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241.96 millions de dollar pour Black Panther, en 4 jours. Il n'y a que The Force Awakens qui a fait mieux. °_°
Meilleur lundi de l'histoire, lors du jour férié Presidents' Day. C'est un triomphe aux US.
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mes ventes comics et TPBs |
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Avec de pareils scores, ce n'est pas demain la veille que le genre super-héroique va quitter les écrans. N'en déplaise aux Cassandre qui annoncent régulièrement la fin de cette "mode".
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mais le top serait un film politique avec "Truth : Red, White & Black " avec Isaiah Bradley, le 1er Captain America! |
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Et le cinéma se nourrit économiquement de films pour enfants, donc les adaptations de super-héros devraient durer longtemps. |
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Mon petit avis assez rapide:
Black Panther est un bon film de super-héros qui renvoie aux vestiaires un certains nombres d'entre eux et pas que à la concurrence (Non, parce que pour moi Civil War c'est aussi navrant que Justice League hein !) . Pour autant, je n'irais pas jusqu'à crier au génie. Le film souffre de certains défauts qui ne peuvent pas être oublier, sous prétexte que c'est "hype" d'avoir un film blackspoitation. On a beaucoup trop tendance à faire du favoritisme ou à primer ce type de film pour un débat autre que le film lui-même. Tout comme pour Wonder Woman il n'y a pas si longtemps. Revenons donc au film ! Pour moi, il se découpe en deux partie et elles sont très inégale. La première partie pour moi va jusqu'à l'arrivée du vilain du jour au Wakanda (sans spoiler plus que çà, ceux qui l'ont vu comprendrons). Cette phase 1 est la meilleure partie du film ! On oscille entre intrigue géopolitique, culture africaine savamment doser, mise en place et caractérisation des personnages principaux, secondaires et antagonistes bien foutu... Le film arrive à jouer sur la culture et le mode de vie africain sur le continent et dans tous les pays du monde de manière très intelligente. On est loin de partir sur les clichés habituelle du genre et c'est très bien ! On a quelques phases digne d'un James Bond, de l'héroïque, un peu d'humour dosé comme il faut... Non vraiment ! J'ai quasiment rien à reprocher à la première partie. Moi qui suit pourtant attentif en général à l'intrigue, certaines révélations ne me sont pas venu en tête directement et c'est cool de voir que l'intrigue était maitrisé jusque là. Par contre, après çà c'est fini... La seconde partie est la trame la plus classique possible pour ce type de film . Le scénariste et le réalisateurs de la première se sont barré en vacance. On tombe dans le schéma du film de super-héros vu et revu, sauvé par les effets spéciaux et le jeu des acteurs. Ce qui pose problème, c'est également le rythme. J'ai eu l'impression qu'on avait coupé mon film pour en redémarrer un nouveau à zéro et cela provoque des longueurs qui ont réussi à un moment à me lourder... Et c'est bien dommage, car ce film est pourtant bourré de qualité ! Les effets spéciaux sont plutôt réussi, hormis certains plans. Le Wakanda est vendu au forceps, mais çà fonctionne à merveille. Les acteurs jouent correctement, voir très bien pour certains (mention spéciale à Michael B. Jordan que j'apprécie beaucoup depuis Creed). Le rôle de T'Challa est d'ailleurs largement éclipser par les second rôles et c'est très appréciable sur la longueur. En tout cas, malgré ces défauts cela reste un bon film de super slip. Ce qui est dommage c'est qu'il aurait pu être un film vraiment génial et malheureusement (comme trop souvent ces derniers temps. ) , il bien trop conformiste en deuxième partie. Wonder Woman souffrait du même syndrome. Et on ne peut pas employer l'argument du film d'initiation à tout bout de champs. Certains film, dit initiatique, arrivent très bien à remplir ce rôle sans tomber dans le facile et le blockbuster simplet. Ceci dit, je ne peux que vous recommander de le voir, car vous passerez un vrai bon moment de cinéma et que c'est un très bon divertissement. |
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Ce qui est source de réflexion, c'est qu'un super-héros secondaire comme Black Panther (inconnu il y a encore un an pour ceux qui ne s'intéressent pas aux comics) batte en popularité et succès des super-héros universellement connus comme Superman, Wonder Woman et Batman. Marvel peut attaquer la phase 3... |
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En même temps, c est aussi un truc sur lequel doit s interroger Marvel...
Quelque part GoG ou Panther ont été des succes.. Doc Strange et Antman ont mieux performé que prévu... alors que malgré l ouverture du marché chinois les suites d avengers, Thor, IM n ont pas performé autant que prévues... Seul Cap3 mais c est un avengers déguisé... et si on le compare à un avengers.. c est plus autant un succes... Parceque suite à Avengers 2.. disney avait un peu remué marvel studios.. car on arrivait loin des objectifs prévus avec l ouverture au marchés asiatiques qui ne compensait pas entièrement les pertes sur les territoires occidentaux... |
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Thor 3 et surtout Iron Man 3 ont très très bien marché dans le monde.
Iron Man : $585,2 millions dans le monde Iron Man 2 : $623,9 millions dans le monde Iron Man 3 : $1,215 milliard dans le monde !!! Thor : $449,3 millions dans le monde Thor 2 : $644,6 millions dans le monde Thor 3 : $853,5 millions dans le monde Toutes les suites dans le MCU marchent mieux, hormis pour Avengers 2 (qui a fait un meilleur résultat que le premier en dehors de l'Amérique du nord, grâce à la Chine). C'est ça le plus bluffant chez Marvel, et qui interroge les autres studios. Disney, ils aimeraient bien que Star Wars fonctionne en Chine. $42,578 millions pour The Last Jedi, Avengers 2, il a fait $240,110 millions.
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mes ventes comics et TPBs |
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ah autant pour moi...
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J'ai adoré Black Panther. Je suis sorti en larmes avec une forte pensée pour Jack Kirby qui sera satisfait là-haut au paradis.
Black Panther est un vrai super-héros africain, avec plein de personnages secondaires très attachants. Un univers bien dense. J'ai vraiment passé un grand moment. Je vais voir tous les films Marvel à part Deadpool. |
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Qu'est ce que c'est lent et mal réalisé. Les costumes "traditionnels", le pays, je n'y ai pas cru une seule seconde. Le personnage principal a le charisme d'une huitre morte, tout comme son "opposant". En revanche, mention spéciale aux personnages féminins (Shuri et Lupita N'Yongo ) qui sont, pour moi, les seuls reliefs d'un film très très très plat. |
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Meme avis que Doop. Je rajouterais que j'ai personnellement trouvé les effets spéciaux affreux avec une mention spéciale aux scènes des cascades et du combat final (les rhinos et le duel dans la mine de vibranium arggggh mes yeux...) L'acteur qui joue Blac panther est beaucoup moins charismatique que son opposant qui n'est pourtant pas bien développé et en effet les personnages feminins sont les grosses satisfactions du film mais c'est bien peu. Bref, a mes yeux c'est l'un des pires marvel avec thor 2
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Pas convaincu par ce film. Scénario très classique au final. Peu de rebondissement a part les rhinos avec armure et certains acteurs.
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Mes Ventes VO et VF : https://www.vinted.fr/member/21248250 |
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Avec ses énormes recettes au box office, ses critiques élogieuses, Black Panther est devenu une sorte de phénomène dépassant la simple cadre d'une nouvelle production émanant des studios Marvel pour être un film-symbole sur l'afro-américanisme associé au folklore du super-héros. Pourtant, quand on découvre le long métrage de Ryan Coogler un peu de temps après sa sortie, de manière moins passionnelle, on s'aperçoit qu'il y a peut-être un malentendu, ou du moins une manière différente de l'apprécier, sans négliger ses défauts. Bref : de le voir comme un film et non comme un manifeste déguisé.
Récemment, les studios Marvel ont organisé une grande séance photo avec tous les comédiens de leurs films pour fêter les dix ans du Marvel Cinematic Universe : une occasion de mesurer l'ampleur prise par cette machine désormais parfaitement huilée et toute puissante, qui, avec deux à trois films par an, règne sur le box office mondial - alors même que Marvel comics traverse une crise éditoriale depuis plusieurs mois. Cet événement ne consistait pas seulement en une démonstration de force (comme pour prouver sa supériorité affichée sur le DC Cinematic Universe, régulièrement étrillé par la critique et dont les résultats commerciaux font pâle figure - Black Panther avait remporté en quelque semaines plus d'argent que Justice League durant toute son exploitation en salles). Il s'agissait bien de marquer le coup pour un passage de relais en douceur que viendront entériner les sorties cette année et en 2019 les deux prochains opus consacrés aux Avengers : entre les personnages qui vont certainement être sacrifiés dans leur bataille contre Thanos (et donc le retrait d'acteurs les incarnant) et ceux amenés à représenter leurs successeurs (pour une nouvelle "Phase" de longs métrages), le cliché fixait en même temps les anciens, les pionniers, et les nouveaux, les héritiers. Après Dr. Strange, Ant-Man, ou le retour dans le giron de Marvel studios (à la faveur d'un accord avec Sony pictures) de Spider-Man, et avant Captain Marvel (et sans doute d'autres), Black Panther apparaissait comme le relais puissamment symbolique vers cette nouvelle époque. Pensez donc : pour la première fois, on allait assister aux aventures d'un justicier noir, en Afrique, mises en scène par un réalisateur noir, avec un casting à 90% noir. Mais au-delà de cette promotion, quid du film ? En fait, il y a comme qui dirait deux films en un, et c'est davantage un souci qu'une qualité. Le premier déroule son intrigue du début jusqu'à la défaite de T'challa contre Eric "Killmonger Stevens/N'jadaka. Il y règne, c'est le cas de le dire, une ambiance à la James Bond avec une histoire d'artefact volé, de secret familial bien caché, de légitimité à régner, de vengeance, de promesse amicale non tenue et d'alliance décisive. Et c'est fort plaisant, car très rythmé, spectaculaire. Le film abonde en beaux et bons moments, avec quelques vrais pics, comme l'ouverture résumant le passé du Wakanda (avec des animations superbes), un flash-back vite expédié mais fondateur et tragique, l'intronisation de T'challa au terme d'un duel avec M'baku (le colossal Winston Duke en impose fabuleusement, mais trop brièvement...), le vol de l'artefact. Puis intervient une séquence folle à Busan dans un casino avec un règlement de comptes qui se prolonge dans les rues de la ville de Corée du Sud grâce à une course-poursuite trépidante. L'arrestation de Klaue, son interrogatoire, son évasion, l'évacuation de Ross, le pacte entre "Killmonger" et W'baki, le défi lancé à T'challa et donc sa défaite forment un bloc compact, toujours aussi échevelé, grisant. Le scénario de Ryan Coogler et Joe Robert Cole fait alors un pari audacieux mais dont le film ne se relèvera pas : faire disparaître totalement Black Panther de son propre récit pendant un long moment, avant, évidemment, de le faire revenir pour le dénouement. Ce qui suit, sans être non plus accablant, donne la furieuse impression qu'en plus d'avoir été trop nettement coupé en deux, le long métrage n'arrive pas à rebondir sur son pari narratif. Le deuxième acte n'est alors plus qu'une banale affaire de retour, de revanche, dont l'issue est sans surprise, sans même du suspense. Et, pire que tout, éclairant, a posteriori, des soucis déjà présents dans le premier acte mais habilement occultés par le rythme soutenu. Il suffit d'un exemple pour souligner ce qui ne fonctionne pas/plus : lorsqu'il est fait roi, T'challa est défié par l'imposant M'baku (au passage, très intelligemment réinventé par rapport aux comics dans lequel il figurait un caricatural homme-singe, dont la connotation raciste ne passerait plus aujourd'hui). Il le vainc, difficilement, mais sans discussion. Lorsque T'challa est à nouveau défié par N'jadaka, même si ce dernier a été entraîné dans l'armée, et commis des massacres sur des théâtres de guerre divers, donc représente un adversaire coriace, malgré toutes les grimaces carnassières (et la coiffure ridicule) de Michael B. Jordan, on a du mal à croire qu'il va poser plus de problèmes à Black Panther dopé par "l'herbe-coeur"... Mais on a tort car il lui assène des blessures multiples, une correction sévère avant de le jeter à bout de bras du haut du cascade ! Soit "l'herbe-coeur" marche moins bien, soit N'jadaka est plus fort que M'baku (ce qui paraît hautement improbable quand on voit Winston Duke), mais enfin, bon, le coup de théâtre est si grossier qu'il nous fait sortir du film. Peu importe ensuite si T'challa n'est évidemment pas mort, comment il parvient à vaincre N'jadaka, à renverser presque tout seul les alliés de son adversaire (grâce aux propriétés de son costume absorbant l'énergie cinétique et de l'expulser ensuite... Mais aussi grâce aux renforts de Nakia, sa fiancée super-espionne - à laquelle la belle Lupita Nyong'o donne tout ce qu'elle peut -, sa soeur Shuri - super-scientifique et guerrière qui permet surtout à Letitia Wright de cabotiner de façon horripilante - et Okoye - sorte d'amazone renfrognée à laquelle Danai Gurira prête son charisme)... On sait comment tout cela va se finir : de la façon la plus convenue, prévisible, linéaire et paresseuse au possible - et avec un rythme sérieusement déclinant qui fait bien sentir que 135 minutes pour tout ça, c'est bien trop. J'aurai aimé aimer davantage Black Panther : pour Chadwick Boseman, très sobre et classe ; Angela Bassett et Forest Whitaker, majestueux (moins pour Martin Freeman dont le rôle aurait pu être effacé sans que cela ne dérange, ou Andy Serkis grimaçant à l'excès). Ryan Coogler est un metteur en scène indéniablement prometteur, qui sait faire vivre ses personnages sans en faire seulement des symboles sur pattes, et s'arrange des effets propres à ce cinéma (avec des idées visuelles séduisantes et intenses), plus que pour sa rigueur de scénariste. Mais en l'état, si l'on veut estimer honnêtement le résultat et sortir des discours idéalistes sur la révolution culturelle qu'est censé matérialiser le film, Black Panther est un Marvel movie mineur, trop long, à la narration bancale, et qui, après Les Gardiens de la galaxie, volume 2 et Thor : Ragnarok, n'a que pour vrai mérite de souligner notre excitation avant la sortie en Avril de Avengers : Infinity War. |
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Quelles critiques élogieuses ? (hors fanboys de la première semaine)
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