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@bukowski : bonnes critiques. Attention change de Cap (alors que Aaron doit rester avec son partenaire)
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Oups ! J' ai édité ! Merci !
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Supermatou ! https://www.youtube.com/watch?v=r6PkiI2LNWM |
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Comment Ales Kot et Patrick Zircher font un superbe boulot sur Suicide Squad!!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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LAZARUS # 1 (Rucka/Lark)
Un bon premier numéro qui repose sur une très solide prestation de Lark (c’est magnifique) et sur une scénario intrigeant. La connivence entre les 2 compères est évidente. Rucka décide de placer son action dans un contexte économique assez effrayant mais malheureusement fondé sur une réalité (pour fait court : 95% des richesses dans les mains de 5% de la population). Il décide d’exploiter cette situation en rajoutant des éléments fantastiques (les Lazarus qui ne pourraient pas mourir ) et en plaçant la famille au centre de tout. Encore une nouvelle création féminine de la part de Rucka et comme d’habitude il y a du potentiel. Il n’y a pas à dire il a une affection particulière pour ses héroïnes. Ce numéro est plus un numéro d’exposition qui fait la part belle à Eve …...Wait and see comme ont dit mais il me tarde de lire la suite. JUPITER’S LEGACY #2 (Millar/Quitely) C’est solide côté dessin. Quitely est en forme et on ressent à travers ses planches son envie de dessiner cette série. Par contre je trouve Millar plus sage que d’habitude et pour les connaisseur de Millar on peut même dire qu’il nous ressort ses thèmes de prédilection (superman-like, dérive des êtres superpuissants, fable sur le rôle des super héros) Rien de choquant dans ce numéro qui est la suite direct du précédent et qui prépare (du moins j’espère) le calme avant la tempête. Dans le #1 il nous a situé le contexte, dans le #2 il lance le ressort dramatique sur une trame classique (relation conflictuelle Père – Enfants. Du coup j’hésite entre j’espère qu’il va passer la seconde le père Millar et et si il nous étonnait sur une histoire classique en l’écrivant tout simplement ? THE WAKE #2 (Snyder/Murphy) Bon c’est toujours aussi intrigant. Snyder introduit un background horreur en plus. Mais l’histoire n’a pas plus avancé que cela et le reste des éléments fournis par ce numéro 2 ne sont extraordinaires. Plus que 8 numéros….Au final on lit pour l’instant une histoire solide, solide avec du potentiel mais classique dans son déroulement. Du coup les passages dans le passé et dans le futur me déçoivent car ils ne s’enchainent pas si bien que cela avec l’histoire au présent (tout en restant intrigant). Par contre Murphy rend de superbes planches qui nous font encore plus rentrer dans la série. Il porte pour l’instant The Wake. THE BOUNCE #2 (Casey/Messina) J’avais été enchanté par le premier numéro qui était une écriture classique d’une histoire de superslip mais bien conté avec un geste d’outrance en plus. Un spiderman sous acide. Ici rien de bien motivant. L’histoire n’avance pas beaucoup. Casey nous livre des bribes sur les origines de Bounce mais c’est assez brouillon sans la narration. De même pour la mise en place de la menace que tout bon super héros ce doit de combattre. C’est vague et, en première approche, le lien avec le numéro précédent est assez bancal. Enfin le trip de Jasper reste flou. Par contre la prestation de Messina reste très solide et il a déjà bien en main les personnages et leur univers. L’essai du numéro 1 n’a pas encore été transformé. |
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Plutôt déçu par Batman and Robin #21, qui souffre déjà de l'absence de Gleason. Son remplaçant fait ce qu'il peut, mais sa prestation n'est en rien agréable pour les yeux et fait pâle figure en comparaison des travaux de l'artiste habituel.
Cependant, la déception vient tout autant du scénario : si Tomasi tente le pari difficile de la transposition des cinq étapes du deuil en cinq numéros de team-ups (déjà fait par Loeb et Marvel pour Fallen Son, sans succès à mon avis), et s'il avait globalement réussi son coup avec les deux premiers niveaux (même s'il poussait trop loin son Batman dans le dérangeant "déni" et le dérangeant "colère"), ça ne fonctionne pas ici. L'histoire est lourde, sans grand intérêt, l'intégration de Batgirl est chiante et on tourne un peu en rond sur la peine, la violence de Batman, etc. Il serait temps que Tomasi parle d'autre chose, d'autant plus que je n'ai en rien senti le "marchandage" qui était normalement incarné ici. Dommage, ça fait tâche. Je suis plus agréablement surpris par Batman #21 : je n'attends pas grand-chose de Zero Year (ou Year Zero ? je ne sais plus), car j'ai été peu à peu déçu de Snyder (qui fait monter ses intrigues pour finalement livrer des fins à l'intensité décevante et peu originales), mais je trouve que tout ça démarre bien. Je sens que Snyder a un dada, c'est l'Histoire et la généalogie de Gotham City et de la famille de Bruce Wayne, et ça a globalement très bien fonctionné sur Gates of Gotham ou Court/Night of Owls. Qu'il continue ainsi, que Capullo livre encore de sublimes planches. Je suis curieux de voir la suite. |
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Oui tu as raison de le signaler. Il y a une présentation de la situation dans ce numéro 1 et surtout un long billet de Rucka (3 pages) à la fin du numéro qui revient sur la création de Lazarus. Très intéressant à lire.
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DC
Red Lantern 21 Guy faisant ses valises dans ce titre que j'avais tester sans aimer au début de New 52 je suis dans l'obligation de tenter. Intérêt principal :"Anger does not mean Stupidity" Le dessin nerveux et (J'allais dire sale) à l'encrage renforcer marche bien sur le titre. Les planches sont agréable à lire malgré un coté gloque presque gratuit. Coté scénario je suis pas enchanté par Hal proposant ainsi de jouer les espions à Gardner. Je comprends bien sa confiance en guy mais comme ce dernier je me dis qu'il y avait d'autre lantern moins connue pour infiltrer les rouges. Et je doutais que Atrocitus soit idiot. Au moins les auteurs sont d'accord avec moi. Après le discour intérieur final m'a souler c'est pas du guy ça. Au moins si on avait oublier l'influence de l'anneau rouge sur le vert là on est servit. Sans moi pour la suite. Ma note : 6/10 Dessin, encrage et couleur : 7/10 Scénario (Intérêt et Originalité) : 3/5 Plaisir de lecture : 2/5 |
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Tu va lire des titres Green lantern post Johns?
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Un seul "Green Lantern Corps" mais faut pas qu'ils abusent des crossovers où il risque de me perdre.
Parce que je ne ferais plus les autres. Enfin sauf Sinestro 1, Black Hand 1 et Mongul 1 Et puis je suivrais Baz sur JLA PS : J'ai mis mon nez dans le Ultimate Comics the Ultimate 26 et Ben est encore en mode violet transparent pour l'instant. Donc s'il redevient en pierre ce devra êtes expliquer lors de l'arc. Dernière modification par Slobo ; 02/07/2013 à 00h07. |
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Lazarus #1 : il ne peut y avoir que deux sortes de réactions de lecteurs à ce titre. D'un côté ceux qui vont découvrir les univers de Lark et Rucka et qui vont se prendre une claque à la lecture et de l'autre côté les habitués des auteurs qui savent exactement où ils mettent les pieds. Je suis de la seconde catégorie, c'est à dire que je savais que j'avais signé pour une histoire où le personnage principal sera une femme, une femme forte mais avec en même temps assez de fragilité pour que ses sentiments la tourmente. Et c'est exactement ça, aucune surprise de ce côté. La lecture de ce premier numéro confirme toutes les attentes, et même si il va vite à lire il y a assez d'éléments pour que l'on saisisse tous les enjeux de l'ongoing. Si vraiment je devais faire une critique c'est sur le petit texte introductif qui nous présente l'univers et le personnage principal, à mes yeux c'est une faute de la part de Rucka d'avoir besoin de ce genre d'appendice pour expliquer des éléments qui auraient pu être intégré au récit et que le lecteur aurait aussi bien compris. En dépit de cela on se dit que ce Lazarus peut aller loin, très loin et on se réjouit de cette nouvelle ongoing qui débute.
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Sur le texte introductif effectivement une page supplémentaire dessinée (ou des élements parsemés dans le single) aurait été mieux. Mais à la fois sans ce texte je trouve que ce numéro aurait perdu une certaine saveur narrative. Par contre je trouve que Lark est tout juste énorme, encore meilleur que ces derniers excellents travaux. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 02/07/2013 à 21h18. |
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Clone #8 : Un épisode qui donne un peu de volume à la série fallait que je laisse un mot. En effet je commençais à suivre cette série par habitude plutôt que par envie, et voilà qu'à la lecture de cet épisode je me suis dit que l'univers qui commence à se développer est plus intéressant que je ne le pensais. Oh il y a toujours ce côté série télé qui est là depuis le début, comme si l'auteur recycle en comics ce qu'il n'a pas réussi à vendre à une chaine, sans prendre la peine de l'adapter d'un genre à l'autre. Mais avec cet épisode je crois que ça ne me dérange plus, ça fait parti du tout comme une marque de fabrique, et pour une fois j'ai l'impression que la suite peut me surprendre. Et Ryp s'éclate, je crois que c'est la série où il se sent le plus à l'aise depuis que je le connais.
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#74
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Pas franchement la meilleure façon de démarrer son truc.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Uncanny #1 : la bataille du creator owned avec des auteurs qui ont un nom se poursuit, et cette fois-ci c'est Dynamite qui largue la bombe. Andy Diggle et Aaron Campbell ont imaginé les aventures d'un escroc sans trop de réussite en dépit de ses pouvoirs télépathiques. Mais son vrai talent est de tout faire pour se sortir de situations rocambolesques.
Ce premier épisode fait assez pilote de série télé dans le sens où on a tout de suite tous les ingrédients : héros looser, de l'action très bien exécutée, de l'exotisme et une touche de glamour. On se doute très vite que ça sera la recette de la série à chaque épisode et pourquoi pas? En tout cas si c'est ça on tient enfin un titre Dynamite qui sortira du lot en dehors des licences devenues spécialités de la maison. |
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