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#1
23/06/2010, 14h54
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Le festival retro !
Ici seront publiés les différentes critiques/ chroniques/ résumés des buzzukis pour le FESTIVAL RETRO !!!
Le but : vous faire découvrir ou redécouvrir des pépites de l'ancien temps pendant deux semaines... Si vous voulez y participer, si vous avez une critique, un coup de coeur qui remonte à plus de quinze ans , n'hésitez pas ! Dernière modification par doop ; 30/06/2010 à 17h17. 
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#2
23/06/2010, 21h43
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bon, je le poste demain soir.
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MO-BI-LI-ZEZ VOUS!!! Buzzthon 2010-2011 mes ventes sont ici... ventes  et mes recherches sont la recherches 
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#3
24/06/2010, 00h52
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Tarzan de l'âge d'or - 1ère partie: Les peuples de la mer et de l'eau
C’est parti pour une formidable aventure de l’AGE D’OR !
C’est une longue histoire, elles étaient toutes longues. En fait, le principe était qu’elles ne s’arrêtaient jamais. C’est pour ça que je ne vous en raconterai qu’une partie   Par Burne Hogarth – 1940 Tout commence quand le fourbe prince Jugurt tend un piège à Tarzan pour l’emprisonner. Prévenu à temps par la belle Licia, scandalisée par la fourberie de son fiancé, il parvient à s’échapper mais doit revenir bien vite pour sauver à son tour la jeune fille maltraitée par le prince qui veut se venger car il est frustré et fourbe.  L’homme singe met des baffes à Jugurt puis le jette sur ses guerriers rassemblés en gros tas. Malheureusement ils sont trop nombreux et il est transporté sur le navire qui ramène toute la troupe dans la magnifique cité du peuple de l’eau. Le prince exulte mais Tarzan le prévient qu’il a des pouvoirs barométriques.  La tempête fait rage et des vagues énormes s’écrasent sur le navire emportant un garde, pas grave, puis Licia et ça c’est terrible ! Tarzan plonge et Jugurt lui promet la liberté s’il la sauve. Arrivés sains et saufs à bon port, ils défilent en triomphe et se présentent au vieux roi un peu gâteux qui est accompagné du grand prêtre Molocar. Licia réclame la liberté promise pour Tarzan mais Jugurt fait celui qui n’est pas au courant (parce qu’il est fourbe).  Devant le grand bassin du temple, Molocar fait un chouette tour de magie : Il envoie un de ses prêtres dans l’eau infestée de poissons diables et le fait réapparaître par la porte de derrière. Trop fort ! Le peuple crie : "Molocar est grand, Molocar est puissant et Tarzan doit mourir !" Soudain Licia se jette dans l’eau pour faire diversion et lui permettre de fuir (Ce qui est un peu bête puisque maintenant il doit la sauver). Et c’est reparti pour un tour de piscine… Émus par son héroïsme les gardes aident les deux amis à sortir du bassin quand une main agrippe la cheville du roi de la jungle et l’entraîne par le fond avant qu’il n’ait pu reprendre sa respiration. Évanoui, il est remonté dans une caverne souterraine communiquant secrètement avec la lagune du temple. Là les prêtres pensent le tuer mais Molocar préfère utiliser sa force comme esclave. Il devra désormais faire un truc super utile : pousser l’axe d’une poulie qui actionne un treuil qui lève une porte.  On apprend qu’autrefois ceux du feu et ceux de l’eau ne formaient qu’un seul et même peuple, mais qu’une catastrophe naturelle les avait tournés vers des dieux différents. Peu après les prêtres et prêtresses organisent un gros banquet avec les présents offerts par les croyants. Ça rigole bien et on fait venir un pauvre enfant malade et terrorisé. C’est le prince Tanny, héritier du peuple du feu, obligé par Molocar d’adorer le dieu de la mer.  Tarzan file une claque à Molocar puis s’enfuit avec Tanny dans ses bras. Leur seule issue est le tunnel sous-marin. Vite, un plongeon ! L’homme singe y met toute sa puissance mais le tunnel ne semble pas avoir de fin. En plus l’enfant est évanoui, un nageur les poursuit et les poissons diables veulent les embrocher ! Une fois sur la terre ferme Tarzan ranime Tanny qui lui demande aussitôt de le ramener chez lui en terre de feu. Pour cela ils doivent traverser la ville à la nuit tombée. Soudain une troupe surgit de l’ombre, l’alerte est donnée et ils sont rapidement encerclés par des dizaines de curieux. Mal embarqué, Tarzan essaie de la jouer fine : "Moi Tarzan j’ai survécu à la condamnation de Molocar car je suis plus puissant que lui !" Il y a un instant de flottement qu’ils mettent à profit pour déguerpir, bientôt poursuivi par la meute déchaînée. C’est à ce moment qu’une voix douce l’appelle du haut d’un balcon : Licia !  Après avoir trouvé ce qu’il cherchait, Le roi de la jungle revient chercher Tanny mais il tombe dans une embuscade. Ramené au temple devant Molocar, ce dernier lui déclare qu’il doit mourir car il est trop intelligent et fort. Il a raison car Tarzan a déjà un plan terrible pour s’évader : D’un bond il saute sur ce bon vieux treuil et repousse les esclaves…  Pendant ce temps Licia et Tanny fraternisent malgré qu’ils soient ennemis. C’est leur affection commune pour Tarzan qui les rapproche. L’enfant promet à la jeune fille qu’elle sera bien accueillie dans son pays alors ils décident de partir tous les trois pour le royaume du feu. Arrivés aux frontières Tanny est tout heureux d’apercevoir des guerriers aux épées enflammées. Ce sont les soldats de son père ! Mais la troupe menaçante leur apprend la terrible nouvelle : Le roi a été assassiné par le cruel Towrit qui ne veut pas de rivaux. Ils doivent tous être sacrifié à Baal-Yek le dieu du volcan.  L’homme singe bondit en empoignant le gamin et dit à Licia de s’enfuir, mais comme ce magnifique boulet courre aussi vite qu'une limace elle est faite prisonnière. Pour échapper aux soldats les deux compagnons se réfugient dans une grotte ou une silhouette immense leur saute dessus. La lutte est titanesque entre Tarzan et le colosse jusqu’à ce que Tanny le reconnaisse : c’est un des vieux gardes de son père ! Le vieux Jaxie raconte qu’ils sont dans la caverne aux démons où bouillonne un torrent de lave dont s’échappe des plaintes continues, celles des sacrifiés jetés dans le cratère. Et pendant ce temps…  Je vous raconterai la suite un jour prochain si vous êtes sages  ------------------------------------------------ Le succès de Tarzan paraissant simultanément en Daily strip et dans la luxueuse Sunday page était international. Il a été édité un peu partout, et en France l’épisode que je vous ai raconté est paru en 1946 dans la collection "Tarzan". L’édition des aventures de l’homme singe en France a connu quelques hauts et beaucoup de bas, avec des planches recomposées ou mutilées sans oublier la censure imposée par la commission de surveillance surtout présente à partir de 1950. Les scans proviennent de la dernière édition française ayant existé reprenant la production d’Hogarth (pour autant que je sache): L’intégrale Tarzan chez Soleil en 11 volumes . Elle est loin d’être parfaite (pauvreté des textes, fautes, couleurs horribles, encre baveuse, etc. Et la première planche de cette histoire manque) mais elle a au moins eu le mérite d’exister. Et si vous êtes envoûtés par le charisme animal du roi de la jungle ou le trait d’Hogarth, jetez donc un œil sur le texte qui suit ^^ Dernière modification par Marie_ ; 25/06/2010 à 08h28.
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#4
24/06/2010, 10h18
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin !
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#5
24/06/2010, 16h09
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better.
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#6
24/06/2010, 00h52
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Tarzan de l'âge d'or - 2ème partie: Burne Hogarth
 Nous sommes en hiver 1936 et le grand Hal Foster veut arrêter Tarzan. Plus de huit ans déjà que son crayon a donné vie pour la première fois à ce magnifique style réaliste d’un des premiers comic qui n’est pas comique et il en a marre de s’échiner à améliorer des scénarios crétins pondus par deux rigolos (Carbin et Laas) pour un primitif en pagne. Il a créé, innové et même révolutionné le monde du strip, mais maintenant il rêve d’un petit projet perso qui va l’occuper quelques années : Prince Vaillant. Evidemment pour l’United Features Syndicate qui doit fournir chaque semaine la prestigieuse Sunday page tout en couleurs à plusieurs dizaines de journaux, c’est la cata. Qui pourrait prendre la relève d’un artiste comme Foster ? Alors ils organisent un casting pour trouver la perle rare capable d’imiter le plus possible le style du maître. Parmi les douze candidats qui se présentent il y a un petit jeunot de 25 ans pas du tout intimidé par l’immense respect qu’il éprouve pour le talent de son aîné. D’abord parce que c’est un défi fort excitant et que Burne Hogarth n’est jamais intimidé, ensuite parce qu’il possède déjà une solide expérience. A quinze ans il était assistant d’un cartoonist, à dix-huit il travaillait sur son premier strip et à vingt-deux il enseignait déjà dans trois institutions. La planche test qu’il remet au rédacteur en chef est tellement bluffante que ce dernier la fera imprimer en mai 1937 sans prévenir le responsable qui n’y verra que du feu.   Planches 320 et 321 (Tarzan dans la cité de l’or – 1937)A gauche la dernière planche de Foster suivie de la première d’Hogarth (mais signée Foster) Désormais il lui faut assimiler les techniques de son illustre prédécesseur et ses premiers travaux sont sages et appliqués, après tout c’est pour ça qu’on le paye. Mais la personnalité créative et bouillonnante du jeune auteur fume des naseaux et frappe du sabot. Pour commencer il veut profiter de l’espace offert par la pleine page en bousculant le gaufrier onze/douze cases traditionnel. Au départ il se contente de jouer avec la disposition ou la dimension de deux ou trois vignettes, mais par après ses planches deviennent de véritables compositions globales ou la lecture s’organise en axes dynamiques multipliant les angles de vision dans une grande mise en scène aussi puissante et fébrile que les muscles de son héros. Car si le Tarzan souriant de Foster respirait l’équilibre et la force tranquille, le sien est sombre, tendu et perpétuellement sur le qui-vive tel un animal vivant en symbiose avec une nature déchaînée. Volcans qui explosent, torrents rugissants, végétation triomphante et bêtes féroces, c’est une lutte de chaque instant pour le seigneur de la jungle et un régal pour les petites mirettes du lecteur.   Deux exemples en N/B pour mettre en évidence l’aspect « gravure » du magnifique dessin d’Hogarth souvent éclipsé par des couleurs baveuses et flashy. C’est dans "Tarzan et le peuple du feu et de l’eau" (1940-1941) qu’Hogarth commence à donner sa pleine mesure.   Admirez le travail. Ce comic est paru début 1941 !Soyons clairs, de nos jours on ne peut qu’être atterré devant la kitscherie absolue d’histoires proposant joyeusement des facilités à la pelle, des pépites d’absurdités et des chapelets de naïvetés. Mais à l’époque on se fichait bien de la logique et de la réflexion, seuls comptait l’action, l’émotion brute et le sentiment de liberté. Ce sont des sagas, des contes, du rêve éveillé, le royaume de l’imagination qui avait le devoir de dépasser les limites d’une réalité déplaisante. Quand en 1942 Hogarth obtient le droit d’écrire ses propres scipts il y rajoutera son goût pour le fantastique. En plus des nazis, des vikings et des cannibales, les lecteurs de 156 journaux se régaleront alors de vallées mystérieuses peuplées de dinosaures ou de cités perdues remplies de singes mutants et de grosses têtes sans pattes. Mais l’auteur avoue lui-même que le sujet l’intéresse moins que son expression. "Je n'ai jamais vraiment été attiré par la simple linéarité d'une histoire. J'ai beaucoup plus cherché à exprimer la vitalité latente" Ce qui sous-entend aussi un érotisme latent que dégagent les mouvements du corps nu de l’homme singe dans un environnement exacerbant les sensations physiques. Surtout qu’il est régulièrement accompagné de femmes superbes qui se pendent à son cou ne pouvant résister à son magnétisme animal. Mais Tarzan ne touche pas à la femme, Tarzan est pur. Il ne consomme jamais rien d’ailleurs, ni viande ni alcool et encore moins de belles plantes.    En faisant des recherches sur l’exposition "Tarzan ou Rousseau chez les Waziri" qui s’est déroulée l’année passée à Paris, je suis tombée sur les commentaires d’un Didier Pasamonik n’appréciant visiblement pas Hogarth. Son habituel jugement superficiel n’étonnera personne, mais il peut être utile pour tenter d’expliquer certaines incompréhensions à propos de cet auteur. "On ne peut être que séduit par le classicisme et la douceur du travail de Foster qui ridiculise le plus souvent par sa justesse le travail emphatique, ampoulé et presque toujours erroné de Burne Hogarth. Un dessinateur que des critiques imprudents ont surnommé « le Michel-Ange de la bande dessinée, ce qui est une insulte, et pour Michel-Ange, et pour la bande dessinée. Certes, certaines planchent en « jettent », mais quand le « Michel-Ange » est peu appliqué (presque toujours), cela donne des images vraiment médiocres, en dépit de leur caractère prétentieux." Cette évocation de Michel-Ange ne vient pas au départ d’une comparaison stupide des talents respectifs des deux artistes, mais du maniérisme dont s’inspire Hogarth. Ce dernier est un homme cultivé possédant une formation artistique complète. Il connaît et aime ce courant artistique fin de renaissance juste avant le baroque, et celui-ci semble convenir à merveille à la bande dessinée et à ce thème en particulier. Quelles sont les caractéristiques de ce maniérisme largement influencé par les oeuvres de Michel-Ange? (Merci au site edelo.net) - Une exagération des formes et une déformation des corps. La torsion en forme de S (figure serpentina) est particulièrement appréciée. - Une recherche systématique du mouvement, un sens de la tension. - Des tons acides et crus. (Vive la colo de l’époque ^^ ) - Une grande place est donnée à l’expression, à l’art dramatique. - Des codes, des symboles, des références aux artistes et œuvres classiques. Comme ceci par exemple :    Tarzan contre Don Macabre (1944) – Guerre dans le désert (1942) – Tarzan sur l’île de Mua-Ao (1948) A gauche vous pouvez voir une superbe crucifixion, suivie d’une mise au tombeau (Piéta). Et pour finir, plein de S tordus et dynamiques comme il faut. Ces exemples sont évidents, mais tout le travail d’Hogarth est truffé de références aux grands maîtres. Peut-être est-ce difficile pour ce Monsieur Pasamonik d’imaginer que le dessin réaliste, malgré toutes ses qualités, ne soit pas la seule voie d’expression ? Hogarth choisi délibérément l’optique irréaliste, cherche le déséquilibre dans le geste, dramatise ses poses et favorise la représentation symbolique de la nature. … "La réalité était pour moi trop étroite. Par exemple, quand je dessinais une silhouette, l'élan cinématique que je ressentais était parfois si intense que je désespérais de l'exprimer avec autant d'énergie, de vitesse, et de puissance que je l'aurais voulu. Quelquefois même, une silhouette jaillissait de moi, d'une façon si paroxystique qu'elle aurait dû en être complètement disloquée. Grâce à Gréco et Michel-Ange, je suis parvenu à comprendre cette étrange sensation. Devoir se contenter d'agir avec un crayon, là où il aurait fallu en réalité briser des obstacles et anéantir des ennemis, cela a de quoi vous faire grincer les dents avec une furie difficile à contenir. Cette expression d'agressivité, ou si l'on préfère, cette recherche de la violence du mouvement constitue l'essentiel de mon oeuvre." Foster avait fait un fabuleux travail de défrichage, Hogarth a poussé l’inspiration toujours plus loin. Son enseignement a modelé les plus grands auteurs de comics de l’âge d’argent et d’une certaine manière, il défini encore le genre superhéroique d’aujourd’hui. Après avoir arrêté la série fin 1945, il la reprendra en 1947 pour l’abandonner définitivement en 1950 suite à un différent commercial avec son éditeur. Est-ce le regret de ne pas être allé au bout de son exploration ? Toujours est-il qu’il reprit le personnage en 1972 et 1976 pour illustrer deux histoires fidèles aux romans cette fois : Tarzan of the apes et Jungle tales of Tarzan. Deux petits bijoux de la maturité. Tarzan, né en 1912 sous la plume de Burroughs, en 1918 devant la camera et sous le pinceau de Foster en 1928, est le père de tous les super héros. Son incarnation a légué à Superman son esprit protectionniste et une mèche sur le front, à Batman sa misanthropie et ses lianes, et à toute la famille des encapés ses singes et son slip. . Et comme disait l’autre à propos de Burne Hogarth: "Yes, he was egocentric, but -- damn, he was good!" Merci à Tarzanduweb pour son excellente analyse et à erbzine pour sa très intéressante interview Dernière modification par Marie_ ; 24/06/2010 à 01h00.
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#7
24/06/2010, 01h11
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Très intéressant.
Je connaissais pas Burne Hogarth, je connais très peu l'univers de Tarzan de toutes façons, mais ce que je vois donne envie, même les "couleurs flashy". Surtout les couleurs flashy. 
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#8
24/06/2010, 07h34
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Cela me fait penser aux épisodes de Tarzan qui étaient publiés il y a fort longtemps dans Télé Poche.
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" 
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#9
26/06/2010, 11h45
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Quand les mecs de 110 kg disent certaines choses, ceux de 60 les écoutent. Maman ! Je suis de nouveau surZaïtchick's blog
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#10
26/06/2010, 12h01
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J'ai bien avancé ,fini les critiques/chroniques du haunt of fear 23 ,avancé l'histoire de Gold key avec fiches personnages (Solar,Magnus et Turok) .J'attaque dans l'apres midi les résumés des 3 histoires et j'esperes avoir le temps de faire la partie consacrée a Marvel .Le plus long a été les scans a retravaillés mais c'est encore trop grand ,je retravaille le tout pour bien poster tout cela le plus tot possible .
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ma liste de vente de VO : singles, lots complets et TPBs http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=25246 Gourvy the best of comics shopper http://www.buzzcomics.net/forumdisplay.php?f=176 Mon petit blog http://comicsplace.unblog.fr/ Mon petit fanzine N° 0 a 5 disponibles http://www.buzzcomics.net/showpost.p...83&postcount=1
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#11
26/06/2010, 14h36
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The Haunt of fear 23 part 1 Hansel and Gretel.
Script:
Albert B. Feldstein Pencils: Jack Kamen Inks: Jack Kamen Colors: Marie Severin Letters: ? 6 pages Janvier 1954 Grim fairy tale Voici la version haunt of fear du conte Hansel et Gretel.  Avant de commencer et rentrer dans l'histoire ,un petit mémo personnel ,des histoires des crypt , ,terror,haunt of fear ,il y en a des paquets,meme de science fiction,il y avait de tout dans les 50 's ,beaucoup se ressemblait par leur scenario peu alambiqué et atypique ,les recits d'horreur de cette époque etaient plutot bien fichue et bien emmené pour cette periode ,si en 1954/1955 Wertham avait pas fait son bazar ,on aurait eu des pépites mais ce ne fut pas le cas et comme beaucoup Ec a résisté en faisant des récits de guerre ,ou en édulcorant certains titres ,en 1956 si ma mémoire est bonne cette censure fit fermer EC et clore ce monument de la bd Americaine. Marvel a fait avec Kirby un des pinnioer en la matiere des récits "romance" ou Romita papa a débuté ,la suite on la connais Marvel a marché dès 1961 jusqu'a aujourd'hui.c dans les 70's suivi de Marvel ont retenté quelques récits mais peu s' en souviennent ,on a tous en tete en francais minuit l'heure des sorcieres et pleins de bizarreries de cette époque. J'ai choisi cette histoire car elle se démarque des autres par son aspect de la culture enfantine ,les contes de Grimm ,l'ayant lu plusieurs fois et a chaque fois elle me fait penser et si on avait eu ces histoires gamins ? Selon la censure jamais elle ne serais passé en France . Bref allons y pour l'histoire : une histoire basée surtout sur les enfants ,ca mangent et ca revient cher ces petits bouts ,un contes revisité version horreur.Les parents n'en peuvent plus,  le pere décide de les abandonner dans la foret pour que ceux ci puissent manger mais les enfants ont tout entendus et mettent des petits pains blancs pour pouvoir retrouver le chemin de la maison.  Le pere comme prévu les abandonne .Les parents se régalent avec steack et cuisses de poulets et a leur grande surprise  les enfants rentrent et leur pique tout .Le lendemain tout est a recommencer en pretextant les emmener pour leur enseigner le pere les ré-abandonne .Les enfants trouvent une maison tout en essayant de manger la maison l'unique locataire les invite  a rentrer manger les voyant affamés .Elles leur fait savoir qu'elle va s'occupper d'eux comme ses propres enfants .  Elle supplie les enfants de rester et leur montre qu'elle peut subvenir a leur besoin avec un coffre rempli d'argent! Les enfants envoient la gentille dame leur faire un gateau,ils échafaudent un plan pour s'emparer de l'or ,pendant que la vieille dame prepare le feu  .Ils la projettent dans le feu ,s'emparent du coffre et rentrent a la maison pour offrir ce beau pactole a leurs parents .  Bien emmené et bien ficelé ,voici une histoire que l'on aimerait voir plus souvent maintenant avec toute les reprises des contes de toutes part celle ci fait bonne impression a quand une édition revisitée de cette histoire ?
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#12
26/06/2010, 14h54
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin !
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#13
26/06/2010, 14h46
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The Haunt of fear 23 part 2 country clubbing
Credits
Script: Jack Davis Pencils: Jack Davis Inks: Jack Davis Colors: Marie Severin Letters: ? 7 pages Dans le precendent article ,j'avais un peu développé ,les soucis et le déclin de cette firme,en parlant des récits un peu bizarre et hors normes pour l'époque.Desfois on trouvait des "ovnis" des petites toutes courtes comme celle ci,ou justement on jouait sur la peur sans savoir ce qui va se passer .Mainte fois reprises par son schéma narratif cette histoire est une pépite On sent la pression du gars et l'autre tranquille le suit ,c'est vraiment ce genre d'histoire que l'on regarde maintenant avec un air amusé .Mais si on se place a l'époque ou cela se passe ,on devait se retourner souvent dans la rue pour éviter ce genre de soucis .Allez renrons dans la légende,oups l'histoire d'aujourd'hui: Quand on s'évade ,on erre souvent sans manger sans boire ,lhistoire de notre prisonnier débute ainsi affamé ,assoifé,  celui trouve une maison avec une vieille bique qu'il tue a l'aide d'un baton et prends son repas seul .  dérriere une forme énorme apparait, a sa vue ,le prisonnier panique et jure qu'il avait trop faim ,l'enorme gars ne lui réponds pas ,notre prisonnier s'échappe.  Il voit que le gars le suit toujours avec le baton  qui a servi a tuer la vieille bique!Les cheins se mettent a sa poursuite ,il s'enlise,réussit a grimper sur un arbre un rat lui coupe l'envie de monter  et se rapproche le gars avec le baton toujours et encore. Dans sa fuite il passe par un marécage et tombe nez a nez avec un crocodile qui essaye d'en faire son repas !Et toujours le gars le suitavec son baton .Notre prisonnier tombe sur un serpent qui le mort ,il le tue,tombe sur des moustiques ,rien ne lui est épargné a notre pauvre bougre et toujours et encore comme depuis le début a la derniere case le gars avec le baton le suit encore. Crevé,exténué,fatigué  ,il le supplie de ne pas le tuer ,ca ferait de celui ci un meurtrier .Le gars parle et lui dit :"Tu as oubliais ton baton a la maison" .  Toute cette poursuite juste pour un baton ca aurait été plus simple de parler ,mais non ,on a préféré quelques pages de tension entre les 2 protagonistes de cette histoire . Tres bonne mise en page et surtout la tension tout au long de l'épisode est palpable en inserant le gars en fin de chaque page. On s'attends pas a cette fin en voyant ce monstre avec ce baton.
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#14
24/06/2010, 09h39
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Gé-nial !! Vraiment une contribution passionnante à lire.
 Je connais mal le personnage version comic strip. C'est vrai que du Hogarth en N&B, c'est quand même splendide. J'avais eu l'occasion de découvrir certaines planches du strip à l'expo Tarzan qui avait eu lieu au Musée des Arts Premiers de Paris. En tout cas, cette chronique me donne encore plus envie de découvrir tout ça. Dommage que l'édition Soleil soit imparfaite. J'ose espérer qu'un jour, un éditeur comme Fantagraphics s'attaquera à une réédition digne de ces strips. S'ils faisaient un truc similaire à ce qu'ils font sur Prince Valiant, je serais aux anges.
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#15
24/06/2010, 16h06
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Merci beaucoup ! Contente que ça vous ai plu même si ce n'était pas tout à fait ce qu'il fallait faire ^^;
Et désolée pour l'histoire que j'ai torchée vite fait sans même un petit avis 
Psycho pirate > Merci pour les précisions et les images rares ! Bon ben j'espère que vous serez nombreux à participer parce que j'attends vos contributions avec impatience
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Mode hybride
