Précédent   Buzz Comics, le forum comics du monde d'après. > > Critiques > Critiques VO et VF des forumers

Réponse
 
Outils de la discussion Modes d'affichage
  #1  
Vieux 01/10/2005, 23h49
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve
#1 de Septembre

Ah zut, on est déjà en octobre !

Pour varier un peu l'exercice critique, je vais me focaliser sur les nouveaux titres (ongoings et mini-séries) lancés en septembre. En commençant par quelques sorties de la semaine (en espérant ne pas marcher sur les plate-bandes de John)



Vigilante #1
(DC Comics, 2.99$)

Par Bruce Jones & Ben Oliver.

Voilà une mini-série qui à priori ne m’attirait pas. Une nouvelle incarnation du Vigilante (si je ne me trompe pas, la précédente personne à avoir endossé ce costume était une femme, et le gus qui l’a précédée est mort depuis belle lurette), grosso modo l’équivalent DC du Punisher. Aux commandes : Bruce Jones (oublions une fois pour toute le fiasco Incredible Hulk, le scénariste vaut mieux que ça) et Ben Oliver (que je découvre ici il me semble, n’ayant pas lu le graphic novel Authority : Human on the Inside ni ses travaux précédents chez Com.X). Le fait qu’il s’agisse d’un nouveau Vigilante – il n’est même pas fait mention des précédents dans cet épisode – incitera peut-être les nouveaux lecteurs à se pencher sur cette mini.

Ce premier épisode fonctionne habilement. Avant la dernière page, on ne voit jamais le Vigilante, juste une brève silhouette entraperçue ici ou là, une main, une voix off. Ses exécutions ont lieu hors-champ, le procédé est efficace et à l’opposé de ce que peut faire Garth Ennis sur Punisher, qui reste à l’heure actuelle la référence en matière de justicier psychopathe.

Plutôt que le Vigilante lui-même, le récit suit donc l’enquête menée sur la succession de meurtres dont il est responsable. Outre les policiers chargés des investigations, on rencontre dans cet épisode Lansky, journaliste au Daily Planet, Rene Carpenter, une psychiatre travaillant pour la police, et Justin Powell, un autre psychiatre qui a fréquenté, dans le cadre de son métier, les deux premières victimes du Vigilante. Coïncidence ?

Ce premier épisode se lit fort bien. Bruce Jones a du métier et sait rendre chacune de ses scènes vivante par ses dialogues et la caractérisation de ses personnages. Ben Oliver est pour moi une découverte des plus plaisantes, son trait me rappelle assez celui de Trevor Hairshine. Au final une bonne surprise donc, malgré un thème peu emballant.
Réponse avec citation
  #2  
Vieux 01/10/2005, 23h51
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve


Black Widow : The Things they say about her… #1
(Marvel Knights, 2.99$)
Par Richard K. Morgan, Sean Phillips & Bill Sienkiewicz.

Cette mini-série fait suite à la précédente, parue il y a quelques mois, et signée de la même équipe, si ce n’est qu’aux layouts Sean Phillips succède à Goran Parlov. Une mini plutôt réussie, qui dans sa conclusion laissait plusieurs points en suspens.

Une bonne partie des évènements qui se déroulent ici font directement suite à cette première mini : Black Widow est désormais recherchée par les autorités américaines et doit fuir à Cuba. Là elle rencontre l’autre Black Widow, Yelena Belova (ce qui situe donc cette histoire avant New Avengers) et se trouve plus ou moins contrainte de mener une mission pour elle. L’histoire semble devoir prendre alors une nouvelle direction, mais dans les dernières pages on retombe sur un élément central de la mini précédente.

En parallèle à la mission de Natasha, plusieurs sub-plots sont introduits : au Texas, deux hommes se recueillent sur la tombe du père de l’un d’entre eux et jurent de se venger de la ‘salope russe’ à qui ils doivent leur sort ; un jeune truand torturé par Black Widow dans la série précédente garde des séquelles de sa rencontre avec elle et est contacté par une inconnue ; et Nick Fury rend visite à Daredevil afin de lui faire comprendre qu’il est probablement le seul à pouvoir sauver Natasha du sort que le gouvernement US lui a préparé.

Richard K. Morgan joue dans le même registre que précédemment, même si la présence de Daredevil pourrait apporter par la suite une touche un peu plus super-héroïque à ce qui est avant tout un thriller d’espionnage. Sur le papier, la rencontre Sean Phillips/Bill Sienkiewicz est intéressante. En fait, comme toujours, l’encrage du second étouffe complètement le trait du premier, qu’on ne reconnaît qu’occasionnellement. Je dois même reconnaître que le duo Parlov/Sienkiewicz fonctionnait mieux et donnait à l’occasion quelques très belles planches (quelques scènes de flashback ou d’hallucination en particulier). Ici tout est trop sombre et trop sage. Ca reste correct, certes, mais de la part de ces artistes j’attends autre chose que du correct.

Une mini que je ne conseillerai pas à ceux qui n’ont pas lu la première, ou ne l’ont pas aimé. Les autres peuvent se lancer.
Réponse avec citation
  #3  
Vieux 01/10/2005, 23h53
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve


Drax the Destroyer #1
(Marvel, 2.99$)
Par Keith Giffen & Mitch Breitweiser.

Dans la préface à ce premier épisode, Andy Schmidt, l’éditor de ce titre, aborde la question que la plupart se pose en découvrant cette mini : pourquoi Drax ? Reconnaissant à demi-mots que commercialement ce titre n’a à peu près aucune chance d’être un succès, il justifie simplement ce choix par l’intérêt que Giffen porte pour le personnage. Que ce dernier ait pu faire accepter un projet aussi casse-gueule est finalement plutôt une bonne nouvelle, mais au final, qui va acheter les quatre épisodes annoncés de Drax the Destroyer ? Dessiné par Mitch Breitweiser (Qui ? un jeune artiste, co-créateur de Phantom Jack chez Image, qui a déjà auparavant dessiné chez Marvel, notamment un bref arc sur Agent X, et qui bénéficie désormais d’un contrat d’exclusivité chez eux).

Et au fait, quel est le Drax qu’aime Keith Giffen ? Le personnage tragique créé par Jim Starlin ? Ou le grand couillon vert qu’il est devenu par la suite ? Ce premier épisode nous laisse un peu dans le flou sur cette question. Le monsieur est peu causant, et réagit aux évènements plus qu’il n’agit. On notera néanmoins qu’il devient un peu plus loquace sur la fin, et ne semble pas devoir être traité de façon parodique.

Je ne sais plus très bien où l’on a rencontré Drax pour la dernière fois (probablement dans le Captain Marvel de Peter David) ni dans quelle situation on l’a laissé. Quoiqu’il en soit, on le retrouve ici prisonnier à bord d’un vaisseau-prison, en compagnie d’extraterrestres aussi recommandables que les Brother Bloods, le Power Skrull ou Lunatik. Coup du sort, alors que le vaisseau passe à proximité de la Terre, il est victime d’une avarie et explose. Et tout ce petit monde va atterrir en Alaska, à proximité d’un village.

Ce premier épisode est plutôt lent à démarrer. Outre les détenus débarqués sur Terre, y sont introduits deux ados, garçon et fille, dont la route va évidemment croiser celle des criminels avant la fin de l’épisode. Il manque pour l’instant une idée forte, qui retienne l’attention, au-delà du côté ETs en vadrouille. La mini-série n’a que quatre numéros à tenir, certes, mais ça me semble un peu léger. Giffen annonce des surprises pour la suite, Thanos devrait pointer le bout de son nez, on verra bien.

Le travail de Mitch Breitweiser est plutôt une bonne surprise, bien meilleur que le peu que j’ai pu voir de lui jusque là. Je lui reprocherai seulement des aliens parfois trop peu expressifs, trop mastoc également (Drax ressemble à un Martian Manhunter élevé au grain) alors qu’à côté d’eux les adolescents sont très réussis.

Pas vraiment convaincu par ce premier épisode donc, mais bon, dans le pire des cas il n’y a que trois numéros de plus à tenir. Et on ne trouve rien de rédhibitoire dans ces pages, simplement le déclic n’est pas encore venu.
Réponse avec citation
  #4  
Vieux 02/10/2005, 00h11
Avatar de mr nix
mr nix mr nix est déconnecté
Pere Noel a la retraite
 
Date d'inscription: janvier 2004
Localisation: Au Red Wedding
Messages: 19 071
mr nix change la caisse du Fauve
Content de revoir tes critiques, Niglo et

Black Widow juste un bemol: perso je n'ai pas fait la mini d'avant, mais franchement j'ai vraiment ete seduit par l'efficacite du truc. C'est du bon thriller d'espionnage sans temps morts, les personnages sont mysterieux a souhaits et on a envie de lire la suite. Question dessins je te rejoins, c'est efficace mais les dessins eux-memes sont decevants. Comme quoi toutes les alchimies de bons talents individuels ne sont pas un gage de reussite.

Pour Drax, je tendrais a penser qu'on va revenir a un Drax plus Sta(r)lininen, logique pour la generation de Giffen (m'etonnerait qu'on puisse avoir la nostalgie d'un autre version du personnage), comme la presence des Blood Brothers pourrait laisser penser. La tentation de faire retomber Drax dans son role de pere interrompu et fou furieux a un moment donne, avec la rencontre des momes, est a mon avis trop forte pour en faire juste le benet unidimensionnel qu'on a connu sur le tard, ou sans au moins jouer un peu avec ca. Au dessin, la bonne surprise en ce qui me concerne, avec ce truc qui a un peu le jus qu'avaient les BD de SF en couleurs directes de Corben (s'il avait rencontre Jae Lee).

Le truc qui me fait peur par contre: que ca soit un scenario recycle genre de Lobo ou de Legion, ca fait quand meme vachement DC comme premisses, le vaisseau prison, tout ca...
__________________
When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better.
Réponse avec citation
  #5  
Vieux 02/10/2005, 00h23
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve
Pour Breitweiler, c'est vrai que le nom de Corben m'est venu à l'esprit devant certains panels (les visages des ados surtout).

Pour Black Widow, si tu accroches à ce premier épisode fais le chemin inverse et jette un oeil sur la mini précédente (le tpb est dispo), on est dans le même registre.

Il y a quelques éléments présents dans ce #1 renvoyant directement à la première mini (le personnage de Martin Ferris, le Medusagen) sans que ce soit explicité. Et plus généralement la situation de BW, qui a quand même salement morflé, et pas seulement physiquement.

Donc je revois ma conclusion : si vous avez apprécié ce #1 sans avoir lu la première mini, procurez-vous là, vous ne l'apprécierez que plus
Réponse avec citation
  #6  
Vieux 02/10/2005, 00h28
Avatar de John Keats
John Keats John Keats est déconnecté
par la grande galaxie
 
Date d'inscription: février 2004
Localisation: Paris
Messages: 5 429
John Keats change la caisse du Fauve
Risque pas de marcher sur quoi que ce soit vu que j'ai pas eu de news cette semaine, donc ça tombe à pic si je puis dire! Déçu de lire que l'équipe prometteuse sur le papier Phillips/Sienkiewicz n'a pas fonctionné, c'est un peu deux de mes artistes préférés pourtant. Vivement la semaine prochaine que je vois ça par moi même.
__________________
johnkeats.space-blogs.com
Réponse avec citation
  #7  
Vieux 02/10/2005, 10h10
Avatar de Fix
Fix Fix est déconnecté
absent
 
Date d'inscription: mai 2005
Localisation: à la maison
Messages: 809
Fix change la caisse du Fauve
très bien Niglo le focus sur les #1, surtout chez Marvel : je m'interroge quand je vois les previews mais ne franchis pas le pas.
Vos avis m'aident à y voir plus clair.
Réponse avec citation
  #8  
Vieux 02/10/2005, 12h41
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve


The Sentry #1
(Marvel, 2.99$)
Par Paul Jenkins, John Romita Jr. & Mark Morales.

Après l’arc de New Avengers qui a été consacré à son retour, the Sentry a dans la foulée droit à sa mini-série (8 numéros), co-signée par son créateur, Paul Jenkins, et par l’inattendu John Romita Jr. Inattendu parce qu’il s’agit d’un type de personnage (Superman-like) sur lequel il a assez peu souvent travaillé.

Ce premier numéro démarre assez fort par une attaque d’Attuma dont l’armée – des sortes de poulpes géants – sème le chaos à Manhattan. On doit être vendredi, jour du poisson. Face à cette menace de grande ampleur, la puissance de Sentry va immédiatement apparaître dans toute sa démesure : régler la situation ne lui prendra qu’une poignée de minutes. Et histoire d’enfoncer le clou, Jenkins lui fera affronter quelques pages plus loin un adversaire au pouvoir cosmique dont il se débarrassera encore plus vite. Pas de doute, Sentry est de loin le héros le plus puissant de la planète.

Ce qui bien évidemment n’en fait pas un personnage vraiment intéressant. Pour compenser cette surpuissance physique, le scénariste va insister sur les failles, potentielles ou réelles, de son héros. Car même si le personnage semble beaucoup plus sûr de lui ici que dans New Avengers, derrière les apparences se cache un grand trouble. Il y a d’abord the Void, menace indissociable de the Sentry, pour l’instant sous contrôle, mais la situation semble fragile. Et puis il y a la responsabilité que le rôle de Sentry fait peser sur ses épaules. Informé en permanence des nouvelles menaces apparaissant chaque minute partout sur la planète par Cloc, l’intelligence artificielle déjà rencontrée dans la première mini-série, Sentry doit sans arrêt estimer les priorités, choisir quelle tragédie il empêchera plutôt que telle autre. Enfin, résultat direct de cette responsabilité qui lui incombe, il y a cette impossibilité qu’il ressent cruellement à mener une vie normale, à n’être que Robert Reynolds, époux modèle. Bref, si Sentry est l’être le plus puissant de la planète, il est psychologiquement extrêmement fragile, ce sur quoi Paul Jenkins devrait jouer dans les épisodes à venir.

Comme souvent, les planches de John Romita Jr. sont un enchantement. Aussi à l’aise dans les scènes les plus spectaculaires (l’attaque sur Manhattan est superbe) que les plus ordinaires, il parvient tout aussi bien à retranscrire la puissance de Sentry que la fragilité de Robert Reynolds (la scène chez le psychiatre qui le suit). L’encrage de Mark Morales donne davantage de rondeur à son trait, ce qui n’est pas pour me déplaire.

On retrouve donc dans cette mini-série le Sentry que l’on connaît depuis ses débuts, peut-être encore plus puissant, mais toujours aussi fragile. A vrai dire, même ceux qui découvriraient ici le personnage pour la première fois ne devraient pas avoir grand mal à prendre le train en marche, Paul Jenkins cernant parfaitement la personnalité de son héros. Un début très prometteur.
Réponse avec citation
  #9  
Vieux 02/10/2005, 13h39
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve


Polly and the Pirates #1
(Oni Press, 2.99$)
Par Ted Naifeh.

Le fan de Ted Naifeh que je suis est comblé en ce moment. Après le premier one-shot des Courtney Crumrin Tales, après la conclusion de la réjouissante mini-série Death Jr. chez Image, paraît chez Oni Press cette nouvelle mini-série.

L’action se situe dans un passé non daté précisément, probablement quelque part entre le XVIIIème et le XIXème siècle. Polly est une demoiselle issue de la haute société (son père est ambassadeur, sa mère est morte à sa naissance), qui mène une vie sans histoire dans une pension pour jeunes filles. Contrairement à son amie Anastasia, son sort semble lui convenir, et elle accepte sans broncher la sévérité de son précepteur, Mistress Lovejoy. A l’inverse, Anastasia rêve d’aventure, du genre dont elle rêve en lisant des romans (un genre littéraire qui ne sied guère à une jeune fille de son rang). Polly se laissera convaincre par son amie de prendre la poudre d’escampette, mais l’opération tournera vite au fiasco. Jusqu’à ce qu’un événement des plus improbables jette Polly bien malgré elle sur les chemins de l’aventure.

Après des débuts très sages, le récit connaît une rupture nette et prend son envol. Rêve ou réalité ? Ted Naifeh reste volontairement ambigu sur ce point. Polly, qui ne demandait rien à personne, se trouve soudain embarquée dans une aventure qui la plonge dans un univers à l’opposé de celui qui est le sien, et dans une quête qui va prendre une tournure très personnelle.

Ted Naifeh est un artiste capable d’adapter son dessin à chaque type de récit qu’il met en image, du style très cartoon de Death Jr. à celui infiniment plus réaliste de How Loathsome, il a su faire montre d’une variété de style impressionnante. Son trait ici évoque plutôt celui des aventures de Courtney Crumrin, sans le côté sombre et menaçant qui donne à la série son ambiance si particulière. Tout est ici plus lumineux – malgré le noir et blanc de rigueur – et apparaît comme une invitation permanente à l’aventure. Comparé aux autres enfants qu’il a mis en scène dans ses précédentes œuvres, Polly apparaît comme un personnage beaucoup plus sage, moins tourmenté aussi. Et on retrouve ici comme dans Courtney Crumrin ou Death Jr. cet univers enfantin fait de magie, d’émerveillement permanent et de monstres cachés sous le lit, qui fait de Ted Naifeh le Tim Burton des comics. Evidemment indispensable.
Réponse avec citation
  #10  
Vieux 02/10/2005, 13h46
Avatar de EsseJi
EsseJi EsseJi est connecté maintenant
Reader of stuff
-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: septembre 2004
Localisation: In a bar, under the sea
Messages: 50 941
EsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autres
pas de critique de GL corps recharge dans les #01 de ce mois?
Réponse avec citation
  #11  
Vieux 02/10/2005, 13h57
Avatar de John Keats
John Keats John Keats est déconnecté
par la grande galaxie
 
Date d'inscription: février 2004
Localisation: Paris
Messages: 5 429
John Keats change la caisse du Fauve
là niglo tu me fais chialer, parceque mon polly and the pirates je ne l'ai pas encore, et s'il y avait bien un truc que j'aurais voulu lire ce week end c'était bien ça. foiré va.
__________________
johnkeats.space-blogs.com
Réponse avec citation
  #12  
Vieux 02/10/2005, 14h26
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve
Citation:
Posté par spider_jerusalem
pas de critique de GL corps recharge dans les #01 de ce mois?
Là j'ai commencé par les #1 parus cette semaine (le GL Corps est paru la semaine dernière). Si le temps me le permet je reviendrai sur d'autres #1 du mois (il y en a eu une chiée en septembre).

Mais si quelqu'un d'autre a envie de s'en charger, faut pas se gêner...
Réponse avec citation
  #13  
Vieux 02/10/2005, 14h29
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve
Citation:
Posté par John Keats
là niglo tu me fais chialer, parceque mon polly and the pirates je ne l'ai pas encore, et s'il y avait bien un truc que j'aurais voulu lire ce week end c'était bien ça. foiré va.
Je sais ce que tu ressens, ça me le fait une semaine sur deux depuis que je ne peux plus récupérer mes nouveautés que tous les quinze jours.

Mais bon, cette semaine ou la semaine prochaine, le principal est que tu y prennes autant de plaisir que moi.
Réponse avec citation
  #14  
Vieux 02/10/2005, 14h44
Avatar de ericvil
ericvil ericvil est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
Date d'inscription: septembre 2003
Messages: 4 027
ericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puckericvil n'arrive pas à la cheville de Puck
Citation:
Posté par Niglo
Ah zut, on est déjà en octobre !

Pour varier un peu l'exercice critique, je vais me focaliser sur les nouveaux titres (ongoings et mini-séries) lancés en septembre. En commençant par quelques sorties de la semaine (en espérant ne pas marcher sur les plate-bandes de John)



Vigilante #1
(DC Comics, 2.99$)

Par Bruce Jones & Ben Oliver.

Voilà une mini-série qui à priori ne m’attirait pas. Une nouvelle incarnation du Vigilante (si je ne me trompe pas, la précédente personne à avoir endossé ce costume était une femme, et le gus qui l’a précédée est mort depuis belle lurette), grosso modo l’équivalent DC du Punisher. Aux commandes : Bruce Jones (oublions une fois pour toute le fiasco Incredible Hulk, le scénariste vaut mieux que ça) et Ben Oliver (que je découvre ici il me semble, n’ayant pas lu le graphic novel Authority : Human on the Inside ni ses travaux précédents chez Com.X). Le fait qu’il s’agisse d’un nouveau Vigilante – il n’est même pas fait mention des précédents dans cet épisode – incitera peut-être les nouveaux lecteurs à se pencher sur cette mini.

Ce premier épisode fonctionne habilement. Avant la dernière page, on ne voit jamais le Vigilante, juste une brève silhouette entraperçue ici ou là, une main, une voix off. Ses exécutions ont lieu hors-champ, le procédé est efficace et à l’opposé de ce que peut faire Garth Ennis sur Punisher, qui reste à l’heure actuelle la référence en matière de justicier psychopathe.

Plutôt que le Vigilante lui-même, le récit suit donc l’enquête menée sur la succession de meurtres dont il est responsable. Outre les policiers chargés des investigations, on rencontre dans cet épisode Lansky, journaliste au Daily Planet, Rene Carpenter, une psychiatre travaillant pour la police, et Justin Powell, un autre psychiatre qui a fréquenté, dans le cadre de son métier, les deux premières victimes du Vigilante. Coïncidence ?

Ce premier épisode se lit fort bien. Bruce Jones a du métier et sait rendre chacune de ses scènes vivante par ses dialogues et la caractérisation de ses personnages. Ben Oliver est pour moi une découverte des plus plaisantes, son trait me rappelle assez celui de Trevor Hairshine. Au final une bonne surprise donc, malgré un thème peu emballant.
ses travaux chez com x sont tres interessant
Réponse avec citation
  #15  
Vieux 02/10/2005, 15h05
Avatar de Niglo
Niglo Niglo est déconnecté
Registered User
 
Date d'inscription: janvier 2003
Messages: 5 218
Niglo change la caisse du Fauve
Puncture, c'est ça ?
Réponse avec citation
Réponse


Règles de messages
Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
Vous ne pouvez pas modifier vos messages

Les balises BB sont activées : oui
Les smileys sont activés : oui
La balise [IMG] est activée : oui
Le code HTML peut être employé : non

Navigation rapide


Fuseau horaire GMT +2. Il est actuellement 21h48.


Powered by vBulletin® Version 3.8.3
Copyright ©2000 - 2024, Jelsoft Enterprises Ltd.
Version française #20 par l'association vBulletin francophone
Skin Design et Logos By Fredeur
Buzz Comics : le forum comics n°1 en France !