemi connu. Phrase qui fait écho à ma lecture : "I seeing a woman who earned her place" Avis : Les dessins vont du très bon au moins bon selon le dessinateur/encrage. Le scenario lui ne décolle pas et comme se demander Scarlet ont est en droit de se demander si Kindt qui avait admirablement préparer Trinity wars à eut droit de toucher à Forever Evil. Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 7/10 Scénario : 5/10 Intérêt : 2/6 Originality : 2/6 Plaisir de lecture : 1/6 Note : 4,5/10 Number 8 Titre de la série : Nova Numéro : 12 Editeur : Marvel Titre intérieur : Help Wanted Auteur : Illustrateur : Paco Medina Encreur : Juan Vlasco Scénariste : Greg Duggan Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'aime jusqu'ici les aventures de ce nova Pitch : Sur les traces d'un nouveau nova mort, Sam se fait botter les fesses. Il décide de laisser cette partie de sa fonction de coté lorsque cette fois c'est un appel de détresse qui le guide jusqu'à un vaisseau du nova corps attaqué. Phrase qui fait écho à ma lecture : "I don't like owing depts" Avis : Coté dessin medina est sympathique sans plus. J'avoue m'ennuyer un peu (Aussi pour cause de scénario) en voyant une nouvelle jeune allien venant faire la bise à sam. Coté scénar j'avais l'impression d'avoir un metro d'avance constant sur Sam. J'espère que l'arriver de Beta Ray Bill va bousculer un peu le cocotier (Mais je m'inquiète de voir l'arc s'étendre jusqu'en avril ) Couverture : 0/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 2/10 Intérêt : 4/6 Originality : 2/6 Plaisir de lecture : 2/6 Note : 4,5/10 Number 7 Titre de la série : All new X-men Numéro : 21 Editeur : Marvel Auteur : Illustrateur & Encreur : Brian Peterson Scénariste : Brian Michael Bendis Pourquoi je l'ai pris : J'aime les all new. Pitch : Les X-men sont prisonnier du fils Stryker qui a fait appel à l'AIM pour savoir comment se débarraser des original X-men sans merder le continuum espace temps. Phrase qui fait écho à ma lecture : "You'll do no such thing" Avis : Le dessin est très sombre. Bon c'est de nuit mais tout de même. Après les deux première pages superbe j'ai même cru que c'était un autre qui avait fait le reste. Coté scénar, bendis ronronne. Non on peut pas tuer les original même quand on est méchant on a une éthique sur le continuum espace temps. Gros sabot sur le triangle X-23/Cyclope/Jean Grey. Je vais prendre mes distance le temps du crossover avec les gardiens de la galaxy. On verra s'il sera assez fortiche pour me récupérer après. Couverture : /2 Dessin & encrage : 1/10 Scénario : 7/10 Intérêt : 7/6 Originality : 3/6 Plaisir de lecture : 2/6 Note : 5/10 Number 6 Titre de la série : Archer & Armstrong Numéro : 17 Editeur : Vailiant Titre intérieur : Auteur : Illustrateur & Encreur : Khari Evans & ChrisCross Scénariste : Fred Van lente Pourquoi je l'ai pris : Pour finir l'arc. Pitch : Archer & armstrong pénètre dans le lieux secret ou se trouve l'artefact qui devrait rallier toute les sectes. Et Archer laisse son ex-ami dans leur main. Phrase qui fait écho à ma lecture : "they joined me" Avis : Les dessins sont assez bon comme pour les dernier numéro. Le scénar et bien ficeler même j'aime pas le coté plus noir d'archer dans cette arc. Marie-Maria est toujours aussi intriguante et la fin fait bien rire. Mais je prend mes distance le temps du crossover. Je tiendrais cette série à l'oeil. Mon dernier numéro sera l'annual. Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 6/10 Intérêt : 3/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 4/6 Note : 6,5/10 Number 5 Titre de la série : Amazing X-men Numéro : 3 Titre en couverture : The Beast Unleashed ! Editeur : Marvel Titre intérieur : The quest for Nightcrawler 3/5 Auteur : Illustrateur : Ed Mcguiness Encreur : Dexter Vines Scénariste : Jason Aaron Pourquoi je l'ai pris : Diablo, McGuiness, Aaron ... Comment résister ? Pitch : Beast arrive sur le navire d'Azazel et se confronte à ce dernier pendant que Nightcrawler s'occupe du sauvetage de Storm. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Aye aye Captain" Avis : On a été mauvaise langue McGuiness tient bon la barre pour l'instant et n'a pas voguer vers d'autre cieux. Coté scénario Aaron place les choses, ce permet un petit retcon et nous en apprend plus sur la relation Diablo/Tornade (Oui ça me rend semicstalgic ). On se demandé si Claremont allez botter le train à la version austin ... Et ça m'a l'air d'être Aaron qui ouvre le feu. Couverture : 0/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 6/10 Intérêt : 7/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 7/10 Number 4 Titre de la série : Justice League 3000 Numéro : 2 Titre de la série : Against the power of Locus Editeur : DC Comics Titre intérieur : Things fall apart Auteur : Illustrateur : Howard Porter Scénariste : Keith Giffen & J.M DeMatteis Pourquoi je l'ai pris : Pour juger après un 1 intriguant. Pitch : Les jumeaux envoit la Justice league sans le savoir dans le piège tendu qui les jette droit dans les pattes de Locus. Phrase qui fait écho à ma lecture : "A lesson in humility" Avis : Surprenant. Le numéro nous choppe par là où on ne s'attend pas. Si je m'inquiéte pas pour les membres de cette justice league special je me demande malgré tout comment il vont se débrouiller pour Si je trouvais pas bien original cette locus au début, j'avoue que les auteurs ont réussit à me chopper. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 4/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 4/6 Note : 7,5/10 Number 3 Titre de la série : Green Lantern Corps Numéro : 27 Editeur : DC Comics Titre intérieur : Forensics Auteur : Artist : Bernard Chang Illustrateur : Sean Cheb Encreur : Walden Wong Scénariste : Van Jensen & Robert Venditti Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'ai bien besoin de la lumière des lanterns en ce moment. Pitch : Johns & c° enquête sur l'enlévement de deux lantern par des prisonniers fréchement évader des cellules avant le destruction d'Oa. Les Durlans continuent leur plan qui semble sans faille. Et un message d'Hal dans l'univers fait douté de ses choix. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Forgive me if i was unclear you were not been offered a choice" Avis : Coté dessin c'est plus ou moins bon selon qui fait les pages. Coté scénario c'est vraiment sympa cette petite enquête de john & c°. Un chouillat chanceux. Mais vraiment intéressant. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 6/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 6/6 Originality : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8/10 Number 2 Titre de la série : Nightwing Numéro : 27 Titre en couverture : Who pylls the strings of Dick Grayson's life ... Marionette Editeur : DC comics Titre intérieur : Curious and curiouser Auteur : Illustrateur : Will Conrad Encreur : Cliff Richards Scénariste : Kyle Higgins Pourquoi je l'ai pris : Parce que c'est Dick et que je m'intéresse à son futur. Pitch : Dick fait ami-ami avec l'ancienne Alice et décide de l'aider. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Okay, I'm officially confused" Avis : Les dessins ne sont pas vraiment excellent. Bon s'en plus. Mais heureusement Higgins monte l'intérêt de cette histoire autour d'une des Alice du Mad Hatter. J'espère revoir ce personnage autour de Dick bientôt, elle mérite de trainer dans son ombre. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 7/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 6/6 Originality : 5/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8,5/10 Number 1 Titre de la série : Uncanny X-men Numéro : 16 Editeur : Marvel Auteur : Illustrateur : Chris Bachalo Encreur : Tim Townsend, Mark Irwin & Victor Garza. Scénariste : Brian Michael Bendis Pourquoi je l'ai pris : Parce que j'aime les uncanny de Bendis. Pitch : Magneto rejoint Dazzler dans une manifestation anti-mutant pour avoir des info sur les sentinel qui ont attaquer son équipe de X-men. Mais Dazzler l'envoit s'interreser au nouveau Madripoor. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Who did this" Avis : Rhaa Bachallo ... Il fait plaisir même si c'est pas encore ses grands travaux. Il nous offre un magnifique on shot sur Magneto. Il rend bien ses pouvoirs j'ai trouver. Bon c'est un peu fouillit au début entre ce que magneto imagine et ce qui se passe. Ou le moment ou dazzler parle de Madripoor et ou on comprend que c'est magnus qui se promène dans les rue de la ville. Et quel fin Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 9/10 Intérêt : 6/6 Originality : 5/6 Plaisir de lecture : 5/6 Note : 8,5/10 Dernière modification par Slobo ; 21/03/2014 à 17h29. |
#55
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#56
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Amazing x-men #3
AMAZING X-MEN #3 (Jason AARON / Ed McGUINNESS / Dexter VINES)
Encore un numéro solide qui devrait ravir les fans (et je sais qu'ils sont nombreux) des X-Men de l'époque Claremont/Cockrum. Les X-Men (Beast, Storm et Nightcrawler) se battent contre les démons pirates d'Azazel sur les navires de ce dernier dans cet épisode. Si certains pense qu'il est désormais impossible de faire rimer dialogues et combats endiablés Jason AARON et Ed McGUINNESS se chargent de vous prouver le contraire. On en prend encore une fois plein la vue avec des dessins de McGuinness haut en couleur et on ne s'ennuie pas une seule seconde tellement cela coule de source. Aaron n'est pas avare en bons mots (Math 1 New God 0, Agnostic Overboard) et notre diablotin à la fourrure bleue préféré est enfin là. Azazel (à priori encore le père de Kurt) devient très intéressant sous la plume de Aaron car le scénariste arrive à lui insuffler de la vie (oups) et à le placer sur l'échiquier X parmi les autres némésis des X-Men en le distinguant bien de ces derniers (Aaron joue la carte de la dérision et cela marche). Les retrouvailles entre Ororo et Kurt valent le détour avec le petit flashback qui va bien. Seul défaut de cet épisode, l'enthousiasme de Aaron qui oublie de faire apparaitre l'autre équipe de X-Men. Mais on lui pardonne facilement au vu du plaisir de lecture qu'il nous offre. On pouvait se demander si une série serait capable de détrôner WATXM de Jason AARON ? Amazing X-Men du même Jason AARON en prend le chemin. |
#57
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Triple helix #4
TRIPLE HELIX #4 (John BYRNE)
Le numéro le plus frustrant depuis le début car il amène une suite que l'on n'est pas encore sur de lire. C'est fort dommage car la dernière planche vient légèrement gâcher le plaisir que l'on venait d'avoir. Une intrigue va rester en plan (celle avec la parodie des Avengers et autre Justice League) tandis que la principale a un gout d'inachevé. D'ailleurs au vus des 3 dernières planches on se demande même si John BYRNE n'a pas voulu faire passer une message à son lecteur (ce n'est qu'un rêve, l'artiste peut tout décider et créer). Sinon on assiste à un grand Byrne qui nous livre un récit sans temps mort et encore une fois de superbes planches. On ne s'ennuie pas une seconde et on tourne chaque page avec grand plaisir. Vite la suite car cela fait du bien de lire des histoires pareils, pas prise de tête et très bien dessinées et ficelées. |
#58
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Kiss me satan #5
KISS ME SATAN #5 (Victor GISCHLER / Juan FERREYRA)
Merci Messieurs GISCHLER et FERREYRA pour cette mini série qui aura tenue ces promesses jusqu'au bout. Le final est au niveau des attentes suscitées et l'affrontement tant attendu entre Barnabus Black et Cassian baigne dans une ambiance fantastique (bestiaire compris avec encore des petits nouveaux) avec une touche d'humour bien sentie (la scène d'introduction à l'église par exemple) digne d'un film de Tarantino ou Rodriguez. Et puis encore une fois bravo à Juan FERREYRA pour sa prestation graphique. Il se rapproche de son style de Colder dans ce dernier numéro avec des compositions plus osées que d'habitude. Un grand final pour une grande mini série. Si vous voyez le TP sortir précipitez vous dessus. |
#59
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Curse #1
CURSE #1 (Michael MORECI et Tim DANIEL / Riley ROSSMO et Colin LORIMER)
Premier numéro d'une série qui en comportera quatre. Contrat rempli dans ce premier numéro qui prend le temps de faire exister les personnages (Laney avec son fils malade, sa belle soeur flic, la menace qui hante les forets de la bourgade) et d'installer une ambiance pesante et mystérieuse. Alors bien sur le terrain est conquis (nuit, neige, bois, Lycantrope, rançon) mais encore fallait il donner envie au lecteur de tourner chaque page. Les 2 scénaristes, Michael MORECI et Tim DANIEL, ont décidé pour cela de suscité l'envie avec une scène d'ouverture intrigante et déconnectée de la suite du récit (sauf la dernière planche) puis en enchaînant sur les failles des personnages en sortant légèrement des sentiers battus (bon pas trop quand même). L'écriture se veut également cinématographique (mais pas tant que cela non plus, je dis cela pour SJ ) avec des références au schéma familiale, la police sans piste sérieuse, la référence au football américain universitaire ce qui permet là encore au lecteur de rapidement s'immerger dans le récit. Enfin les dessins de Riley ROSSMO et Colin LORIMER sont très bons (avec des variations dans le style et les compositions selon les séquences narratives) et captent parfaitement l'atmosphère. CURSE ne me semble pas écrit comme un récit à l'ambition de révolutionner le genre mais on sent que les artistes se sont appliqués pour le produire. Cette mini série mérite donc sa chance et que l'on s'y attarde car j'ai l'agréable impression que l'on n'est pas au bout de nos surprises. Bonne pioche pour ma part sur un type de lecture dont je n'ai pas l'habitude. |
#60
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Superior Spider-Man #25
Le marché de dupes continue : alors que la fin de la série est programmée et la date connue, Dan Slott continue de faire monter la pression sans que la vérité éclate même si les pions continuent d'être alignés Il règle le cas Venom de façon assez simple (comme il y a Guardians Of The Galaxy qui a déjà posé une option dessus) quand le combat dure tout l'épisode Ce sont surtout les scènes liées à la future Goblin Nation qui sont intéressantes (ça fait mal et fera encore plus mal le mois prochain). Quant au personnage principal, il tente de sauver les apparences mais c'est bien le début de la fin mais seul le lecteur le le sait : c'est d'ailleurs amusant que le lecteur forcément omniscient dans l'affaire en sache plus qu'un personnage se définissant comme supérieur En effet, l'auteur distille assez de pistes pour que le puzzle soit reconstitué avant le futur relaunch. Bonne prestation de Humberto Ramos dont les poses alambiquées lors du combat sont assez jolies à regarder.
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