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#1
24/05/2008, 16h30
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Critiques DC VO Mai 2008
Justice League Of America 21
 The Gathering Crisis Writer : Dwayne McDuffie Penciller : Carlos Pacheco Inker : Jesus Merino Colorist : Pete Pantazis Ca se précise comme rarement pour la bonne et simple raison que Final Crisis arrive la semaine prochaine !!!!!  Après avoir « liquidé » Countdown To Final Crisis (qui a pourtant eu et aura encore son mot à dire dans les festivités) et offert en apéritif le très intéressant DC Universe 0, DC a la bonne idée d’en remettre une couche pour les retardataires afin d’éviter de perdre quelques lecteurs dès le début de la saga « Lord Of The Rings » de Grant Morrison : quoi de plus normal pour maximiser l’exposition que d’intégrer la meilleure vente DC ? En effet, c’est Justice League Of America qui accueille ce chapitre 0.5 alors qu’elle-même souffre d’un déficit de visibilité depuis le départ de Brad Meltzer : trop dirigée par les events (Final Crisis donc) ou mini-séries (Salvation Run ou Tangent Superman’s Reign), la série de Dwayne McDuffie ne semble (sur)vivre que sur son nom mais aussi grâce au talent de Ed Benes d’après les avis US que j’en lis alors que j’apprécie énormément. Il faut dire que mon histoire d’amour avec DC est née avec la mouture de Grant Morrison.  Aussi, DC innove en remplaçant Ed Benes pour ce numéro par Carlos Pacheco (évidemment accompagné de Jesus Merino) : encore du bonheur en perspective ? De même, ce numéro propose la nouveauté DC : le « SIGHTINGS » pour bien expliquer que c’est indispensable : mission accomplie ? Quid de Dwayne McDuffie qui doit se morfondre de ne pouvoir approfondir ses idées ? Plus que quelques jours avant la tempête….  Plus que sympathique ce numéro qui est tout aussi intéressant que le reste de la production sous Brad Meltzer et depuis le début de Dwayne McDuffie : les réfractaires n’y trouveront donc peut-être par leur compte… Les fans comme moi seront aux anges même si certaines choses continuent de me faire tiquer dans la gestion du titre.  L’histoire du mois est construit sous la forme thèse / antithèse : la thèse est symbolisée par les héros (et quoi de mieux que la Trinité pour cela ?) sur une bonne moitié tandis que la 2ème partie est une antithèse parfaite représentée par l’irruption de Libra dans le petit monde des super-héros. Le tout est lié par une transition où justement il y a un début de collision entre les 2 mondes.  Cette distinction permet de bien visualiser le travail de Dwayne McDuffie sur la série et distinguer le travail sur commande : la 1ère partie fait le point de l’état de l’équipe alors que la 2ème n’aurait pas dépareillé dans ce fameux Final Crisis 0 qui est devenu par la force des choses DC Universe 0.  Je règle le compte de la Trinité : bien dans le ton des discussions que les 3 héros offrent (et vont offrir à n’en pas douter durant Trinity), c’est très savoureux. Superman fait du Superman c’est-à-dire le vertueux en qui on peut avoir confiance, Wonder Woman représente la figure maternelle en s’enquérant du devenir des membres (présents voire futurs). Toutefois, la palme revient à Batman qui surprend au début en étant offusqué d’apprendre que des choses sont cachées aux autres membres de l’équipe mais le naturel revient vite au galop : il ne faudrait pas avoir une vision trop différente de celle de Grant Morrison alors que Batman R.I.P vient de débuter !  Dwayne McDuffie n’oublie pas continuer à poser les graines du run à venir même si celui sur les Time Stealers est passé à l’as…. Globalement cette scène se passe avant la conclusion de Countdown To Final Crisis car le cas Ray Palmer est remis sur le tapis. S’en suit une petite bagarre (eh, c’est un titre où la castagne se doit d’être de rigueur !!!) pour planter le décor de la 2ème scène : les vilains forment une énième coalition…. Effectivement, ce n’est pas super original mais vu le programme qui va occuper DC tout au long de 2008 (et au-delà), cela devrait durer un peu plus longtemps : je ne peux m’empêcher de penser à Dwayne McDuffie qui avait cette idée pour son 1er run (qui avait superbement commencé pour finir en eau de boudin) et il doit initier la version de Grant Morrison…  Si cela est plutôt bien foutu, cela a le malheur de sabrer méchamment le suspense de Salvation Run dont la conclusion se fait attendre (à cause de Sean Chen ?) : des personnages présents sont en encore en excursion planétaire et pas du même côté alors qu’ici c’est l’ente cordiale (pour peu que des sales types puissent s’entendre) : c’est regrettable car je l’aime bien cette mini-série basée sur les vilains. Reste le cas de Human Flame et de Libra qui sont les 2 stars comme l’annonce la couverture. Le 1er connaît une jolie caractérisation : tocard de 4ème zone, il symbolise bien ce que vont devenir les vilains sous Grant Morrison. Si l’approche me fait penser à celle d’Underworld Unleashed de Mark Waid, cela risque de s’en éloigner pour 2 raisons : Néron sera occupé à gérer les Enfers dans Reign In Hell et cette fois-ci il risque d’y avoir des retombées majeures. En effet, l’histoire se conclut sur un cliffhanger qui semble poser les bases pour Final Crisis - Requiem qui se fera l’écho d’une morsure de poussière : est-ce que ce sera celle supposée ou Grant Morrison va-t-il sortir un autre lapin de son chapeau tant cela semble prévisible ?  Libra ? Droit comme un i, il va s’imposer comme un redoutable larron. Grant Morrison a soutenu mordicus que ce n’était pas un certain autre revenant aux yeux bleus mais bien une enflure : tout en puissance et en tentation, il sera le bras armé du Mal mais j’attends de le voir plus en action !! Ce numéro remplit parfaitement son office en faisant la jonction entre la série de Dwayne McDuffie (mais punaise que DC lui laisse les coudées franches !!!!) et l’événement majeur à venir. L’auteur s’en sort très bien dans le traitement des personnages. Si cela a plus la place dans DC Universe 0, cela n’en reste pas moins un bon stand-alone qui va bénéficier du titre Justice League Of America pour se diffuser. L’histoire va aussi profiter du « SIGHTINGS » qui n’est pas usurpé : au-delà des spoilers de Salvation Run, les forces en présence sont bien situées (mais il faut connaître le nom des enflures DC non citées mais reconnaissables pour l’aficionado DC comme un lecteur Marvel avec Jessica Jones par exemple). Pour bien mettre dans l’ambiance, le titre respecte même la police de caractères de Final Crisis (enfin pas celle des couvertures désignées).  Pour finir, DC a substitué Carlos Pacheco à Ed Benes pour bien différencier le run en cours : j’apprécie les 2 artistes et force est de constater que l’espagnol a ce qu’il faut pour dessiner les plus grands super-héros DC mis à part Wonder Woman dont le visage est raté.  Si Jesus Merino n’est une fois de plus que crédité à l’encrage, il n’empêche que Carlos Pacheco peut le remercier ! C’est beaucoup moins arrondi que sur Green Lantern et plus dans la veine que ses (trop rares) Superman. Si le binôme ne semble plus capable de réaliser une ongoing (ou du moins ce n’est peut-être plus dans leurs priorités), il en a sous la semelle : le bref combat est bien orchestré, Hawkgirl soutient la comparaison avec celle croquée par Ed Benes et le découpage de la 1ère scène fort réjouissant (et pis cela permet de dessiner un maximum de bustes au lieu de corps entiers). Du bon boulot en adéquation avec le scénario !!! Le 28 Mai n’est plus très loin… Bilan : 
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#2
27/05/2008, 11h18
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C'est aussi bon que le # 19? (le premier qui m'ait vraiment plu
)Bon, m'ayant vraiment rien de mieux à faire (pluie, oh rage..), j'ai lu TITANS # 2. Oh mon dieu. Quelques blagues de Winick sauvent un peu le tout, et Benitez fait du laid regardable, contrairement à ce cher Ian, qui en fait souvent de l'inregardable (encore qu'à ce niveau, dur d'avoir un avis tranché.  Mais bon, Trigon, le cauchemar des interros surprises, en vieux trav tendance aids-AffirmativeAction, c'est assez énorme pour justifier l'achat (surtout pour une DC-Ghoule. 
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#4
28/05/2008, 23h36
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Final Crisis 1   D.O.A. : The God War Writer : Grant Morrison Penciller : J.G Jones Inker : J.G Jones Colorist : Alex Sinclair Enfin, j’y suis !!!! Que dis-je… Je vais enfin savoir vers quoi tend le DC Universe depuis plus de 4 ans et Identity Crisis : comme je suis tout cela en live depuis 5 ans (que de comics accumulés et même en back-issues), mon impatience atteint son paroxysme avec ce comic que je tiens fébrilement entre les mains (enfin j’en ai 2 car j’ai craqué en prenant les 2 couvertures de J.G Jones…) !!!  Cette saga est la dernière partie du triptyque officiel avec Crisis On Infinite Earths (ma Bible) et Infinite Crisis (que j’apprécie toujours autant à chaque relecture) sans compter le triptyque officieux qui avait commencé avec Identity Crisis (en lieu et place de la Crise originale) et l’arrivée (ou une exposition plus marquante ?) du Grim & Gritty faisant passer parfois de vieilles histoires comme désuètes du moins d’une autre ère. D’ailleurs, le socle principal de l’histoire de Grant Morrison prend sa source dans l’Histoire du comic tout court avec le Kirbyverse datant de 30 ans entre les New Gods, Kamandi ou O.M.A.C : si la réinterprétation des thèmes du King a parfois subi une mauvaise mise à jour dans Countdown To Final Crisis (mais seulement sur des morceaux et non l’intégralité), les pions sont plus ou moins mis avant le grand chambardement et il y a eu du bon dans cette longue préparation. Seulement, Final Crisis ne devrait pas concerner que l’héritage du King : ce sera(it) l’apogée du travail de Grant Morrison dans le DC mainstream depuis 1997 et son run sur JLA (la série qui m’a convaincu de me mettre à la VO) jusqu’à Seven Soldiers dont Mister Miracle (paradoxalement la mini-série que j’ai le moins appréciée) qui présentait avant l’heure des New Gods nouvelle génération. Cependant, l’Ecossais a tellement d’idées et de concepts (ou Dan Didio a compris que juste 7 numéros ne suffiraient à payer les vacances de certains) que Final Crisis se voit adjoindre des spin-offs diablement prometteurs préparés par d’autres compères ayant participé à la réussite 52 : Geoff Johns (mon scénariste préféré de par son approche du DC Universe) et Greg Rucka !!! J’aurai évidemment le temps d’y revenir quand cela sortira…  De plus, pour exciter mon geek-omètre, il y a des gimmicks pour ce genre d’histoires : qui dit Crise, dit Flash… Avec DC Universe 0 qui fut un alléchant hors d’œuvre ( ) pour ce que DC va offrir jusqu’en 2009 (ah, Blackest Night….), il y a un retour programmé qui devrait me combler si tant est qu’il est bien amené : dès ce numéro ? Sinon, en ouverture de la saga, une mort est prévue : est-ce que ce sera celle annoncée par tous ? Quid du futur combat Supergirl / Mary Marvel : dès l’ouverture ? Il y a tellement d’autres choses qui me font bouillir que j’espère ne pas être déçu. Enfin, pour une Crise, il faut du costaud au dessin : après George « Dieu » Perez et Phil Jimenez (bien aidé par un paquet de camarades vers la fin), c’est J.G Jones qui s’avance. Somptueux sur les couvertures de 52, il aura la double mission de me transporter mais aussi d’assurer l’intégralité des 7 numéros. Je m’en tamponne d’attendre des semaines, voire des mois pour savourer son boulot : j’ai supporté les 11 mois pour un Adam Kubert, J.G Jones devra être soutenu par DC à l’image de Marvel pour McNiven et Civil War. J’y vais… Dommage... C’est vraiment dommage, je sens presque poindre la déception devant le résultat…  Bin oui, je l’ai tellement attendu ce comic que, maintenant, je dois bien dire que c’est parfaitement conforme à ce que je m’imaginais : en effet, à réfléchir sur divers scénarios pendant des mois, j’allais bien viser juste pour quelques uns… Bingo. Evidemment, cela ne veut pas dire que je suis déçu de ma lecture : c’est du 2nd degré (surtout pour ceux du fond qui poussaient déjà des cris de victoire clamant que DC c’est nul mais je ne relancerai pas le débat stérile ici) car c’est une très belle ouverture pour la saga de Grant Morrison qui rend une copie d’une limpidité impressionnante sans me noyer comme avait pu le faire Seven Soldiers 1. En effet, en comparaison des débuts de Crisis On Infinite Earths qui montrait la destruction de mondes ou d’Infinite Crisis qui décrivait les travers héroïques à travers le boxon environnant (et par boxon, je parle de l’ambiance non pas du niveau que je considérerai à jamais comme excellent ), celui de Final Crisis est plus simple dans la description et la compréhension des événements tout en ne plaçant pas une ambiance totalement anxiogène, même si ce n’est pas non plus « Le DC Universe en vacances à la plage » : le cœur connaît quelques hausses de tension ce qui me fait dire qu’il y en a qui ne vont pas rigoler. De plus, au niveau accessibilité, c’est plus ou moins explicite mais pas complètement self-contained… Oui et j’en ris car Countdown To Final Crisis est utile, du moins ses 2 derniers mois : ce qui concerne notamment les New Gods et les Monitors peut demander quelques bases pour les newbies mais bon c’était annoncé de longue date, seuls ceux qui ne voulaient pas savoir (je ne dis pas « pouvaient » car les informations sont disponibles) pourraient avoir quelques manques mais vu le déroulement des événements, ce sera abordé par la suite. Pour le reste, Grant Morrison fait tout pour placer le lecteur dans les meilleures conditions afin de lui faire profiter des révélations (qui me semblent moins nombreuses que prévu) : il « simplifie » son discours en offrant à la majorité des protagonistes l’exposition nécessaire pour cela. Il n’oublie pas des clins d’œil aux gimmicks Crisis : le ciel de feu, la coalition de vilains (déjà mentionnée la semaine dernière dans Justice League Of America 21 et DC Universe 0), les Monitors évidemment ou comme promis le binôme Anthro / Kamandi. Sinon, pour qui a les connaissances du DC Universe depuis un paquet d’années (mais ce n’est pas une raison nécessaire et suffisante heureusement), j’en tire la quintessence : punaise, il y a même un personnage issu de Bloodlines !!! Si la forme est bonne, qu’en est-il du fond ? Je suis aux anges : ce qui était annoncé est fidèle au poste et promet de grandes choses. Si je ne peux pas encore dire plus rien ne sera comme avant ou que ce sera la dernière Crises (le DC Nation d’Eddie Berganza en remet une couche : pour se convaincre ou me convaincre ?), Grant Morrison arrive à me surprendre à plusieurs fois. Pour commencer (et parce que pour certains, un event demande le remplissage du registre des morts), il y a effectivement un décès : j’ai été eu, non pas ce que ce n’était pas la mort annoncée (car ça l’est finalement). Je croyais dur comme fer que Grant Morrison allait me prendre à contrepied sur l’identité du trépassé… Je suis donc vert mais à plus d’un niveau : c’est l’identité de l’assassin qui n’est pas celle annoncée…  Je pourrais dire que c’est peu mais non car cela va entraîner bien des choses et DC a bien préparé la suite avec déjà Final Crisis – Requiem et visiblement Justice League (quoique un autre héros peut encore y passer d’ici là). Après, il y a les New Gods : désespérément absents d’Infinite Crisis (a posteriori, cela faisait partie du plan), ils font un retour « fracassant » sous une autre forme plus terre-à-terre et là c’est bien la vision de Grant Morrison et non celle de Jack Kirby. Seulement, je me dis que cela aurait moins de poids s’il n’y avait pas le background hérité du King : si les personnages étaient neufs, je ne sentirais pas la menace comme cela est suggéré. D’ailleurs, Grant Morrison avait déjà offert un aperçu de leur réinterprétation lors de Seven Soldiers – Mister Miracle assez singulier à l’époque : c’est beaucoup plus clair et la toile du Dark Side Club peut se propager. J’en profite pour dire un mot à ce sujet : si Dan Didio a promis à juste titre que les seuls ties-in de Final Crisis à voir le jour porteront la bannière Final Crisis, il y a ceux qui verront l’effet de la présence des New Gods sur Terre avec la bannière Dark Side Club comme l’ont déjà fait Birds Of Prey ou Flash ou comme le fait cette semaine Teen Titans. Je ne dis pas qu’une intrigue secondaire naît pour la bonne et simple raison que Final Crisis gère très bien la chose. A voir ce qui se passera lors du pont entre Final Crisis 3 et Final Crisis 4 et les sollicitations de Septembre en diront certainement plus. Donc, les New Gods sont de retour après une très courte absence : certains sont présents et ils sont bien dans leur rôle pour ceux aperçus. Toutefois, ils se font voler la vedette par l’émissaire de Darkseid Libra. Je voulais le voir en action : je suis servi. De même, j’avais des interrogations sur l’implication de son escouade formée : les réponses sont là et je suis très content de voir que le suspense final de Salvation Run reste quasiment entier (bien qu’entamé par Justice League Of America 21).  Après, pour une Crise, il faut aussi la dimension du Multiverse : ce sont les Monitors qui s’en chargent et force est de dire que Grant Morrison en quelques pages en a déjà raconté plus que Paul Dini sur Countdown To Final Crisis, principalement avec Nix Uotan. En ce qui concerne Solomon, cela rejoint sur ce que je mentionnais sur les pré-requis hérités de Countdown To Final Crisis : pour qui ne sait pas qui est ce personnage (il n’est pas nommé mais est reconnaissable) et quelles sont ses motivations, je souhaite bien du courage à la 1ère lecture… Après, le Multiverse est bien mentionné et il semble qu’un croisement ait déjà lieu vu la fin mais bon en matière de Great Disaster, j’ai donné et comme au poker, je vais payer pour voir. Après comme annoncé, cela s’ouvre sur Anthro et se termine sur Kamandi laissant supposer que le salut ne viendra peut-être pas que des Big Guns… Tiens oui, les Big Guns ? A part les Green Lanterns (et pas que les Terriens), ils n’ont droit qu’à une page si j’excepte celui qui s’en va rejoindre la cohorte des défunts DC : punaise, il y en a des retours potentiels pour Blackest Night…  Par contre, il y en a un qui n’était pas là pour l’ouverture mais qui sera là dès le 2ème numéro : le revenant de DC Universe 0 (très bien quoiqu’on en dise) sera officiellement de retour le mois prochain car Flash sera là !!! Les mondes vont pouvoir (re)commencer à trembler. En effet, la couverture iconique de J.G Jones de Final Crisis 2 concerne Flash (image déjà vue) et il a les yeux bleus au contraire de Wally qui les a verts… Que reste-t-il à dire sur l’histoire ? Je pense avoir traité le principal même si certains détails sous-jacents vont me revenir en pleine face lors d’une énième lecture tellement c’est bien fichu : je le répète, j’ai adoré !  Arrive la valeur ajoutée à toute Crise : le dessin ! Bordel de *****, si quiconque pouvait avoir des préjugés (et je ne comprendrais pas), c’est levé et d’une façon impressionnante !!! DC avait promis que ce serait comme les couvertures de 52 à chaque page avec beaucoup de cases et bien ils n’ont pas menti. Le résultat est à la hauteur de l’attente. Sur les 32 pages, il n’y a que 4 splash pages dont une double : J.G Jones donne le même détail à chaque panel et la transition des cases est très fluide. Le dernier travail que j’avais lu de lui hormis les back-ups de 52 était Wanted : c’est encore plus beau. Il se dégage de toutes les pages une puissance qui devrait persuader DC de lui foutre une paix royale et de lui laisser tout le temps nécessaire à la réalisation des 7 épisodes.  A part 1 ou 2 poses que je qualifierais de ratées (John Stewart en plein vol ou Luthor dont la tête semble riquiqui en regard du costume) en comparaison de la phénoménale production, il n’y a rien à redire et les couleurs d’Alex Sinclair collent bien à l’ambiance. Avec un style bien différent de ceux de George Perez et de Phil Jimenez, J.G Jones donne une autre dimension à la Crise !!!! En conclusion, il y a très peu à redire : Grant Morrison n’a pas menti pour ses débuts au niveau histoire et narration. De même, J.G Jones est plus qu’au niveau ! La Crise commence sur les chapeaux de roue : je n‘ai plus qu’à souhaiter que la suite sera, si ce n'est meilleure, au moins aussi bonne !! La récompense est là, je savoure à un point et je ne suis pas déçu bien au contraire : j’aime le DC Universe et ce n’est pas Final Crisis qui va me faire changer d’avis !!!!! Bilan : (étonnant, non )
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#5
29/05/2008, 09h20
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la critique de fou
Pour le moment je ne clique pas sur la balise en espérant l'avoir demain ( mais si c'est comme ces dernieres semaines , c'est pas gagné ) Sinon j'ai (enfin) lu les JLA & JSA , énormes tout simplement ( oui , c'est trés concis )
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes
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#7
29/05/2008, 10h32
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donc j'en rajoute 2 ou 3 pour bien montrer que c'est superbe?
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#9
29/05/2008, 11h05
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Hmmmmf, de mon côté pas très convaincu par ce premier épisode.
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !"
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#10
29/05/2008, 20h26
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Pffff! j'en ai marre!!!
Tout à l'heure je pense accidentellement devant Astro city à Lille quand ma brune reçoit un coup de fil et me fait poireauter devant la vitrine. Sauf que là bordel j'ai vu le Final Crisis. Et dire que je n'ai même pas lu 52 et encore moins Countdown  Bon du coup j'ai embarqué DC Universe0 et Final Crisis1 (par contre dég yavait plus de couv' avec Green Lantern). Bon Monsieur Scarlet comme il faut un coupable, à quelle adresse j'envoie la facture???? (maintenant ya plus qu'à espérer que j'y pige quelques choses)
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
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#12
29/05/2008, 22h52
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Scarletneedle devrait se faire payer par DC.
C'est vraiment le ciment de la "crisis". Ce truc,ça fait un moment que ça dure et comme on dit à la campagne,une vache n'y retrouverait pas ses petits. pour ses critiques
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#13
30/05/2008, 10h23
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Je viens de lire le DC Universe 0, qui est en fait une grosse pub pas chère, et foutrement bien dessiné.
Je ne vais pas revenir en détails sur ce qui s'y raconte (pour cela il ya le truc de Scarlet qui l'a si bien fait DC Universe 0 par Scarlet ) mais bon quelques petits mots quand même. La plupart des histoires, sauf celle de Batman et Wonder Woman, font des références ou utilisent des persos que le newbie DC ne connait pas (Superman Prime pour ceux qui n'ont pas lu les Crisis (comme moi quoi), les Rogues, le Spectre, sans compter tous les persos de Blackest Night prelude). Pour autant, cela n'empêche pas le truc d'être super attirant. La double splash de Legion of the Three Worlds est trop classe pour être ignorée. La scène Batman/Joker nous montre un batman qui, même si il fait genre, n'en mène pas si large. Le Wonder Woman promet un sacré paquet de tatanes bien sympatoche. Green Lantern, mon geekomètre grimpe en flèche. Pour les Spectre, la seule scène qu'on nous donne balance tout de suite le ton du truc, et si toute la mini est comme ça, je veux. Reste le dernier truc avec les Rogues et Libra. Là, je crois qu'il faut avoir sérieusement potassé du DC pendant une paire d'année pour pouvoir apprécier le truc. Ce qui n'est pas mon cas. Au final une magnifique pub pour pas chère (quoique une pub payante....), et qui annonce les prochains gros events DC. Si tous ne semble pas accessible aux non ghoule DC, la plupart file sacrément envie. D'ailleurs si c'est dans mes moyens, je pense profiter de l'event pour passer en VO pour ce qui est DC sur pas mal de truc (du moins certaines mini présentées ici car pour les avoir en VF....hein panono ).
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#14
30/05/2008, 15h25
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Sale ghoule, va.
Merci.
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#15
30/05/2008, 17h26
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Lu. Très bon pour moi. Et pas de problème de continuité ou je-ne-sais-quoi. Ca s'enfile tout seul, par contre pour ressentir l'intensité dramatique, faut connaître un peu les personnages et ce qu'ils représentent, sinon ça tombe un peu à plat. Mais ça, c'ets vrai partout.
Je vais aller lire Death of the New Gods et la fin de Salvation Run pour me mettre à niveau aussi
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It's no small thing to bring Darth Vader to his knee. On some worlds, it might be the stuff of legend... But it's not enough ! Adventures beyond the greatest space-fantasy film of all !
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