Le topic de Blackest Night et de Brightest Day!

[scarletneedle]

Brightest Day #1



Second Chances
Writer : Geoff Johns & Pete Tomasi
Penciller : Ivan Reis, Patrick Gleason, Scott Clark, Joe Prado, Ardian Syaf
Inker : Vicente Cifuentes, Mark Irwin, Oclair Albert, David Beaty
Colorist : Aspen’s MLT Peter Steigerwald

Il fait beau, il fait chaud (attention il y a une contrepèterie possible…) et je me suis dit que ce Brightest Day #1 méritait bien que je m’attarde dessus.
Il faut dire que, depuis le #0 qui était un bon Who’s Who post-Blackest Night (et Fernando Pasarin y est pour quelque chose), mes interrogations demeurent et ce ne sont pas les quelques titres estampillés Brightest Day qui ont pu éclairer ma lanterne à ce sujet : aussi, Geoff Johns et Pete Tomasi se doivent de bien rentrer dans le vif du sujet avec ce 1er vrai épisode !
Est-ce que ce qui unit les 12 personnages (et pas l’Anti-Monitor ?) de façon invisible sera abordé ou bien les crises personnelles seront au programme ? Est-ce qu’un noyau dur va se détacher et laisser les autres titres absorber certaines intrigues ou bien ce sera, au gré des épisodes, un zoom sur quelques personnages de façon interchangeable ?
Après, vu qu’il y a 2 auteurs, est-ce que ce sera à l’instar de 52, un partage des tâches sur les intrigues ou bien un travail main dan la main ? J’espère un peu des 2 car si Geoff Johns est un très bon showrunner, il ne caractérise pas autant de personnages comme Pete Tomasi sait le faire (ou alors il ne veut pas préférant s’intéresser à ses personnages si j’excepte le cas Justice Society Of America?) : le dernier Green Lantern Corps fut un dernier (et magnifique) exemple de la capacité de Pete Tomasi à gérer un casting haut en couleurs.
Sinon, qu’est-ce qui attend vraiment cet épisode ? La White Lantern sera-t-elle d’emblée au centre des débats comme l’indique la couverture de David Finch ?
Déjà, ce sont les débuts de l’équipe artistique à plusieurs mains : si Ivan Reis me manquait déjà et si je suis content de retrouver Patrick Gleason, je ne suis pas complètement enthousiaste à l’idée d’avoir Scott Clark (voire Joe Prado qui est mieux à l’encrage dans les parages. Comment vont-ils se situer (sans oublier Ardian Syaf) ? Partage des intrigues ? Partage équitable des pages pour garantir le rythme de parution de la série ?

Que ce 1er numéro lève le voile de quelques intrigues, que le dessin soit à la hauteur et j’y verrai un plus clair en ce jour…

Au Nouveau-Mexique, la White Battery a atterri et la police locale essaie de la soulever mais sans réussite : c’est alors que Hal accompagné de carol et Sinestro (qui les a guidés) débarquent.
Sinestro n’est pas odeur de sainteté depuis Sinestro Corps War mais il n’en a cure : il veut faire la lumière sur l’Entité. S’il ne peut utiliser la White Battery, il demande à Hal de le faire :

Comment ? Sinestro ne regarde pas Kaamelott?

Si aucun Lantern connu ne peut la déplacer, est-ce que cela veut dire qu’ils n’interviendront pas trop dans la série ?
Il semble que seul Deadman puisse l’utiliser car il est le seul à avoir un anneau…
Ce dernier a été téléporté justement sur un bateau sur lequel il ne peut intervenir : il voudrait bien car c’est un navire où des enfants ont été enlevés…
Heureusement, Mera et Aquaman déboulent pour calmer les kidnappeurs (dont l’un qui voulait s’amuser avec une petite fille…).
Seulement, tout ne se passe bien car en voulant invoquer une pieuvre pour bloquer un bateau ennemi, Aquaman tombe des nues :

Ok, sur la Variant Cover, c’était bien des requins zombies…

Des relents de son existence de Black Lantern ?
Il faut croire car ce sont des requins décharnés qui interviennent dans la foulée..
Un poissonnier apprend ce la parla télévision et il entre dans une rage folle tuant son collègue et les clients dans un bain de sang : il s’agit de Black Manta qui devait se cacher depuis la fin de l’arc Sub Diego d’Aquaman…

Pour Firestorm, c’est toujours Ronnie qui contrôle la fusion au grand dam de Jason : ils n’arrivent surtout pas à se séparer...
Il faut croire qu’ils ne sont pas au bout de leurs surprises :

Cohabitation difficile…

Sur Mars, J’Onn j’onzz continuer à rendre Mars habitable et les 1ers résultats sont visibles.
Il est à son tour perturbé par son passé de Black Lantern (dont il prend brièvement et partiellement l’aspect) qui lui offre une vision de son passé :

Houlà…

J’Onn aurait tué celui l’a fait venir sur Terre ou bien est-ce un autre Martien?
Qui est cette femme qui doit avoir bien vieilli vu que J’Onn est sur Terre depuis longtemps, très longtemps ?

Place au couple Hawkman / Hawkgirl qui est guidé vers une mystérieuse destination par le fragment du cristal Zamaron (inséré dans la griffe d’Horus) : en fait, ils vont à l’endroit où les squelettes de Khufu et Chay-Ara ont été trouvés par de mystérieux individus…

Adam et Eve dans Lost, ce sont eux aussi?

Evidemment, quand ils comprennent ce qui se passe, un combat aérien s’enclenche mais ils ne parviennent pas à récupérer les dépouilles qui tombent entre les mains de Hath-Set, leur ennemi juré depuis l’Egypte ancienne.
Est-ce que Geoff Johns va ressortir les mêmes histoires sur fond de réincarnation déjà aperçues dans Hawkman ?

Pour finir, Black Manta brûle sa cachette puis se dirige vers la mer où il revêt son armure…

To Be Continued…

En effet, j’y vois déjà plus clair : non pas pour l’intrigue principale de la série qui garde son mystère mais sur la construction de la série et c’est la leçon principale à retenir cette semaine !
En effet, malgré le retour de 12 personnages bien différents, Brightest Day risque de se pencher sur un noyau dur laissant certainement les autres protagonistes faire profiter de leur présence les séries siglées Brightest Day avant de faire leur irruption dans le titre mère (ou alors ils feront des apparitions express au gré des semaines pour rappeler leur présence).
D’un autre côté, cela peut permettre à la série d’avoir une bonne homogénéité et éviter aux scénaristes de se disperser.

Aussi, les personnages mis en lumière sont ceux de la couverture !
Pour le moment, la notion de 2ème chance n’a pas encore été abordée vu que les personnages essaient de se situer alors que c’est le titre de l’épisode vu qu’ils restent dans la continuité de leur vie avant leur décès : lire cette phrase à voix haute me fait bien rire.
C’est Aquaman qui se taille la part du lion et tout n’apparaît pas aussi simple sur son retour expliquant au passage la couverture de Brightest Day #2 : leurre ou confirmation la semaine prochaine. D’ailleurs, ce passage doit être écrit par Geoff Johns car la série montre le retour de sa nemesis : le scénariste avait promis qu’il utiliserait ce personnage dans une histoire il y a 1 an. Il y aussi des signes qui ne trompent pas : les seules scènes avec du sang sont là (et c’est complètement gratuit)...
Pour Martian Manhunter, j’avoue m’être interrogé : pourquoi le ramener si c’est pour introduire d’emblée ce qui s’apparente à un retcon sur les origines du personnage ? Même si c’est un ajout et si cela n’invalide pas a priori ce qui a été fait depuis, j’ai des doutes surtout que cela s’éloigne déjà ce qui avait suggéré lors de Brightest Day #0 sur son rôle.
Pour Hawkman & Hawkman, cela risque d’être du (trop) classique reprenant les débuts de la série Hawkman de Geoff Johns (auquel cas, c’est lui qui écrit cette partie ?) : j’espère me tromper et avoir des situations bien différentes !
Du côté de Firestorm, c’est juste dans la continuité de l’introduction voire de la répétition : heureusement, le prochain épisode promet de s’y intéresser... :hum2:
Sinon, au chapitre des revenants, c’est bien toujours Deadman qui s’interroge le plus
Le cas Green Lantern qui semble truster l’intérieur d’après la couverture semble être réglé pour ne pas empiéter sur Green Lantern (et éviter d’éventuelles répétitions) : pour moi, Geoff Johns et Pete Tomasi amènent Hal et sa clique aussi vite pour mieux les éliminer de l’équation (à courir terme ?) afin de ne pas monopoliser l’attention. Au passage, ils utilisent l‘analogie assez simpliste (grossière ?) d’Excalibur. Après, cela peut aiguiller la réflexion sur un personnage...

En tout cas, ce 1er épisode fait tout pour avoir une préférence pour Aquaman et son intrigue car c’est celle qui en dévoile le plus et c’était le personnage le plus réclamé…
Il est dommage que l’intrigue principale ne soit pas abordée au détriment de mini-intrigues plus personnelles donnant pour le moment un ensemble disparate à part la nature de revenant des personnages. Enfin, 52 avait fait la même chose pour le résultat connu.
L’avantage est que c’est bien raconté mais sans réelle surprise…

Pour bien entamer la série, DC avait placé Fernando Pasarin pour une réussite. C’est pareil pour ce #1 : Ivan Reis dessine 17 pages dans la lignée de sa production de Blackest Night mais avec un peu plus de temps pour fignoler laissant les 13 dernières pages à ses collègues !
En effet, ce sont 30 pages que DC offre : est-ce qu’il y en aura toujours autant ? Si oui, cela risque d’être du bonheur !
Pour en revenir à Ivan Reis : il confirme sans problème son nouveau statut. Par contre, il n’est pas sûr qu’il dessine 17 pages à chaque numéro : est-ce un signe que toutes les intrigues n’auront pas la même exposition au gré des semaines si un dessinateur est affecté à telle ou telle intrigue ?
Les autres dessinateurs ne déméritent pas, à commencer par Patrick Gleason qui n’a pas beaucoup de pages. Sinon, je retire ce que j’ai dit sur Scott Clark et Joe Prado qui ne laissent regarder sans problème. Pour Ardian Syaf, je n’avais pas de doute même si ses 2 pages lorgnent sur le David Finch.
Après, je regrette les couleurs qui mettent un voile : cela change d’Alex Sinclair.
En ce qui concerne la couverture de David Finch, elle ne casse pas des briques : elle est déjà plus réussie que la dernière dans sa composition elle n’en est pas pour autant plus jolie…

Un peu moins bien que Brightest Day #0 : il faut juste éviter que les auteurs en gardent sous le pied et qu’ils lâchent des informations.

Bilan : et demi

[scarletneedle]

Brightest Day #2



Nuclear Options
Writer : Geoff Johns & Pete Tomasi
Penciller : Ivan Reis, Patrick Gleason, Scott Clark, Joe Prado, Ardian Syaf
Inker : Vicente Cifuentes, Tom Nguyen, Rebecca Buchman, David beaty Patrick Gleason
Colorist : Aspen’s MLT Peter Steigerwald, John Starr, Beth Solelo

Après un 1er numéro annonçant la couleur sur la structure de la série et la 1ère vague de spin-offs qui ne s’appuient pas trop sur la trame principale (juste pour faire intervenir les revenants), Brightest Day revient pour conclure son 1er mois avec toujours autant d’interrogations sur le fond de l’histoire : pourquoi sont-ils revenus ??
Même s’il est logique que la série ne donne pas tout au début (principe du feuilleton étalé sur une saison), je trouve rageant d’en lire beaucoup dans les sollicitations quand la série n’en livre pas plus : en comptant le #0, ce furent 2 numéros s’assimilant à un passage en revue des personnages avec très peu de fil conducteur (si ce n’est Deadman) mais plutôt avec diverses intrigues personnelles qui démarrent. Si 52 a prouvé que cela pouvait donner de superbes croisements et une conclusion à la hauteur, je ne peux pas encore dire si Brightest Day emprunte le même chemin.
Aussi, à quoi faut-il s’attendre ? Un prolongement des intrigues avec un focus sur certaines d’entre elles comme celle de Firestorm (qui est pour le moment la moins intéressante à mes yeux) ? Un partage équitable des pages contrairement au précédent numéro où Aquaman et Ivan Reis m’avaient enchanté et quel cas, les artistes vont plus se partager les pages ? D’ailleurs, est-ce qu’il y aura encore 30 pages ? :hum2:
Sinon, la patte de Geoff Johns et Peter Tomasi se fera encore t’elle sentir ?

Toujours fusionnés en Firestorm, Jason et Ronnie trouvent le temps long surtout qu’ils sont enfermés pour des expériences par le Professeur Stein.
Ronnie, qui contrôle la fusion, veut mettre les voiles :

Le petit chimiste…

Il faut l’arrivée de Ray Palmer pour le calmer : ce dernier veut explorer la matrice pour comprendre ce qui empêche les 2 jeunes gens de se séparer mais quelque chose fait capoter la manipulation provoquant une explosion !
Il semble qu’une 3ème voix soit avec Jason et Ronnie qui s’exprime comme de façon à les monter l’un contre l’autre : un reliquat du Black Lantern qui veut prendre le contrôle ?
Est-ce que le professeur Stein a survécu à l’explosion ?
Quid d’Atom ?


A New-York, une mère de famille rentre dans une rage folle à l’annonce du retour de J’Onn J’Onzz puis s’en va massacrer sa famille…
Ceci fait, elle dévoile une partie de sa nature :

Elle l’a dans la peau!

Est-ce une Martienne ?
En tout cas, J’Onn J’Onzz enquête sur la mort du Professeur Erdel et va inspecter sa tombe : il découvre qu’il a une fille !

Du côté de Hawkman et de Hawkgirl, le couple remonte la piste de Hath-Set qui veut les tuer à nouveau ce à quoi Carter veut joue rà l’arroseur arrosé :

Il est à la masse…

Si Hath-Set est stoppé, le cycle de mort / résurrection sera-t-il fini ?

J’Onn J’Onzz retrouve la fille du Professeur Erdel dans un institut : elle travaillait avec son père sur une mystérieuse tablette Aztèque en relation avec les Martiens. Peut-il y avoir un lien avec le couple ailé vu qu’une incarnation est de cette époque ?
Sinon, une expérience du Professeur Erdel avait abouti avec l’arrivée d’un Martien massacrant tout son passage : pour expier sa faute, il fit venir un autre Martien pour chasser le visiteur sans toutefois pouvoir avertir le sauveur qui est bien sûr J’Onn J’Onzz !
Heureusement, sa fille peut tout lui expliquer sur sa mission :

Venge-moi !

Pourquoi le Martien n’a jamais pourchassé J’Onn J’Onzz auparavant ???

A Dubaï, Mera et Aquaman prennent congés de ceux qu’ils ont sauvé alors que Deadman essaie de les contacter quand l’anneau le téléporte à nouveau cette fois-ci dans l’univers d’antimatière lui demandant de combattre un certain individu…
Il ne peut s’agir que de :

Ses apparitions me font toujours quelque chose.

Pourquoi vouloir lui faire affronter l’Anti-Monitor alors que l’Entité l’a ramené à la vie???
Que va faire Deadman ?
Que manigance l’Anti-Monitor ?

To Be Continued…

Bon, il est clair que DC va jouer au chat et à la souris avec mes nerfs car pour le moment le mystère des 12 revenants n’est toujours pas abordé mais cela continue de me titiller le cortex à l’image d’un Deadman, qui se demande ce qu’il fout là.
Pourtant, ce numéro est de meilleure facture que le précédent car il fait progresser les différentes intrigues confirmant au passage que chacune aura son dessinateur attitré (je ne sais toujours pas où se trouve Joe Prado…). De plus, ce numéro se termine sur le genre de cliffhanger qui me fait bondir d’excitation et compter les jours jusqu’en Juin pour en savoir plus !

Pourtant, tout n’est pas parfait : comme la dernière fois, il y a une scène sanglante de massacre comme s’il fallait prouver que Brightest Day n’est pas que la joie de recroiser des personnages au coin du feu. C’est grossièrement fait et purement gratuit. Par contre, je ne pense pas que Geoff Johns puisse être incriminé pour le coup car la scène est dessinée par Patrick Gleason ce qui me laisse penser que c’est Peter Tomasi qui s’en est occupé.
Il serait de bon ton d’éviter le renouvellement de ce genre de scène…
Après, il y a l’intrigue qui est décidément la moins passionnante : celle de Firestorm. Je passe sur le fait qu’elle est déjà dessinée par Scott Clark (le moins doué du pool artistique) et qu’elle s’étale sur 8 pages, c’est le traitement du personnage qui m’étonne : pourquoi faire revenir Ronnie Raymond si c’est pour lui donner le statut de tête brûlée (et ce n’est pas que du 1er degré) ? C’est pourtant un personnage posé : je veux bien croire qu’il faille créer un décalage avec Jason Rusch mais c’est un peu gros. Evidemment, certaines scènes laissent planer un doute sur la réalité de la cohabitation (et pis une future couverture montre de grosses ficelles…). Non, le plus énervant est que cette intrigue fait intervenir Atom quand les braises de son successeur sont encore chaudes depuis Titans – Villains For Hire : sans vouloir lancer un débat sur les minorités chez DC (je m’en tamponne qu’untel soit noir, asiatique, gay ou un alien etc… du moment que l’histoire est bonne), DC aurait pu attendre un petit peu…

Enfin, le reste est de meilleure facture : Geoff Johns et Pete Tomasi lèvent le doute sur les intrigues du couple Hawkman / Hawkgirl et de Martian Manhunter en lançant ce qui me semble de futures chasses à « l’homme » (et pour j’Onn J’Onzz c’est assez savoureux).
J’ai même crû déceler quelque choses rattachant ces 2 histoires mais c’est léger et cela n’a pas peut-être rien à voir.
Ce qui est sûr est l’ambigüité pour J’Onn J’Onzz est levée : il n’y pas de retcon du héros mais cela laisse songeur sur la biologie Martienne…
Pour Hawkman, cela rejoint néanmoins ce que je disais : Geoff Johns risque une redite de son passage sur Hawkman et il va falloir innover un peu plus sous peine de meubler la série pour rien.
Il reste le cas d’Aquaman que la couverture montre de façon assez singulière : c’est peine perdue car il n’apparaît que sur une case (ouh la publicité mensongère !!) laissant le champ libre à Deadman pour préparer un cliffhanger de toute beauté montrant que les auteurs n’oublient aucun revenant !!
Je ne sais pas ce que cela cache si le personnage sera un intervenant régulier auquel cas cela permettrait de développer des hypothèses mais que j’ai hâte de lire le prochain numéro !

Visiblement, Geoff Johns et Peter Tomasi vont mettre en lumière une intrigue par semaine (permettant à un artiste de se distinguer et aux autres de se « reposer ») tout en faisant le point sur les autres : c’est le bon plan sauf si l’intrigue en question est la moins bonne ou si le dessinateur n’est pas le plus agréable à regarder.

En effet, après Ivan Reis qui officiait sur la majeure partie de Brightest Day #1 pour mon plus grand plaisir, c’est Scott Clark qui « illustre » 8 pages sur un total de 22 (donc ciao les 30 toutes les 2 semaines…) : c’est mieux que son massacre de Justice League – Cry For Justice mais moins je le vois, mieux je me porte.
Heureusement, Patrick Gleason et Ardian Syaf font passer la pilule avant l’apothéose Ivan Reis.
Le gros plus est que Peter Steigerwald n’est plus seul à la couleur et le trait beaucoup moins atténué.
Au moins, mis à part le cas Scott Clark, la partie graphique semble prendre le chemin de 52 et non celui de Countdown To Final Crisis ce qui est un bon signe.
Un petit mot sur la couverture : c’est la meilleure de David Finch. Le fait qu’il n’y a qu’un personnage joue ?

La série s’installe de façon agréable et continue de donner envie de revenir : il faut juste expliquer pourquoi les 12 sont là pour définitivement lancer le titre !

Bilan :

[beldarien]

scarlet a craquer, il fait la chronique de toute la serie

[scarletneedle]

Tant que j'ai le temps...

[Slobo]

Les douze ? Comme dans X-men ? Les scénaristes de comics aime se chiffre décidément, le coté apotre surement

[Papich]

Je me demande si tu fais tous les titres Brightest day scarlet.
Je pense que DC va maintenir encore un peu le mystere des 12 résurrections, vu les 3 premiers numéros, ils sont partis pour nous pondre une intrigue bien ficelée. J'attends chaque numéro avec impatience.
Pour Justice League: generation lost, je vois le rapport avec Brighest day, ainsi que pour le futur titre Green arrow, mais pour Birds of preys, ça reste flou...

[Kal_El]

Ben si ils ont hawk et Dove...

Pour le spécial vilain united "titan" par contre...

[cytrash]

Il y a osiris comme membre de ces titans

[Ivan Rebroff]

	Citation:			Posté par scarletneedle
	Pourtant, tout n’est pas parfait : comme la dernière fois, il y a une scène sanglante de massacre comme s’il fallait prouver que Brightest Day n’est pas que la joie de recroiser des personnages au coin du feu. C’est grossièrement fait et purement gratuit. Par contre, je ne pense pas que Geoff Johns puisse être incriminé pour le coup car la scène est dessinée par Patrick Gleason ce qui me laisse penser que c’est Peter Tomasi qui s’en est occupé.

Dans ce cas, pourquoi le staff éditorial a-t-il choisi ce titre, et non pas quelque chose de plus tempéré, comme "A slightly brighter day" ou "A sparkle of brightness in this violent universe"?

Je laisse la parole au sage:

	Citation:			Posté par scarletneedle
	Il serait de bon ton d’éviter le renouvellement de ce genre de scène…

[scarletneedle]

	Citation:			Posté par Ivan Rebroff
	Dans ce cas, pourquoi le staff éditorial a-t-il choisi ce titre, et non pas quelque chose de plus tempéré, comme "A slightly brighter day" ou "A sparkle of brightness in this violent universe"?

Il aurait fallu réécrire tout le serment du Green Lantern Corps.

[KaRaS]

	Citation:			Posté par Ivan Rebroff
	Dans ce cas, pourquoi le staff éditorial a-t-il choisi ce titre, et non pas quelque chose de plus tempéré, comme "A slightly brighter day" ou "A sparkle of brightness in this violent universe"?

"A brightest day avec un oiseau qui s'écrase sur une pierre tombale au début" n'est pas facile à caser, selon mes maigres connaissances photoshop

[GudJP]

Elles sont vraiment superbes tes chroniques! J'ai commencé à suivre toute la franchise Green Lantern en singles à partir de cet event et pour l'instant je suis pas du tout deçu.

Le seul bemol que je trouve pour l'instant c'est la repetitions de scenes dans plusieurs titres, si ça continue ça risque de devenir lourd.

Par contre j'ai toujours pas compris le debat sur la violence et le gore sur les oeuvres de Geoff Johns. Je ne suis pas un assoifé de sang, mais ça m'a jamais choqué non plus, ça fait en quelque sorte partie du spectacle. Il y a des gens qui sont vraiment choqués par des scenes trop violentes dans des comics de superheros?

[scarletneedle]

C'est surtout la redondance des scènes violentes sur un court laps de temps couplé à un manque flagrant d'apport à l'intrigue qui embête : c'est juste trash pour faire trash.

[gillesC]

	Citation:			Posté par Slobo the world greatest looser
	Les douze ? Comme dans X-men ? Les scénaristes de comics aime se chiffre décidément, le coté apotre surement

Boah, cela avait surement dejà été fait dans les 60's... chez Dell ou autres...

[scarletneedle]

Les 12 travaux, tout ça.