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Pas vraiment mis en valeur, quand même, là, Jimmy.
On a l'impression qu'il est le seul Chinois sur le tournage et qu'on lui dit de temps en temps : "Vas-y, ils t'attaquent au katana, fais-leur des trucs de Chinois."
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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Zatoichi contre Tange sazen, ça aurait eu plus de gueule.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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après c'est vrai qu'il est beaucoup plus beau et pneumatique dans les deux premiers sabreurs manchot et dans heroes of the east (shaolin vs ninja).
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Tiens sinon, hier soir, j'ai regardé Quartier violent de Hideo Gosha, un film de yakuza pas parfait mais très intéressant.
Comme souvent chez Gosha, l'intrigue tend à être trop touffue et à perdre le spectateur dans des circonvolutions qui nuisent à la limpidité du film, mais ici rien de bien grave, on retombe toujours très bien sur le fil directeur (plus que dans Kiba, le loup enragé qui, lui, malgré des plans magnifiques, quelques beaux morceaux de bravoure et un final somptueux, est plombé par un récit vraiment trop embrouillé). Bon, en deux mots, Quartier violent, c'est l'histoire classique d'un yakuza rangé des voitures qui se retrouve au centre d'une intrigue qui le pousse à replonger dans la violence. Vision crépusculaire et ultra-pessimiste du genre, très marquée par le cinéma de Peckinpah, où les vieilles gloires dépassées crèvent comme la vermine dans un combat anachronique. J'aime. Et en plus, c'est bien fait, donc j'aime doublement. Les scènes de violence sont âpres et rapeuses à souhait. Ici, pas de violence cool, on est loin de l'ambiance pop et de la distanciation hyper-stylisée d'un Suzuki, non, ici, on sent tout le poids des corps dans leurs sauvages luttes à mort. J'aime aussi. On retiendra particulièrement la superbe séquence de la lutte dans un poulailler industriel entre un des acolytes du héros et un transexuel armé d'un rasoir tout droit sorti d'un film d'Argento. Miam miam. Tiens sinon, au début du film, y a une scène avec le héros qui fout une pique dans l'oeil d'un yakuza, qui a été repiquée par Kitano dans Jugatsu...
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée Dernière modification par Zen arcade ; 27/07/2006 à 14h27. |
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Après les deux Zatoichi par lesquels mon appétit pour le cinéma de genre japonais a été sérieusment aiguisé, je suis en train de regarder la série des Baby Cart, et c'est encore le même réalisateur au volant :
Kenji Misumi, je t'aime.
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An ne surtout pas manquer, pour moins de 7€ (apparemment, ça c'est autant crouté en dVD qu'en salles...) :
Bon, âmes trop sensibles s'abstenir, ça ne respire pas la joie. Je crois que j'ai rarement vu même quelque chose d'aussi morbide.
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J'ai vu Il était une fois la révolution en version DVD collector avec 20 minutes en plus selon la jaquette. A fistfull of dynamite en VO est le dernier western de Leone. Il déborde déjà du genre en situant l'action en 1913 pendant la révolution mexicaine. Bonjour les motos, mitrailleuses automatiques, voitures et autres blindés! Leone filme son histoire avec une grande maîtrise : gros plans sur les "gueules" des acteurs, longs plans fixes. Un film à voir et à revoir évidement.
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Bon, le commentaire audio de Cette femme-là est tout simplement honteux: Guillaume Nicloux discute avec 2 journalistes dont un n'a apparemment quasiment pas vu le film, accapare le micro et ne fait que répéter sans cess la même question inutile: "Et là, vous avez pas peur d'en faire trop?" ou "et là, c'est pour faire avancer l'intrigue ou la psychologie du perso?".
Le sommet est atteint lors d'une scéne touchante ou ce connard de journaliste se moque du trépas d'un des éléments du film. Je vois pas l'intérêt d'avoir choisi ce journaliste s'il n'a pas aimé ou n'est pas intéressé par le film et pose des questions idiotes alors qu'il y avait plein de choses intéressantes à demander!
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j'aurais pu intervenir avant, pour conseiller tel ou tel DVD, mais c'aurait été rebattre des sentiers battus.
Même si mes goûts vont vers les vieux classiques, avec Cary Grant, ce qui n'est pas toujours classique chez beaucoup. En tout cas, j'attendais la sortie de ce DVD sans trop y croire, et je l'ai vu. Le western le plus méchant du monde, l'un des plus méconnus aussi, le reptile avec Kirk Douglas et Henri Fonda. Par le maître Mankiewicz. La claque. C'est trop brillant, tellement c'est méchant. Un de mes dix préférés. JUBILATOIRE |
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Tiens, promo à la fnac, je me suis pris la S1 de The Shield pour la rematter à loisir.
Et apparemment, ils préparent une opération spéciale vers le 23 aout sur les séries. Donc, des saisons entieres pour moins cher. Ca sent l'achat massif de Sopranos (dont je n'ai pas encore les DVDs, honte sur moi).
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Mes ventes de Comics VO ! |
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Normalement, il y a aussi Les Cheyennes de John Ford dans la même vague de sorties. |
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loué soit cette nouvelle, ces nouvelles d'ailleurs, parceque j'ai du sopranos que je veux chez moi aussi (moi aussi pour revoir à loisir), et puis du western de mankiewicz moi preneur.
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En parlant de western en dvd, j' ai vu The angel and the outlaw, film entièrement produit par John Wayne en 1947, disponible sur CDiscount à 1 euro ou moins.
Et bé c' est formidable. En gros c' est John Wayne chez les quakers. Ca désamorce plein de clichés, c' est d' un humanisme Ford/Renoir-ien, et ça ne ressemble vraiment à aucun film. Tellement qu' il est impossible d' en parler sans raconter la moitié des scènes du film... |
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je viens de me faire That Uncertain Feeling de Lubitsch avec Merle Oberon, soupir, ces jours ci la couleur ne me sied plus quand de si belles choses peuvent passer par l'argenté.
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