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  #16  
Vieux 08/11/2009, 16h14
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Yeah !!

C'est ça, j'y avais pensé mais je n'avais pas trouvé l'album.
Merci de m'avoir poussé à creuser.

Plus que deux donc.
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  #17  
Vieux 08/11/2009, 17h45
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la 23 elle a des dents en or et une capuche
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  #18  
Vieux 08/11/2009, 18h40
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Throbbing Gristle ?
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  #19  
Vieux 08/11/2009, 18h48
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ça collerait bien
je trouve pas d'images pour confirmer
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  #20  
Vieux 08/11/2009, 19h15
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  #21  
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vu en 2009, à Clisson
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  #22  
Vieux 08/11/2009, 20h16
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Merci Mr Nix.
Comment ai-je pu oublié une pochette aussi sublime ?
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  #23  
Vieux 08/11/2009, 20h34
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J'aurais dû demander à ma femme.
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  #24  
Vieux 09/11/2009, 18h40
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Allez les gars, plus qu'une pochette à trouver.

la 22 :


ça ne dit vraiment rien à personne ?
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  #25  
Vieux 09/11/2009, 19h42
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Tu gagnes quoi pour nous faire bosser au black ? Des places pour les Trans ?
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  #26  
Vieux 09/11/2009, 20h33
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Citation:
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Tu gagnes quoi pour nous faire bosser au black ? Des places pour les Trans ?
Yep et puis des chèques cadeaux pour des skeuds (entre autre).
Pour ceux qui veulent jouer c'est par là.

Bon après il y a une super question subsidiaire :
Citation:
Combien de disques seront empruntés pendant la journée du 21 novembre dans les Bibliothèques municipales de la Ville de Rennes ?
Heu quelqu'un bosse dans une médiathèque de Rennes ?
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  #27  
Vieux 06/12/2009, 21h53
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Bon, on a gagné deux t-shirts au quizz mais cela ne nous a pas empêché d'y aller.

Ces chroniques sont dédicacées au genou de Fix et aux cernes d'Isabelle.

Transmusicales de Rennes 2009

Vendredi 4 décembre
C'est un poil vexé de ne pas avoir assisté le jeudi soir au retour des Trans en centre ville dans la «mythique» salle du Liberté que je déboule dans nos halls favoris en compagnie du beau et flegmatique Boogie. C'est amusant de voir comment une grosse boîte moche, au son pas terrible peut devenir légendaire en fermant trois ans. Bon, je suis carrément de mauvaise foi parce que je dois bien avouer avoir une belle pelletée de souvenirs extraordinaires de concerts dans cette salle.
Haaaaaaaaaaaaaa, la soirée des guitares de 1992 !

Foin de nostalgie facile et retour à cette excellente soirée qui commençait sous les meilleurs auspices. Les joyeux drilles islandais de FM Belfast font une ouverture parfaite avec en point d'orgue une reprise du «*Kiling in the name of...*» bariolée aux synthés 80's et totalement imparable.


On enchaîne illico presto avec Gaggle, une chorale anglaise glam punk. Oui, moi aussi ça me fait drôle de l'écrire. Sur scène, seize charmantes demoiselles vêtues de tenue de scènes chamarrées se démènent avec entrain pour faire vivre leurs ritournelles féministes pleines d'humour et de fraîcheur. La technique vocale est loin d'être irréprochable mais on s'en fout totalement tant leur malice et leur verve est communicative. Seul bémol, le set est un peu court et qui se termine un poil brusquement. Dommage.


On aperçoit rapidement l'andouille professionnel Mr Eleganz, chanteur des Success que l'on avait aperçu l'année dernière et qui m'avait bien fait marré dans le genre pêchu qui en fait des caisses. Cette année, il mixe et ça ne l'empêche absolument pas d'en faire des tonnes pour notre plus grand plaisir en se trémoussant comme un dément sur Propelerheads.

Le chanteur des australiens de Lost Valentinos ayant eu des soucis autoroutiers, ce sont les SlowJoe & the Ginger Accident qui prennent leur place. Je vous fais le pitch parce qu'il vaut le détour : ce groupe est la rencontre improbable d'un soixantenaire indien, chanteur de rue bien cabossé et d'un musicien lyonnais. Le résultat est un très touchant blues-rock, classique, pas toujours en place mais foncièrement émouvant et avec de vrais bouts de magie dedans.

C'est reparti ensuite pour un flip-flap musical avec l'electro-raga de la jamaïcaine Terry Lynn. Suite à l'écoute de quelques titres enflammés, on en attendait beaucoup. On en attendait peut être un peu trop. Pourtant au premier abord, ça envoie le bois. Beats agressifs, paroles ravageuses et projections vidéo impressionnantes... mais hélas ça tourne vite à vide. Le flow semble pas si bien assuré que ça. Il y a des musiciens sur scène (deux batteries et une guitare) mais on ne les entend absolument pas derrière le DJ. On finit donc par lâcher l'affaire assez rapidement.


L'infernal zapping kaléïdoscopique continue de plus belle avec un petit coup de guitares saturées des anglais de Detroit Social Club. Des mélodies carrées, un chanteur avec une belle présence et une jolie voix éraillée et nous passons un nouveau moment fort agréable.

Le seule vraie truc emmerdant de la soirée fut Jessie Evans. La belle californienne a beau se trémousser de fort belle manière sur les rythmes de son batteur, il ne se passe pas grand chose. Nous enchainons aussi sec sans état d'âme.


Fever Ray, projet parallèle de la chanteuse des suédois de The Knife, était ce qui pouvait se rapprocher le plus d'une tête d'affiche pour cette soirée. C'est dire. On retrouve d'emblée les ambiances sombres, tribales et mélodramatiques de cette musique proche de celle de Cocteau Twins ou Dead Can Dance. Musicalement, ça tient diablement la route. Les rythmes sont hypnotiques et tous les éléments (voix, guitares, effets) sont riches et parfaitement en place. Visuellement, c'est un peu contradictoire parce que si les costumes ont l'ait super soignés, on n'aperçoit pas grand chose (à peine des silhouettes et quelques lampes du plus belle effet) tant la scène est plongée dans une brume poisseuse. On regrettera surtout que l'heure tardive n'aide pas à apprécier d'avantage des tempos aussi langoureux.

Et hop, un nouveau changement d'ambiance radical avec l'electro-ragga survitaminé et caricatural de Major Lazer. En fait de gradé, on a surtout ce filou de Diplo qui nous avait déjà filé une bonne suée l'année dernière. Les deux danseuses et les deux MC sont juste là pour la galerie. On retrouve immédiatement le style de l'américain : ça mixe court et fort avec un rythme d'enfer. Si on accepte le côté outrancier et le défilé de poncifs raggamuffins poussés à leur extrême, on s'amuse beaucoup à ce show régressif, libidineux, idiot et totalement assumé.


Nous voilà repartis aux antipodes du précédent avec The Field. Le projet du suédois Axel Wilner est totalement à l'opposé de ce que l'on vient de voir. Son electro planante jouée ici avec l'aide d'un batteur et d'un guitariste est un modèle de finesse tout en conservant une puissance folle. Le set démarre sur un long morceau agressif et répétitif au possible pour s'adoucir (un peu) par la suite. La richesse sonore et l'énergie dégagée est vraiment revigorante pour cette heure tardive et nous redonne jusque ce qu'il faut de patate pour prolonger encore un peu le plaisir.


On sacrifie les belges d'Aeroplane sur l'autel de la galette saucisse. On s'offre au passage une petite demi-heure assise pour jeter une oreille sur les suivants que je sentais plutôt bien.

Sur ce coup là, j'ai eu du flair. Le prudent «*on reste cinq minutes pour voir si c'est bien*» vole en éclat dès les premiers instants du set volcanique du quatuor américain Solillaquists of sound. Les deux couples bricolent avec talent et assurance un rap positif et endiablé proche dans l'esprit des frondeurs DeLaSoul ou autre Arrested Development. Non seulement l'esprit est enjoué mais techniquement ça vole aussi très haut. Les beats sont savants et imaginatifs et les deux MC nous font un duo de voix réellement impressionnant. Entre le flow millimétrique et nasillard du gars et les accents soul de sa dame, c'est un vrai bonheur. Quand cette dernière, reprend le Strange Fruit de Billie Holiday en intro d'un morceau, on écoute ça avec des frissons dans le dos. De la très bonne musique, jouée avec talent par une bande éminemment sympathique, voilà une belle façon de finir cette excellente soirée en apothéose.

On va se coucher. Il est quatre heures du mat. On est resté huit heures sur place. On a vu onze concerts. On s'est totalement régalé. Wow.


Samedi 5 décembre

Après l'excellente soirée de la veille, il ne fallait pas rêver non plus. Ce fut un net cran en dessous. Je vais donc être un poil plus expéditif.

On commence pourtant fort bien. D'abord en étant tous à l'heure et en savourant le moment où le parc est encore presque vide. ça ne va pas durer. La soirée est annoncée complète.

Après Slow Joe et Naomi Shelton, c'est au tour du papi ultime de ces trans de faire son show. Sixto Rodriguez, loser magnifique ressortit du néant de ses bides des seventies ouvre le bal. Je ne vais pas jouer les cyniques, j'ai vraiment trouvé ça émouvant de voir ce bonhomme au talent indéniable faire son improbable come-back. La formule live n'apporte pas grand chose à l'œuvre. Le rallongeage de sauce systématique à coup de solo finit même un peu par agacer. Pourtant le gars, même bien fatigué a toujours une présence et une classe folle. Et puis l'essentiel est là : sa voix incroyable et ses chansons malicieuses et acides. Une très belle ouverture donc.


Ça s'enchaine très bien avec le DJ irlandais de The Japanese Popstars. Le trio mixe avec une efficacité redoutable à défaut d'originalité. Sur scène il se démène joyeusement et un tour de main c'est dans la poche. L'énorme hall 9 entre rapidement en ébullition et on rentre dans la danse avec plaisir.


On s'arrache un peu à regret pour aller voir les sud africains de Blks Jks. Sur le papier, leur rock mâtiné d'expérimentations avait tout pour me plaire. Pourtant après une longue intro très prog/free jazz pas très inspiré, le quatuor peine vraiment à décoller on s'ennuie assez rapidement.


On enchaine donc rapidement avec le funk cinématographique des français de Push Up. Sur scène, il y a du monde... et de la sape ! Ça commence très classe avec une intro à la flute traversière tout à fait appétissante mais malgré l'entrée toute en souplesse d'un trio de chanteurs, là encore ça ne décolle pas. On aimerait bien entrer davantage dans l'histoire très blaxpotation de Jessy Brown mais la sauce ne prend pas.

On file donc rapidement pour la vedette du soir : Mr Oizo. Je suis très déçu de découvrir que le gars n'est ni jaune, ni difforme. Ça commence assez fort et l'implacable tube «vous êtes des animaux» déboule assez vite avec une efficacité redoutable et un hilarant final «Vous avez tous la grippe A/Vous allez mourir à Rennes». Passé ça, le bonhomme perd en fluidité et le set se fait beaucoup moins dansant. Ce n'est pas désagréable à écouter. Il y a plein de petits sons rigolos. Mais pour bouger ses fesses, ce n'est quand même pas l'idéal. Le hall 9 bourré à craquer ne semble pas s'émouvoir pour autant et saute comme un seul homme. Sur ce coup là, on les trouve vraiment bon public.


Après ça, une pause s'impose. Hélas, en allant chercher de quoi nous désaltérer, je ne me doute pas un instant que je vais être précipiter sans espoir de retour dans les horreurs insoutenables de la terrible BeerKrieg. L'imparable combinaison d'un parc expo plein, d'un manque de personnel au bar et de l'absence inexplicable de ticket boisson fait qu'aller chercher deux demis se transforme en l'escalade de l'Himalaya pieds nus. L'ambiance est exécrable. Les gens se bourrinent, engueulent copieusement les serveurs ou leurs voisins. Bref, une demi heure exquise et reposante. Un peu secoué par l'expérience, je retrouve mon Boogie qui était sur le point de lancer un alerte enlèvement, avec deux binouzes au goût un peu trop amer.


Du coup, on ne voit que les deux derniers morceaux de The Carps, duo guitare/batterie canadien. Dommage parce que les gars ont vraiment une belle présence et une énergie indéniable.


On tient tout de même jusqu'au trio The Politics dont le rock/rap énergique promettait de belles choses. Le mélange Beastie Boys/Weezer est vraiment sympa. Les gars bougent bien et le guitariste a la plus belle coupe de cheveux de ces Trans (avec celle de Slow Joe). Bon, il n'y a pas non plus de quoi s'ébouriffer plus que ça et le bidule manque peu être un poil de rage ou d'attitude. Ou alors, c'est la fatigue.

Allez zou, il est trois heures. Au pieu et à l'année prochaine.
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  #28  
Vieux 06/12/2009, 22h54
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Sparkler change la caisse du Fauve
Tiens, on a suivi les mêmes chemins vendredi !
Même avis sur FM Belfast : une bonne mise en jambe. Je n'arrête pas de chanter "par avion" depuis samedi matin. Z'ont mis une bonne ambiance les Islandais ! Et leur hommage à Guns'n' Roses...

Très bon souvenir également des Detroit Social Club. Z'envoient du bois les garçons.

Tout pareil pour Terry Lynn et Jessie Evans. Un joli reportage à son propos ici : http://www.rue89.com/les-moulouderie...eoles-de-dames
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  #29  
Vieux 14/12/2010, 10h14
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Mr Gumby change la caisse du Fauve
Je ne me complique pas la vie et je vous mets tout simplement les liens des comptes-rendus de ma bande pour les soirées au Parc Expo de cette édition 2010.

- Jeudi 9/12

- Vendredi 10/12

- Samedi 11/12

N'hésitez pas à fouiner, il y a plein d'autres trucs sur le festival.

@ Hips : Gonjasufi rules !
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