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pour l'instant, j'écoute "The XX" groupe US de pop minimaliste : parfois répétitif mais assez attachant que pour découvrir le travail du groupe
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Le premier XX (petite claque à l'époque) est sans commune mesure bien meilleur que le suivant (qui ne devrait pas figurer dans mon top de fin d'année à cette heure). Dégote toi aussi les mix d'un des membres, Jamie XX ainsi que sa relecture du dernier album de Gil Scott-Heron (we're new here).
Et ils sont anglais les XX Dernière modification par HiPs! ; 22/10/2012 à 21h49. |
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Ce week end concert de Bireli Lagrene, je m'attendais à ce que ce soit le set acoustique. Que néni, en électrique, ça dépote sévère.
Sinon je me replonge dans In Your Room de Agua de Annique. Toujours aussi bon.
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Final Crisis est un event du Fourth World!!! |
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Le dernier Murder by Death : Bitter Drink, Bitter Moon
Pas mal du tout, même si le chanteur postillonne de plus en plus. Ca vaudra jamais "Who Will Survive, and What Will Be Left of Them?" ou "In Bocca Al Lupo" mais ça reste un de mes groupes préférés.
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Mes ventes de Comics VO ! |
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Je suis en boucle sur Killing Type et sur Want it back (je vous met la version censuré, mais vous ne manquerez pas de vous jeter sur la version non flouté, bande de petits coquins).
Et Bed Song me remue pas mal aussi. |
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The killing type, je suis bien fan aussi.
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Ca semble tellement évident que les compos de Philip Glass sont faites d'une pâte à remix idéale qu'on se demande bien pourquoi ça n'a pas été fait plus souvent avant. Avec Beck comme maître d'oeuvre, je n'étais pourtant pas totalement rassuré sur le succès de l'entreprise. Alors, bien sûr, sur les 12 morceaux tout n'est pas réussi. Certains remixeurs n'ont rien trouvés de plus intelligent que de s'emparer de ces ostinatos fragiles pour les maquiller vulgairement en hymne Ibizesque. D'autres ont pris le moins de risque possible, conservant la délicatesse des harmonies de Glass pour les saupoudrer de ce qu'il faut de sonorité d'aujourd'hui. Mais, pas certain qu'apposer une date sur un morceau intemporel lui fasse gagner en qualité... Enfin, il y a les incontestables réussites. Pas compliqué, elles sont au nombre de trois, ce sont les noms qui apparaissent sur la pochette... Amon Tobin, Cornelius et surtout Beck, donc, lequel avec un morceau de 20' en une succession de collages audacieux réinvente totalement Glass tout en conservant le caractère immédiat et l'identité forte des morceaux du musicien. Au final, malgré ses morceaux plus faibles, un excellent disque, assez varié pour séduire au delà du petit cercle de fans. (Même si ça ne vaudra jamais un piano solo ou son Passages avec Ravi Shankar) |
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Ah oui je l'ai vu celui-là, je vais y tendre une oreille, dès qu'elle sera libérée de Channel Orange !
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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Accorde lui pleinement tes deux: je le trouve de mieux en mieux au fil des écoutes et les deux, trois scories ne sont pas si moches que ça dans le fond.
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Let it bleed des Rolling Stones. Evidemment, après avoir revu Les infiltrés de Scorsese, comment ne pas avoir envie de réécouter pour la millionnième fois le chef-d'oeuvre des Pierres-qui-roulent - quand elles roulaient encore comme des Formule 1 ? La track-list donne le vertige : You can't always get what you want (avec ses choeurs hallucinants), Midnight rambler (qui, en live, est encore plus effrayant), Monkey man (possédé par quelque démon)... Et, et, et LA meilleure chanson de Stones de tous les temps, celle dont les premières notes à la guitare puis guitare-shaker avant le décollage à l'harmonica, cette chanson irrésistible, cette chanson diabolique, cette chanson qu'on peut écouter en boucle (littéralement) sans jamais s'en lasser : GIMME SHELTER ! Laisse saigner, et enivrez-vous avec ces 9 chansons qui marient le Diable et le Bon Dieu tellement elles sont éternelles et implacables. |
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C'est pas beau de remuer la plaie autour du couteau alors que les cailloux sont en train de jouer au Trabendo devant 350 privilégiés lève-tôt.
Je reprends le micro deux minutes pour vous faire part d'une découverte qui date de quelques heures à peine alors que l'album a 8 ans (2004!!). Je n'avais jamais entendu parler de ce groupe avant, ni de leur (unique, so far) album. Peut-être Mr Gumby connait-il. Là, j'ai du mal à m'en remettre, énorme, énorme coup de coeur. Musicalement, on pourrait les rapprocher effectivement comme d'autres l'on fait (j'ai fureté un peu sur le net entre temps) du folk languide d'un sparklehorse, de Mercury Rev ou de Grandaddy mais Flotation Toy Warning (mais quel nom à la c...) a une qualité supérieure à tous ces groupes: ils sont anglais. A savoir qu'ils possèdent une qualité mélodique rare, un second degré dans les arrangements (scie musicale, bandonéon, clavecin), des paroles ironiques et une ferveur pop qui les distinguent de tous. Des morceaux dont la plupart dépassent les 6 minutes sur un mid-tempo uniforme qui donne une belle unité à l'album. D'une beauté stupéfiante, dont il est difficile de dire à l'heure actuelle à quelle allure je vais m'en lasser mais j'ai confiance, tous les morceaux sont des pièces d'orfèvrerie, les joyaux de la couronne d'un roi maudit sublimés par la voix sobrement poignante du leader, des bijoux dont j'ai envie qu'ils deviennent mes meilleurs amis pour la vie. Et puis, comment ne pas aimer une chanson qui porte le nom de Donald Pleasance? L'album s'appelle Bluffer's guide to the white desk. Son successeur est annoncé pour la fin 2012, ou peut-être 2013 ou 2014. Franchement, ils peuvent prendre le temps qu'ils veulent s'ils approchent ne serait-ce qu'à moitié la qualité de ce premier opus. Incroyable qu'un album aussi bouleversant et accompli ne soit pas plus connu et célébré. J'ai le droit de choisir comme disque de l'année, un truc vieux de 10 piges? Dernière modification par HiPs! ; 26/10/2012 à 09h57. |
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Hooverphonic presents Jackie Cane. Parfois, en rangeant ses cd, on tombe sur une galette qu'on n'a pas écouté depuis un bail, on se souvient à peine de son contenu. C'est le moment d'y jeter une oreille avant, peut-être, d'essayer de la revendre. C'est ainsi que j'ai redécouvert Jackie Cane d'Hooverphonic (et que j'ai su que je ne revendrai pas). Jackie Cane était au coeur d'une chanson éponyme dans leur précédent opus et ce groupe belge versé dans l'électro a décidé de lui consacrer un album entier. Et là, changement de cap : même s'il y a encore de l'électro, le trio ose la pop symphonique, avec cordes (le London Session Orchestra), cuivres (les Kick Horns, rien que ça), lyrisme (choeurs de la Scala Choir). Les ambiances sont soignés, on croirait vraiment la bande-son d'un biopic sur une héroïne imaginaire que la chanteuse Geike Arnaet s'amuse à incarner sur la pochette et dans le livret, tout droit sortie de Mad Men avant l'heure (tout ça date de 2002). Qui l'eût cru, mais ces trois jeunes gens ont ressucité l'esprit des Walker brothers en le fiançant aux derniers feux du trip-hop. Dreamin' Man Live'92 de Neil Young. Fort du succès de l'album Harvest Moon, il y a vingt ans, le géant Neil Young part en tournée, armée de ses guitares, d'un banjo, d'un dobro et d'un harmonica pour jouer les meilleurs morceaux de son riche répertoire et de son dernier opus. Le dépouillement extrème de la formule exige de l'artiste une maîtrise exceptionnelle, mais Young est à son aise aussi bien dans les tempêtes électriques du Crazy Horse que seul sur scène. Il donne à ses chansons une envergure telle qu'on oublie qu'elles sont jouées avec trois fois rien. Ainsi il nous embarque pendant plus de dix minutes planantes et poignantes lors de Natural Beauty (guère plus habillée en studio bien que tout aussi longue), une de ses odes dont il a le secret. Et ce n'est qu'une des gemmes de ce live aérien, une de ces archives que Young offre désormais à ses fans tout en continuant à livrer régulièrement de nouveaux albums (son nouveau, Psychedelic Pill, vient d'arriver, avec un morceau de... 27' - record explosé et composition épique !). Magique. Dernière modification par wildcard ; 26/10/2012 à 18h47. |
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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Symphony Hall - One Night Stand EP, qui regroupe Riton et Canblaster. Deux morceaux bien différents, mais tout aussi bon. http://www.youtube.com/watch?v=WxlfuUGr07w http://www.youtube.com/watch?v=X5IRJ7Vg_x4
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En ce moment moi, c'est The Kick Inside de Kate Bush. Je l'ai découvert grâce à la chanson Wuthering Heights que j'ai du écouter en boucle pendant 1 mois Cette voix, ces compositions, tous ces genres mêlés Bien avant Lady Gaga, Kate Bush avait crée son univers mystérieux avec tout le talent du monde |
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